Alex Lanier en demi-finale de l'Open du Japon
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Christo Popov se qualifie en demi-finale
Le replay de Lanier - Chi Yu Jen
Le replay du quart de Christo Popov
Popov arrache sa place en demies de l'Open du Japon au terme d'un match à haute intensité
Le replay du quart d'Alex Lanier
Le replay du quart de Christo Popov
Alex Lanier file en quart de finale
Christo Popov file en quart de finale
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- Le Figaro
«C'est la plus grande star du rugby » : le Japon impressionné par Antoine Dupont
Capitaine du XV de France, Antoine Dupont a participé à une tournée promotionnelle au Japon avec sa marque LVMH. Entre selfies à répétition et signatures de maillots lors de son voyage au Japon, Antoine Dupont a pu se rendre compte de son énorme popularité à l'international. Un bain de foule improvisé au pays du soleil levant sur lequel le capitaine du XV de France est revenu dans les colonnes du Parisien . «Je ne sais pas si tout le monde me connaissait, mais il y avait beaucoup de monde pour prendre des photos avec moi», a lâché la star des Bleus. Des fans partout dans le monde Figure montante du rugby mondial lors de la Coupe du monde au Japon en 2019, Antoine Dupont a désormais aussi des fans au Japon. «Ça fait plaisir de le voir ici, c'est la plus grande star du rugby », a expliqué une Française présente à Osaka lors de l'événement. Publicité Gravement blessé au genou, Antoine Dupont devrait faire son retour à la compétition cet hiver. Pendant ce temps, l'ambassadeur LVMH profite de son nouveau statut tout en continuant sa préparation à l'abri des regards.
L'Équipe
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Arsenal s'impose en fin de match face à Newcastle grâce à un penalty d'Odegaard, Elanga inscrit son premier but pour les Magpies
Arsenal s'est imposé d'une courte tête en amical face à Newcastle (3-2) à Singapour ce dimanche. Merino et Odegaard ont répondu au premier but avec les Magpies d'Anthony Elanga. Deuxième sortie et deuxième victoire pour les Gunners dans cette présaison. Après un succès 1-0 contre l'AC Milan mercredi, Arsenal s'est imposé contre Newcastle (3-2) ce dimanche à Singapour. L'avant-match s'était parfaitement déroulé avec la présentation de Viktor Gyökeres, alors que l'attaquant suédois a été officialisé seulement la veille. Celui qui a coûté 76 millions d'euros a pu voir ses coéquipiers à l'oeuvre au National Stadium. Ils ont été pris de court par son compatriote Anthony Elanga dès la 6e minute. Le Suédois a inscrit son premier but avec les Magpies depuis son transfert à 61 millions d'euros en provenance de Nottingham Forest, en reprenant parfaitement un centre de Sandro Tonali. Mais il aura fallu l'espace de deux minutes, à la demi-heure de jeu, pour qu'Arsenal ne renverse la vapeur. Deux buts coup sur coup, d'abord d'un plat du pied à l'entrée de la surface de Mikel Merino (33e), puis d'un contre-son-camp malheureux d'Alex Murphy (35e). Le défenseur de Newcastle a mal dégagé un centre fort venu de la droite, du pied de Kai Havertz qui cherchait Bukayo Saka au second poteau. En seconde période, après un turnover de neuf joueurs côté Newcastle à la mi-temps, Jacob Murphy a permis aux Magpies d'égaliser (58e) d'une frappe du gauche des 20-25 mètres, qui est venue lécher le poteau de David Raya, juste avant que celui-ci ne cède sa place à Kepa dans les cages d'Arsenal. Mais c'était sans compter l'entrée de Max Dowman à l'heure de jeu pour les Gunners. Déjà auteur de vingt minutes intéressantes contre l'AC Milan, le jeune milieu offensif de 15 ans a été époustouflant durant 30 minutes et a obtenu un penalty transformé par Martin Odegaard (84e) pour donner la victoire. La recrue Martín Zubimendi a aussi proposé une performance très solide au milieu de terrain, régnant dans l'entrejeu durant un peu plus de 70 minutes. Après ces deux premières victoires en matches amicaux, Arsenal affrontera Tottenham (31 juillet, 13 h 30), Villarreal (6 août, 19 heures) puis Bilbao (9 août, 18 heures) pour terminer sa présaison.
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« L'envie, c'est de gagner ! » : cap sur l'or pour Grousset sur 50m papillon aux Mondiaux de Singapour
Après avoir tapé le mur de l'OCBC Arena, Maxime Grousset a presque fait la moue à cause d'une touche pas totalement maîtrisée. Puis le sprinteur de l'Insep a rapidement retrouvé le sourire en jetant un coup d'œil au tableau d'affichage du bassin de Singapour pour y voir un temps de 22′'61 en demi-finale du 50 m papillon. C'est-à-dire un nouveau record de France et onze centièmes d'avance sur son plus dangereux rival, le Suisse Noè Ponti. Autant dire que le Tricolore se présente en favori pour la finale, qui aura lieu lundi à 13h45, heure française. « On est des gosses, on est très contents d'améliorer nos chronos, savoure le champion du monde du 100 m papillon quelques minutes plus tard dans une zone mixte aussi fraîche qu'un four micro-ondes. Le fait d'être premier est assez cool, même s'il n'y a qu'un dixième d'avance. En fait, j'ai fait exactement la même course qu'en séries (22′'74) et j'ai essayé d'accélérer sur les deux derniers coups de bras. Ça gagne un peu de temps mais il y a mieux à faire… » Le protégé de Michel Chrétien, qui s'est élancé en ayant encore dans les oreilles du Bob Marley (Could you be loved) écouté en chambre d'appel, respire la confiance et transpire la sérénité. « Je n'ai pas battu le record de France de quatre dixièmes d'un coup (mais de neuf centièmes) mais je ne peux pas cracher dessus, lâche-t-il. Je suis encore numéro un au ranking mais l'important sera de le rester lundi. Parce que c'est une finale et je ne peux rien vous promettre ! Tout le monde veut sortir quelque chose. Mais je pense quand même qu'ils se sont tous donnés à fond aujourd'hui. » La valeur sûre des Bleus avec Léon Marchand prendra un malin plaisir à pénétrer le dernier dans l'arène. « J'aime bien arriver à la fin, tout le monde est déshabillé, on t'attend parce que c'est toi « le boss », se marre-t-il. Mais après, il faut assumer. Je vais rester tranquille, concentré, parce que je crois que j'avais fait une dinguerie aussi à Fukuoka… » Il y a deux ans, en effet, le Néo-Calédonien avait déjà dominé les demi-finales au Japon avant de devoir se contenter du bronze le lendemain. « L'envie c'est de gagner, affirme-t-il. Pas de faire troisième ou quatrième ! » Au-delà d'une médaille mondiale dorée, le 50 m papillon est désormais aussi une motivation… olympique. Les 50 m dits de spécialités ont en effet été intégrés au programme des prochains JO de Los Angeles . De quoi ouvrir des perspectives supplémentaires à Grousset, bronzé avec le relais 4 x 100 4 nages à Paris 2024 mais passé un peu à côté sur le plan individuel. « J'aurai une course en plus aux Jeux et je ne suis pas trop mal placé pour le moment, glisse-t-il. Je l'apprivoise de plus en plus parce que c'est vrai qu'un 50 pap, c'est un peu la loterie. C'est un peu à pile ou face le 50 pap. » À lui de continuer à faire tomber la pièce du même côté…
