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Série sur Prime Video: Ballard, la dernière recrue en série de Michael Connelly

Série sur Prime Video: Ballard, la dernière recrue en série de Michael Connelly

24 Heures17-07-2025
Accueil | Culture | Streaming |
L'élève de Harry Bosch s'attaque aux dossiers du jour, harceleurs machos, racistes ordinaires et autres psychopathes. Prime Video, 10 x 44-49 min. Publié aujourd'hui à 11h42
L'écrivain Michael Connelly a développé son propre univers en série en auteur très attentif à l'adaptation de ses best-sellers. Après l'inspecteur Hieronimus «Harry» Bosch et l'avocat Mickey Haller , respectivement actif durant trois et neuf saisons, voici Renée Ballard.
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Qui est cet artiste américain qui veut construire un mausolée Trump à Venise?
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24 Heures

time3 hours ago

  • 24 Heures

Qui est cet artiste américain qui veut construire un mausolée Trump à Venise?

Accueil | Culture | Arts & expos | Provocation ou raison, l'artiste américain propose de transformer le pavillon national de la Biennale de Venise 2026 en mausolée Trump. Publié aujourd'hui à 20h13 Alors que Donald Trump porte un nouveau coup à la culture, en annonçant le retrait des États-Unis de l'Unesco, Andres Serrano a postulé pour installer son mausolée (photomontage) dans le cadre de la Biennale d'art contemporain de Venise 2026. Courtesy of the artist En bref: L'affaire n'est de loin pas pliée, mais comme aux États-Unis les candidats à une candidature savent faire mousser leurs chances aussi bien qu'un catcheur à l'approche du ring, tout le monde, ou presque, parle d'Andres Serrano. L'Américain se rêve en locataire du pavillon national lors de la Biennale de Venise 2026 avec un Donald Trump sanctifié en special guest . «Je ne vois personne d'autre, encourage l'absolutiste, que le président lui-même pour incarner les États-Unis.» Alors… suspense. Si 26 pays sur 89 ont déjà leur porte-drapeau, le Département américain de l'éducation et de la culture révélera début septembre qui sera au garde à vous. Difficile de le dire autrement: revue et corrigée, la feuille de route est pile dans le ton de l'administration Trump! Plébiscitant «la promotion de la compréhension internationale des valeurs américaines». Et bannissant «des programmes qui mettraient en avant la diversité, l'équité et l'inclusion, enfreignant ainsi les lois antidiscrimination en vigueur». Ne voir que Donald Trump pour entrer dans ses propres cases, c'est une réponse. Et… c'est celle d'Andres Serrano proposant une œuvre totale, du fronton à l'intérieur du pavillon, minimisant le risque d'être recalé. Le septuagénaire est bien rodé sur le terrain de la controverse, « Piss Christ » (1987), cette image picturale d'un crucifix immergé dans un bain d'urine, c'est lui. Andres Serrano devant «Piss Christ» exposé à Stockholm en 2015. IMAGO/TT La subversion traverse son œuvre et peut-être même la sédition, dans cette candidature à la réalisation d'une imposture au cœur de la plus suivie des Biennales d'art. Celui-ci existe-t-il orienté par des directives politiques, sans sa pleine liberté d'expression? Répondre, c'est croire à l'aiguillon Serrano, le New-Yorkais est un fan déclaré de Goya, sévère chroniqueur de son temps. Comme de Luis Buñuel, de son cinéma pourfendeur d'états censeurs et de pouvoir imbu. Andres Serrano, le regard frontal Dans ses gènes d'artiste, il a élevé la photographie en regard frontal sur l'Amérique populaire. Conservatrice. Ses tourments racistes. Son indécision face aux armes. Sa libido. Sa foi. Le portrait est son rayon, le grand format, sa dimension et la condition humaine, son engagement. Avec cet intérêt à travailler la matière crue, faite de zones d'ombre émotionnellement difficiles à regarder. Comme de préjugés tenaces. L'hyperesthétique comme alliée, l'artiste a montré la mort de près dans sa série «The Morgue» (1992), il a placardé ses portraits de sans-abri sur les emplacements publicitaires du métro new-yorkais (2014), réveillé le fantôme de «La Torture» (2015) dans des lieux de sa dramatique histoire. Ou encore plongé dans un univers de «Robots» (2022) aux couleurs si criardes. L'artiste américain a collectionné des objets et autres artefacts appartenant à la galaxie Trump, il en a fait une installation. «The Game: All ThingsTrump». AFP Collectionné par le Vatican, comme par Pinault, par le MoMA à New York comme par le Musée de la brique rouge à Pékin, Andres Serrano aime se déclarer: «artiste avec un appareil photo». Son focus alternant l'ordinaire, le politique, le liturgique ou la pop culture, il a zoomé sur le rappeur Snoop Dog , sur un vendeur ambulant du Trinidad, un étal de boucher de la vieille Jérusalem, une factrice. Ou sur une femme, membre du Ku Klux Klan, le regard droit dans sa capuche pointue comme sur des Vierges à l'enfant. Un constat sur Donald Trump En 2004, Andres Serrano intégrait Donald Trump à sa série de portraits d'Américains, reconnaissant en lui, «l'une des incarnations du rêve américain, un homme d'affaires prospère, un magnat de l'immobilier et une célébrité.» IMAGO/Depositphotos On l'a vu en président du jury d'Images Vevey (2011-2012), à Photo Elysée Lausanne pour défendre son «Piss Christ» (2016): il ne se fait pas rare. Toujours prêt à assurer le service après-vente d'une controverse, se présentant en «artiste chrétien qui voit la religion partout» quand on le dit blasphémateur. Ou en électron neutre lorsque «The Art Newspaper», l'interroge sur cette proposition de Mausolée Trump. «Ce n'est ni une célébration, ni une dénégation. Je ne suis pas un juge de quoi que ce soit, seulement un observateur. Donald Trump, poursuit-il, a été élu deux fois président des États-Unis. Ce qui veut dire que si on croit en la démocratie, on doit admettre que le peuple a parlé. La politique est partout, même sur la table de la cuisine, la frontière entre la politique et le divertissement est infime.» Biennale de Venise et art contemporain Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Florence Millioud a rejoint la rubrique culturelle en 2011 par passion pour les gens de culture, après avoir couvert dès 1994 la politique et l'économie locales. Historienne de l'art, elle collabore à la rédaction de catalogues d'exposition et d'ouvrages monographiques sur des artistes. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

