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Résultats du brevet 2025 : 9 académies publient ce mardi leurs listes

Résultats du brevet 2025 : 9 académies publient ce mardi leurs listes

Le Parisien08-07-2025
Deuxième jour de publication des résultats du brevet ce mardi 8 juillet 2025. Après les résultats du bac publiés vendredi 4 juillet dernier, découvrez maintenant les
résultats du brevet 2025
directement sur notre site pour les candidats ayant accepté de partager leurs infos.
Diplôme encore très symbolique, car il ne conditionne pas l'entrée au lycée, le brevet reste cependant un moment important dans la vie des élèves et des familles : les résultats du brevet en fin de troisième sont toujours très attendus.
La Corse, La Réunion et Mayotte ont été les 3 premières académies à publier leurs listes d'admis ou de refusés ce lundi 7 juillet. La publication des résultats du brevet est répartie du 7 au 10 juillet selon les calendriers définis par les académies. Découvrez ici
les dates et heures de publication des résultats du brevet 2025
.
Voici le planning prévu pour la publication des académies ayant choisi de publier leurs résultats ce mardi 8 juillet :
Ces horaires sont donnés à titre prévisionnel,
inscrivez-vous à nos alertes mail
pour être alerté dès l'arrivée concrète des résultats.
Le mercredi 9 juillet, 14 académies dont Paris, Créteil Versailles ou encore Rennes et Toulouse publieront leurs résultats.
Assez bien, bien, Très bien… Comme pour le bac, les mentions que l'on peut obtenir au Diplôme National du Brevet (DNB) sont les suivantes :
En plus d'une belle ligne sur le CV, à partir de la mention TB, les élèves peuvent obtenir une bourse : un aide au mérite au lycée pouvant atteindre 1 000 euros par an.
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«La faillite silencieuse de notre Éducation nationale : pourquoi plus personne ne veut entrer dans l'arène»
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Le Figaro

time5 hours ago

  • Le Figaro

«La faillite silencieuse de notre Éducation nationale : pourquoi plus personne ne veut entrer dans l'arène»

