
Marc-André Ter Stegen n'est plus capitaine du FC Barcelone
Marc-André Ter Stegen a été destitué de son rôle de capitaine du FC Barcelone. Dans un communiqué publié ce jeudi, le club catalan a annoncé décharger l'Allemand de ses fonctions, lui qui fait l'objet d'une procédure disciplinaire lancée mardi. « Suite à la procédure disciplinaire ouverte contre le joueur Marc-André ter Stegen, et en attendant une résolution définitive de cette affaire, le Club, en accord avec la Direction Sportive et le staff technique, a décidé de lui retirer temporairement le capitanat de l'équipe première », a ainsi écrit Barcelone.
Ter Stegen (33 ans) est poussé vers la sortie après le recrutement du jeune Joan Garcia et la prolongation du vétéran Wojciech Szczesny. Régulièrement blessé ces deux dernières saisons, il a été opéré du dos fin juillet dans une clinique à Bordeaux. Il est depuis entré en conflit avec sa direction en refusant que le Barça communique son dossier médical à la Liga pour que l'instance évalue la durée de son indisponibilité. La Ligue et le syndicat espagnol des joueurs ont, entre-temps, donné raison à l'Allemand. Pour le suppléer, le FC Barcelone a donné son brassard à Ronald Araujo, jusqu'ici vice-capitaine.
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« L'un des meilleurs matches que j'ai dirigés » : Vicente Del Bosque revit Espagne-Italie, la finale de l'Euro 2012
Vicente Del Bosque, l'ancien sélectionneur de l'Espagne, décrypte la claque infligée par sa Roja à l'Italie en finale de l'Euro 2012, dernier épisode d'une formidable trilogie, après les succès espagnols à l'Euro 2008 et au Mondial 2010. À 74 ans, la passion demeure intacte. L'APPROCHE DE LA COMPETITION « Iker Casillas et Xavi ont fait un pas l'un vers l'autre » « Certes on venait de gagner la Coupe du monde, deux ans après l'Euro remporté sous les ordres de Luis Aragonés, mais on avait injecté pas mal de sang neuf dans le groupe pour rester compétitif et le maintenir en haleine. Entre 2008 et 2012, la moitié de l'effectif a été renouvelée (10 joueurs sur 23), avec de jeunes éléments tels que Juan Mata ou Javi Martinez. Gérer le succès est toujours plus délicat que de gérer l'échec, cela peut être dangereux. D'ailleurs, je me souviens, lorsque j'ai pris l'équipe en main en 2008 après la victoire à l'Euro, les gens dans la rue me disaient que c'était le pire moment pour devenir sélectionneur, comme si l'Espagne était en crise ! Nous avions un groupe d'excellents joueurs, un système de jeu bien huilé et ce brin de chance propre aux grandes équipes, malgré deux forfaits majeurs : celui de Carles Puyol, notre leader de vestiaire, et de David Villa, notre buteur. Les mois précédents, il y avait eu une série de matches tendus entre le Barça et le Real et cela a perturbé le groupe, même si les turbulences venaient principalement de l'extérieur. Ce n'était agréable pour personne, que - et je donne juste un exemple - un joueur comme Alvaro Arbeloa puisse avoir un mauvais geste envers Sergio Busquets lors d'un Clasico, ou l'inverse. Si votre vestiaire est divisé, c'est très difficile de gagner. Il y a donc eu des discussions pour apaiser la situation et nous en sommes sortis renforcés, notamment car Iker Casillas, l'un des leaders du Real Madrid, et Xavi, le capitaine du FC Barcelone, ont fait un pas l'un vers l'autre. Ils ont même reçu le prix Prince des Asturies cette année-là, très reconnu en Espagne, pour avoir agi en faveur de l'union du vestiaire. Je me souviens aussi avoir dit à Sergio Ramos et Gerard Piqué, nos deux défenseurs centraux, que s'ils se comportaient bien tous les deux, nous serions champions. C'est amusant car devant eux il y avait une autre paire Real-Barça, avec Busquets et Xabi Alonso, qui étaient aussi très complémentaires. » LE PLAN DE JEU « Fabregas en faux 9 pour gêner la relance de Pirlo » « Lors de notre entrée dans la compétition en phase de groupes, l'Italie nous a dominés (1-1). Honnêtement, je pense qu'ils auraient mérité de gagner, même si nous avons miraculeusement égalisé. Le joueur adverse qui me préoccupait le plus, c'était Andrea Pirlo, le métronome de cette équipe. J'ai donc décidé de jouer à chaque fois contre eux avec Fabregas en faux 9, pour gêner sa relance. Tout le monde disait qu'on jouait avec six milieux, sans