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Isla Johnston pressentie pour incarner Jeanne d'Arc dans le prochain film de Baz Luhrmann

Isla Johnston pressentie pour incarner Jeanne d'Arc dans le prochain film de Baz Luhrmann

Le Figaro2 hours ago
Coécrite par la scénariste Ava Pickett, cette nouvelle adaptation de la vie de la pucelle d'Orléans s'inspirerait largement du roman Rouge sans, sœur Rose de l'auteur Thomas Keneally. Le casting est en cours.
Avec Napoléon Ier et Louis XIV, Jeanne d'Arc est l'un des personnages historiques français les plus joués au cinéma. De la Passion de Jeanne d'Arc de Carl Theodor Dreyer (1928) à Jeanne de Bruno Dumont (2019), en passant par l'adaptation de Luc Besson (1999), la vie héroïque de la pucelle d'Orléans a été incarnée, avec plus ou moins de liberté, plusieurs dizaines de fois sur le grand écran.
Depuis 2024, c'est le cinéaste américain Baz Luhrmann (Moulin Rouge, Gatsby le Magnifique ) qui travaille sur la prochaine adaptation de l'héroïne au cinéma. Intitulé Jehanne d'Arc, le casting de son long-métrage aurait déjà commencé selon Deadline, le 14 août. La comédienne britannique Isla Johnston, connue pour son rôle de Beth Harmon version adolescente dans la mini-série de Netflix Le Jeu de la Dame, serait pressentie pour incarner la guerrière du XVe siècle.
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Produit par Warner Bros, le film est actuellement coécrit par le cinéaste et la scénariste Ava Pickett. Son intrigue serait largement inspirée du roman Rouge sans, sœur Rose de l'auteur Thomas Keneally. Publié en 1974, cet ouvrage explore la psychologie imaginaire de l'héroïne et raconte une partie de son histoire, en débutant par son enfance à Domrémy, en Lorraine, jusqu'au couronnement de Charles VII (1422-1461) à Reims.
À lire aussi Jeanne d'Arc : l'histoire d'une guerrière en dix films
Repérages à Domrémy et Rouen
Afin de s'imprégner au mieux de la vie de Jeanne d'Arc, Baz Luhmarnn et Ava Pickett se sont rendus sur les lieux clés de sa vie. Selon Deadline, le réalisateur et la scénariste ont visité son village natal de Domrémy ainsi que Rouen, cité où la guerrière périe par les flammes en 1431. Pour l'instant, le film est encore en préparation. Son tournage n'a pas encore commencé, tandis que sa date de diffusion n'a pas été dévoilée.
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Ex-militaire, souffre-douleur… qui était Jean Pormanove, le streamer français décédé en direct sur Kick ?
Ex-militaire, souffre-douleur… qui était Jean Pormanove, le streamer français décédé en direct sur Kick ?

Le Parisien

time25 minutes ago

  • Le Parisien

Ex-militaire, souffre-douleur… qui était Jean Pormanove, le streamer français décédé en direct sur Kick ?

