logo
Mort d'Ozzy Osbourne : Elton John, Rod Stewart, Alice Cooper… Les hommages des artistes au « dieu du rock »

Mort d'Ozzy Osbourne : Elton John, Rod Stewart, Alice Cooper… Les hommages des artistes au « dieu du rock »

MUSIQUE - Une voix inimitable et une rock attitude légendaire. Ozzy Osbourne est mort à l'âge de 76 ans le mardi 22 juillet, des suites de la maladie de Parkinson. L'annonce de sa disparition a profondément attristé le monde du rock. Des dizaines de stars ont pris la parole pour évoquer leurs souvenirs du chanteur qui était devenu célèbre dans les années 70 avec le groupe Black Sabbath.
Rod Stewart a pris la parole sur Instagram avec un bref message.« Bye by Ozzy, dors bien mon ami. On se retrouvera là-haut, le plus tard sera le mieux. » Le chanteur du groupe UB40 Ali Campbell l'a décrit sur X comme « le roi incontesté du heavy metal », un chanteur qui « n'a pas simplement façonné un genre mais qui l'a défini.» Le frontman de Led Zeppelin Robert Plant a lui évoqué sur X un artiste qui a « véritablement changé la planète rock ! ».
Elton John est aussi l'un des premiers à s'être exprimé. Le chanteur britannique a posté une photo sur laquelle on le voit en compagnie d'Oz, et écrit en légende : « Je suis très triste. C'était un ami intime, et un pionnier qui a mérité sa place au panthéon des dieux du rock - une vraie légende. C'était aussi l'une des personnes les plus drôles que je connaisse. »
Le groupe Duran Duran a lui posté une série de photos d'Ozzy Osbourne et notamment un mugshot du 15 mai 1984, jour où le chanteur a été arrêté en état d'ébriété avancée à Memphis, juste après son concert. Les photos sont accompagnées d'une légende : « Que dire sur Ozzy ? Quoi que ce soit, ce sera avec un accent Brummie (de Birmingham, ndlr). Dur d'imaginer un monde sans lui qui apportait tant de joie, d'humour et de force. Ozzy était un chat qui avait bien plus de 9 vies. »
Dans un communiqué envoyé à nos confrères du Hollywood Reporter, Alice Cooper mentionne, lui, un artiste que « le monde entier pleure » et précise que « tout au long de sa carrière, il a gagné le respect non seulement de ses pairs mais aussi de ses fans du monde entier. C'était un showman et une icône qui ne sera jamais égalée. »
Billy Idol a lui posté sur Instagram une photo de lui en compagnie d'Ozzy Osbourne en octobre 2024 lors de la soirée où celui-ci a été intronisé au Rock & Roll Hall of Fame. « J'ai vu Black Sabbath sur scène un mois avant la sortie de leur premier album en 1968 (...) Ozzy incarnait l'esprit du rock 'n' roll, et il a tout donné sur scène jusqu'au bout comme on l'a vu lors du concert back to the beginning », écrit-il.
Ozzy Osbourne a donné naissance à un genre musical à part entière. Ce sont Ozzy Osbourne et Black Sabbath qui ont offert au heavy metal ses lettres de noblesse avec des titres comme Paranoid ou War Pigs. En solo aussi, Ozzy Osbourne a brillé, avec des tubes comme Crazy Train, Shot in the dark, ou encore Mama, I'm Home Coming.
Comme le rappelait Billy Idol, le chanteur avait retrouvé ses anciens camarades de Black Sabbath pour un ultime show sur scène à Birmingham début juillet. Le film de ce tout dernier concert du Prince of Darkness, au cours duquel des groupes de metal et de rock mythiques comme Metallica et Guns N' Roses avaient rejoint Ozzy sur scène, doit être projeté au cinéma en 2026.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Affaire Bertrand Cantat : les parents de Krisztina Rady sont opposés à la réouverture du dossier de leur ex-gendre
Affaire Bertrand Cantat : les parents de Krisztina Rady sont opposés à la réouverture du dossier de leur ex-gendre

