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Lollapalooza 2025 : Justin Timberlake fait revivre ses tubes des années 2000 pour clore le festival

Lollapalooza 2025 : Justin Timberlake fait revivre ses tubes des années 2000 pour clore le festival

Le Parisien21-07-2025
« Je vais danser avec vous sur Justin Timberlake ! » Alors que
la chanteuse britannique Raye
salue une dernière fois son public, la seconde scène principale est déjà bondée. Pour cause, le « prince de la pop » fait son retour à Paris après une longue absence. Privé de concert l'année passée en raison des
Jeux olympiques
, l'artiste ne s'était pas produit dans la capitale depuis 2018. Une attente jugée trop longue pour les fans de la première heure.
« Je suis allée le voir à son dernier Bercy pour la tournée de son album précédent. Quand le festival l'a annoncé, je n'ai pas hésité », confie Laura, 35 ans, commerciale dans la mode. Comme beaucoup, cette dernière attend sur la Main West Stage de l'hippodrome de Longchamp (XVIe) depuis l'ouverture des portes.
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«Je ne sais pas où mon fils va habiter» : sur le point d'accoucher, Agathe Auproux partage son inquiétude
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Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

«Je ne sais pas où mon fils va habiter» : sur le point d'accoucher, Agathe Auproux partage son inquiétude

Ce jeudi 31 juillet, la chroniqueuse a partagé avec ses abonnés dans une story Instagram, la situation compliquée à laquelle elle fait face, alors que son accouchement est imminent. «S'il n'y a pas de complications d'ici là, je sais donc exactement quand je vais rencontrer mon fils. C'est imminent», annonce Agathe Auproux, enceinte de huit mois, sur son compte Instagram ce jeudi 31 juillet. Alors que la chroniqueuse, révélée dans «Touche pas à mon poste !», s'apprête à accueillir son premier enfant, elle traverse également une période trouble. Déjà, le stress de la grossesse et des problèmes auxquels les jeunes mères en devenir sont confrontées, n'aide pas à la sérénité. «J'ai la date de mon accouchement (depuis un petit moment maintenant). La mauvaise position de mon placenta empêche un accouchement par voie basse, le bébé ne peut littéralement pas sortir tout seul : donc césarienne programmée avant le terme. Plus précisément : avant le début du travail spontané, pour nous protéger et éviter une grosse hémorragie», confie la journaliste, en proie à l'inquiétude. Publicité Mais si la jeune femme de 33 ans a ressenti le besoin de se témoigner de sa situation à ses abonnés, c'est qu'elle traverse une passe difficile. «Je ne sais en revanche toujours pas où mon fils va habiter. Ceux qui me suivent depuis le début de cette grossesse ont normalement suivi les déménagements successifs, et à plus de 8 mois, on est toujours dans ce marasme immobilier, toujours ces retards, toujours ces déceptions, toujours ces angoisses, toujours cette urgence, toujours cet inconfort. Alors que je vous promets qu'on fait tout bien, dans les règles», a-t-elle notamment assuré. À lire aussi «Je vous présente officiellement mon futur mari» : Agathe Auproux révèle l'identité de son fiancé à ses abonnés Et de poursuivre : «Je loge chez la famille de mon mari et pour plein de raisons il faut absolument qu'on ait un chez nous très vite. À 33 ans mdr, à deux doigts d'accoucher, je vis dans des sacs, je ne sais même plus où sont stockées mes affaires, je n'ai aucune visibilité. Ce contexte participe largement à mon état dépressif. Et les insomnies n'aident pas». Un contexte particulier donc pour la future maman, qui peut compter sur le soutien des personnes qui la suivent. En partageant ses problèmes quotidiens sur sa chaîne YouTube, dans une série de vidéos hebdomadaires intitulée «Oui, mais», la journaliste s'est créé une véritable communauté. Et c'est justement dans l'épisode 5 de la saison 2, sorti ce lundi 28 juillet, que l'ancienne plume des Inrockuptibles a évoqué ses problèmes de logement, conjugués au débordement d'hormones de femme enceinte. Un témoignage qui a suscité nombre de réactions en commentaires.

Intervilles : la société de production de Nagui assigne les arènes d'Arles en justice pour «parasitisme»
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Le Figaro

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  • Le Figaro

Intervilles : la société de production de Nagui assigne les arènes d'Arles en justice pour «parasitisme»

La directrice des arènes d'Arles a reçu une assignation en justice pour parasitisme, accusée d'avoir organisé dans les arènes un jeu proche du programme télévisé Intervilles produit par la société de Nagui, Banijay Production Média. La société gestionnaire des arènes d'Arles, dans les Bouches-du-Rhône, est assignée en justice par la société de production de Nagui qui l'accuse de parasitisme, a affirmé au Figaro sa directrice Lola Jalabert, confirmant une information initiale de La Provence. Le 21 juillet dernier, Lola Jalabert a organisé pour Ludi Arles Production un spectacle, «Le choc des arènes», durant lequel deux villes s'affrontaient au cours de différentes épreuves. L'événement, initialement baptisé «Intervill's», avait changé de nom après un premier courrier mécontent de Banijay Production Media, la société de production de Nagui qui avait relancé cette année le célèbre jeu télévisé. L'événement s'est tenu dans les arènes d'Arles dans les Bouches-du-Rhône Manuel Cohen / AFP Publicité Vachettes et châteaux gonflables «J'ai fait bien attention de proposer un spectacle qui n'a rien à voir avec ce que propose le jeu télévisé, notamment dans les épreuves, fait valoir Lola Jalabert. On proposait des vachettes, ce qu'Intervilles ne faisait plus, mais aussi des épreuves dans des châteaux gonflables ou encore du ventriglisse.» Banijay Production Media aurait envoyé cette assignation le 18 juillet pour une audience prévue le 9 octobre. Elle demanderait par ailleurs 270.000 euros de dommages et intérêts selon Lola Jalabert. Au début du mois de juillet, le célèbre jeu télévisé a fait son retour sur le petit écran après seize ans d'absence, non sans succès. La finale d'«Intervilles», remportée par la ville de Gap (Hautes-Alpes) face à Coulanges-lès-Nevers (Nièvre) et Saint-Amand-les-Eaux (Nord), a attiré près de 2,4 millions de téléspectateurs sur France 2, selon les chiffres de Médiamétrie.