«P» comme Paléo et populaire
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timea day ago

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Accueil | Culture | Festivals | Opinion L'hédonisme du festival embrasse large, n'en déplaise aux grincheux. Éditorial Publié aujourd'hui à 18h14 À en entendre certains, la fin de la civilisation aurait choisi le terrain de l'Asse pour triompher à tout jamais! «Trop cher», «trop nul», «moralement répréhensible»… Les grincheux bloqués sur leur canapé et les snobs de l'appréciation musicale peuvent se déchaîner. En pure perte. Et l'on ne parle même pas des accusations fallacieuses sur la qualité des stands culinaires. Restons-en à la musique. Cette année, Paléo affirme avec encore plus de force un credo qui le définit depuis longtemps. Le festival cherche à faire plaisir et à en donner pour leur argent à un maximum de publics. Que cela passe par des stars vieillissantes – Simple Minds , Jean-Louis Aubert –, par de très jeunes artistes tout juste sortis de YouTube – Theodort – ou par des découvertes – maghrébines –, la manifestation anticipe l'apport d'une séquence artistique à l'ensemble plus vaste que représente une soirée complète passée sur l'Asse avec ses petits rendez-vous confidentiels mais aussi ses grands-messes partagées par des dizaines de milliers de personnes. Cette visée populaire – on n'a pas dit «populiste» – est inséparable d'un esprit de fête qui nous ramène à l'étymologie même du mot festival. Peu importe que Will Smith ne soit pas un rappeur de premier plan mais un acteur célèbre. Peu importe que les Sex Pistols soient de vieux débris ramenés à l'excitation par Frank Carter. Dans le cadre du plus grand festival de Suisse, ces moments divertissants rassemblent une communauté, invitent à une réjouissance collective. Sans élitisme ni vulgarité. Et c'est déjà beaucoup. Paléo, c'est bon Boris Senff travaille en rubrique culturelle depuis 1995. Il écrit sur la musique, la photographie, le théâtre, le cinéma, la littérature, l'architecture, les beaux-arts. Plus d'infos @Sibernoff Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Paléo côté plaisir, l'ardeur de Jean-Louis Aubert et la frime de Will Smith
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24 Heures