Le Figaro

time27 minutes ago

  • Le Figaro

Affaire Bertrand Cantat : les parents de Krisztina Rady sont opposés à la réouverture du dossier de leur ex-gendre

Le 10 janvier 2010, Krisztina Rády, ex-femme du chanteur de Noir Désir et mère de ses deux enfants, se donnait la mort. Quinze ans plus tard, l'enquête a été rouverte mais ses parents s'y opposent et «souhaitent l'apaisement». Les parents de Krisztina Rady, l'épouse de Bertrand Cantat retrouvée pendue chez elle en 2010, s'opposent à l'enquête sur «d'éventuels faits de violences volontaires» commis par leur ex-gendre, rouverte fin juillet par le parquet de Bordeaux, a indiqué vendredi leur avocat. Le procureur de Bordeaux a motivé sa décision par les nouveaux éléments apparus dans un récent documentaire sur Netflix consacré au chanteur de Noir Désir, condamné en 2003 pour le meurtre de Marie Trintignant. Publicité Quatre procédures sur les circonstances de la mort de Krisztina Rady ont déjà été ouvertes et classées sans suite: la première après son décès au domicile conjugal à Bordeaux début 2010, puis en 2013, 2014 et 2018. «Aujourd'hui les parents souhaitent l'apaisement et ne comprennent pas l'acharnement concernant ce dossier, notamment en prétendant que leur gendre aurait commis un suicide forcé», explique Me Tibor-Louis Leh. Lettre d'adieu dévoilée cette semaine Il fait notamment référence au documentaire «De rockstar à tueur: le cas Cantat», «particulièrement à charge», selon lui. Le film évoque une lettre d'adieu de Krisztina Rady, dévoilée cette semaine par Paris Match, où elle écrit : «Merci aux cris incessants et aux accusations de Bertrand, dépositaire exclusif de souffrance». Mais elle cite également deux autres hommes, «lamentables petits caporaux», et deux femmes qui l'ont fait «souffrir». Me Leh évoque également une autre lettre d'adieu, en possession des parents, laquelle «ne fait aucune allusion à Bertrand Cantat» mais mentionne «un contentieux financier d'ordre professionnel». «Beaucoup de raisons complexes pour lesquelles elle s'est suicidée» Après la mort de Krisztina, ses parents ont évoqué à plusieurs reprises la «violence» de Cantat, qui «d'une certaine manière, terrorisait» leur fille. Mais dès 2013, ils se sont dit, par le biais de leur avocat, convaincus que Bertrand Cantat «n'est vraisemblablement pas la seule personne impliquée» et «qu'il y a beaucoup d'autres raisons complexes pour lesquelles elle s'est suicidée». Krisztina Rady, femme de lettres, de théâtre et traductrice, avait rencontré Bertrand Cantat en 1993, lors d'un festival à Budapest. Marié en 1997, le couple a eu deux enfants et n'a jamais divorcé même s'il s'est séparé lors de la naissance de leur fille, après la rencontre entre le chanteur et Marie Trintignant. Krisztina Rady avait apporté un soutien inconditionnel à Bertrand Cantat lors de son procès en Lituanie pour le meurtre de l'actrice, pour lequel il a été condamné à huit ans de prison.

« Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite » : la folie du karaoké gagne Troyes
« Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite » : la folie du karaoké gagne Troyes

Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

« Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite » : la folie du karaoké gagne Troyes

