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Foot : Yamal prolonge au Barça et récupère le numéro 10 de Messi

Foot : Yamal prolonge au Barça et récupère le numéro 10 de Messi

Le Figaro16-07-2025
Lamine Yamal vient de prolonger l'aventure jusqu'en 2031 à Barcelone. Le club catalan a donné l'illustre numéro 10 de Messi à son jeune prodige par la même occasion.
Deux annonces en une pour le Barça et Lamine Yamal. Le club catalan a officialisé la prolongation de contrat de sa pépite de tout juste 18 ans jusqu'en 2031. Côté symbolique, l'ailier espagnol a délaissé son numéro 19 pour prendre le 10, précédemment attribué à la légende Lionel Messi.
Ne pas finir comme Ansu Fati
C'est la deuxième fois depuis le départ de l'octuple ballon d'or que le numéro 10 est attribué. En 2021, la tête d'affiche de l'époque, Ansu Fati, en avait hérité. La suite de l'histoire ne sera pas glorieuse entre blessures, mauvaises performances et prêts peu concluants. Lamine Yamal est bien parti pour faire mieux.
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Tout juste retraité du circuit professionnel, Richard Gasquet va retrouver Dominic Thiem en finale du tournoi d'exhibition de Playa Luanco. Avec une petite particularité : les matches se déroulent sur sable, et même sur une plage à marée basse. Pas si loin de la terre battue d'Estoril (Portugal), où ils s'étaient rencontrés pour la dernière fois sur le circuit professionnel l'an dernier, Richard Gasquet et Dominic Thiem vont se retrouver sur le court. Les deux anciens du top 10 mondial vont s'affronter en finale du tournoi d'exhibition de Playa Luanco, dans les Asturies (Espagne). S'ils se sont déjà affrontés 6 fois en matches officiels, Gasquet et Thiem n'ont sûrement jamais tapé la balle ensemble sur un terrain fait de sable. Ce sera donc une première, ce jeudi, pour les deux hommes, qui se disputeront ce titre - honorifique - à partir de 21h15. Et pour cause, les matches se jouent sur la plage, et il faut donc attendre la marée basse. Ferrero, Verdasco et Ferrer y ont participé Près de 2500 fans de tennis ou simple spectateurs intrigués se massent chaque jour dans les tribunes sur pilotis. Cette année, outre les deux finalistes, le Français Benoit Paire a participé au tournoi, qui a attiré par le passé des stars du tennis espagnol comme Juan Carlos Ferrero, Fernando Verdasco ou encore David Ferrer. Reste à savoir qui sera le successeur de Diego Schwartzman, vainqueur l'an dernier pour sa première participation. Et il y aura au moins un peu d'enjeu, Gasquet et Thiem affichant un bilan partagé de 3 victoires chacun, lors de leurs confrontations sur le circuit ATP.

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Avant de lancer le WTA 1000 de Cincinnati, Iga Swiatek a voulu faire une petite mise au point pour tous ceux qui considèrent son sacre à Wimbledon comme un retour après des mois difficiles. Avant de gagner Wimbledon, presque à la surprise générale tant elle n'avait jamais brillé sur gazon, Iga Swiatek traversait ce qu'on ne pouvait guère qualifier de sa meilleure saison. Aucun titre au compteur, même sur sa très chère terre battue, et une seule finale (sur gazon !) avant Wimbledon. De quoi parler de retour après son sacre anglais. Un terme qui n'est pourtant pas au goût de la Polonaise. « De retour... Je pense que c'est un concept inventé par les médias et qu'il va falloir me l'expliquer, lâche-t-elle sans chercher à faire de l'humour. Je ne suis jamais partie, j'étais bien là. Même si d'autres filles ont pu performer ces six derniers mois, cela ne veut pas dire que je n'étais pas là... » Vraiment pas à l'aise avec l'idée d'un retour, elle insiste. « Il y a eu pas mal de tournois où j'ai bien joué, où j'étais en demi-finales. C'est le sport, ça arrive, on ne peut pas gagner tout le temps. Mais je n'étais pas partie, j'étais bien là. » Message reçu fort et clair. « C'est difficile d'arriver à profiter des victoires en Grand Chelem. Là, je me suis dit que j'avais le droit d'en profiter et tant pis si je perdais au deuxième tour du prochain tournoi. » Iga Swiatek sur son break après son titre à Wimbledon Au pire, elle veut bien concéder qu'elle est de retour de vacances post Wimbledon. « Cinq jours de vacances. Trois et demi, si on enlève les transports... Mais j'en avais besoin. J'ai refait le plein d'énergie. J'ai passé du temps sur un bateau avec des amies et j'en avais besoin. » Mais il y a quand même eu un passage par Montréal avant de retrouver l'Ohio et Cincinnati. Une défaite en huitièmes de finale face à Clara Tauson (7-6, 6-3) qui ne prête pas à conséquence et qui était entachée de trop de mauvais réflexes hérités du gazon. « J'ai voulu trop faire de coups gagnants », ajoute-t-elle. Un nouvel état d'esprit Surtout, elle avait anticipé cette défaite. Elle détaille. « C'est difficile d'arriver à profiter des victoires en Grand Chelem. Pour mon premier Roland-Garros, c'était naturel car c'était le dernier tournoi de la saison 2020. Mais par la suite, même en prenant quelques jours, il y a la saison sur gazon qui arrive très vite et il faut tout de suite se mobiliser. Après, Wimbledon, c'était un peu différent et j'ai voulu en profiter. D'habitude, ce n'est pas quelque chose que je m'autorise tellement, je pense tout de suite au prochain tournoi. Là, je me suis dit que j'avais le droit d'en profiter et tant pis si je perdais au deuxième tour du prochain tournoi. Gagner Wimbledon, c'est quelque chose qui me restera toute la vie. Et il m'a fallu un peu de temps pour y arriver. » « Je gagne un tournoi, je prends une serviette, ça fait un souvenir. » Ce qui lui reste aussi, c'est l'emballement inattendu autour de son goût pour les pâtes aux fraises, « Non, ce n'est pas possible, les gens ne se sont pas mis à en manger... » et pour sa passion pour les serviettes de Wimbledon. « Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que ça devienne des ''hot topics''. Les serviettes, pour être franche, elles ont disparu chez mes amis et ma famille. Il ne m'en reste qu'une seule. Après, ça reste un beau souvenir quand on a gagné un Grand Chelem. Je me vois bien dans 30 ans tenir une serviette et me dire que j'avais gagné ce tournoi. Voilà, je gagne un tournoi, je prends une serviette, ça fait un souvenir. » L'organisation du WTA 1000 de Cincinnati est prévenue et les stocks sont prêts. Les raisons du retour de Venus Williams

