
Malo Gusto titulaire avec Chelsea face au PSG dimanche en finale de Coupe du monde des clubs ?
Titulaire lors de la demi-finale remportée face à Fluminense (2-0, le 8 juillet) et lors du quart face à Palmeiras (2-1, le 5 juillet), Malo Gusto a le droit d'espérer d'être de nouveau aligné au coup d'envoi de la finale de la Coupe du monde des clubs contre Paris, dimanche (21 heures).
Le latéral droit français de Chelsea est en concurrence avec Reece James, qui l'a remplacé à la 68e minute, mardi. Mais l'international anglais, qui avait ressenti une douleur musculaire lors de l'échauffement contre Palmeiras au point de devoir renoncer au match à la dernière minute, ne semble pas avoir recouvré l'intégralité de ses moyens. Enzo Maresca ne veut prendre aucun risque avec ce joueur qui a souvent été blessé cette saison (il a manqué 22 matches, essentiellement à cause de ses adducteurs).
Gusto, qui a également été utilisé comme latéral gauche lors de ce tournoi (contre l'Espérance Tunis), se sent prêt, en tout cas, à répondre au défi parisien. « Peu importe où je joue, confie-t-il au site internet de Chelsea. Le plus important est d'aider l'équipe dans son esprit de conquête et de continuer à pousser tous ensemble. »
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Un tournoi organisé en parallèle des Championnats du monde en présentiel à Las Vegas. L'avantage, c'est l'accessibilité financière, à l'échelle 1/100e des prix d'entrée de compétition des tournois mondiaux sur table. Ainsi, 14 384 joueurs ont participé à la session de Romain, avec un prix d'entrée de seulement 3 euros. Et un joli gain au final de 5 200 euros pour l'Aubois. « J'ai lancé ma grille de tournoi dès 15 heures un dimanche. On jouait jusqu'à 19 heures environ avec ensuite 2 heures de pause, puis de nouveau le jeu jusqu'à 3 heures du matin », raconte-t-il. Dans ce type de tournoi qui s'étale sur plusieurs jours, il y a la possibilité de s'inscrire plusieurs fois sur un « Day 1 » de qualifications. Romain Simard n'a eu besoin que d'une journée pour accéder en table finale et en affrontement à un contre un. « Il n'y a pas de recette magique, sinon ce serait trop facile. 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