
Mercato : visite médicale mardi pour Noni Madueke à Arsenal
Noni Madueke devrait être un joueur d'Arsenal en milieu de semaine. L'Anglais doit passer sa visite médicale mardi avant de devenir un Gunner et de parapher un contrat de cinq ans. Arsenal va dépenser 60 M€, bonus compris.

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Le Parisien
2 minutes ago
- Le Parisien
« Rien que d'en reparler, j'ai des frissons » : un an après les Jeux de Paris, qui sont les « JOstalgiques »
Un an après la fête, le néologisme ne s'est pas encore fait une place dans les pages du Robert. Et pourtant. Dans les rues de Paris et ailleurs , ils sont encore nombreux à ne pas s'être complètement remis d'un syndrome méconnu et sans gravité : la « JOstalgie ». Le terme, apparu sous la plume du journaliste Thomas Snégaroff, désigne ce spleen soudain qui a saisi tant de Parisiens au lendemain des épreuves des Jeux olympiques. Dans son vaste bureau où trônent toujours fièrement deux imposantes Phryges , les célèbres mascottes des Jeux de Paris 2024 , Éric Lejoindre , le maire (PS) du XVIIIe arrondissement, confesse volontiers appartenir à cette catégorie de Parisiens qui replongeraient bien quelques instants dans cette douce alégresse qui s'était emparée de la capitale l'été dernier. « Oui, je suis un JOstalgique », se marre l'édile.


L'Équipe
32 minutes ago
- L'Équipe
Les bottes de pressothérapie, l'outil de récupération pratique des coureurs du Tour de France
Utilisées pendant les trajets en bus ou à l'hôtel, les bottes de compression font partie de la routine de récupération d'un grand nombre de coureurs, en complément des massages. Gonflées à haute pression, elles permettent de stimuler la circulation sanguine. Ce sont deux longues gaines zippées, reliées par un câble à un boîtier électronique. Une fois les jambes glissées à l'intérieur, les bottes gonflent plusieurs compartiments d'air, du pied vers la cuisse. En créant une pression ascendante, les bottes stimulent la circulation sanguine dans les jambes, comme lorsque l'on lève les jambes en l'air, sur un mur. Cette meilleure circulation sanguine dans les jambes, notamment aux extrémités, où le sang circule moins bien, permet de chasser davantage les toxines accumulées lors de l'effort, et d'apporter davantage d'oxygène et de nutriments. Dans un sport où les écarts se jouent à la seconde et où tous les gains marginaux sont exploités, beaucoup d'équipes ont adopté ces bottes en complément des massages : « Je les utilise après les étapes, au fond du bus, ce qui permet de commencer la récupération avant même d'arriver à l'hôtel, où on va ensuite se faire masser, explique le Français Warren Barguil de l'équipe PicNic-Post NL. Cela permet de gagner du temps de récupération. » « Je peux passer des coups de fil à ma famille » Les bottes de pressothérapie ne remplaceront jamais complètement les mains d'un kiné, certaines équipes choisissent d'ailleurs de faire encore tous leurs soins à la main et n'en utilisent pas, comme Groupama-FDJ. Mais elles s'intègrent bien dans les routines de récupération modernes : pratiques à utiliser seul, efficaces en déplacement, et accessibles à tous les niveaux. Bastien Tronchon, de l'équipe Décathlon AG2R-La Mondiale, les utilise souvent dans sa chambre d'hôtel, ce qui lui permet aussi de s'accorder un temps calme : « Moi souvent ce que je fais, c'est que je demande un massage un peu plus court, et après je fais des bottes tranquille dans ma chambre comme ça je peux passer des coups de fil à ma famille. Pour les pratiquants amateurs qui n'ont pas l'occasion de se faire masser, achetez une paire de bottes, c'est pas mal. » Il faudra débourser entre 300 et plus de 1 500 euros, selon les marques et les fonctionnalités. « Il ne faut pas être un couche-tôt » : c'est quoi une journée type d'un coureur du Tour de France ?


Le Figaro
32 minutes ago
- Le Figaro
Paris 2024 : un an après la trêve imposée par les JO, les travaux sont-ils de retour dans la capitale ?
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Particulièrement disgracieux dans les rues parisiennes, les chantiers avaient été interdits à l'été 2024, afin de projeter une carte postale parfaite pendant l'événement planétaire. L'accalmie était-elle de courte durée ? Pour les Parisiens habitués au bruit des marteaux-piqueurs, la parenthèse enchantée des Jeux olympiques est-elle bel et bien refermée ? L'été dernier, la tenue des JO de Paris 2024 a forcé les autorités ainsi que les acteurs privés à mettre en sourdine l'ensemble des travaux qui émaillent en temps normal la ville. Une accalmie bienvenue, après plusieurs mois d'enfer afin de préparer la capitale à la venue de millions de visiteurs. «Le 6 mai, nous dénombrons au total 7533 chantiers dans Paris intra-muros, soit une hausse de 12% par rapport au mois de mars, où il y en avait 6000», indiquait l'Hôtel de ville en mai 2024, à quelques semaines de l'ouverture de l'événement planétaire. «Les travaux liés aux infrastructures des JO sont livrés. Les autres travaux ayant une emprise sur la voie publique ne seront pas autorisés, à partir du 15 juin et jusqu'au 15 septembre. C'est pour cela qu'on assiste à une accélération de ces derniers en ce moment», avait alors précisé l'équipe municipale. Un an après la tenue des Jeux olympiques et paralympiques, la capitale a retrouvé les barrières, grues et autres coups de pioche dans le bitume. Mais l'Hôtel de ville l'assure : la situation reste sous contrôle, et les élections municipales, prévues pour mars 2026, ne seront pas le prétexte à une multiplication des travaux.…