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« Maltraitance banalisée », négligences… l'enfer des ados placés d'un foyer de Tremblay-en-France

« Maltraitance banalisée », négligences… l'enfer des ados placés d'un foyer de Tremblay-en-France

Le Parisien2 days ago
Il ne dénouera quasiment pas les mains de tout son récit, son visage en partie caché derrière ses longues boucles blondes. Ayden (le prénom a été changé) n'a que 14 ans mais il parle avec la voix de ceux que la vie a fait grandir trop vite. « Il faut que les choses changent pour ceux qui sont encore là-bas. Aujourd'hui, je me sens mal car j'ai laissé mes amis avec des éducateurs violents. »
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Le Parisien

time21 minutes ago

  • Le Parisien

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La nouvelle de la noyade n'est pas arrivée jusque-là. La veille, ce mardi, un enfant de 11 ans, souffrant de troubles autistiques, a perdu la vie dans le bassin. Il y était venu avec le centre de loisirs Kotchever du XVIIIe arrondissement de Paris. Selon les premiers éléments de l'enquête, il aurait échappé à la vigilance des animateurs. Son corps, inerte, a été retrouvé immergé au niveau d'un ponton.

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Le Figaro

time21 minutes ago

  • Le Figaro

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Réservé aux abonnés TRIBUNE - Après les décisions du Conseil constitutionnel, dénoncer la «politisation» des juges constitutionnels ne suffit plus, estime le député LR Jean-Louis Thiériot*. *Ancien ministre délégué aux Armées, Jean-Louis Thiériot est député LR de Seine-et-Marne. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Les récentes décisions du Conseil constitutionnel, notamment celle censurant l'allongement de la durée de rétention administrative de 90 à 210 jours pour les étrangers « condamnés pour des faits d'une particulière gravité et présentant de forts risques de récidive », ont semé un grave trouble dans l'opinion, surtout lorsque l'on sait les difficultés à obtenir des laissez-passer consulaires et le rôle de l'inexécution des OQTF dans certains faits divers tragiques, comme le meurtre sordide de la jeune Philippine. L'objet de ce propos n'est pas de débattre de la décision, sur laquelle il y aurait pourtant beaucoup à dire. À droit constant, elle s'impose à tous. Il s'agit de s'interroger sur le champ du contrôle de constitutionnalité qui est devenu un objet politique à part entière, car il relève du pouvoir constituant, c'est-à-dire du peuple souverain. Avant de faire un peu d'histoire pour comprendre…

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Le Parisien

time21 minutes ago

  • Le Parisien

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Un mois après la signature d'un projet d'accord entre toutes les forces politiques calédoniennes, qualifié « d'historique » par le président de la République, l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie connaît un nouveau soubresaut. Ce mercredi, les indépendantistes du FLNKS ont acté leur rejet du texte noué dans un hôtel de Bougival (Yvelines), le 12 juillet, sous la houlette de Manuel Valls, le ministre des Outre-mer. Ce document de 13 pages prévoit notamment la création d'un « État de Nouvelle-Calédonie » doté d'une loi fondamentale, d'une nationalité calédonienne et de la compétence en matière de relations internationales. Mais le « projet d'accord de Bougival » est incompatible « avec les fondements et acquis de notre lutte », a affirmé Dominique Fochi, secrétaire général de l'Union calédonienne et membre du bureau politique du FLNKS, lors d'une conférence de presse à Nouméa, mercredi matin. Le mouvement plaide désormais pour de nouvelles discussions avec l'État sur la base des accords de Nouméa et la tenue des élections provinciales dès novembre. Une façon de potentiellement rebattre les cartes des équilibres politiques locaux, espèrent-ils. Pour Manuel Valls, un choix « incompréhensible » Dans un message publié sur Facebook dans la journée, le ministre des Outre-mer, Manuel Valls, a regretté un choix jugé « incompréhensible » tout en laissant la porte ouverte à de nouveaux échanges pour tenter de sauver le projet de Bougival. Il se rendra la semaine prochaine en Nouvelle-Calédonie.

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