
Salim Ejnaïni, non-voyant à l'assaut de « Ninja Warrior » sur TF 1 : « Je n'ai pas eu de traitement de faveur »
« Ninja Warrior ».
Lors du lancement de la saison 9 du
divertissement
ce vendredi 4 juillet sur TF 1 (à 21h10), les téléspectateurs vont assister au parcours de Salim Ejnaïni. Cavalier professionnel de saut d'obstacles, présentateur de l'émission « À vos marques » sur la chaîne Sport en France, conférencier et créateur de contenus, ce candidat de 33 ans a pour particularité d'être aveugle.
Si ce handicap peut sembler insurmontable dans une telle compétition, Salim n'a pas l'habitude de reculer devant les difficultés. « Des murs, j'ai eu plutôt l'habitude d'en croiser. J'ai publié un livre dont le titre est
L'impossible est un bon début
(Fayard),
donc des impossibles, j'en ai eus. Et souvent, ils ont été des débuts à de belles opportunités. »
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L'Équipe
2 hours ago
- L'Équipe
Cinq adresses où se restaurer quand on aime les chevaux
Si certains murmurent à l'oreille des chevaux, d'autres dînent en leur compagnie. Décontractés, bistronomiques ou étoilés, ces établissements permettent de se restaurer au milieu des équidés dans une ambiance atypique ou un décor hors du commun. Au sein du club de l'Etrier d'Aubagne, la jolie bâtisse aux volets vert céladon qui a ouvert ses portes il y a tout juste un an et demi, évoque irrésistiblement les romans de Marcel Pagnol. L'atout majeur du Pavillon de la Source est sans conteste la jolie terrasse qui surplombe la carrière et qui permet de contempler les cavaliers et leurs montures à l'exercice, tout en dégustant une cuisine bistronomique maison, principalement braisée. Légumes, poissons, crustacées, viandes... ici, tout ou presque passe au four à charbon catalan, la passion du chef, également grand amoureux des épices. À l'intérieur de l'établissement, bois fonce, tableaux équestres, immense bar et eclairage soigne donnent l'impression d'un élégant pub british. Une ambiance chic et cosy qui contraste joliment avec l'extérieur ensoleillé, beaucoup plus brut et minéral. Formule déjeuner entrée/plat/dessert (hors week-end et jours fériés), 30 euros. Plats entre 24 et 34 euros.3605 Route d'Eoures, 13400 Aubagne Le plus mythique : la Toque, restaurant panoramique (Calvados) Déjeuner dans un restaurant panoramique d'hippodrome est toujours une expérience, une sorte de retour dans le passé ou flotte un petit air de charmante désuétude. Malgré sa récente réfection, le restaurant panoramique de Deauville, géré par le groupe Barrière, ne fait heureusement pas exception à la règle. Vieux couples délicieusement endimanchés, propriétaires et passionnés se retrouvent en amoureux, en famille ou entre amis pour déguster une cuisine française classique en profitant d'une superbe vue sur les pistes et le rond de présentation (lieu où les chevaux défilent avant la course). L'après-midi, un tea-time sucré-salé est proposé et le jeudi soir, c'est le grand jeu avec caviar, huîtres et lobster rolls. Hippodrome de Deauville-La Touques, 45 avenue Hocquart de Turtot, 14800 - de 27 € à 35 €. Ouvert seulement les jours et soirs de courses, tenue correcte exigée Le plus original : BO Ranch (Seine-et-Marne) Se retrouver propulsé au Texas à 60 km de Paris est une gageure que Bo Ranch a su tenir à merveille. Ce pôle professionnel d'entraînement dédié à l'équitation western accueille une soixantaine de chevaux Américain Quarter ainsi que des compétitions internationales. Cet impressionnant complexe de 6 hectares, à l'architecture et à la décoration très soignées allie parfaitement modernité du métal et du verre, chaleur du bois et raffinement d'une décoration Far West très étudiée. Un club house vitré et une terrasse offrent une vue imprenable sur les chevaux pendant les entraînements ou les compétitions que ce soit sur le manège intérieur ou les paddocks. La carte aux légers accents tex-mex est simple et efficace (guacamole, burgers) et les légumes proviennent du potager. L'offre cocktails est riche et des vins d'exception sont proposés au verre dans ce lieu à la fois cosy et convivial, lieu qui a aussi la bonne idée de proposer de nombreux événements à thème. Lors des soirées « happy horse hours », les tables sont carrément installées autour de la carrière, au plus près des chevaux et des cavaliers, afin de profiter au maximum de l'expérience. Formule déjeuner entrée/plat/dessert du mercredi au vendredi, 28 euros. Plats entre 17 et 29 euros.6 Route d'Achères, 77760 La Chapelle-la-Reine Le plus cool : le Relais de Chiberta (Pays basque) Marre du surf ? Envie de turf ? Trottez joyeusement en direction de cette cantine équestre d'Anglet, située dans le Club Hippique De La Côte basque, en orée de forêt de Chiberta. Ce petit restaurant à taille humaine et à l'ambiance décontractée propose une carte courte, colorée, maison et de saison, qui a même su ravir le guide du Fooding. Ouvert non-stop de 9h du matin jusqu'au soir, on peut commencer la journée par un