
« Sex and the City » : pourquoi nous avons tant aimé Carrie, Samantha, Miranda, Charlotte…
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Le Parisien
7 minutes ago
- Le Parisien
Arrivée du quinté du jeudi 14 août à Deauville : Summer Sail brille de mille feux
Alors que le peloton a opté pour le centre de la piste, dans une épreuve rythmée sous l'impulsion de Lover Song (n° 13), l'élève de Pierre Groualle, qui avait fait ses classes dans des bonnes courses à conditions, a sagement patienté en queue de peloton. Venu en progression le long de la corde à la distance, il a déployé de très belles foulées, à l'intérieur de ses rivaux, se détachant irrémédiablement dans les derniers mètres, à la plus grande satisfaction de Clément Lecoeuvre, son jockey qui remporte son 18e événement : « C'est un super cheval, il avait été un peu décevant lors de sa plus récente tentative mais il effectuait une petite rentrée. Il a un beau changement de vitesse et l'a prouvé ce soir. Il a une belle marge de progression, et c'est top de s'imposer dans un quinté surtout qu'il débutait à ce niveau. »


Le Parisien
7 minutes ago
- Le Parisien
Film « Barbie » déprogrammé à Noisy-le-Sec : une enquête ouverte pour menace et intimidation
Une enquête a été ouverte jeudi en Seine-Saint-Denis, après l'annulation de la projection du film « Barbie » le 8 août dans un quartier de Noisy-le-Sec sous la pression d'un groupe de jeunes habitants, a appris l'AFP auprès du parquet de Bobigny. Le parquet a reçu la plainte déposée jeudi matin par le maire de Noisy-le-Sec, Olivier Sarrabeyrouse (PCF) qui avait décidé d'annuler la projection de « Barbie » afin de protéger les agents de la mairie agressés verbalement ce soir-là selon lui. « Une enquête a été ouverte pour menace, violence ou acte d'intimidation envers un chargé de mission de service public pour qu'il accomplisse ou s'abstienne d'acte de sa mission et confiée au commissariat de Noisy-le-Sec », a précisé une source judiciaire. Une « reprogrammation » du film est prévue La ville avait annulé la diffusion sur écran géant du film « Barbie », en plein air dans le quartier du Londeau, parce qu'une dizaine de jeunes hommes avaient proféré des « menaces insistantes », selon le maire, de mettre un terme eux-mêmes à la séance. Devant la presse vendredi, Olivier Sarrabeyrouse a rappelé qu'il avait qualifiée « d'obscurantisme et de fondamentalisme » leur attitude et condamné leur argument « totalement fallacieux » selon lequel ce film prônait l'homosexualité et portait atteinte à l'image de la femme. La mairie travaille à « la reprogrammation de ce film » dans des délais raisonnables, a-t-il annoncé, en souhaitant un moment de débat pour ne pas laisser « un groupe d'hommes se poser en censeurs moraux ». Mais l'élu s'est indigné du caractère « totalement disproportionné » de la polémique ayant suivi. « Je condamne avec encore plus de fermeté la récupération politicienne, la spéculation et la haine raciste islamophobe qui se déverse depuis 24 heures par la droite et l'extrême droite », a-t-il insisté. « Pas adapté », « pas correct », « trop vulgaire » Réalisé par Greta Gerwig, le film est une satire féministe qui voit Barbie, interprétée par Margot Robbie, découvrir la misogynie du monde réel. Sur l'esplanade où le film devait être projeté, plusieurs jeunes hommes ont estimé jeudi auprès de l'AFP que pour les nombreux enfants de moins de 10 ans présents le 8 août, le film n'était « pas adapté », « pas correct », « trop « vulgaire », tout en affirmant que ce rejet « n'a rien à voir avec l'islam ou la religion ». VidéoLa projection de « Barbie » annulée après des menaces


Le HuffPost France
an hour ago
- Le HuffPost France
« Papamobile », le dernier film « pas drôle » avec Kad Merad sort en catimini, retour sur un raté très rare
DR CINÉMA - Un véritable fiasco. Sorti mercredi 13 juillet, le film Papamobile dans lequel l'acteur Kad Merad incarne un souverain pontife enlevé par un cartel mexicain aux côtés de Myriam Tekaïa, n'est diffusé que dans sept salles de cinéma, malgré son budget de 1,2 million d'euros. Dans les colonnes du Canard Enchaîné, le producteur Jean Bréhat reconnaît un « raté », pour expliquer cette quasi-invisibilisation du film même pas diffusé à Paris. « C'est une comédie pas drôle, selon la plupart de ceux qui l'ont vue. Ça arrive dans le métier », admet-il. Lire aussi Kad Merad travaille bien sur le retour de « Baron Noir », dont il prévoit le tournage en 2026 La distributrice, Violaine Barbaroux a quant à elle expliqué au journal Le Parisien ne pas avoir voulu investir les 200 000 euros de frais de sortie. « Le premier montage en 2024 n'était pas satisfaisant. Puis le montage définitif s'est révélé décevant, pas seulement pour nous, et pas à la hauteur du scénario, du réalisateur, de ses acteurs et des promesses associées », a-t-elle développé. Un « nanar revendiqué » tourné au Mexique La société de distribution s'est donc contentée d'une sortie technique, dans sept salles, afin d'honorer les obligations prises avec le Centre national du Cinéma (CNC). Le film sera disponible dans six villes : Avignon (Vaucluse) ; Bagnoles-de-l'Orne (Orne) ; Saverne (Bas-Rhin) ; Douvaine et Évian-les-Bains (Haute-Savoie) ; Romans-sur-Isère (Drôme). Hormis Avignon, toutes ces villes comptent moins de 35 000 habitants. Il sera par ailleurs impossible de voir Papamobile en Île-de-France. Dans Le Parisien, le réalisateur du film Sylvain Estibal affirme avoir pensé le film, tourné pendant un peu plus de trois semaines au Mexique en 2023, comme ayant « un côté nanar revendiqué ». Il a également regretté que le producteur « s'exprime ainsi dans la presse le jour de la sortie » du film, au lieu de défendre le projet. Le film sur les plateformes en 2026 ? « C'était censé être une grosse comédie d'action, mais dès le début, on n'a pas eu le budget espéré », déplore le cinéaste césarisé en 2011 pour Le cochon de Gaza. Il indique par exemple que le projet était de tourner à Rome dans les studios de Cinecitta mais que faute d'argent il a dû se résoudre à tourner au Mexique où il a peiné à trouver des acteurs locaux parlant français. Sylvain Estibal ajoute avoir dû couper une dizaine de pages du scénario faute d'avoir pu les tourner. Mais il confie au journal avoir trouvé « une belle énergie » sur le tournage et assure que Kad Merad en a gardé un « excellent souvenir ». « Il est beau visuellement. J'espère qu'avec le temps, les gens y trouveront du charme », conclut le réalisateur qui espère que la distribution ne sera pas remise en cause.