
Mbappé, Vinicius et Tchouaméni dans le premier onze de la saison du Real Madrid contre Osasuna
C'est la reprise pour le Real Madrid. Après un seul petit match officiel de préparation (4-0 face au WSG Tirol), la Maison blanche accueille Osasuna ce mardi soir pour la 1re journée de Liga. Xabi Alonso compte d'ores et déjà sur ses recrues estivales, et aligne une défense new-look aux côtés d'Éder Militao, composée d'Alvaro Carreras, de Dean Huijsen et de Trent Alexander-Arnold.
Au milieu de terrain, le Français Aurélien Tchouaméni sera épaulé par Federico Valverde et Arda Güler. Sur le front de l'attaque, le duo Vinicius - Kylian Mbappé est bien présent, mais pas Rodrygo. Le tacticien espagnol lui a préféré Brahim Diaz, tout comme lors du match de pré-saison. Les Madrilènes auront à coeur de bien lancer cet exercice 2025-2026, avec l'objectif de reconquérir la couronne de champion d'Espagne, après une saison blanche l'an passé.
Vinicius et Kylian Mbappé sont-ils compatibles ?
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Jean-Philippe Mateta inscrit le premier but européen de l'histoire de Crystal Palace en Ligue Conférence
En barrages de Ligue Conférence ce jeudi, Crystal Palace a remporté le premier match européen de son histoire en dominant grâce à un but de Jean-Philippe Mateta les Norvégiens de Fredrikstad (1-0). Comme Brondby, les clubs scandinaves engagés ont assuré. Crystal Palace se fait peur, la Fiorentina assure Qui d'autre que Jean-Philippe Mateta pour inscrire le premier but européen de l'histoire de Crystal Palace ? L'attaquant français, opportuniste de la tête, a marqué le seul but des Eagles, finalement reversé en Ligue Conférence, contre Fredrikstad ce jeudi soir (1-0). Un succès finalement étriqué pour l'équipe d'Oliver Glasner, qui se rendra en Norvège dans une semaine pour valider son billet vers la phase de ligue. Opposée aux Ukrainiens du Polissya Zhytomyr, la Fiorentina a assuré à la Tatran Arena de Presov en Slovaquie (3-0) mais a perdu Moïse Kean, expulsé dans le premier acte (40e). Les clubs scandinaves à la fête, l'équipe de Riera l'emporte Alors que Brondby est allé chercher un bon match nul (0-0) chez Strasbourg à La Meinau, les Norvégiens de Rosenborg ont surpris Mayence (2-1). De leur côté, les Suédois d'Hacken ont étrillé Cluj avec notamment cinq passes décisives délivrées par l'international tunisien Amor Layouni (7-2). Une défaite cuisante qui s'ajoute au piteux début de saison du club en Championnat et qui a sonné le glas du coach roumain Dan Petrescu, démissionnaire juste après la rencontre. Les Slovènes de Celje, entraînés par Albert Riera, éphémère coach des Girondins de Bordeaux entre octobre 2023 et juillet 2024, l'ont eux emporté face au Banik Ostrava (1-0). Anderlecht, le Shakthar et Besiktas accrochés Trois rencontres ont terminé sur un match nul 1-1. Anderlecht a buté sur l'AEK malgré un Kasper Dolberg buteur. Le Chakhtior Donetsk a lui été surpris par une réalisation précoce de l'ex-Stéphanois Lamine Fomba avant d'égaliser. Enfin, Besiktas n'a pas su faire la différence face au Lausanne Sport à la Tuilière. Alkmaar et le Legia font le job, les Irlandais créent la surprise Supérieurs sur le papier, les Néerlandais de l'AZ Alkmaar ont dominé le Levski Sofia en Bulgarie (2-0). Quarts de finaliste de la compétition la saison dernière et battus par le futur vainqueur Chelsea (0-3, 2-1), le Legia Varsovie est revenu victorieux de son déplacement à Édimbourg face à Hibernian (2-1). Pas vraiment spécialistes des tours préliminaires habituellement, les Irlandais ont cette fois-ci fait coup double. Si les Shamrock Rovers ont réalisé un sacré coup en allant s'imposer à Santa Clara (2-1) au Portugal aux Açores, Shelbourne s'est offert le derby des voisins face aux Nord-Irlandais de Linfield (3-1).

