logo
Vaccins, détartrage, vermifuge... jusqu'à 150 €/an de frais de prévention remboursés avec Santévet

Vaccins, détartrage, vermifuge... jusqu'à 150 €/an de frais de prévention remboursés avec Santévet

Le Parisien9 hours ago
Stérilisation, vaccination, vermifuge… autant de frais à prévoir pour les heureux propriétaires d'animaux de compagnie. Si la plupart des stérilisations interviennent
chez les plus jeunes animaux
, les frais de vermifuge ou les vaccins interviennent tout au long de la vie de votre précieux compagnon. Pour que les propriétaires de chiens et de chats ne fassent pas l'impasse sur ces actes importants pour prévenir certaines maladies ou situations graves, Santévet propose un budget de prévention dans toutes ses formules d'assurance pour chien et chat.
>>Cliquez ici pour souscrire une assurance Santévet
Santévet propose plusieurs formules d'assurance pour chiens ou pour chats avec différents niveaux de couverture. Toutes les formules proposent un budget de prévention. La formule LIGHT prévoit par exemple un budget de 30 euros par an. La formule la plus protectrice, OPTIMAL, quant à elle, affiche un budget de prévention de 150 euros par an. En cas de recours à ce budget de prévention, les propriétaires n'auront pas de franchise à payer, contrairement à d'autres frais. Une bonne raison pour assurer son chien ou son chat avec Santévet !
Le budget prévention de Santévet prend en charge les frais de stérilisation, les frais de vaccination,
les frais de détartrage
, les vermifuges et antiparasitaires, mais aussi les frais d'identification. Autant de frais qui peuvent vite chiffrer pour les propriétaires d'animaux et qui sont pourtant des étapes essentielles pour s'assurer de leur bonne santé !
>>Cliquez ici pour souscrire une assurance Santévet
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Influenceurs sans scrupule, santé en danger, réseau international : la consommation de stéroïdes explose chez les jeunes amateurs de musculation
Influenceurs sans scrupule, santé en danger, réseau international : la consommation de stéroïdes explose chez les jeunes amateurs de musculation

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Influenceurs sans scrupule, santé en danger, réseau international : la consommation de stéroïdes explose chez les jeunes amateurs de musculation

Le succès de la musculation s'accompagne d'une dérive majeure. Encouragée par les réseaux sociaux et de nombreux influenceurs, la consommation de stéroïdes devient préoccupante, comme le révèle le documentaire « Génération muscu : une jeunesse sous stéroïdes », en ligne sur L'Équipe. Tandis que la musculation s'est imposée comme l'activité sportive préférée des 16-25 ans, une dérive majeure se répand : la consommation de cachets et de seringues de stéroïdes. En ligne sur L'Équipe, issu de la collection Dark Web (enquêtes numériques en vidéo de L'Équipe explore), le documentaire « Génération muscu : une jeunesse sous stéroïdes » propose une plongée dans ce problème de santé publique à la portée préoccupante. Encouragée par de nombreux influenceurs, dopée par le manque de régulation sur les réseaux sociaux - où se multiplient les injections de stéroïdes filmées en direct - et dans les salles de sport low-cost, cette consommation met de nombreux jeunes en danger tant ces produits sont nocifs pour la santé (problèmes cardiaques, dépression, agressivité accrue, infertilité...) et peuvent même être mortels, comme le prouve l'histoire de Mattéo, jeune de 20 ans décédé après avoir pris des produits, dont la mère témoigne dans le documentaire. « La trenbolone, ça peut rendre fou et faire de vous un assassin » Dans le documentaire, des consommateurs témoignent. « J'avais une énorme douleur thoracique, j'ai cru que je faisais une crise cardiaque », explique Tristan. « La trenbolone (initialement utilisée pour stimuler la croissance du bétail), ça peut rendre fou et même faire de vous un assassin », appuie un autre consommateur, Maxime. Pour ce documentaire, pendant des semaines, nous avons échangé avec des consommateurs, des influenceurs, des médecins et traqué la piste des vendeurs. « Génération muscu : une jeunesse sous stéroïdes » dévoile les rouages d'un trafic de stéroïdes international, donne la parole à de nombreux utilisateurs évoquant des effets secondaires inquiétants et pointe la responsabilité des salles de sport et des pouvoirs publics.