attaquant, mais si vous regardez l'équipe, hormis les centraux - et encore ! - et Alvaro Arbeloa, tous les autres étaient des joueurs portés vers l'avant. Jordi Alba, qui n'était pas là au Mondial 2010, a joué un rôle vital côté gauche. Devant, Fabregas, Silva et Iniesta permutaient en permanence, avec intelligence. Les gens pensaient qu'on ne pouvait pas jouer sans 9, comme on ne peut pas jouer sans gardien, mais je savais que Fabregas était capable de nous faire marquer. Vous remarquerez que nous avons marqué quatre buts le jour où nous avons joué avec seulement des milieux, sans vrai attaquant ! Aujourd'hui, l'Espagne possède deux joueurs offensifs qui ont des caractéristiques totalement différentes, avec Nico Williams et Lamine Yamal, qui aiment tous deux déborder sur les ailes. À l'époque, nous avions des joueurs avec d'autres qualités, alors nous les avons exploitées. » LA PREMIERE PERIODE « J'avais dit à Jordi Alba qu'il serait l'un de nos joueurs clés » « Mes joueurs aimaient être en contact avec le ballon, avoir la possession la plupart du temps, on s'est donc attachés à cela d'entrée. Sur le premier but, on fait circuler le ballon au milieu et, tout à coup, il y a un changement de rythme, avec l'appel en profondeur de Fabregas et ce ballon donné par Iniesta sur le côté droit, dans le dos de la défense. Ensuite, Fabregas trouve Silva en retrait, qui, avec un coup de tête précis et un peu de chance, ouvre le score (14e). Après ce but, je suis resté debout. Je savais que cet avantage ne serait pas facile à conserver, car ils nous avaient posé des problèmes lors du premier match. Tactique : l'Espagne, le sacre de l'implication collective, du mouvement et de l'ambition Je ne dis pas que nous avions peur, mais nous éprouvions beaucoup de respect pour cette équipe. Ils nous ont d'ailleurs dominés pendant quelques minutes après ce premier but. Avant le tournoi, j'avais dit à Jordi Alba qu'il serait l'un de nos joueurs clés. Et il en a été ainsi. Sur le second but (41e), Xavi l'a vu débouler à toute vitesse devant lui et lui a glissé le ballon à la suite d'une relance longue de Casillas. Ce n'était pas forcément une action typique de notre jeu, mais c'est quelque chose qu'on l'a ensuite vu réaliser à de nombreuses reprises, avec le Barça et en sélection. Xavi bénéficiait de beaucoup de liberté au milieu, par rapport à ses camarades Xabi Alonso et Sergio Busquets, qui avaient des positions plus déterminées. C'était important qu'il se sente à l'aise, qu'il puisse toucher souvent le ballon, comme il aimait le faire. » LA MI-TEMPS « Ne pas se fier aux deux buts d'avance » « Selon moi, les discours dans le vestiaire devraient toujours être courts et très ciblés. Je me souviens avoir insisté sur les qualités des Italiens et avoir dit à mes joueurs de ne pas se fier aux deux buts d'avance. Le 2-0 est un score "dangereux", car vous pouvez vous dire que c'est fait. Or, si l'autre équipe marque, cela peut constituer un choc émotionnel car elle n'est plus qu'à un but. Je voulais à tout prix éviter cela et qu'on puisse douter. Je leur ai donc dit que nous avions le match en main, mais surtout que nous devions continuer dans cette voie et ne pas nous relâcher. Je ne suis pas forcément favorable à ce qu'un joueur prenne la parole à ce moment-là. En revanche, je n'ai aucun problème à ce qu'ils me fassent des retours, par rapport à leurs sensations sur le terrain. C'est une bonne chose qu'ils le fassent et ce n'est pas un signe de faiblesse de l'entraîneur de demander à ses joueurs s'ils voient quelque chose qui ne colle pas avec son discours, s'ils ont une suggestion pour améliorer un aspect du jeu. » LA SECONDE PERIODE « Casillas a demandé à l'arbitre de ne pas jouer les arrêts de jeu » « Comme on dit, pour attaquer, il faut ouvrir le terrain et pour défendre, il faut le réduire, non ? Je crois qu'on a parfaitement maîtrisé cela. À 2-0, le match n'était pas fini, mais il était en bonne voie pour nous. Les Italiens montraient de l'envie, mais ils n'avaient plus l'énergie nécessaire pour en faire davantage. Pour leur défense, je tiens à rappeler qu'ils avaient bénéficié d'une journée de repos en moins. C'était une équipe émoussée physiquement, nous étions clairement plus frais. Ils ont perdu Giorgio Chiellini en première mi-temps, Antonio Cassano