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Les exportations japonaises ont subi en juillet leur plus forte baisse sur un an depuis 2021
Les exportations japonaises ont subi en juillet leur plus forte baisse sur un an depuis 2021

Le Figaro

timean hour ago

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Les exportations japonaises ont subi en juillet leur plus forte baisse sur un an depuis 2021

Les exportations japonaises ont subi en juillet leur plus forte baisse sur un an depuis février 2021, selon des chiffres publiés mercredi qui commencent à révéler l'impact des droits de douane imposés par les États-Unis. Le mois dernier, les expéditions japonaises ont baissé en valeur de 2,6% sur un an, selon les données du ministère japonais des Finances. À destination des États-Unis en particulier, elles se sont effondrées de 10,1% en valeur, en particulier pour les véhicules (-28,4%) et les pièces détachées pour l'automobile (-17,4%). Ces deux secteurs, qui représentent environ un tiers des exportations japonaises vers les États-Unis en valeur, n'ont cependant reculé en volume que de 3,2% et 2,7% respectivement. «Cela suggère que la hausse des droits de douane américains commence à avoir des répercussions», note Marcel Thieliant de Capital Economics. «Les constructeurs automobiles continuent également de réduire les prix des véhicules destinés à l'exportation vers les États-Unis», souligne-t-il. Publicité Les États-Unis ont imposé en avril dernier des droits de douane de 25% notamment sur les importations de véhicules et pièces détachées en provenance du Japon, et les importations d'acier ont été surtaxées en juin à 50%. Un accord commercial conclu fin juillet entre les deux pays a ramené les droits de douane à 15%. Mais «le calendrier de mise en œuvre de la baisse des droits de douane sur les automobiles n'a jamais été clairement défini», a commenté Taro Saito du NLI Research Institute, cité par l'agence Bloomberg. «Si cette baisse intervient en septembre, comme le prévoit le consensus général, ce sera un soulagement, mais si elle n'a pas lieu, l'impact négatif sera encore plus important.» Le géant automobile Toyota a ainsi estimé début août que les surtaxes douanières américaines entameront de 1400 milliards de yens son bénéfice d'exploitation sur l'exercice 2025-2026 qui s'achèvera fin mars prochain, soit un coût équivalant à 8,14 milliards d'euros. «Les statistiques commerciales du mois de juillet suggèrent que la hausse des droits de douane américains n'a toujours pas d'impact majeur sur les performances globales du Japon en matière d'exportations», relativise Marcel Thieliant. Cependant, «nous prévoyons que le ralentissement de la demande extérieure entraînera une croissance plus modérée des exportations au cours des prochains trimestres», estime-t-il. Cette dynamique, si elle se poursuit, pourrait inciter la Banque du Japon (BoJ) à la prudence dans la conduite de son resserrement monétaire amorcé au printemps 2024. La BoJ a maintenu le statu quo lors de sa dernière réunion fin juillet, soulignant des «incertitudes élevées» sur le commerce.

Israël, nouveau test démocrate
Israël, nouveau test démocrate

La Presse

time2 hours ago

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Israël, nouveau test démocrate