Pour se remettre au sport avant l'été, par où commencer ?
Pour se remettre au sport avant l'été, par où commencer ?

Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

Pour se remettre au sport avant l'été, par où commencer ?

par Elodie Chermann. Il n'est jamais trop tard pour prendre de bonnes résolutions. Au début du printemps, Michel, 55 ans, s'est décidé à se remettre au sport. La perspective du maillot de bain sur la plage n'y est pas pour rien. « A partir de 50 ans, on a tendance à prendre du ventre et à se ramollir », témoigne cet employé de banque installé dans les Pyrénées Atlantiques, du haut de son 1,80m pour 82kg. « Etant plutôt coquet, je ne voulais pas ça pour moi », avoue-t-il. Mais tout seul, pas forcément simple de se motiver. « Je n'ai jamais été un grand sportif », confie Michel. « Quand j'étais jeune, je jouais de temps en temps au squash et au tennis, mais une fois entré dans la vie active, j'ai assez vite lâché ». Sur les conseils d'un ami, il choisit donc de faire appel aux services de Dylan Craspay, un coach sportif à domicile, à raison d'une heure par semaine. La formule a un coût : 45€ par séance. « Mais en payant en chèque emploi service universel ( Cesu ), je bénéficie d'un crédit d'impôt », relativise-t-il. « Et je considère que c'est un investissement sur mon bien-être. » Bien sûr, pas question d'attaquer n'importe comment. « Je commence toujours mon accompagnement par un bilan », explique Dylan Craspay, diplômé d'une Licence Staps et d'un Master Expert en Préparation Physique et Mentale. L'idée est de bien cerner l'état de forme de la personne, son style de vie, ses habitudes alimentaires mais aussi ses attentes afin de pouvoir lui proposer ensuite des exercices adaptés. L'avis d'un médecin du sport peut aussi s'avérer précieux. Ne soyez pas trop ambitieux. « Vous n'allez pas sculpter votre corps en trois mois mais vous pourrez au moins vous refaire une condition physique de base », rappelle le Dr Stéphane Cascua, médecin du sport. Pour Michel, le but n'a jamais été de ressembler à Monsieur Muscle. Juste de se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. Son programme d'entraînement intègre donc du cardio, du travail de mobilité et du renforcement musculaire avec des altères, un élastique ou un ballon, pour garder un côté ludique. « Mais les récalcitrants à la musculation pourront tout aussi bien pédaler, barboter à la piscine, ou s'offrir de belles marches en montagne », précise le Dr Stéphane Cascua. Quel que soit le sport choisi, veillez à démarrer en douceur. Après une longue période d'inactivité, les maîtres mots sont progressivité et bienveillance. « Les efforts intensifs avec rupture de rythme sont à proscrire au début parce qu'ils sur-sollicitent le système cardio-vasculaire», insiste le Dr Stéphane Cascua. « Le risque d'infarctus chez un sujet sédentaire qui reprend le sport est ainsi multiplié par 100. » Les hommes de plus de 40 ans et les femmes de plus de 50 ans sont particulièrement exposés, de même que les fumeurs et les personnes qui souffrent d'hypertension. A l'inverse, une pratique assidue divise par 10 le risque de mort subite à l'effort. Voilà qui devrait convaincre les néophytes de se remettre en mouvement pendant l'été et de consolider leurs bonnes habitudes à la rentrée. C'est ce que semble décidé à faire Michel. « Depuis que j'ai commencé, j'ai beaucoup moins mal au dos », confie-t-il. « Je me sens aussi plus tonique, moins essoufflé quand je monte les escaliers. Hors de question de m'arrêter en si bon chemin. Pour moi, c'est comme un nouveau départ. »