était diminué, tandis que Thiago Motta, blessé, a dû sortir quatre minutes après son entrée en jeu (61e, l'Italie, qui avait utilisé ses trois remplaçants, a fini à dix)... J'ai décidé de faire mes changements petit à petit. Il était logique que les quatre défenseurs continuent. J'aurais pu faire entrer un défenseur, mais comme ils étaient à dix et que nous étions dans une bonne dynamique, j'ai préféré changer mes hommes de devant. La passe de Xavi pour Fernando Torres, sur le troisième but, c'est plus qu'une passe décisive, c'était du caviar ! Après, il y a ce dernier but de Juan Mata, servi par Fernando Torres. Cette action illustre à la perfection ce que nous avons réalisé avec ce groupe. Tout le monde n'a pas eu le même temps de jeu, mais tous avaient un rôle à jouer dans cette quête du titre, même ceux qui participaient moins. Tout le monde se sentait utile. C'est l'un des meilleurs matches que j'ai dirigés, un sommet au niveau du jeu. À la fin, de manière très fair-play, Iker (Casillas) a demandé à l'arbitre de ne pas jouer les arrêts de jeu, par respect pour les Italiens." L'IMAGE QUI RESTE « Le Roi Juan Carlos m'a appelé dans le vestiaire pour me féliciter » « Si je ne devais en retenir qu'une, ce serait Jordi Alba et ses courses fulgurantes. Joan Capdevila était un latéral gauche extraordinaire, mais après 2010, il a fallu lui trouver un remplaçant et on ne pouvait pas mieux tomber que sur Jordi. Unai Emery l'avait bien préparé à Valence. Au coup de sifflet final, la première chose qui m'est venue à l'esprit, c'est qu'on avait gagné trois grandes compétitions d'affilée. J'ai eu une pensée pour l'équipe d'Espagne qui avait décroché le premier titre européen en 1964, lorsque j'étais adolescent (il est né en 1950). Le roi Juan Carlos m'a appelé dans le vestiaire pour me féliciter. Il était très heureux. C'était un succès sportif mais aussi la preuve que nous pouvions gagner en équipe, avec des joueurs originaires de toute l'Espagne. J'ai aussi pensé à tous les Espagnols, sans doute heureux de ce nouvel exploit. Pas seulement de notre victoire mais aussi de la manière et de notre comportement sur le terrain. Au cours de mon cycle à la tête de la sélection, durant lequel j'ai dirigé 114 matches (87 victoires, 10 nuls, 17 défaites) si je ne me trompe pas, nous n'avons eu qu'un joueur expulsé : Gerard Piqué, en fin de rencontre face au Brésil (0-3), lors de la Coupe des Confédérations 2013. Et pas à la suite d'un geste violent mais sur une faute qui trahissait un sentiment d'impuissance. Après ce sacre à l'Euro, on s'est demandé comment on pouvait régénérer ce groupe, mais le "problème" qu'on a eu, en quelque sorte, c'est que tous évoluaient alors dans les meilleurs clubs du monde. Comment vouliez-vous les écarter ? Après notre élimination au premier tour à la Coupe du monde 2014 (défaites contre les Pays-Bas, 1-5, et le Chili, 0-2), certains ont dit qu'il aurait fallu renouveler l'équipe, mais à ce moment-là les joueurs que nous avions choisis étaient les meilleurs. »


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Les dirigeants du Barça prêts à mettre en jeu 7 M€ de leur fortune personnelle pour enregistrer l'arrivée de Marcus Rashford
Prêté par Manchester United, Marcus Rashford est toujours dans l'attente d'être enregistré par le FC Barcelone auprès de la Liga espagnole. Les dirigeants pourraient assurer une garantie bancaire via leurs fonds personnels. Marcus Rashford n'a toujours pas été enregistré dans l'effectif du Barça pour la saison prochaine, mais le board resterait optimiste, selon les informations de The Athletic. Alors que le gardien Joan Garcia a enfin été inscrit, l'international anglais, Roony Bardghji, Wojciech Szczesny et Gerard Martin sont toujours sur le carreau. Le FC Barcelone a dépassé le plafond salarial fixé par la Liga, ce qui explique ses difficultés, mais les dirigeants ont peut-être trouvé la parade. Comme ils l'avaient déjà effectué deux ans plus tôt, ils pourraient mettre en jeu leur fortune personnelle afin d'assurer une garantie bancaire de 7 millions d'euros. Cette mesure serait nécessaire pour compenser les dépenses du club dans d'autres départements. Ils ont jusqu'au 31 août pour dénicher une solution, sans laquelle Rashford risque de manquer les premiers mois de compétition.


