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« Les bébés Ozempic » : quand des femmes supposées protégées tombent enceintes

« Les bébés Ozempic » : quand des femmes supposées protégées tombent enceintes

Le Soir16-07-2025
Les bébés Ozempic » : le phénomène est tel qu'il porte déjà un nom. « L'alerte est venue des autorités sanitaires britanniques (MHRA) et américaines après avoir recensé des dizaines de cas de femmes confrontées à des grossesses non désirées ou imprévues alors qu'elles prenaient une pilule contraceptive ou qu'elles étaient infertiles depuis des années. Toutes avaient en commun d'être traitées avec un analogue de GLP-1 à base de sémaglutide comme l'Ozempic, le Wegovy ou encore le Mounjaro. Des traitements prescrits pour un diabète de type 2, ou en vue d'une perte de poids.
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Pourquoi vaut-il mieux éviter de réchauffer ses restes de pâtes
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Le Soir

time7 hours ago

  • Le Soir

Pourquoi vaut-il mieux éviter de réchauffer ses restes de pâtes

Les pâtes réchauffées au micro-ondes pourraient favoriser le diabète. Oui, les mêmes coquillettes qu'on pensait inoffensives, qu'on mange tièdes à même le Tupperware, une fourchette dans une main et la souris dans l'autre. Mais que se passe-t-il vraiment dans notre assiette quand on re-re-cuit ses penne trois jours après ? Sur le même thème : notre carnet d'adresses des meilleures pâtes de Bruxelles Le coupable ? L'amidon. Commençons par une évidence : non, les pâtes ne sont pas le diable. Elles ne sont pas non plus « interdites » pour les personnes diabétiques. Mais il y a « pâtes » et « pâtes ». Et surtout, la façon dont on les mange fait une sacrée différence. Le coupable ? L'amidon. Ce glucide complexe naturellement présent dans les pâtes va subir des modifications selon la cuisson et le refroidissement. Fraîchement cuites, les pâtes ont tendance à avoir un index glycémique (IG) plus élevé : elles provoquent un pic rapide de glycémie (le taux de sucre dans le sang), qui redescend ensuite, souvent brutalement. Résultat : fringales, fatigue, stockage des graisses, pancréas surmené. Un cocktail qui, à long terme, n'est pas franchement l'ami de notre métabolisme. Et les choses se corsent encore davantage avec les pâtes blanches réchauffées au micro-ondes. Ce mode de chauffe express modifierait encore plus la structure de l'amidon, le rendant ultra-digestible. Trop digestible, même. Le glucose arrive d'un coup dans le sang, provoquant un pic glycérique encore plus violent que si vous les aviez mangées chaudes juste après cuisson. Le retour en grâce des pâtes froides ? Et si le secret d'un plat de pâtes saint résidait donc… dans le frigo ? En 2014 déjà, une étude menée par l'université de Surrey (UK) en collaboration avec la BBC montrait que consommer des pâtes refroidies réduisait drastiquement leur impact glycémique. Comment ? En refroidissant, l'amidon se « recristallise », devient résistant à la digestion (ce qu'on appelle l'amidon résistant), ralentit la transformation en glucose… et adoucit la charge glycémique. Et la bonne nouvelle, c'est que ça marche aussi pour le riz, les pommes de terre ou même le pain. Puisque le sucre arrive moins rapidement dans le sang, on éviter les coups de pompe et le stockage sous forme de graisse. Concrètement, comment on s'y prend ? On cuit ses pâtes al dente, on les laisse refroidir dans une boîte hermétique au frigo (sans sauce). On peut ensuite les manger froides, en salade, ou les réchauffer doucement – à la poêle ou à feu doux – plutôt que de les recuire ou de les passer au micro-ondes. Côté timing : deux jours de frigo, trois max. Et au moment de les transformer en salade : un peu de légumes croquants, une bonne huile d'olive, des protéines et basta. Résultat : un plat qui cale et qui nous évite le coup de barre de 16h. Le mot de la faim Alors non, il ne s'agit pas de dire adieu aux spaghettis bolo réchauffés. Mais de comprendre que manger n'est parfois pas qu'une question de calories, mais aussi de rythme, de digestion, de glycémie… Bref, des petits ajustements qui changent tout. Moralité ? Plutôt que de le balancer au micro-ondes votre plat de pâtes entre deux réunions Zoom, offrez-lui plutôt une deuxième vie en salade. Les trois astuces à coller sur son frigo :