À Paris, le disquaire Balades Sonores, « un endroit unique dans l'écosystème musical », lutte pour sa survie
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Le Parisien

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  • Le Parisien

À Paris, le disquaire Balades Sonores, « un endroit unique dans l'écosystème musical », lutte pour sa survie

Toma déambule dans la boutique animée par des notes de blues. « Ici, on amène les gens à prendre le temps dans les rayons », commente le cogérant des lieux, lunettes carrées, chemise à fleurs et large sourire aux lèvres. Balades Sonores, né il y a vingt ans de l'amour de la musique ― et de l'amour tout court ― de Toma et sa compagne Esther, est l'un des 300 disquaires que compte encore la France, dont une petite centaine établie à Paris . « On a toujours eu le vinyle sous le bras », assure celui qui était auparavant vendeur itinérant dans les festivals et les concerts. Entre Barbès et la butte Montmartre ( XVIIIe ), ce marchand de vinyles indépendant traverse une période difficile. Les bouleversements de l'industrie musicale liés au streaming ont réduit leur trésorerie, déjà impactée par d'autres ennuis financiers, à peau de chagrin. « C'est la première fois qu'on admet publiquement qu'on galère », se désole Toma. Fin juin, le couple a pris la parole face caméra sur les réseaux sociaux pour demander de l'aide à ses fidèles. « On ne fait pas de la charité, on dit aux clients que s'ils ont quelques euros à dépenser chez nous, ça peut vraiment nous aider. » Message reçu. Lorsqu'elle a eu vent de leurs difficultés, Delphine, quadragénaire habituée des lieux, a tout de suite voulu soutenir Toma et Esther. Et elle a acheté des cartes cadeaux dans la boutique, pour les faire gagner lors des apéros de soutien organisés depuis quelques semaines, dont le prochain a lieu ce jeudi 31 juillet, avec l'oiseau de nuit Nicolas Ullmann, DJ et musicien parisien, aux manettes. « J'ai tout de suite senti l'ambiance familiale de cet endroit unique dans l'écosystème musical », poursuit Delphine, qui ne peut pas imaginer sa vie sans cet endroit où elle trouve « du réconfort » quand ça ne va pas. Comme elle, « les clients nous aident beaucoup, nous offrent des choses que l'on peut vendre ensuite, explique Toma, notamment des dessins et des photos ». Depuis son appel à l'aide, « nous retrouvons peu à peu des couleurs, même s'il y a encore du chemin à faire », explique le couple sur la page Instagram de sa boutique. Balades Sonores se donne le mois d'août pour prendre une décision quant au maintien ou non de son activité. « On verra si ça passe ou si ça casse », résume Toma. À l'image de beaucoup de boutiques indépendantes, la pandémie a fragilisé le disquaire . « Mais on a fait le choix de renforcer le lien et le physique plutôt que la vente en ligne », explique Toma, même si leur site web propose de passer commande parmi leurs 35 000 références en ligne. D'ailleurs, les progrès de technologie et de géolocalisation leur indiquent que les clients passent plus de temps dans leur boutique qu'avant. Rien de plus satisfaisant pour ses gérants, qui l'ont pensée pour « créer du lien ». Ici les showcases sont hebdomadaires, les expositions régulières et les soirées font la promotion de tous les artistes, petits comme grands. De quoi satisfaire les habitués en quête de contact humain comme Bertrand, gros consommateur de disques et de musique, qui vit à 50 m de là. « Je suis très attaché au fait de me rendre dans un lieu pour acheter de la musique, explique ce riverain. C'est important pour moi d'avoir, au-delà d'un algorithme, quelqu'un qui me conseille. Le lien social que permet cet endroit dans une grande ville comme Paris est magique. La musique existait avant eux, elle existera après eux. Mais ce qui m'inquiète, c'est qu'un lieu comme ça disparaisse. » Nouveaux albums, occasions, rééditions, bande sons de films et de jeux vidéo, et même quelques cassettes… Chaque coin de Balades sonores a sa thématique, sa tranche de prix. Dans le fond du magasin, une sélection débordante mais très organisée de vinyles du monde entier ― « Around the world » ― remplit les étagères, classée par régions et continents, de l'Afrique au Moyen-Orient en passant par les Antilles et l'Amérique du Sud. « Disquaire éclectique (et bien plus) » : le lieu annonçait la couleur dès la porte d'entrée. « Et nos collections grandissent grâce aux demandes des clients », ajoute Esther, qui gère une commande en ligne, un disque de Green Day à la main. Le vinyle connaît un nouveau souffle depuis les années 2010, faisant croître de 1,3 % les ventes de supports physiques en 2024 ― une première depuis les années 1980 selon le Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP). Pour Toma, acheter un vinyle permet de « transmettre la musique autrement, partager le disque avec les autres, à la différence d'un disque acheté en streaming ». Faire un don sur leur site, adhérer au programme de fidélité, ou bien tout simplement s'offrir un disque… Tous les moyens sont bons pour que la boutique ― et les vinyles ― continuent de tourner.

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