FIGAROVOX/TRIBUNE - En mathématiques, 26 % des postes de professeurs sont restés vacants cette année. Pour y remédier, il faut revaloriser la fonction sociale de l'enseignant, mais aussi remettre en cause le passage automatique en lycée général, argumente l'enseignante et élue LR, Valérie Rialland. Valérie Rialland est conseillère départementale (Les Républicains) du Var et présidente de la commission Collège et éducation. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Un sursaut ? Non. À l'heure où des milliers de postes enseignants restent vacants après les résultats aux concours de recrutement, le gouvernement s'en remet à des expédients de plus en plus grossiers pour masquer une vérité crue : la France ne fait plus rêver ses futurs professeurs. Le métier s'est dégradé à tous les niveaux : reconnaissance, autorité, sécurité. Et le pacte enseignant, censé enrayer cette hémorragie, a échoué. Spectaculairement. Publicité En mathématiques, 26 % des postes sont restés vacants. En lettres classiques, c'est un tiers des postes qui n'a pas trouvé preneur. En physique-chimie ou en allemand, les taux de vacance sont également élevés. Les concours du CAPET (technologique) et du CAPLP (professionnel) atteignent plus de 15 % de déperdition. 2 610 postes d'enseignants sont restés non pourvus à la rentrée 2025, selon les résultats des concours de recrutement du ministère de l'Éducation nationale. Dans le premier degré, la situation est particulièrement inquiétante dans certaines académies : 475 postes restent vacants à Versailles, 382 à Créteil, et 85 % des postes ouverts en Guyane (165) n'ont pas trouvé preneur. Or ces académies couvrent des territoires jeunes, à forte croissance démographique. L'équation est donc impossible à résoudre sur le terrain. Dans le second degré, qui comprend les disciplines enseignées au collège et au lycée, les résultats sont tout aussi alarmants : 33 % des postes n'ont pas trouvé preneur en lettres classiques, 26 % en mathématiques et en physique-chimie, 23 % en allemand. Dans l'enseignement professionnel et technique, 15% des postes au CAPLP et 13% au CAPET restent vacants. Ce n'est pas seulement une crise conjoncturelle, mais une désaffection profonde et durable. Une première explication tient au fait que les enseignants sont très mal rémunérés. En France, un enseignant débute avec un salaire annuel environ 20 à 40 % inférieur à celui de son homologue allemand, selon les données OCDE et Eurostat 2023. En outre, le salaire des enseignants du secondaire n'augmente que de 17 % entre le début de carrière et 15 ans d'ancienneté, contre 43 % aux Pays-Bas et 57 % en Pologne. Dans ces conditions, qui choisirait encore ce métier ? À lire aussi Les enseignants sont-ils deux fois moins payés en France qu'en Allemagne et aux Pays-Bas ? Et que dire du pacte enseignant, lancé en 2023, censé réconcilier le terrain et l'institution ? Adopté par à peine un quart des enseignants, il a été perçu comme une tentative d'imposer une surcharge de travail sous couvert de primes à la mission. Il n'a rien réglé. Il a accentué les tensions, les inégalités et la confusion. Ce n'est pas avec des primes conditionnelles ou le recrutement précaire d'enseignants inexpérimentés que l'on restaurera la dignité de l'école. Ce n'est pas en substituant l'affichage à l'ambition que l'on refera naître des vocations. Ce n'est pas avec des réformes improvisées et incessantes que l'on réconciliera les enseignants avec leur mission. Et puis, l'école, lieu de savoirs, est devenue un champ de tensions permanentes. L'autorité du professeur est sans cesse remise en cause. Le moindre mot, la moindre sanction peut faire l'objet d'une contestation, d'une convocation, voire d'un recours juridique. Les enseignants, dans certains établissements, pratiquent l'autocensure : ils n'osent plus évaluer trop sévèrement, plus s'aventurer sur certains contenus, plus contester le comportement d'un élève par peur de la réaction parentale. Ce n'est pas anecdotique. C'est un changement de paradigme. La déresponsabilisation parentale, la judiciarisation outrancière de la relation famille-école, la multiplication des dispositifs de contournement de l'autorégulation scolaire rendent l'exercice du métier infernal. Le climat d'insécurité pénalise les bons élèves, isole les professeurs et désagrège l'esprit même de l'éducation publique. Il faut cesser de penser que la solution passe uniquement par un plus grand nombre de professeurs. Ce qu'il faut avant tout, ce sont moins d'élèves par classe et une orientation plus adaptée Publicité Prenons Amelle, 18 ans, élève de terminale : je n'ai pas réussi à lui faire comprendre qu'il fallait s'entraîner à faire des exercices pour progresser. Sa mère m'a accusée de malveillance, alors qu'Amelle venait en cours sans rien sur la table et refusait de participer, quittant parfois la classe en plein milieu de la séance. La mère, que j'ai eue au téléphone, a soutenu sa fille mordicus. J'ai fini par lâcher. Elle est restée le reste de l'année sans travail, sans suivi, sans vérification. La solution : il faut un cap. Une colonne vertébrale. Revaloriser les carrières, bien sûr, mais aussi les symboles. Défendre les professeurs, les protéger, les former, les accompagner. Refaire du concours un moment d'excellence et non un artifice comptable. Redonner aux équipes éducatives une vraie autorité. Mettre fin aux injonctions contradictoires entre inclusivité absolue et exigence scolaire. Assumer et accompagner le redoublement ou le changement d'orientation, l'exigence disciplinaire et l'autorité structurante. Pour compléter, il faut cesser de penser que la solution passe uniquement par un plus grand nombre de professeurs. Ce qu'il faut avant tout, ce sont moins d'élèves par classe et une orientation plus adaptée. Aujourd'hui, les classes sont surchargées d'élèves qui n'ont ni le niveau, ni l'envie d'être là, et qui, pour beaucoup, souffrent de se voir enfermés dans un système qui ne leur correspond pas. Cette souffrance silencieuse produit de l'agitation, du décrochage, voire de la violence. Elle empêche les apprentissages, démotive les enseignants et détériore le climat scolaire. Nous devons revaloriser les filières en tension, les formations courtes et qualifiantes, les parcours concrets et utiles, qui offrent une insertion professionnelle rapide et valorisante Il devient indispensable d'instaurer une politique ambitieuse de soutien à l'enseignement technologique et professionnel, aujourd'hui marginalisé, alors qu'il permet à de nombreux jeunes de réussir là où la voie générale les condamne à l'échec. Il faut multiplier les passerelles, proposer des orientations cohérentes et choisies, cesser d'envoyer les élèves par défaut dans des filières inadaptées. C'est ainsi que l'on fera respirer les classes, mais aussi les enseignants, épuisés par l'hétérogénéité extrême des profils et des motivations. Il est également temps de remettre en cause le passage automatique vers le lycée général et l'enseignement supérieur. Trop d'élèves y perdent leur temps, et celui de leurs enseignants, sans parler de l'argent public, pour finir dans des métiers qui n'exigent aucune formation longue. Nous devons revaloriser les filières en tension, les formations courtes et qualifiantes, les parcours concrets et utiles, qui offrent une insertion professionnelle rapide et valorisante. Car non, tout le monde n'a pas vocation à devenir cadre. Mais chacun a droit à un avenir digne. Cessons de faire peser sur l'école les renoncements de toute une société. Elle ne peut pas à la fois transmettre le savoir, faire la paix sociale, compenser les inégalités et pallier les défaillances parentales, institutionnelles ou politiques. L'école doit être forte. Pour cela, la France doit cesser de la traiter comme un chantier secondaire. Il est encore temps d'agir. Mais il faut avoir le courage de le dire : il faudra choisir. Entre complaisance et exigence. Entre le déclassement assumé et la reconquête de l'excellence. Publicité Et aujourd'hui, les professeurs attendent bien plus qu'un pacte. Ils attendent une nation qui assume ce qu'elle doit à son école.