(New York) Chacun des grands partis américains a ses pierres de touche, ces questions auxquelles ses candidats à la présidence doivent répondre d'une certaine façon pour demeurer viables. L'avortement en est une pour les républicains, dont les présidentiables n'ont d'autre choix que de s'y opposer. La même question impose aux présidentiables démocrates la position contraire, phénomène qui ne se limite pas à l'avortement. Mais une nouvelle pierre de touche vient de poindre au sein du parti de Barack Obama et Joe Biden, deux anciens présidents qui incarnent sur cette question précise une époque vraisemblablement révolue. Il s'agit d'Israël, dont le soutien inconditionnel a longtemps été un test décisif autant pour les présidentiables du Parti démocrate que pour ceux du Parti républicain. Pete Buttigieg a pu mesurer récemment l'importance du changement qui s'est opéré chez les démocrates sur cette question. Lors d'un épisode du balado Pod Save America, l'ancien secrétaire aux Transports a été invité à dire comment il aurait voté sur deux résolutions présentées par Bernie Sanders au Sénat. Ces résolutions visaient à bloquer la vente de dizaines de milliers de fusils d'assaut et de 5000 bombes lourdes à Israël. Selon le sénateur indépendant du Vermont, Washington ne peut continuer à fournir des armes au « gouvernement raciste » d'Israël dont la guerre dans la bande de Gaza fait des victimes innocentes. PHOTO DARRON CUMMINGS, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Bernie Sanders, sénateur indépendant du Vermont, en avril dernier « Nétanyahou est un menteur répugnant. Des enfants meurent de faim », a écrit le sénateur Sanders sur X, en faisant référence au premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Les sénateurs républicains, qui forment la majorité à la chambre haute du Congrès, se sont opposés en bloc aux résolutions, refusant de remettre en question les méthodes d'Israël pour exercer son droit de se défendre. Mais plus de la moitié des sénateurs démocrates les ont approuvées, du jamais-vu au Sénat sur des textes du genre. Changement de cap Qu'à cela ne tienne. En tant que présidentiable, Pete Buttigieg a cru qu'il pourrait tergiverser sur la question. Au cours de sa longue réponse à l'animateur de Pod Save America, il a évoqué « les images qui choquent la conscience » en provenance de Gaza, de même que son soutien « au droit d'Israël d'exister » et de répondre « à l'incroyable cruauté et au terrorisme du 7-Octobre ». Mais il n'a jamais répondu à la question. Sur les réseaux sociaux, la réaction à sa non-réponse en a été une de mépris féroce. Si bien que Pete Buttigieg a cru nécessaire de rectifier le tir. Quelques jours plus tard, il a confié au site d'information Politico qu'il aurait voté en faveur de l'embargo sur les armes proposé par Bernie Sanders, qu'il reconnaîtrait la Palestine comme faisant partie d'une solution à deux États et qu'il était opposé à un autre accord de dix ans entre les États-Unis et Israël sur l'aide militaire étrangère assortie d'une carte blanche. Cet épisode représente un tournant dont les autres présidentiables ont évidemment pris note. En fait, certains d'entre eux, dont la sénatrice démocrate du Minnesota Amy Klobuchar, ont précédé Pete Buttigieg en votant pour les résolutions de Bernie Sanders. Le vote de la sénatrice Klobuchar a d'autant plus surpris qu'elle avait participé quelques jours auparavant à une rencontre avec le premier ministre Nétanyahou. PHOTO ANNABELLE GORDON, ARCHIVES REUTERS Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota Rencontre à laquelle elle a fait allusion lors d'un discours dans l'hémicycle du Sénat, où elle a affirmé avoir plaidé devant le premier ministre israélien « en faveur d'une aide humanitaire accrue à Gaza et de l'arrêt des déplacements de Palestiniens ». « Je n'ai jamais obtenu de réponse satisfaisante, a-t-elle déploré. La situation empire de jour en jour. Des vies sont perdues chaque jour – des enfants, des innocents. Le gouvernement israélien doit changer de cap. » La nouvelle donne n'a pas échappé aux présidentiables démocrates de confession juive, connus pour leur soutien ferme à Israël. Le gouverneur démocrate de l'Illinois JB Pritzker a affirmé que l'embargo sur les armes « était le bon genre de message » à envoyer à l'État juif. Inévitable Son homologue de Pennsylvanie, Josh Shapiro, a qualifié d'« odieux » et d'« erroné » le rejet par Benyamin Nétanyahou des rapports internationaux sur la famine dans la bande de Gaza. L'ancien maire de Chicago Rahm Emanuel a imputé à Israël la responsabilité de la situation à Gaza. Dans une certaine mesure, cette nouvelle approche était inévitable. Après tout, seuls 8 % des électeurs démocrates soutiennent l'action militaire d'Israël dans la bande de Gaza, contre 25 % des électeurs indépendants et 71 % des électeurs républicains, selon un sondage Gallup publié fin juillet. Et seuls 33 % des électeurs démocrates avaient une opinion favorable d'Israël, contre 48 % des électeurs indépendants et 83 % des électeurs républicains, selon un autre sondage Gallup publié en février dernier. Les présidentiables démocrates savent que la plupart des militants de leur parti, et notamment les plus jeunes, n'accepteront jamais de leur candidat présidentiel un soutien inconditionnel à Israël comme celui manifesté par Joe Biden, dont l'accolade à Benyamin Nétanyahou après le 7-Octobre a été une illustration mémorable. PHOTO EVAN VUCCI, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Joe Biden, alors président des États-Unis, est chaleureusement accueilli à l'aéroport de Tel-Aviv par le premier ministre d'Israël, Benyamin Nétanyahou, le 18 octobre 2023 Ils savent aussi sans doute qu'ils s'exposeraient à la critique en suivant l'exemple de Barack Obama qui s'est présenté devant l'AIPAC, influent lobby pro-Israël, avant les élections présidentielles de 2008 et 2012, pour dire et répéter que la sécurité de l'État juif était un sujet « sacro-saint » et « non négociable ». La sécurité d'Israël demeurera peut-être un sujet « sacro-saint » et « non négociable » pour le prochain candidat présidentiel du Parti démocrate, mais ce dernier évitera probablement de le proclamer devant ce lobby qui incarne ce soutien inconditionnel à Israël ou à son gouvernement actuel que la plupart des démocrates n'acceptent plus.

