Tu connais ? Marine Leonardi, l'humoriste qui décomplexe les mères (4/5)
Sur votre smartphone ou votre tablette, écoutez Code source et abonnez-vous sur :
Résumé.
Vous n'avez peut-être jamais entendu parler d'eux, ou au contraire, vous les suivez depuis plusieurs années… Cet été, Code Source vous propose une série de portraits de personnalités très connues au sein de leur bulle mais pas toujours identifiées par le grand public. Quatrième épisode :
Marine Leonardi
.
Ancienne cadre d'une grande marque de cosmétique, Marine Leonardi ne se destinait pas à la scène. C'est après un post-partum difficile qu'elle se lance dans l'humour, en racontant son quotidien de mère débordée sur Instagram. Très vite, ses vidéos cartonnent et rassemblent une large communauté de parents. En 2023, elle démissionne et écrit son premier spectacle « Mauvaises Graines ».
Devenue
chroniqueuse sur France Inter
à la rentrée 2024, elle lancera en 2026 sa tournée des Zénith. Celle qui se moque des injonctions liées à la maternité est devenue, en quelques années, l'une des humoristes les plus en vue du moment.
Code source dresse le portrait de la « daronne » la plus marrante d'Instagram avec Grégory Plouviez, chef-adjoint du service culture du Parisien.
Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio :
Apple Podcast
(iPhone, iPad),
Amazon Music
,
Podcast Addict
ou
Castbox
,
Deezer
,
Spotify
.
Crédits
. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Garnier-Amouroux, Clémentine Spiler, Raphaël Pueyo et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Canal +, France TV, France Inter.
À propos de Code source.
Code source est le podcast quotidien d'actualité du Parisien. Des histoires racontées par les journalistes de la rédaction ou par celles et ceux qui les ont vécues directement. Un rendez-vous porté par le présentateur Jules Lavie et la reporter Ambre Rosala, à retrouver du lundi au vendredi à partir de 18 heures sur LeParisien.fr ou sur les principales plates-formes d'écoute.
Un commentaire ? Écrivez-nous par courriel à codesource@leparisien.fr ou interpellez-nous sur Twitter (
@codesource
)
Hashtags
Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes
Le Figaro
12 minutes ago
- Le Figaro
Un Birkin à 40.000 en guise de sac de plage : les vacances de Kate Moss à Ibiza
La mannequin, en vacances avec sa fille Lila Moss et son amie Jaime Winstone a choisi d'utiliser le sac le plus convoité du monde pour une escapade ensoleillée. Ce mardi 5 août, le légendaire top model britannique a profité d'une après-midi ensoleillée à Ibiza, accompagnée de l'actrice anglaise Jaime Winstone et de sa fille Lila Moss. Et comme très souvent, Kate Moss n'est pas passée inaperçue, puisqu'elle a été photographiée sur la plage avec un sac Birkin d'exception, estimé à près de 35.000 livres, soit environ 40.000 euros. Au programme de ses vacances luxueuses, la star a d'abord profité d'une promenade en yacht, suivie d'une virée shopping, avant d'être aperçue plus tard sur le sable fin de l'île espagnole. Un look de diva Après une session bronzage sur le bateau de luxe aux côtés de Yoni Helbitz, petit ami de Lila Moss, Kate Moss, fidèle à son aura intemporelle, a revêtu une tunique blanche ornée de broderies semi-transparentes, qu'elle a associée à un bas de bikini beige. À son bras, l'iconique Birkin marron, parsemé de sable, en guise de sac de plage. Et de nombreux bracelets à ses poignets. «Quand je suis à Ibiza, j'aime porter des diamants sur la plage», avait confié la mannequin de 51 ans au magazine Vogue il y a quelques années, lors de la présentation de sa nouvelle collection de bijoux pour Messika. De son côté, Lila Moss avait opté pour un look plus classique, et arborait un simple microbikini noir. Publicité Un refuge privilégié Ibiza a conquis définitivement le cœur de la star, qui s'y était déjà rendu l'année précédente pour une escapade mère-fille. À cette occasion, elle était vêtue d'un maillot une pièce noir signé Gottex, d'une valeur d'environ 109 euros. Elle avait sublimé sa silhouette avec des lunettes de soleil noires et des bijoux dorés, fidèle à son style chic et rock. De son côté, sa fille avait jeté son dévolu un bikini marron, rehaussé d'une paire de créoles. Après avoir fait sensation il y a quelques jours dans la campagne automnale de la maison Saint Laurent par Anthony Vaccarello - dont elle rate rarement un défilé de mode -, la muse britannique continue d'influencer la mode avec son allure rebelle et audacieuse... En toutes circonstances.