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Temps orageux, mère déchaînée : Véronique Rabiot contre-attaque après les sorties de Longoria et Benatia
Véronique Rabiot, la maman et conseillère de l'international tricolore de 30 ans Adrien Rabiot a répondu jeudi aux sorties médiatiques des dirigeants de l'OM, donnant sa version des événements et son sentiment, corsé. La réponse de la bergère aux bergers. Jeudi après-midi, au lendemain des déclarations des dirigeants de l'OM, le président Pablo Longoria et le directeur du football Medhi Benatia, Véronique Rabiot s'est exprimée sur les ondes de RTL. Après l'offensive médiatique des huiles phocéennes, la mère et conseillère d'Adrien Rabiot a répondu avec la même vigueur. Si elle a confirmé la bagarre impliquant son fils et Jonathan Rowe, dans le vestiaire du Roahzon Park, vendredi après la défaite à Rennes (0-1), elle a relativisé les superlatifs utilisés par Longoria pour qualifier l'épisode : « Qu'est-ce que ça veut dire, "violence inouïe" ? Personne n'a été blessé, personne n'est allé à l'hôpital, il n'y a pas eu de nez cassé, pas de lèvres fendues. Pas de point de suture, pas de jours d'ITT, donc je ne comprends pas bien. S'il y avait eu vraiment de la violence extrême, on pouvait le mettre à pied immédiatement. » Il faudra bien se mettre autour d'une table pour préparer le départ du joueur Changements d'entraîneur, départs d'anciennes gloires comme Dimitri Payet ou de joueurs phares, réunion houleuse avec les groupes de supporters en septembre 2023... Depuis son accession à la présidence, Longoria a toujours tenté de contrôler la narration des évènements les plus houleux, pour donner le tempo et gagner l'opinion du public marseillais. Après une allocution tiède et hésitante de son avocat, Romuald Palao, mardi soir, Véronique Rabiot a tout de suite ciblé le créneau de « l'institution », utilisé comme bouclier par le duo Longoria-Benatia. « Vous pensez qu'ils sont sérieux ces gens-là quand ils parlent de respect de l'institution ? a-t-elle clamé. Le président, on l'a entendu la saison dernière hurler devant les caméras "corruption, corruption" pendant je ne sais pas combien de temps (à Auxerre, le 22 février). Monsieur Benatia, il a eu maille à partir avec les arbitres et il a été suspendu. Si quelqu'un ne respecte pas le club, qui, exactement ? » Medhi Benatia, le directeur du football de l'OM, évoque « un coup de poing dans la bouche » et « une agression physique » entre Rabiot et Rowe Et dire que d'ici au 1er septembre, il faudra se remettre autour d'une table pour préparer la sortie de Rabiot, qui ne peut rester sans jouer sur année de Coupe du monde... Il est bien loin le temps (septembre 2024) où Benatia vantait les qualités de Madame Rabiot et leur idylle professionnelle. La mère de l'international tricolore a raconté qu'elle avait cherché à le joindre, mardi, mais le dirigeant n'a pas répondu. Benatia a laissé son bras droit juridique, Benjamin Arnaud, le secrétaire général du club, prévenir le clan d'une décision validée par Roberto De Zerbi. « Je croyais qu'on avait vécu le pire avec le PSG, mais je me suis trompée » Véronique Rabiot sur RTL Véronique Rabiot y voit des dessous financiers, le joueur étant en fin de contrat en juin 2026 (« Il n'y a pas besoin d'avoir fait HEC pour comprendre. Bien sûr qu'ils mentent ») et a insisté : « Le président et le directeur du foot ont un costume trop grand pour eux (...) Ils ne m'ont pas déçue. Je pense qu'ils ne sont pas à leur place, ils n'ont pas le profil du poste, ils sont dévorés par leur orgueil et leur ego surdimensionné. Ils sont incapables de contrôler leurs émotions. Mais Adrien avait noué une relation de confiance avec eux, mon fils m'a convaincu de venir à l'OM. » « De Zerbi a été choqué » : dans l'affaire Rabiot, la stratégie floue mais offensive du duo Longoria-Benatia Voilà sans doute le coeur du sujet, côté clan Rabiot. La déception d'un joueur qui a fait des efforts salariaux conséquents pour venir à l'OM - toutes les parties en conviennent - pour réaliser une saison aboutie et aider le club à revenir en Ligue des champions - toutes les parties en conviennent - et qui pensait, après une grosse connerie, qu'il bénéficierait sans doute d'une certaine mansuétude aux yeux du trio à la tête du club. « Je croyais qu'on avait vécu le pire avec le PSG mais je me suis trompée », a conclu Véronique Rabiot. Elle comme son fils connaissaient bien mal l'histoire récente de Marseille, résumable ainsi : si les joueurs ne sont que de passage dans un club, ce passage est de plus en plus court à l'OM.