À l'écran, son visage pâle et amorphe dépasse d'une épaisse couverture blanche. Jean Pormanove, streamer aux centaines de milliers d'abonnés, est allongé aux côtés de ses compères du « Lokal ». Tous semblent dormir. Depuis plus de douze jours, ce collectif de vidéastes se filme en direct, 24 heures sur 24, sur la plate-forme Kick, et ce lundi matin, les quelques spectateurs encore connectés sur le « live » pensent observer les quatre hommes en train de se reposer. Ils ignorent encore que l'un d'entre eux n'est plus de ce monde. Jean Pormanove, de son vrai nom Raphaël Graven, est décédé dans la nuit de dimanche à lundi à Contes (Alpes-Maritimes). Une scène diffusée en direct, puis rediffusée sur d'autres réseaux sociaux, aux yeux de millions de Français. Le streamer « Naruto », allongé à quelques centimètres de lui au moment du drame, a annoncé la nouvelle sur son compte Instagram lundi après-midi, tout en demandant de ne pas relayer ces images. De son côté, le parquet de Nice a confirmé son décès ainsi que l'ouverture d'une enquête, menée par la police judiciaire. Premières vidéos à succès en 2020 Les causes exactes du décès du vidéaste n'ont pas encore été déterminées. Mais cette mort soudaine a suscité une vague d'émotion et d'interrogations chez les internautes. Depuis, certains ont entrepris de mettre en lumière les agissements des streamers « Naruto », de son vrai nom Owen Cenazandotti, et « Safine », ses anciens associés du « Lokal ». Défis extrêmes, humiliations, violences physiques et psychologiques… Des dizaines d'extraits vidéo documentent les souffrances vécues et diffusées en direct depuis des mois par « JP ». Même si rien ne permet pour l'heure d'établir un lien formel entre ces séquences et le décès du streamer, les images choquent. Ex-militaire, Jean Pormanove a exercé, selon ses dires sur les réseaux sociaux, à la base aérienne 128 de Metz-Frescaty de 1997 à 2007. Son parcours est ensuite mystérieux, et on en retrouve le fil il y a cinq ans seulement. Il se fait connaître dans le monde du gaming début 2020, en pleine crise sanitaire. Ses réactions rageuses après ses défaites sur le jeu vidéo « Fortnite », aux côtés de streamers de renom comme The Kairi 78 ou Le Bouseuh, font gonfler son audience. Les premières moqueries le visant, tant sur le plan physique qu'intellectuel, se font jour. « JP » poursuit tout de même son ascension et commence à cumuler les centaines de milliers d'abonnés sur Twitch, TikTok ou encore Instagram. Sa direction artistique reste la même : des réactions disproportionnées durant des parties de jeux vidéo populaires, comme « FIFA » ou « GTA ». [4/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter « Je me fais bouffer par des chiens d'attaque » Comme beaucoup d'autres streamers venus du jeu vidéo avant lui, sa carrière prend ensuite une autre tournure. Aux côtés de « Naruto » et « Safine », Jean Pormanove sort de la sphère du gaming et se lance dans les défis extrêmes et dangereux. En juillet 2022, il diffuse sur sa chaîne YouTube une première vidéo dans ce style, intitulée « Je me fais bouffer par des chiens d'attaque ». Un premier point de bascule. Depuis, l'essentiel des contenus de « JP » sont diffusés en direct sur la plate-forme de streaming Kick, très légère en matière de régulation, et sur la chaîne YouTube @LeLokalTV. « Coudoux », un homme en situation de handicap sous curatelle, se joint au trio. Les défis extrêmes se muent en humiliations pour Jean Pormanove et ce dernier. Violences physiques, insultes, jets de peinture, vols d'affaires… Pour gonfler l'audimat et obtenir des dons de la part des viewers, les scènes dégradantes se multiplient et nourrissent le catalogue du Lokal. À la suite d'un article publié par nos confrères de Mediapart sur ces vidéastes controversés, la police judiciaire de Nice prend en main le dossier en décembre dernier. Une enquête pour « violences volontaires en réunion sur personnes vulnérables (…) et diffusion d'enregistrement d'images relatives à la commission d'infractions d'atteintes volontaires à l'intégrité de la personne » est alors ouverte. Placés en garde à vue quelques semaines plus tard, « Naruto » et « Safine » nient les faits, avant d'être relâchés. Des messages troublants avec sa mère Cette convocation ne change pourtant rien aux habitudes des deux streamers, qui repartent de plus belle. Jusqu'au drame. Le récit des derniers jours de Jean Pormanove est celui d'un cauchemar. Il y a près de deux semaines, les vidéastes du Lokal lancent un live « marathon », promettant ainsi à leurs abonnés d'être en direct 24 heures/24 jusqu'à avoir atteint la barre symbolique des 40 000 euros de dons. Pour inciter les « viewers » à être généreux, la même méthode est recyclée : « JP » est frappé, moqué, humilié devant des milliers de spectateurs. Vendredi, trois jours avant la mort de Jean Pormanove, « Naruto » s'empare du téléphone de ce dernier, et lit face caméra ce qu'il affirme être un message envoyé par le quarantenaire à sa mère. « Maman, comment tu vas ? Coincé pour un moment avec ce jeu de mort (…) J'ai l'impression d'être séquestré avec leur concept de merde (…) J'en peux plus, je veux me barrer », aurait notamment écrit « JP ». « Tu as maigri et tu es fatigué », lui aurait alors répondu sa mère. « Regarde-moi… T'as jamais eu une meilleure mine que ça, fils de pute », réagit en direct « Naruto ». 🚨🇫🇷🕊️ "IL ME SÉQUESTRE" Voici ce qu'a envoyé Jean Pormanove à sa maman quelques jours avant son décès : « Salut maman. Comment tu vas ? Coincé à la mort avec son jeu. Ça va trop loin. J'ai l'impression d'être séquestré avec leur concept de merde. J'en ai marre je veux me… — Impact (@ImpactMediaFR) August 18, 2025 Lundi matin, un compteur défile sur le live. 298 heures, 29 minutes et 54 secondes : les streameurs sont en direct depuis maintenant plus de douze jours. Il ne leur manque que 4 000 euros pour atteindre leur objectif de dons. Dans le chat, les spectateurs remarquent que « JP » ne bouge plus du tout depuis de longues minutes, et demandent à « Naruto » de vérifier que tout va bien. Le streamer s'exécute et lance une bouteille d'eau au niveau de la tête du quarantenaire. Aucune réaction. La retransmission est alors coupée et ne redémarrera jamais. Une autopsie va désormais être réalisée afin de déterminer les causes exactes de la mort de Jean Pormanove. Indignation du gouvernement, l'Arcom saisie Ce décès diffusé en direct a provoqué l'indignation au sein même du gouvernement. Clara Chappaz, ministre déléguée chargée du Numérique, a évoqué sur son compte X « une horreur absolue ». Elle assure aussi avoir « saisi l'Arcom et effectué un signalement sur Pharos », le service de lutte contre la violence en ligne. Contactée par l'AFP, la plate-forme de streaming Kick a indiqué ne pas pouvoir commenter l'affaire, en raison de sa propre politique de confidentialité. Elle souligne dans ses conditions d'utilisation que « bien que la violence puisse être contextuelle et avoir des conséquences variables, nous interdisons tout contenu représentant ou incitant à une violence odieuse ».