Le mur frontalier sera peint en noir afin de dissuader de l'escalader
Le mur frontalier sera peint en noir afin de dissuader de l'escalader

La Presse

time4 hours ago

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Le mur frontalier sera peint en noir afin de dissuader de l'escalader

La secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a indiqué qu'environ 800 mètres de barrière étaient construits chaque jour. Le mur frontalier sera peint en noir afin de dissuader de l'escalader (Washington) La secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a annoncé mardi que l'intégralité du mur frontalier sud avec le Mexique serait peinte en noir afin de le rendre plus chaud et de dissuader l'immigration clandestine. Elle a attribué cette idée au président Donald Trump. Rebecca Santana Associated Press Mme Noem s'est exprimée lors d'une visite d'une partie du mur au Nouveau-Mexique, où elle a également pris un rouleau pour aider à peindre. Elle a vanté la hauteur et la largeur du mur comme des moyens de dissuader les personnes cherchant à passer par-dessus ou par-dessous. Elle a ensuite annoncé que la Sécurité intérieure allait tester la peinture noire pour rendre le métal plus chaud. PHOTO ALEX BRANDON, ARCHIVES REUTERS La secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem « C'est précisément à la demande du président, qui comprend que, par les fortes chaleurs ici, lorsqu'un objet est peint en noir, il devient encore plus chaud et il sera encore plus difficile de l'escalader. Nous allons donc peindre l'intégralité du mur frontalier sud en noir afin de décourager les personnes à entrer illégalement dans notre pays », a expliqué Mme Noem. Mike Banks, chef de la police des frontières américaine, présent à ses côtés, a ajouté que la peinture contribuerait également à prévenir la rouille. Pendant le premier mandat de M. Trump, la construction du mur était au cœur de sa politique d'immigration. Depuis son second mandat, son programme d'expulsions massives, avec arrestations à l'intérieur du pays, est au cœur de ses préoccupations. Le département de la Sécurité intérieure recevra environ 46 milliards US pour achever le mur, dans le cadre d'un nouveau financement voté par le Congrès cet été. Mme Noem a indiqué qu'environ 800 mètres de barrière étaient construits chaque jour. « Le mur frontalier aura un aspect très différent en fonction de la topographie et de la géographie du lieu où il sera construit », a-t-elle précisé. Elle a ajouté qu'outre les barrières comme celle qu'elle a visitée mardi, le ministère travaille également sur des « infrastructures fluviales ». De longs tronçons de la frontière d'environ 3200 kilomètres entre les États-Unis et le Mexique longent le Rio Grande, au Texas. L'administration Trump poursuit l'achèvement du mur alors même que le nombre de personnes traversant illégalement la frontière a chuté.