petit déjeuner, ou déguster, pour le goûter, les nombreuses pâtisseries maison (cookies, carrot cake, banana bread, tartes aux fruits de saison, etc.) préparées par Cindy, cheffe autodidacte qui trouve l'inspiration dans ses nombreux voyages. Située en face de la carrière où travaillent les chevaux, meublée de bois et de parasols à franges, il flotte en permanence un air de vacances sur la terrasse, accessible jusqu'au coucher du soleil en période estivale. Plats entre 13 et 22 euros.5 Route du Petit Palais, 64600 Anglet Le plus féérique : le domaine de la Klauss (Moselle) Un dîner d'exception au plus près des chevaux, tout droit sorti d'un conte de fées, voilà ce que propose de mai à septembre l'hôtel-spa 5 étoiles du domaine de la Klauss, en Moselle. Dans la splendide écurie de ce relais-château, une imposante table, chargée de fleurs et soigneusement dressée trône au milieu des élégants box en bois et des pures races espagnoles. Les convives goûteront la cuisine du chef étoilé Benoit Potdevin. Inspirée par le terroir français, elle mêle tradition et modernité en utilisant un maximum de produits locaux et de saison, en provenance des meilleurs fournisseurs. Un spectacle équestre de 30 minutes est également disponible sur demande. Inutile de préciser que cette expérience magique et inoubliable vous coûtera plus cher qu'une saucisse frite à la kermesse du poney-club du coin. Location des écuries pour 10 à 20 personnes : 2000 euros, puis 165 euros par personne pour le diner gastronomique.2 Impasse du Klaussberg, 57480 Montenach Le plus luxueux : le Selman Marrakech (Maroc) « Mon royaume pour un cheval », ici, nul sacrifice nécessaire, vous aurez les deux à la fois. Flamboyant et raffiné, ce somptueux palais marocain à l'architecture arabo-andalouse, sert d'écrin à la passion du propriétaire de ce palace 5 étoiles : les purs-sangs arabes. Le haras Selman Arabians est d'ailleurs reconnu comme le meilleur élevage du Royaume depuis 2014. Les clients ont le privilège de petit-déjeuner ou déjeuner sur la terrasse du Pavillon, un des 4 restaurants de l'établissement (dont 2 sous la houlette du chef Jean-François Piège). Là, confortablement installés le long des fontaines et entourés de paddocks verdoyants, ils peuvent y admirer les élégants équidés. À partir de septembre, un brunch dominical sous forme d'un buffet varié aux saveurs franco-marocaines, accessible à tous, sera accompagné d'une parade équestre. Les écuries ocre rouge, signées Jacques Garcia, décorateur star connu pour ses ambiances opulentes et chaleureuses, peuvent être visitées sur demande, et on se surprendrait presque à vouloir échanger un box contre son appartement parisien. Km 5, Route d'Amizmiz Marrakech 40160Brunch 1900 MAD, soit environ 180 euros.


Le HuffPost France
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Olivier Minne dit au revoir à Fort Boyard et résume ses 30 années avec une courte vidéo
TÉLÉVISION - Un rappel de trente ans de vie et de carrière. Alors que se lance ce samedi 5 juillet la nouvelle saison du jeu Fort Boyard, Olivier Minne a publié sur Instagram une vidéo retraçant les trois décennies passées sur le programme qu'il va quitter pour rejoindre M6. Le montage montre l'évolution de cette figure de France Télévisions au fil des années et des coupes de cheveux, depuis 1995 jusqu'à 2025. « Sur le Fort, le temps est un complice. Il consolide l'affection partagée et donne à l'amitié un goût d'éternité », écrit Olivier Minne en légende de cette publication. « Merci pour ces 23 années passées ensemble ! Et bon été ! », ajoute-t-il. L'homme de 58 ans a débuté sa carrière il y a 35 ans sur France Télévisions en tant que speaker, et n'a quasiment jamais quitté le service public après ça. C'est depuis 2003 qu'il présente Fort Boyard. Pour la dernière édition du programme en sa présence, plusieurs surprises sont attendues ainsi qu'un retour de certains éléments cultes comme les cellules. La première émission se fera avec Shy'm, Jérémy Frérot, Clarisse Agbegnenou, Tristan Lopin, David Voinson et Justine Dupont. Olivier Minne, qui rejoindra M6 à la rentrée, animera une nouvelle version hebdomadaire du Maillon faible, en plus de nouveaux divertissements. Le présentateur succédera ainsi au comédien Vincent Dedienne, qui a revisité le jeu culte lors de sa relance par M6, le temps d'une soirée spéciale l'automne dernier. Outre cette émission, Olivier Minne se verra confier les rênes de Pandore, un nouveau jeu « de stratégie psychologique » inspiré de la mythologie grecque, diffusé en soirée. L'ex-pilier du service public incarnera aussi, toujours en soirée, Quel est l'âge de votre cerveau ?, un quiz où 200 candidats se livreront à une série de tests, promettant « une véritable gymnastique cérébrale pour toute la famille ». L'arrivée d'Olivier Minne est un gros coup pour le groupe M6, qui également recruté l'animateur Cyril Hanouna pour sa chaîne W9 et sa radio Fun Radio, ainsi que la journaliste Anne-Sophie Lapix pour la chaîne M6 et la radio RTL.


