
Temps automnal, retour de la chaleur... À quoi faut-il s'attendre pour la météo de cette semaine ?
Des températures basses et des averses sont attendues en ce début de semaine. Puis, le soleil fera son grand retour à partir de mercredi, et le thermomètre atteindra les 30 degrés presque partout vendredi, annonce La Chaîne Météo* .
Un temps automnal lundi et mardi
Lundi 7 juillet, le temps est automnal sur la plupart du territoire, avec des averses parfois orageuses du sud-ouest à l'Est. L'après-midi et le soir, un temps plus sec et de belles éclaircies reviennent dans l'ouest et près de la Méditerranée. Il fera jusqu'à 35°C à Nice.
Publicité
Mardi 8 juillet, les températures seront également basses pour la saison dans la matinée. Puis, l'après-midi, le temps restera instable de l'Alsace à la région Rhône-Alpes avec des averses parfois orageuses alors que le beau temps reviendra sur les régions de l'ouest et du sud.
Le retour du soleil et de la chaleur en fin de semaine
Mercredi 9 juillet, le temps sera ensoleillé partout en France. Les températures seront fraîches le matin avant que l'air ne commence à nouveau à se réchauffer, particulièrement dans le Midi où il fera jusqu'à 31 °C à Perpignan et Montpellier.
Jeudi 10 juillet, après une matinée agréable et douce, le thermomètre dépassera les 24°C partout sous un soleil généralisé. Les températures pourraient dépasser les 30°C sur les deux tiers sud du pays.
Puis, vendredi 11 juillet, les fortes chaleurs s'étendront à la plus grande partie du territoire, toujours sous un soleil radieux. Seules les régions proches de la Manche conserveront une chaleur plus modérée.
*La Chaîne Météo est une propriété du groupe Figaro.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
Des pics à 40 °C en journée, absence de pluie... Le début d'été 2025 est le plus chaud jamais observé
Si les records sont faits pour tomber, celui que vient de battre la France n'est pas une bonne nouvelle. Et donne malheureusement raison aux climatologues qui nous annoncent depuis vingt ans des étés toujours plus torrides que les précédents. « Avec un indicateur thermique de 22,6 °C, la période du 1er juin au 5 juillet a été la plus chaude jamais observée en France, devant 2003 avec un indicateur de 22 °C sur la même période », affirme Gilles Matricon, météorologue à la Chaîne Météo. En cause : des vagues caniculaires à répétition liées à un dôme de chaleur consécutif à la remontée de hautes pressions subtropicales. Ce dôme, centré au-dessus de la France, est resté bloqué des semaines à l'ouest de l'Europe. La première vague de chaleur s'est produite du 12 au 15 juin . La seconde, beaucoup plus longue, a duré dix-sept jours ! « Ce qui a fait de cette canicule la 3e la plus précoce, intense et longue à cette période de l'année depuis 1947 en France », détaille le météorologue. « Les périodes de chaleur étant de plus en plus présentes, étendues et sévères, il n'est pas étonnant que les records tombent, embraye le climatologue Guillaume Séchet. Et comme le climat est de moins en moins stable, ça fausse la notion même de normale météo et de records. » Et ce qui nous paraissait il y a encore quelques années exceptionnel devient aujourd'hui de plus en plus régulier. « En juin, la température a dépassé localement 40 °C la journée et n'est pas descendue sous 20 °C la nuit, rembobine Météo France. Plusieurs villes comme Toulouse, Avignon, Perpignan ou Colmar ont connu un nombre record de jours de très fortes chaleurs avec une température maximale dépassant 35 °C. » Ajoutez à cela la pluie aux abonnés absents avec des précipitations déficitaires de 30 % en moyenne sur le pays, et un manque d'eau particulièrement marqué près de la Méditerranée où il n'a quasiment pas plu et voilà que le spectre de la sécheresse ressurgit. En déplacement à Orléans (Loiret), la ministre de la Transition écologique a jugé lundi « déjà préoccupante » la situation de la ressource en eau . « 18 départements sont en situation de crise et quarante-huit font l'objet de mesures de restrictions » a détaillé Agnès Pannier-Runacher. Les conséquences selon elle de « l'impact du dérèglement climatique avec lequel nous allons devoir apprendre à vivre ». « Les dix étés les plus chauds jamais observés en France ont tous été enregistrés au XXIe siècle », souligne Météo France qui rappelle que dans le cas d'un scénario climatique catastrophe où la France subirait + 4 °C à l'horizon 2100, nos étés seraient littéralement invivables. « Ils seraient plus chauds que tous ceux connus jusqu'à aujourd'hui. Des températures supérieures à 40 °C pourraient se produire tous les ans, et des records de chaleur pourraient atteindre localement jusqu'à 50 °C ! » Si le thermomètre s'emballait à ce point, il faudrait alors s'attendre à dix fois plus de jours de vague de chaleur à la fin du siècle. Sur l'arc méditerranéen, les nuits chaudes, au-delà de 20 °C, seraient alors la norme, avec jusqu'à 120 nuits tropicales par an le long du littoral. Mais revenons à 2025. Car si, dans le nord du pays, ce début de semaine a été marqué par le retour de la pluie et par une chute drastique de la température, cette parenthèse de fraîcheur ne sera que très passagère. La Chaîne Météo estime qu'un nouvel épisode de forte chaleur est en vue à partir de la fin de semaine et pour la période du 14 juillet. Une nouvelle canicule pointerait même le bout de son nez.


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
En Méditerranée, un très ambitieux projet de recensement génétique de toutes les espèces marines
Réservé aux abonnés REPORTAGE - Pendant quinze jours, une cinquantaine de scientifiques récoltent et étudient les organismes marins méditerranéens dans le but de séquencer l'ensemble des génomes. Le cadre est idyllique, paradisiaque, même. « Peut-être un peu trop, plaisante Bertrand Bed'hom, professeur au Muséum national d'histoire naturelle. En regardant par la fenêtre, nous voyons les nageurs, et la chaleur nous donne une folle envie de les rejoindre. » Nichée au-dessus de l'anse de la Batterie des Lions à Marseille, la station marine de l'Institut méditerranéen d'océanologie offre un écrin incroyable au projet ATLASea, piloté par le CNRS et le CEA. Entamé l'été dernier, le programme doit encore courir pour au moins sept ans. L'objectif est toujours aussi audacieux : séquencer l'ensemble du génome des espèces qui peuplent les mers de France. Autrement dit, disposer pour tous les organismes qui vivent dans les eaux françaises d'un ADN de référence. À l'instar des « types », ces spécimens que l'on retrouve dans toutes les collections biologiques qui permettent de définir une espèce, l'objectif est de constituer une bibliothèque génétique avec un représentant pour chaque…


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Défilé - Imane ayissi - Couture Automne-Hiver 25-26
Vous avez choisi de refuser les cookies Et pourtant, la publicité personnalisée est un moyen de soutenir le travail de notre rédaction qui s'engage à vous proposer chaque jour une information de qualité. À tout moment, vous pouvez modifier vos choix via le bouton 'paramétrer les cookies' en bas de page.