«On est dans l'inconnu, on a peur» : Claudia Tagbo revient sur le cancer du sein qui l'a frappée
«On est dans l'inconnu, on a peur» : Claudia Tagbo revient sur le cancer du sein qui l'a frappée

Le Figaro

time25 minutes ago

  • Le Figaro

«On est dans l'inconnu, on a peur» : Claudia Tagbo revient sur le cancer du sein qui l'a frappée

Invitée du podcast «Boum Boum» d'Alexandra Roost, la comédienne s'est confiée sur la maladie contre laquelle elle s'est battue et sur les leçons de vie qu'elle en a tirées. Dans un grand entretien diffusé sur YouTube, Claudia Tagbo (Disparition inquiétante, Le crime lui va si bien ...) et Alexandra Roost ont évoqué mille et une petites et grandes questions de l'existence. La famille, le sport, le travail, la comédie, le MMA, les Jeux Olympiques de Paris, la détermination, sa mère, son rire, le théâtre, l'amour, les autres, le stand-up, l'esprit et le corps. S'agissant de ce dernier, Claudia Tagbo est revenue sur le cancer qui lui a été diagnostiqué à l'âge de trente ans. «On est dans l'inconnu, on a peur, forcément. On se pose tout un tas de questions. Passer par la chimio, la reconstruction, toutes ces étapes, on les vit au fur et à mesure. La grosse part de la guérison, c'est surtout d'accepter le fait d'être malade», confie-t-elle. Publicité Le soutien de son compagnon Durant cette période difficile, la comédienne révèle aussi avoir pu compter sur le soutien de son compagnon : «C'est un combat que tu vas mener toi, toute seule, face à la maladie. Même si tu es bien entourée et que le cancer du sein est bien pris en main […] c'est un truc de l'ordre de l'intime. Ma chance était que j'étais accompagnée. J'avais un homme dans ma vie. […] J'étais entourée d'énormément d'amour, donc c'est passé crème. Cette épreuve m'a appris à porter beaucoup de choses. On n'est pas immortels.» À lire aussi Faut-il regarder R.I.P. Aimons-nous vivants ! sur TF1, avec Claudia Tagbo en croque-mort cocasse ? De ce choc, philosophe, elle confesse qu'elle a «pris conscience» de ce corps qui est le sien, de la fragilité de la vie, de la chance que l'on a, des plaisirs de l'existence et l'impératif de prendre soin de soi (et des autres). «Je n'ai pas cherché cette maladie. Elle est arrivée à moi. On s'est rencontrées...», assume-t-elle. Aujourd'hui, Claudia Tagbo a transformé cette épreuve de vie. Elle sera à la rentrée sur la scène du Grand Rex à Paris dans Orso et le secret des étoiles, spectacle dans lequel elle incarne le soleil. On la verra ensuite sur le petit écran, dans Grandiose, prochaine minisérie de TF1 sur les troubles du comportement alimentaire chez les ados, dans laquelle elle donne la réplique à Catherine Benguigui et Catherine Frot, notamment.