« Cosy, sympa, stylé. » Ce sont les trois premiers mots qui viennent en tête des clients du flambant neuf Musikall Bar Karaoké Box situé dans la rue de la Monnaie, à l'entrée du centre-ville de Troyes (Aube). « Ça nous correspond bien », sourit Lucile Henriot, la gérante des lieux, qui propose depuis le 25 juillet 2025 des salles privatives pour chanter sans complexe. « Il n'en existe pas beaucoup en France. C'est un concept qui est importé d'Asie. On a voulu lui apporter une touche de chic, de standing, pour en faire quelque chose de sympa. » Jusqu'ici plutôt installés dans des grandes villes , de Lille à Bordeaux en passant par Paris, Metz ou Montpellier, ces bars spécialisés dans les salles privatives de karaoké commencent à faire des petits dans les villes de plus petite taille. À Troyes, le projet est porté par le marnais Olivier Stroh, dirigeant du groupe Obomo et patron de l'Atrium, un énorme complexe hybride entre restaurant et boîte de nuit sur Reims (Marne). En parallèle et toujours dans la cité des sacres, l'homme bien implanté dans l'événementiel a développé dès 2020 l'un des premiers complexes de Karaoké Box situé hors de Paris. Un succès qu'il a eu envie de dupliquer sur Troyes. Lucile Henriot, qui a exercé plusieurs jobs dans la vente et la responsabilité de franchises, n'a pas hésité à postuler. « Je découvre quand même la mixologie, le service, les plateaux dans des escaliers », sourit-elle. « Mais on est sur un principe d'accueil et de gestion des clients. Ils sont complètement autonomes dans ce qu'ils font en salle, ce n'est pas la même chose qu'un bar classique. » Accompagnée durant les premiers jours par son patron, Lucile maîtrise désormais la gestion des lieux : le bar situé à l'entrée, et bien sûr les six salles privatives, pouvant accueillir de 4 à 6 personnes, pour les plus petites, jusqu'à 18 personnes pour la plus grande. Chacun de ces espaces est doté d'un style différent, inspiré de l'Art déco. « Il faut réserver en amont sur le site, sur un créneau de 1h30 jusqu'à 5 heures », indique la géra. « À votre arrivée, je vous installe dans la salle et je vous explique comment ça fonctionne. » À l'intérieur, des banquettes, des tables et, bien sûr, un écran pour suivre les paroles, une télé entourée de deux tablettes à disposition de la clientèle. « La première sert à créer les playlists. On travaille avec Karafun, qui a plus de 60 000 références de chansons. On peut utiliser la fonction recherche en tapant le nom de l'artiste ou de la chanson, ou en cherchant des playlists des chansons les plus chantées. » Chanson française, K-pop, metal, générique de dessins animés… il y en a pour tous les goûts. Après avoir sélectionné l'indémodable « J'irai où tu iras » de Céline Dion et Jean-Jacques Goldman, Lucile Henriot se saisit alors du micro pour une démonstration. « On peut avoir plus ou moins d'aide sur les textes, voire pas du tout quand on est des pros », poursuit-elle. « La seconde tablette permet de contrôler toutes les lumières, les différentes ambiances de la salle. On peut aussi ajuster le volume de la musique et des micros. Et commander tout ce qui est boissons et planches à partager, une commande qui arrive directement au bar avec une notification. Je ramène alors tout en salle auprès des gens qui s'amusent. » Les chanteurs peuvent s'époumoner sans souci, les espaces ayant été isolés en conséquence. « Tout le monde peut chanter aussi faux qu'il le souhaite », confirme Lucile en riant. Coté tarifs, « cela dépend du temps, de la salle et du nombre de personne, du jour et de l'heure de la nuit. En moyenne, c'est à partir d'un peu plus de 10 euros par personne, si on remplit la salle complètement », précise-t-elle. Des anniversaires aux enterrements de vie de garçon ou de jeunes filles en passant par les soirées d'entreprise, le Musikall de Troyes vise un large public. Une semaine après le lancement, les premiers retours sont positifs. « Le concept est vraiment bien. Ça nous a défoulées et l'absence de réseau mobile dans les salles du bas nous a permis de passer un vrai bon moment », se réjouit Mélinda, une cliente venue avec quelques amies. Reste à savoir si les amateurs de karaoké seront durablement au rendez-vous. Si l'exemple marnais se reproduit, le poste de Lucile Henriot ne semble pas menacé. « À Reims, ça marche très très bien ! Pour réserver les week-ends, il faut s'y prendre trois mois à l'avance. À Troyes, on n'en est pas encore là, mais on espère être au même niveau. Le public n'est pas tout à fait le même non plus, mais on s'adaptera », indique-t-elle.