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Les retrouvailles avec l'Espagne, l'occasion parfaite pour l'équipe de France de monter en puissance avant l'Euro
La double confrontation face à l'Espagne, prévue jeudi soir à Badalone (21h sur la chaîne L'Équipe), et samedi à Paris, lance véritablement le compte à rebours jusqu'à l'Euro. Contre l'ennemi juré, peu croisé ces dernières années, les Bleus doivent s'affirmer. À quelques encablures au nord-est de Barcelone, Badalone dévoile de jolis atouts : palmiers et bord de Méditerranée azur invitent à parfaire ce bronzage estival que l'on prétend exhiber jusqu'aux prémices de l'automne. Les Bleus, qui ont posé les valises non loin de ce décor de carte postale, s'apprêtent à y vivre un autre genre de coup de chaud que la météo étouffante n'arrangera pas : les entrailles du pavillon olympique - qui fut lors des Jeux Olympiques de Barcelone 1992 le théâtre du triomphe de la « Dream Team » américaine - se transformeront jeudi soir en chaudron rouge et jaune à l'heure d'honorer la 80e confrontation de l'histoire entre France et Espagne. Un classique du XXIe siècle (25 rencontres disputées depuis 2000)... plus si iconique puisque les deux nations phares européennes ne se sont plus croisées depuis la finale de l'Euro 2022, remportée par la Roja (88-76, à Berlin). « Un très mauvais souvenir, que je préfère oublier », grimace le pivot tricolore Vincent Poirier, un des cinq acteurs du cauchemar allemand présents cette semaine en Espagne (avec Théo Maledon, Guerschon Yabusele, Timothé Luwawu-Cabarrot et Élie Okobo). France-Espagne, 20 ans d'une rivalité historique Inutile de ressasser le passé pour une sélection française largement rajeunie un an après les Jeux Olympiques de Paris. Elle imagine s'appuyer sur la double confrontation organisée face à son meilleur ennemi (la revanche a lieu samedi, à l'Accor Arena de Paris) afin de se jauger. Une épreuve du feu grandeur nature, bien que le champion d'Europe négocie lui aussi une période de transition, à deux semaines de lancer l'Euro 2025 (le 28 août à Katowice, Pologne). « C'est la montée en pression que nous voulions en arrivant sur le dernier tiers de notre préparation », rappelle le sélectionneur Frédéric Fauthoux, dont le bilan à la tête des Bleus, encore immaculé depuis sa prise de fonction après les Jeux Olympiques de Paris (6 victoires), appelle à enrayer la mauvaise série face au voisin (5 défaites de suite, la dernière victoire remontant au quart de finale du Mondial espagnol de 2014). « Ces deux matches doivent surtout nous permettre d'afficher une vraie progression face à un réel savoir-faire tactique. » Théo Maledon, meneur des Bleus De là à transformer les deux duels en sorte de tour préliminaire au raout continental, il y a un pas que tous ne franchissent pas : « Nous avons insisté dès le premier jour du rassemblement sur le fait qu'on lançait l'Euro dès ce moment-là, corrige le meneur Théo Maledon, aperçu mercredi après-midi en train d'échanger avec le sélectionneur italien de la Roja Sergio Scariolo, qui l'entraînera la saison prochaine au Real Madrid. Ces deux matches doivent surtout nous permettre d'afficher une vraie progression face à un réel savoir-faire tactique. On ne devra même pas parler des résultats, mais du contenu. » Les deux premières sorties (victoires 81-75 contre le Monténégro et 74-67 face à la Grande-Bretagne), utilisées afin de tester les associations, avaient laissé filtrer quelques satisfactions : « La cohésion de groupe, excellente, et la volonté de faire les choses ensemble », loue Fauthoux, par ailleurs ravi de « l'énorme intensité mise par les gars à l'entraînement ». De nombreux écueils subsistent encore, le plus souvent liés à l'inexpérience de l'escouade : « On se doit de gommer les temps faibles que l'on peut connaître et certains joueurs doivent encore trouver leur place en attaque, reprend le coach. Ils doivent se faire confiance entre eux. » Enfin l'heure du premier rôle pour Maledon Ces attentes pousseront-elles le staff à chambouler les associations ? 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