Le Parisien
12 minutes ago
- Le Parisien
Trottinettes et vélos interdits en zone piétonne dans l'Oise : « Ils n'en ont rien à faire »
Attablés sur la terrasse des Retrouvailles, un café de la rue Carnot situé dans l'hyper centre de Beauvais (Oise), Jérôme et Micka s'amusent à « flasher » les utilisateurs de trottinettes. « Hop, 150 euros d'amende », lâchent-ils dans un éclat de rire. « Et un autre, s'amuse Jérôme. S'ils roulaient au pas, ça irait. Mais là, ça fonce. Ils ne prennent pas en compte les autres. »
Le Figaro
12 minutes ago
- Le Figaro
Treize ans après le décès de Jean-Luc Delarue, sa veuve Anissa fait encore face au fisc
L'héritage de l'animateur et producteur décédé en 2021 des suites d'un cancer de l'estomac est, une nouvelle fois, au cœur d'une bataille judiciaire. Nouvelle affaire judiciaire dans l'héritage de Jean-Luc Delarue . En effet, d'après nos confrères de L'Informé, l'administration fiscale reproche à Anissa Khelifi, la veuve de l'animateur et producteur décédé le 23 août 2012, d'avoir surestimé la valeur de sa société de production Reservoir Prod fondée en 1994 et à l'origine de programmes phares comme «Ça se discute», «C'est mon choix», «Vis ma vie» ou encore «Toute une histoire». Peu après la disparition de son époux, la jeune femme de 30 ans à l'époque avait valorisé la société de production à 9,5 millions d'euros. Mais c'est 14 millions d'euros qu'elle l'a vendue à Mediawan et c'est seulement après qu'elle avait réévalué sa valeur à ce prix. Un montant contesté par le fisc qui estime «dépourvue de toute signification». En 2014, Anissa a eu droit à un premier contrôle et un redressement. Six ans plus tard, elle a demandé une décharge des impositions supplémentaires mais celle-ci a été rejetée en mai 2023. La jeune femme a alors contesté cette décision devant le tribunal administratif de Paris. Et ce 1er juillet, l'instance a, une nouvelle fois, rejeté sa requête. Anissa peut encore faire appel de ce jugement. Publicité La jeune femme n'en est pas à sa première bataille judiciaire. En 2016, un litige, toujours concernant l'héritage de Jean-Luc Delarue, l'avait opposée à Élisabeth Bost, la première conjointe de l'animateur. Cette dernière avait saisi la justice pour faire annuler le mariage du présentateur et de sa fiancée afin que sa fortune globale estimée à 22 millions d'euros revienne entièrement à leur fils Jean. Anissa avait cependant obtenu gain de cause en 2016, si bien que chacune des parties a reçu 11 millions. Seulement avec les droits de succession, le fils du présentateur a été amputé de 45% de la somme et n'a perçu que 6 millions. À lire aussi Élisabeth Bost perd son procès contre la veuve de Jean-Luc Delarue Peu après l'union de Jean-Luc Delarue et Anissa, célébrée quelques mois avant sa mort des suites d'un cancer, le père de l'animateur avait déclaré : «J'aurais dû réagir et stopper ce mariage, et dire que nous voyons tous ici que mon fils n'est pas capable de donner son consentement éclairé !»