Le passager-bétail d'Air Canada
Le passager-bétail d'Air Canada

La Presse

time7 hours ago

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Le passager-bétail d'Air Canada

Dans ce conflit de travail (rapidement) réglé chez Air Canada, il y a tout le mépris nord-américain pour le voyageur aérien, considéré sur notre continent comme proche cousin du bœuf qu'on transporte par camion. Vous avez peut-être raté ce détail qui n'est pas anodin : au départ de l'Europe, les passagers d'Air Canada ont eu droit à des dédommagements plus substantiels que ceux coincés au Canada, aux États-Unis ou ailleurs dans le monde. En Europe, les passagers ont droit à des indemnités généreuses si un vol est en retard ou annulé, qu'il s'agisse d'une grève ou pas, que le transporteur soit européen ou pas. Le Canada a eu maintes fois l'occasion de se doter de règlements plus mordants pour forcer les transporteurs comme Air Canada à respecter les passagers. Il a chaque fois fait semblant d'agir (1). Je reviens à l'exemple européen : il y a quelques années, quand mon vol Montréal-Paris assuré par Air France a décollé en retard, j'ai eu droit à une indemnité de 600 $ sur simple présentation d'un formulaire à mon arrivée à l'aéroport Charles de Gaulle. Sur un vol d'Air Canada, même liaison, même retard, j'aurais probablement eu droit à une simple bouteille d'eau. Les autorités européennes considèrent que le passager aérien est un être humain dont le temps a une valeur : elles pénalisent les transporteurs qui gaspillent le temps des passagers avec des indemnités en argent sonnant. Au Canada, c'est tout le contraire. Au Canada, Air Canada est catinée par des gouvernements complaisants depuis toujours. D'un côté, les agents de bord d'Air Canada avaient bien le droit d'exercer leur droit de grève, rien à redire. De l'autre côté, Air Canada a pleinement utilisé son droit de négocier de mauvaise foi en sachant que Papa Ottawa va intervenir au nom de la santé économique du pays en forçant un retour au travail via le Code canadien du travail… Je n'invente pas cette mauvaise foi : le PDG d'Air Canada l'a admis publiquement : la stratégie du transporteur était d'attendre qu'Ottawa invoque le Code Canadien du travail pour forcer les agents de bord à cesser leur grève et demander à un arbitre du Conseil canadien des relations industrielles (CCRI) de décréter les conditions de travail (2). Et si on reste dans le registre des droits : le passager canadien n'en a à peu près aucun, si on le compare au passager européen. Les derniers jours l'ont encore démontré, avec tous ces passagers coincés partout dans le monde sans le début d'un signe de vie d'Air Canada. Le passager-bétail d'Air Canada a ces jours-ci toutes les misères du monde à contacter le transporteur pour savoir quand il pourra revenir au pays. Il devra se battre pour comprendre s'il a droit (ou pas) à un remboursement et devra ultimement cracher 10 000 $ pour revenir au pays avant la fin du mois avec sa dulcinée et leurs deux adorables enfants (Air Canada ne rembourse pas cela). Je comprends parfaitement le droit de grève et je comprends les agentes de bord d'avoir exercé le leur pour sortir les syndiquées débutantes d'une pauvreté relative (28 000 $ par année) et pour mettre un terme au travail non-payé (tout ce qui est fait avant la fermeture de la porte de l'avion). Cependant, une vulgaire société de transport municipal est tenue dans cette province de prodiguer des services essentiels, nommément un service minimum aux heures de pointe. Mais le transporteur aérien national qui occupe la moitié du marché peut, à 48 heures d'avis, transformer tous ses passagers en malheureux naufragés, de Tokyo à Dubaï en passant par La Havane… Sans assurer de service minimum. Ceci n'a aucun sens. Ce qu'on voit cette semaine, ce n'est plus tant Air Canada qui traite ses passagers comme du bétail, c'est le gouvernement du Canada qui permet cette maltraitance. C'est le gouvernement du Canada qui permet ce cadre réglementaire méprisant : tous les vols d'Air Canada peuvent être cloués au sol à 48 heures de préavis. Voici deux idées probablement trop simples pour le gouvernement fédéral… Un, les syndiqués d'Air Canada ont le droit de grève, l'employeur a droit au lock-out, mais le préavis de 48 heures pour la cessation des activités est remplacé par un préavis de deux semaines, le temps de ramener le maximum de Canadiens au pays. Deux, en cas de grève, Air Canada doit impérativement payer les frais de subsistance et de billets aériens de tous les passagers à qui le transporteur n'aura pas trouvé une place à bord d'un de ses avions. Oui, cela coûterait très cher à Air Canada. Mais ça pousserait le transporteur à négocier de bonne foi plutôt que de laisser pourrir les négos en sachant que Papa Ottawa va venir lui sauver les fesses en ordonnant aux syndiqués de retourner travailler… Évidemment, je rêve debout, ça n'arrivera pas. Air Canada va encore et toujours continuer à traiter le passager comme du bétail pour une seule raison : parce que le gouvernement fédéral le lui permet. 1. Lisez l'article de Radio-Canada : « La refonte des règles encadrant l'indemnisation des passagers aériens se fait attendre » 2. Lisez l'article du Journal de Montréal : « Le PDG d'Air Canada s'attendait à ce que l'intervention d'Ottawa fasse le boulot »