timea day ago

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Accueil | Culture | Festivals | Deux célébrités, deux styles. Mais deux moments joyeux et attendrissants pour le public de l'Asse. Publié aujourd'hui à 18h13 Jean-Louis Aubert tire la langue – de plaisir – sur la Grande Scène du Paléo. © Joseph Carlucci La machine à remonter le temps avait rendez-vous avec la Grande Scène du Paléo, mercredi soir. D'abord en compagnie de Jean-Louis Aubert, chanteur et guitariste de Téléphone qui parcourait un répertoire de près d'un demi-siècle. Malgré ses 70 printemps, le Français a gardé une fougue intacte et surtout ce grain de voix légèrement aigu et nasillard qui le rajeunit, de loin, de près de 40 ans. Le musicien se donne sans réserve, en guitariste chevronné s'élançant dans des cavalcades électriques, qui rassurent tout le monde sur son état de santé, après une opération à cœur ouvert en 2021. Jean-Louis Aubert, un cœur gros comme ça Le cœur de Jean-Louis Aubert est toujours aussi grand, mais il bat aussi parfois calmement lorsqu'il s'assied derrière un piano blanc pour des moments plus doux, plus recueillis. Ses textes ne gagneraient pas tous un concours de poésie, mais ils trahissent toujours une sincérité à fleur de peau. Jean-Louis Aubert, c'est ce gars normal, plus que sympa, qui mouline avec passion quelques mélodies et rengaines irrésistibles. Les tubes de Téléphone, nombreux au menu, comme «La bombe humaine» ou «Argent trop cher», font un malheur dans une foule dense qui tangue au gré des bons sentiments d'un chanteur dont les élans rappellent parfois ceux d'un Higelin. Finale avec «Ça (C'est vraiment toi)» et l'évident «Voilà c'est fini». Une belle communion avec le public du Paléo, par un habitué du rendez-vous. Will Smith dans son rétro Will Smith de retour dans les 80' sur la Grande Scène du Paléo. Joseph Carlucci Will Smith, lui, n'est jamais venu, mais tout le monde l'attend sur les coups de minuit. L'affaire ressemble à une blague. Le passé de rappeur de l'acteur à succès date de près de quarante ans, mais sa stature de star et les rares concerts simultanés (celui de Johnny Jane au Club Tent n'y survivra pas…) amassent le gros des troupes devant la Grande Scène. Tout le monde veut assister à ce retour inattendu, probablement provoqué par un besoin de reconnaissance après son blacklisting pour sa baffe à Chris Rock en 2022 aux Oscars . Will Smith, jouasse en «Prince de Bel-Air» Joseph Carlucci Certains ne connaissent pas ses débuts avec DJ Jazzy Jeff and the Fresh Prince, ce pseudo qui lui vaudra de tourner dans la sitcom focalisée sur son personnage, «Le Prince de Bel-Air». Mais tout le monde connaît l'acteur et cela suffit pour revenir, selon les mots du MC lui-même, à la période «d'un hip-hop old school», estampillé 80's-90's, où le rappeur d'alors plantait encore des disques de platine. Les danseuses sportives et le ghettoblaster dessiné en lignes de néons colorées sur le fond de scène opèrent une cure de rajeunissement radicale pour lancer «Gettin' Jiggy wit It» ou, en conclusion, un «Summertime» de circonstances. Will Smith, qui porte sportivement ses presque 57 ans, fait le job avec conviction et, à part un moment professoral de pseudo-sagesse invoquant l'acteur James Avery, gagne son Paléo, hilare et remuant. Paléo, jusqu'au di. 27 juillet. Paléo, festival à Nyon Boris Senff travaille en rubrique culturelle depuis 1995. Il écrit sur la musique, la photographie, le théâtre, le cinéma, la littérature, l'architecture, les beaux-arts. Plus d'infos @Sibernoff Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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