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
«On sort de la sangria totalement désuète» : quels cocktails allons-nous boire cet été ?
Cet été, oubliez les cocktails trop sucrés et trop forts. La saison estivale s'annonce sous le signe de la légèreté. Ce sont les cocktails ultra-frais qui domineront les cartes : des créations plus vivantes, moins sucrées et moins alcoolisées. Aux antipodes des cocktails surchargés et sucrés, les nouvelles créations misent sur la légèreté, la fraîcheur et l'authenticité. Dans les bars comme dans les apéritifs à la maison, les boissons servies cet été s'annoncent plus vivantes, moins alcoolisées, moins édulcorées. «Le cocktail d'aujourd'hui n'a plus rien à voir avec celui d'hier», affirme Alexandre Mat, expert en spiritueux et vice-champion de France de mixologie. «On sort des standards sucrés», note l'expert, convaincu que le «sucre est vraiment la bête noire à chasser en 2025». Les cocktails de l'été privilégient des ingrédients frais : fruits frais, herbes aromatiques, sirops et bitters artisanaux. Cette tendance correspond à un retour à «l'essence de la terre» et à une volonté d'authenticité qui «va perdurer pendant dix ans», selon Alexandre Mat. Dans ce contexte, la tendance s'oriente vers des cocktails peu sucrés, plus légers et ultra-frais. «En sortant de cette sangria totalement désuète», souligne l'expert en mixologie, les cartes s'ouvrent à des formats plus digestes, pensés pour accompagner les nouvelles tendances de l'apéritif, comme les planches apéritives, les accords avec le vin ou les alternatives végétales. En effet, «depuis janvier-février 2025, on voit une vraie montée en puissance des cocktails à base de vin , en particulier les vins pétillants comme le champagne ou le prosecco». Publicité Quel cocktail pour l'été ? La grande vedette de cette année pourrait bien être le paloma, ce cocktail mexicain à base de tequila et de soda au pamplemousse, désormais proposé dans des versions premium, comme avec une Patrón Silver et une pointe de sel. «Le paloma semble vouloir détrôner le spritz », note Alexandre Mat, qui voit dans cette vague «d'agave, de produits naturels, herbacés, associés parfois à du vin moelleux ou pétillant» une réponse aux attentes nouvelles des consommateurs. Dans le même temps, les classiques ne disparaissent pas, mais évoluent. Par exemple, le mojito reste une valeur sûre, mais se débarrasse de son image industrielle. «Je crée une gamme de mojitos avec des fruits qualitatifs venus de productions écoresponsables. Je ne fais pas de mojito avec du rhum industriel Havana», explique Alexandre. Un souci du produit et une exigence de provenance qui vont de pair avec l'ancrage écologique des nouvelles pratiques de bar. Les consommateurs veulent savoir ce qu'ils boivent, mais aussi comment cela a été produit, par qui, et avec quels engagements. À lire aussi Ces 10 cocktails moins caloriques à adopter cet été Les cocktails sans alcool, «une ultra-tendance» ? L'autre mutation majeure du monde du cocktail s'incarne dans le mouvement «no low». Une tendance qui s'affirme avec puissance depuis deux ou trois ans et qui atteint en 2025 sa pleine maturité. «Le no low est une ultra-tendance», confirme Alexandre Mat. Les spiritueux sans alcool, les toniques artisanaux, les bases botaniques ouvrent le champ des possibles pour de nouvelles créations. Et cette tendance est largement portée par la nouvelle génération, plus attentive à son bien-être et à sa lucidité : «Les jeunes générations ne veulent plus partir sur des cocktails trop forts», analyse-t-on. Les consommateurs veulent du vrai, du vivant, du personnalisé. Ils refusent les cocktails impersonnels, stéréotypés, et sucrés à outrance. «Les gens demandent que les cocktails soient créés pour eux», explique l'expert en concluant «qu'un cocktail, ce n'est plus des brochettes de bonbons ou des rimes en sucre autour du verre».