Fratries 100 % filles ou 100 % garçons : on sait maintenant pourquoi les frères Dalton n'ont pas de sœur
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Le Parisien

time10 hours ago

  • Le Parisien

Fratries 100 % filles ou 100 % garçons : on sait maintenant pourquoi les frères Dalton n'ont pas de sœur

Pas besoin de lire Lucky Luke pour rencontrer les Dalton : tout le monde a déjà croisé dans sa vie ces fratries exclusivement composées de frères. De même pour les filles du docteur March, il n'est pas rare, dans les repas de famille, que s'invitent à la table des sœurs, rien que des sœurs. C'est forts de cette observation que des chercheurs de Harvard, aux États-Unis, ont entrepris récemment de creuser cette question : est-ce que, conformément à une idée répandue, les futurs parents ont 50 % de chance d'avoir un fils et autant d'accueillir une fille ? La réponse fut sans appel : non. « Plusieurs d'entre nous avaient rencontré des familles – par l'intermédiaire d'amis, de collègues, ou même au sein de notre propre famille élargie – composées uniquement de garçons ou uniquement de filles, raconte Siwen Wang, autrice principale d'un article paru le 18 juillet dans la revue Science Advances . Lors de nos interactions avec les médias ces dernières semaines, plusieurs journalistes ont également partagé leur expérience de familles comptant cinq, six enfants, voire plus, du même sexe. »

"Je ne verrai plus jamais Nemo pareil" : la remarque osée par un élève fait encore rire son prof 13 ans plus tard
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Le Figaro

time2 days ago

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"Je ne verrai plus jamais Nemo pareil" : la remarque osée par un élève fait encore rire son prof 13 ans plus tard

En classe, certains élèves ont le don de surprendre leurs enseignants avec des remarques inattendues. Des anecdotes que beaucoup de professeurs gardent en mémoire toute leur carrière, voire toute leur vie. C'est le cas de David (prénom modifié), enseignant dans une école catholique à San Leandro, en Californie, qui se souvient encore parfaitement de ce jour de 2012 où, en cours d'éducation sexuelle, un élève l'a surpris avec une comparaison à laquelle il ne s'attendait pas. Aux États-Unis, le contenu des cours d'éducation sexuelle varie fortement d'un État à l'autre, car il n'existe pas de programme fédéral uniforme. Mais ils commencent en général à l'école primaire, entre 9 et 10 ans (vers la 4e ou 5e année). Les enseignants abordent les sujets de la puberté, de l'hygiène corporelle, des changements physiques ou encore les bases de la reproduction. Au collège, le programme inclut souvent les relations, le consentement, les émotions. Et, au lycée, les cours peuvent inclure la contraception, les IST, les relations sexuelles, l'orientation sexuelle ou encore la prévention des abus. Outre-Atlantique, les cours d'éducation sexuelle se poursuivent généralement jusqu'à 16-18 ans, selon les écoles. Le fameux cours de David portait, lui, sur la reproduction humaine. Il était avec des élèves de 5e année, équivalent du CM2 en France. Les enfants avaient donc entre 9 et 10 ans. David expliquait alors, avec des mots simples, comment un spermatozoïde devait atteindre un ovule pour qu'une grossesse ait lieu. C'est à ce moment précis qu'un élève lève la main et lance : "Donc… c'est comme Le Monde de Nemo ?". Pris de court, l'enseignant lui demande ce qu'il entend par là. Ce à quoi répond l'élève : "Vous avez dit que le spermatozoïde faisait un long voyage de l'homme à la femme. C'est comme Nemo, avec tous les poissons, et à la fin, il y en a un qui arrive." Un parallèle très imagé, mais pas si faux, admet David. "Euh, ouais… je suppose que c'est un peu comme Le Monde de Nemo", finit-il par répondre, amusé, comme il le raconte au Figaro Étudiant. Aujourd'hui encore, il repense à cet échange avec le sourire. "Ma première réaction, c'était la confusion, puis le rire. Ce garçon savait très bien ce qu'il disait, même s'il gardait un air innocent. Il adorait faire des blagues sans en avoir l'air", confie-t-il. Avant d'ajouter : "Je ne pourrai plus jamais regarder Le Monde de Nemo de la même façon maintenant".

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