Pourquoi les hommes négligent leur santé et comment y remédier
Pourquoi les hommes négligent leur santé et comment y remédier

Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

Pourquoi les hommes négligent leur santé et comment y remédier

Par Elodie Chermann A 64 ans, Domingos Adriano, originaire de Decines Charpieu, dans la banlieue de Lyon (Rhône), cumule deux boulots. Il travaille à mi-temps comme gardien dans une résidence et est concierge dans un hôtel. Mais cela ne l'empêche pas de s'occuper de sa santé. « Comme je suis diabétique, je vais tous les trois mois chez mon médecin de famille pour vérifier que mes analyses sont bonnes », témoigne-t-il. C'est en faisant ces examens de contrôle qu'il découvre une anomalie en décembre dernier. Son dosage de prostate specific antigen (PSA), un marqueur du cancer de la prostate, est particulièrement élevé. Il prend aussitôt rendez-vous avec le Dr Arnaud Cimier, chirurgien urologue au Médipole de Lyon Villeurbanne, qui confirme le diagnostic : Domingos est bien atteint d'un cancer de la prostate. Il faut vite opérer. Fuites urinaires, difficultés sexuelles, les suites de l'intervention sont compliquées. Mais six mois après, Domingos va beaucoup mieux. « Je ne peux qu'encourager les hommes à mettre en place un suivi médical pour éviter les mauvaises surprises, insiste-t-il. Le cancer de la prostate est une maladie qui ne fait pas mal, je n'avais aucun symptôme. Faire des examens réguliers m'a permis d'être pris en charge avant que les métastases ne se propagent. Un réflexe loin d'être automatique chez tous les hommes. D'après une étude de l'Insee parue en mars 2022, ils étaient 80% à avoir consulté un médecin généraliste depuis moins d'un an en 2019, contre 88% des femmes. Et c'est pire quand il s'agit d'aller chez un médecin spécialiste ! Seuls 42% des hommes en avaient consulté un au cours des douze derniers mois. Certes, il est parfois compliqué de décrocher un rendez-vous près de chez soi. Mais pour Arnaud Cimier, il y a aussi un défaut d'information sur la prévention en France. « Les femmes prennent très tôt l'habitude d'instaurer un suivi gynécologique lié notamment à la contraception, souligne-t-il. Mais chez les hommes, les problèmes surviennent en général plus tardivement. Ils se préoccupent donc moins de leur santé et ont tendance à faire traîner les choses. » C'est ce qu'à vécu Salma avec son mari. « Fin 2024, j'ai remarqué que le grain de beauté qu'il avait sur la cuisse avait noirci et grossi, témoigne-t-elle. Je lui ai conseillé d'aller le faire contrôler mais il ne s'en est pas occupé. » Le voyant tarder, elle finit par lui donner l'adresse d'un dermatologue à Paris. Et là, coup de massue. On lui détecte un mélanome. « Il se l'est fait retirer sur le champ, explique-t-elle. Mais il va devoir faire en plus une sorte de curetage pour s'assurer qu'il ne reste pas d'autres cellules cancéreuses autour. Je crois que ça lui a servi de leçon. Certes on est cadres, on mène une vie à 100 à l'heure. Mais c'est capital de ne pas négliger sa santé. » C'est ce que s'efforce de répéter le Dr Cimier à ses patients. « Il ne faut pas avoir honte de consulter pour des symptômes en lien avec les parties intimes, insiste-t-il. Cela peut vraiment vous sauver la vie. » En 2018, 86 hommes sont morts d'un cancer du testicule en France. La prévention est pourtant toute simple. « Il suffit de palper ses parties intimes, une fois par mois environ, à partir de 14 ans », explique le spécialiste. Et d'alerter en cas de toute anomalie. « Entre 50 et 75 ans on préconise de réaliser les tests de dépistage contre le cancer de la prostate, qui est le cancer le plus répandu chez l'homme », rappelle aussi le Dr Cimier. « Quand la maladie est prise en charge tôt, les chances de guérison sont autour de 93%. »

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store