
Collégiens non affectés en lycée : « des solutions ont pu être trouvées pour une part très importante des élèves »
plusieurs centaines d'élèves de 3e étaient restées sur le carreau
provoquant colère et inquiétude chez les parents. Ce lundi, le directeur académique des Hauts-de-Seine a adressé un courrier à la fédération des conseils de parents d'élèves du département (FCPE 92) qui se voulait rassurant.
« Grâce à l'engagement particulièrement soutenu des équipes de la division des élèves et de la scolarité, mobilisés dans des délais très contraints, des solutions ont pu être trouvées pour une part très importante des élèves restés sans affectation à l'issue de la procédure Affelnet », écrit Frédéric Fulgence.
Selon ses services, il restait ce lundi 76 élèves en attente d'une solution de scolarisation en seconde générale et technologique. Parmi eux, précise-t-il, « seuls cinq sont issus de classes de troisième scolarisés dans des collèges publics du département ».
Les autres concernent majoritairement des élèves nouvellement arrivés dans le département ou issus d'un parcours dans l'enseignement privé pour lesquels une solution est également « activement recherchée », assure-t-il.
Ces chiffres ne correspondent pas totalement aux remontées d'information de la FCPE, même si la situation s'est nettement améliorée en une semaine, la fédération ayant recensé près de 500 collégiens sans affectation en seconde. Au collège Moulin-Joly de Colombes, qui était particulièrement concerné avec une trentaine d'élèves sans affectation il y a une semaine, tous les collégiens ont finalement eu une place en seconde générale et technologique.
Selon les représentants de parents, il reste en revanche 12 élèves en attente pour des affectations en lycée professionnel. Dans l'autre collège de la ville, Jean-Baptiste-Clément, il restait ce lundi soir un élève concerné.
À Saint-Cloud ou encore Montrouge, il resterait aussi entre deux et quatre élèves sans solution vers la voie professionnelle et générale. D'autres villes seraient encore concernées.
Si les affectations se font bien au « fil de l'eau », pour reprendre les termes du directeur académique, la FCPE s'étonne toutefois de certaines affectations, par exemple, des élèves de Saint-Cloud inscrits à Rueil ou de Ville-d'Avray vers Sèvres.
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