
Taureau, Lion, Poissons : Mercure vous invite cette semaine à faire preuve de prudence
Taureau : faites le point sur votre passé
Problèmes de famille à régler, travaux dans votre maison, vente ou achat
d'un bien immobilier… ? Rien n'avance comme vous voulez. C'est Mercure le fautif, qui veut que vous terminiez vos affaires en cours avant de démarrer quoi que ce soit. Profitez-en pour faire le point sur votre passé, vos problèmes d'enfance non réglés pouvant freiner vos avancées. Vous verrez plus clair dans tout cela dès le 22 et serez en paix le 24. Vos amours ?Joyeuses le 18, conquérantes le 19, sensuelles le 20.
Lion : d'intenses réflexions au programme
Ne vous mettez pas trop la rate au court-bouillon si Mercure vous plonge, à partir du 18, dans d'intenses réflexions sur qui vous êtes, comment on vous voit, comment vous interagissez avec les autres… Avec le Soleil dans votre signe le 22, vous pourrez heureusement retrouver vos grandes lunettes roses et renaître à la vie, aux plaisirs, aux désirs ! Profitez au mieux de ce petit moment d'égoïsme et donnez-vous la priorité. Amours joyeuses et sensuelles les 18, 20, 21. Tendres apartés le 23.
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Poissons : Mercure freine vos avancées
Retards de courrier au bureau, rendez-vous annulés, déplacés, différends
au sein de votre équipe… ? Ne vous inquiétez pas ! C'est Mercure le fautif, qui cherche par tous les moyens à freiner vos avancées pour que vous regardiez ce que vous n'avez pas terminé et le finalisiez : dossiers abandonnés pouvant redevenir d'actualité, informations reçues à revérifier... Dès le 22, le Soleil vous aidera à voir plus clair dans tout cela. Ce sera très libérateur le 23. Avec Cupidon, vous planerez jusqu'au 22, et verrez tout en beau et en grand le 23.

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17 minutes ago
- Le Figaro
«Amusez-vous avec votre mère tant que vous le pouvez» : le tendre hommage de Lou Doillon à sa mère Jane Birkin
Deux ans après la disparition de l'artiste, sa benjamine Lou Doillon lui fait honneur ce 24 juillet à travers une photo publiée sur son compte Instagram. Décédée le 16 juillet 2023, Jane Birkin n'était pas seulement une artiste iconique, actrice, chanteuse, scénariste et réalisatrice mais aussi une mère dévouée de trois filles, avec qui elle entretenait de solides relations. Kate Barry (1967), décédée en 2013, Charlotte Gainsbourg (1971), née de sa relation avec Serge Gainsbourg, et Lou Doillon (1982), sa benjamine, née de son union avec le réalisateur Jacques Doillon. Ce 24 juillet, deux ans après le décès de sa mère, Lou Doillon a partagé une photo en story sur son compte Instagram où elle apparaît rayonnante aux côtés de Jane Birkin. Le cliché est accompagné de la légende : «Ça me manque. Amusez-vous avec votre mère tant que vous le pouvez». Quelques semaines plus tôt, Lou Doillon avait également posté un hommage à sa mère, en publiant une photo accompagnée d'une vidéo dans laquelle elle évoquait la mémoire de Jane Birkin, tout en introduisant son propre fils, Laszlo, né en 2022 de sa relation avec l'illustrateur Stéphane Manel. «Elle me manque beaucoup», confiait-elle à la caméra, avant de demander à son fils s'il se souvenait de sa grand-mère. Jane Birkin et Lou Doillon Capture d'écran Instagram @loudoillon Publicité Un amour discret mais inébranlable Dans son hommage, Lou Doillon évoque également l'intensité de sa relation avec sa mère, un amour qui a résisté à plus de 16 ans de lutte contre la leucémie. Jane Birkin, atteinte de la maladie depuis 1998, a toujours cherché à protéger ses filles de sa souffrance. Son amie proche, la photographe Gabrielle Crawford, confie à Paris Match en septembre 2024 : «Jane a toujours voulu protéger Kate, Charlotte et Lou. Elle ne voulait pas leur parler de sa maladie pour les préserver, mais à chaque fois, elles ont deviné». Un amour filial qui a traversé les épreuves. Quelques jours avant son décès, Jane Birkin avait d'ailleurs assisté au mariage de son petit-fils Ben Attal avec Jordan Crantelle le 1er juillet 2023.


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Guillaume Gallienne donne de géniaux conseils pour emmener ses enfants au musée
ART - L'été suit son cours, et les moyens pour s'abriter de la chaleur (ou de la pluie) en vacances en ville quand on est en famille demandent un brin d'imagination. Vous pensez au musée? C'est périlleux, même si Guillaume Gallienne a semble-t-il des conseils à prodiguer, d'après sa dernière vidéo poste sur Instagram, ce vendredi 25 juillet. « Comment les amuser ? », s'interroge le comédien de 53 ans, lui-même papa d'un garçon (aujourd'hui en âge de s'occuper tout seul, il a 18 ans). « Un enfant déjà, on lui dit trois salles maximum, pas plus », continue l'acteur, toujours en pleine promo de son dernier roman Le buveur de brume, paru aux éditions Stock en mai. Il précise : « le reste, il a le droit de courir. Ce n'est pas grave. Il va voir de belles choses quand même. » Viennent ensuite « les petits jeux, nous dit-il. L'enfant va dans la salle d'après, il choisit une œuvre, il invente un titre et revient. Il donne le titre, et il faut qu'on devine de quelle œuvre il s'agit. » Lui a, par exemple, dû deviner une œuvre rebaptisée Grand-mère rock'n'roll, en réalité une peinture d'une vieille dame signée Goya. Guillaume Gallienne en Géorgie Autre possibilité : demander à l'enfant d'aller dans la salle d'après choisir une œuvre. Celui-ci doit ensuite emmener ses parents, leur cacher les yeux et leur faire deviner de quoi il s'agit en la décrivant. « Ça permet de poser des questions petit à petit, de préciser, continue Guillaume Gallienne. Est-ce que c'est figuratif ? Est-ce que c'est abstrait ? Est-ce que c'est grand ? Est-ce que c'est petit ? » Voilà. C'est tout ? Non, il reste une dernière option. « On lui donne un téléphone » et on lui demande de faire « un reportage photo ou vidéo » sur ce qu'il a aimé du musée. « Et là, l'idée du cadre dans le cadre, de la mise en abyme, il s'éclate », assure l'acteur. Ces conseils, dit-il, figurent au programme de son livre paru au sein de la collection Ma nuit au musée, une série d'ouvrages dans laquelle des écrivains sont invités à passer une nuit dans un musée de leur choix, à l'instar de Christine Angot à la Bourse de commerce à Paris ou de Christophe Boltanski au Musée royal de l'Afrique centrale, près de Bruxelles. Guillaume Gallienne avait, lui, jeté son dévolu sur le Musée national de Tbilissi, en Géorgie. Mais par erreur, il s'est retrouvé contre sa volonté à la Galerie nationale, un établissement bien plus modeste puisque celui-ci compte seulement deux salles. Tant pis, pas le choix. Il s'est vu contraint de composer avec cet endroit, où le portrait de son arrière-grand-mère, la princesse Mélita Cholokachvili, venait d'y être déplacé.


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