Comment Dieudonné a réussi à attirer des dizaines de fans dans la Marne malgré l'interdiction de son spectacle
Comment Dieudonné a réussi à attirer des dizaines de fans dans la Marne malgré l'interdiction de son spectacle

Le Parisien

time25 minutes ago

  • Le Parisien

Comment Dieudonné a réussi à attirer des dizaines de fans dans la Marne malgré l'interdiction de son spectacle

Sur son compte X (ex-Twitter), Dieudonné a posté une photo de lui où il est entouré par les gendarmes. Les feuilles de son spectacle en main pour indiquer -sans doute- qu'il jouera ce dimanche 17 août au soir un autre spectacle que celui interdit par le préfet de la Marne. Le représentant de l'Etat avait en effet pris un arrêté pour interdire « Istanbul » le spectacle du polémiste. La préfecture invoquait les « condamnations pénales de l'humoriste, pour propos à caractère antisémite, qui incitent à la haine raciale ». En restant discret, Dieudonné parvient depuis plusieurs années à contourner les arrêtés d'interdiction pris également par les maires. A chaque fois, il use du même stratagème : il annonce sa venue dans une ville mais le spectacle a lieu à 20km à la ronde. Autour de Reims, dimanche dernier, Dieudonné avait jeté son dévolu sur les bords de Marne à Damery, comme ce fut déjà le cas en août 2019. Comme à l'époque, un ballet de gendarmes a quadrillé la zone dès l'après-midi même. Face à l'interdiction de se produire dans des salles de spectacle, l'humoriste a trouvé la parade en louant des salles sous d'autres noms ou en se produisant en pleine nature comme à Damery (Marne). Ce n'est que quelques heures avant le début du spectacle que le lieu est révélé aux spectateurs, à qui il est demandé de « venir avec des chaises pliantes ». En juillet dernier, un de ses spectacles a été interrompu par la gendarmerie dans le Pas-de-Calais. « Comme si on avait affaire à un terroriste » Comme en 2019, la mairie de Damery indique n'avoir pas été avertie de la manœuvre. Quant aux spectateurs, ils n'ont pas tari d'éloges sur les réseaux sans jamais mentionner le nom de la commune. « Tout était super. Que dire aussi de la représentation champêtre ? On voit que l'organisation en pleine campagne est bien rôdée avec boutique éphémère, bar et chaises pour ceux qui auraient oublié la leur. » « Quelle belle soirée hier sur les bords de Marne avec les vignes alentours. Un super cadre pour une soirée de rigolade tout en décontraction malgré la présence des gendarmes. » D'autres ont moins « rigolé » justement. C'est le cas du responsable du Parc de Loisirs Country Side à Damery. Cette « animation » dans la commune lui a fait une pub peu reluisante. Le journal « L'union » a précisé dans son article que le spectacle de Dieudonné s'était déroulé au sein de son établissement, ce qu'il dément formellement. « Ca n'a pas eu lieu dans mon parc d'activités. C'est fatiguant d'être ciblé. Moi je n'ai rien à voir, d'ailleurs mon nom n'est cité nulle part. Le dimanche j'étais parti installer un escape game pour un groupe de quatre personnes. J'ai croisé les gendarmes sur place. Ils avaient déployé un effectif impressionnant, ça prend la même ampleur que si on avait à faire à un terroriste ».

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