Cancer du poumon : voici les profils les plus à risque
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Le Soir

time6 days ago

  • Le Soir

Cancer du poumon : voici les profils les plus à risque

A l'occasion de la Journée mondiale du cancer du poumon, le 1 er août, la Fondation contre le cancer appelle à un sursaut collectif face à ce cancer encore trop meurtrier. Elle rappelle que cette maladie ne touche pas uniquement les fumeurs, et insiste sur l'urgence de renforcer la recherche scientifique ainsi qu'à dépasser les idées reçues entourant cette pathologie. « Il est essentiel de rappeler que le cancer du poumon peut affecter des personnes qui n'ont jamais fumé », avance Véronique Le Ray, directrice médicale et porte-parole de la Fondation. « Ce risque concerne aussi les individus exposés au tabagisme passif, à la pollution de l'air ou à des substances cancérogènes comme l'amiante ou le radon, ainsi que ceux présentant des prédispositions génétiques. » Ces cas « non liés au tabac » représentent aujourd'hui un à deux diagnostics sur dix. En réalité, la stigmatisation persistante nuit aux patients et à leur entourage. « Le cancer du poumon est trop souvent associé exclusivement au tabagisme, ce qui alimente la culpabilisation des patients. Il est fondamental d'adopter une communication plus empathique, qui soutient les malades sans jugement ni reproche », insiste la fondation. À lire aussi Dépister plus systématiquement le risque de cancer du poumon, oui, mais… En Belgique, le cancer du poumon reste particulièrement redoutable. Au total, 9.487 nouveaux cas ont été recensés en 2023, selon la Fondation Registre du Cancer. Il s'agit du deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes (derrière le cancer du sein) avec une incidence en hausse, et également chez les hommes (après le cancer de la prostate) où la tendance est à la baisse. En 2021, il a causé 5.716 décès dans le pays. Le taux de survie à cinq ans ne dépasse pas 30,3 %, principalement parce que plus de 65 % des cas sont diagnostiqués à un stade avancé (3 ou 4), souvent déjà métastasés. Chez les jeunes de 16 à 35 ans, l'incidence reste faible, mais non négligeable. Le cancer du poumon se classe en 10e position chez les jeunes hommes et en 11e chez les jeunes femmes. En moyenne, cinq décès par an sont enregistrés dans cette tranche d'âge. Face à ces constats, la Fondation contre le Cancer renforce son soutien à des projets de recherche innovants. Elle finance notamment des études axées sur l'identification des mutations génétiques spécifiques à l'origine de la maladie, le développement de traitements ciblés et de l'immunothérapie, ainsi que la compréhension des mécanismes de résistance. Elle encourage également la recherche de biomarqueurs prédictifs, pour mieux adapter les traitements à chaque patient, et les travaux visant à mieux comprendre la formation des métastases.

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time28-07-2025

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Dans une conférence, Bernard Meunier, directeur de recherche émérite au CNRS, expliquait qu'au naturel, le corps humain est constitué d'oligo-éléments tels que l'azote, le phosphore, l'oxygène, le carbone et l'hydrogène, sans oublier la quadrilogie des sodium, potassium, calcium et magnésium. Mais parmi les oligo-éléments figurent aussi des métaux essentiels, dont notre organisme a besoin, mais qu'il ne produit pas lui-même, comme le fer, le cobalt, le zinc, le sélénium, le cuivre et le molybdène, ou encore des métaux dits « de transition » : le manganèse et le chrome. Pour en bénéficier, il faut donc les consommer. Seule une alimentation équilibrée nous permettra de profiter de leurs bienfaits. Attention, tous les métaux ne sont pas bons pour notre organisme qui doit parvenir à se munir en métaux essentiels, mais aussi à éliminer des ions métalliques tels que le mercure et le plomb susceptibles de nous rendre malades.

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