Kim Kardashian a trouvé une nouvelle façon de nous complexer avec son dernier accessoire
Kim Kardashian a trouvé une nouvelle façon de nous complexer avec son dernier accessoire

Le HuffPost France

time2 hours ago

  • Le HuffPost France

Kim Kardashian a trouvé une nouvelle façon de nous complexer avec son dernier accessoire

PEOPLE - Après les vêtements gainant pour les fesses, les cuisses et le ventre, va-t-on devoir en porter maintenant sur le visage? C'est en tout cas le message que Kim Kardashian semble vouloir nous faire passer, d'après le dernier produit aux airs d'accessoire de compression postopératoire qui a pris place sur le site de sa marque SKIMS, ce mardi 29 juillet. Baptisé « Seamless Sculpt Face Wrap », ledit masque, commercialisé à 62 euros, promet à ses utilisateurs et utilisatrices de raffermir les joues, le cou et le menton, ainsi que de les maintenir en place. Disponible en deux coloris (marron foncé ou couleur chaire), il est d'ores et déjà en rupture de stock à l'heure où nous écrivons ces lignes. Et ce, malgré son apparence déconcertante. Celui-ci ressemble en effet étrangement « aux bandages portés par les patients ayant subi une chirurgie esthétique intensive », comme l'a estimé un médecin de Beverly Hills du nom de Jonathan Sykes dans les colonnes du New York Times. Kim Kardashian, elle, revendique un vêtement fabriqué dans le même tissu sculptant qui a fait la renommée de ses shorts et débardeurs. Lancée en 2019, sa marque de sous-vêtements et de shapewear SKIMS s'est depuis étendue plus largement aux maillots de bain et au prêt-à-porter, dont une collection d'articles de sport en collaboration avec Nike. Après moins de dix ans d'activité, son entreprise a été évaluée à 4 milliards de dollars en bourse. Une réussite commerciale, qui lui a ouvert les portes de Harvard, où l'influenceuse a notamment été invitée en 2023 pour parler de son business model. Selon la presse spécialisée, l'arrivée du nouvel accessoire sculptant est une stratégie visant à intégrer désormais les produits de beauté sous le giron de sa société, après la fermeture de sa marque de cosmétiques et de maquillage SKKN by Kim, au mois de juin dernier. Une manière, aussi, de « capitaliser sur le look qu'elle a probablement obtenu grâce à des traitements beaucoup plus coûteux et invasifs », estime pour sa part Jessica DeFino, journaliste beauté derrière la newsletter Review of Beauty. Si Kim Kardashian et ses sœurs ont commencé il y a peu à parler publiquement des interventions chirurgicales auxquelles elles ont eu recours, leur mea culpa consistant à dénoncer les standards de beauté dont elles sont elles-mêmes victimes interroge. Les standards de beauté, selon les Kardashian Promotion de sucettes coupe-faim ou de thé détox, utilisation récurrente de Photoshop ou de filtres pour modifier leur image sur les réseaux sociaux… Depuis de longues années, les richissimes sœurs ont été pointées du doigt pour entretenir des normes de minceur irréalistes auprès de leurs centaines de millions d'abonnés sur Instagram. Bouches pulpeuses, fesses généreuses… Même si elles sont longtemps restées discrètes sur leur recours au bistouri, les cinq femmes ont inspiré de nouveaux canons de beauté, comme la silhouette « sablier », et auraient contribué au boom de la chirurgie et médecine esthétiques, d'après plusieurs études. En 2016, l'American Society for Plastic Surgeons a, par exemple, observé une forte augmentation d'injection de fillers dans les lèvres, peu de temps après que Kylie Jenner a parlé de la procédure. Et d'après ce même organisme en 2018, les chirurgies d'augmentation des fesses par lipofilling (Brazilian Butt Lift) ont augmenté de 256 % depuis 2000. Quelles vont être les conséquences du masque gainant désormais proposé par l'aînée du clan ? Mystère. Si les critiques à son égard et le fait qu'il soit déjà en rupture de stock témoignent d'une division dans l'opinion, celui-ci ne laisse pas indifférent. Pas même Anthony Hopkins. Non sans ironie, l'acteur américain s'en est moqué sur Instagram, ce jeudi, pour le comparer au sien dans Hannibal Lecter.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store