Boxe : Julio Cesar Chavez Jr expulsé des États-Unis et arrêté au Mexique pour des liens présumés avec le narcotrafic
Boxe : Julio Cesar Chavez Jr expulsé des États-Unis et arrêté au Mexique pour des liens présumés avec le narcotrafic

Le Figaro

time9 hours ago

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Boxe : Julio Cesar Chavez Jr expulsé des États-Unis et arrêté au Mexique pour des liens présumés avec le narcotrafic

Le boxeur de 39 ans avait été arrêté en juillet car il séjournait illégalement aux États-Unis après une demande refusée de carte de résident permanent. Julio Cesar Chavez Jr, 39 ans, a été expulsé des États-Unis vers le Mexique pour liens présumés avec le narcotrafic, et a été arrêté, a appris l'AFP mardi auprès du Registre d'écrou. le boxeur mexicain a été remis lundi par les autorités américaines au poste frontière de l'État de Sonora et placé en détention dans la capitale départementale Hermosillo, selon le Registre. «Il a été extradé», a pour sa part indiqué la présidente Claudia Sheinbaum lors de sa traditionnelle conférence de presse, «il y avait un mandat d'arrêt au Mexique» émis par le parquet pour «crime organisé et trafic d'armes». L'ancien champion du monde WBC (2011-2012) avait été arrêté en juillet à Los Angeles par des agents fédéraux de l'immigration (ICE) car il séjournait illégalement aux États-Unis, après une demande refusée de carte de résident permanent. Publicité Il est considéré par les autorités fédérales comme étant affilié au Cartel de Sinaloa Selon les autorités fédérales, Chavez Jr est «considéré comme étant affilié au Cartel de Sinaloa , qui figure sur la liste des organisations terroristes étrangères». Le Service fédéral de la citoyenneté et de l'immigration (USCIS) avait alors saisi la police de l'immigration au motif que le boxeur constituait une «menace flagrante contre la sécurité publique», poursuit le département de la Sécurité intérieure. Julio Cesar Chavez Jr a disputé 57 combats (51V, 4D) en poids moyens et super-welters au long d'une carrière émaillée de multiples suspensions et amendes pour manquement à des contrôles antidopage. Il avait perdu son dernier combat professionnel aux allures d'exhibition fin juin contre le YouTubeur devenu boxeur Jake Paul. Son père Julio Cesar Chavez, 63 ans, considéré comme le plus grand boxeur de l'histoire du Mexique, a bâti dans trois catégories différentes un palmarès qui fait de lui une légende de la boxe : Champion du monde des super-légers WBC de 1984 à 1987, des légers WBC et WBA en 1987 et 1988 et des super-légers WBC de 1989 à 1996.

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