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Les notes de Strasbourg-Bröndby : Emegha décevant, Panichelli remuant
Malgré une nette domination et un Joaquin Panichelli remuant, Strasbourg n'est pas parvenu à marquer contre Bröndby (0-0), ce jeudi en barrages aller de Ligue Conférence. Son capitaine Emanuel Emegha n'a que peu pesé sur la défense danoise. Tops Joaquin Panichelli (Strasbourg) : 6/10 Buteur providentiel à Metz (1-0, dimanche), il a failli bisser mais a expédié sa reprise de la 72e au-dessus du but adverse, alors qu'il était seul. Une grosse occasion manquée, qui ne ternit pas son match. Engagé, très intéressant dans ses connexions avec ses partenaires, il a vu Pentz sortir sa tête (38e). Cinq minutes plus tard, son tir a été repoussé sur la ligne par Luis Binks. Acheté 16 M€ cet été, l'Argentin semble être une bonne pioche pour le Racing. Valentin Barco (Strasbourg) : 6/10 Habituellement dans l'axe, il a été aligné assez haut sur l'aile gauche. À l'aise à son poste de formation, l'Argentin a été l'un des meilleurs de son équipe. Hyperactif (74 ballons), vrai détonateur, il a apporté solutions et danger (4 occasions créées). Une mésentente avec Mike Penders a failli le voir marquer contre son camp, mais il s'est rattrapé in extremis (35e). Il a souffert dans les duels en fin de rencontre. Strasbourg frustré par Bröndby en barrages aller de Ligue Conférence Karl-Johan Johnsson (Strasbourg) : 6/10 Entré à la place de Mike Penders en fin de première période (41e), l'ancien gardien de Copenhague a disputé son 14e match face à Bröndby. Il a été rassurant dans ses rares prises de balle, notamment aériennes, avant de sauver son équipe à la 83e au duel face à Michael Gregoritsch. Un arrêt qui vaut cher en vue du match retour. Andrew Omobamidele (Strasbourg) : 6/10 Suspendu contre Metz, l'Irlandais a retrouvé son poste en défense centrale. Il a touché beaucoup de ballons (99, trois passes ratées) et s'est montré très serein tout au long de la rencontre, même s'il est vrai qu'il ne prend aucun risque. Flops Emanuel Emegha (Strasbourg) : 3/10 Dans la lignée de son match à Metz, Emanuel Emegha n'a pas pesé sur la défense adverse. Il a été trop peu trouvé et n'a presque jamais réussi à se mettre en position. Il a raté la balle de match dans le temps additionnel, sa reprise étant repoussée par Patrick Pentz (90e+ 2). Il a perdu beaucoup de ballons, dont certains très dangereux (84e). Félix Lemarechal (Strasbourg) : 3/10 Où est passé le meneur de jeu si précieux de la saison dernière ? À la Meinau comme à Metz, dimanche, il a tout raté et n'a cadré aucun de ses trois tirs. Trop peu visible dans le jeu, le milieu offensif alsacien semble manquer de jus en ce début de saison. Sebastian Nanasi (Strasbourg) : 4/10 Positionné dans le demi-espace gauche, en soutien d'Emegha, le Suédois a encore déçu, malgré l'activité de Valentin Barco de son côté. Il n'a pas créé assez de jeu et ne prend pas assez de risques. Défensivement, il a tout de même bien travaillé, avant d'être remplacé par Dilane BAKWA dès la 62e.