Les notes de Nice-Benfica : Jansson en difficulté, Mendy dépassé
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Les notes de Nice-Benfica : Jansson en difficulté, Mendy dépassé

Transparente sur le front de l'attaque, la recrue suédoise du Gym, Isak Jansson, ne s'est pas mise en valeur lors de la défaite de Nice face à Benfica (0-2), à l'entame du troisième tour préliminaire de Ligue des champions. En défense, la fébrilité du jeune Antoine Mendy a pesé lourd dans un match où il est impliqué sur les deux buts. À part une mauvaise relance au pied (15e), on ne pouvait rien lui reprocher jusqu'à la 88e minute. Il avait maintenu son équipe à flot sur le coup franc de Rios (30e), le tacle de Dante (39e) et une frappe d'Ivanovic (62e). Et puis est arrivée cette frappe de Florentino Luis où il est masqué par 2 joueurs devant lui puis trompé par le rebond... En première période, le défenseur a toujours semblé à la limite, à l'image de cette hésitation devant Schjelderup (6e) qui a causé la première occasion de Benfica. Il est aussi pris dans son dos sur le but lisboète (53e) et concède un jaune pour un coup de coude (85e). Rude. Il a eu pas mal de boulot et il s'en est plutôt bien acquitté, sauvant notamment les siens d'entrée face à Schjelderup, après l'hésitation de Mendy (6e). Il n'est peut-être pas le joueur le plus élégant balle au pied mais il devrait rendre de bons services aux Niçois durant la saison. C'est à sa sortie à la mi-temps que le Gym a coulé. La capitaine avait été présent dans l'impact, il n'avait pas hésité à jouer très haut par moments, il fut l'auteur d'un sauvetage exceptionnel devant Pavlidis (39e). Quelques minutes après, il se tenait le genou... Entré à la mi-temps à la place du capitaine, Oppong (note : 5) a réalisé une très grosse intervention d'entrée (47e). Mais il laisse trop de temps à Aursnes pour centrer sur le premier but (53e), même si Bard est tout aussi fautif, et se fait manger par Ivanovic (62e, sauvetage de Diouf). Il a su provoquer et enfoncer le bloc portugais à plusieurs reprises. Sa percée de la 50e minute s'est malheureusement terminée par une frappe écrasée. Défensivement, l'international français a toujours été propre et serein. Au niveau de l'événement, il n'a jamais été gêné balle au pied, créant des espaces quand il semblait en manquer. Son volume et ses appels ont grandement soulagé son équipe. Seul bémol, comme toujours, son imprécision dans les tirs de loin (30e, 71e). Sorti dès la 28e minute pour se voir remplacer par Louchet (4). Ce dernier a été juste dans ses passes, mais en jouant assez peu vers l'avant et en semblant un cran plus timide que Boudaoui, son partenaire du milieu, notamment dans les duels. Sa première période a été marquée par son centre de la 36e qui aurait pu être décisif. Il y a aussi eu sa reprise bien sentie à la 10e. Mais de son travail défensif, on retient sa double erreur sur l'ouverture du score (53e) : pris une première fois de vitesse, il est trop court pour gêner Aursnes, le passeur décisif. Il a eu le mérite de bloquer la première relance lisboète quand elle était de son côté, mais on attend évidemment plus d'impact dans le jeu. Il n'a presque jamais déséquilibré le bloc adverse. Il y a eu sa frappe enroulée à la 43e minute mais trop enlevée. Son centre de la 62e a également manqué de précision. Son manque de jambes s'est clairement vu en seconde période, où il a été moins mobile qu'avant la pause. Bien que peu servi, il a eu plusieurs ballons intéressants à négocier, mais dont il n'a pas fait grand-chose même s'il a eu le mérite de se mettre dans le sens du but à plusieurs reprises. Le Suédois a commencé par plusieurs remises hasardeuses mais il a ensuite joué à l'endroit et offert plusieurs bons ballons à ses partenaires, comme celui pour Moffi à la 22e minute. En seconde période, il a en revanche disparu. L'entraîneur n'a pas réservé de surprises dans sa composition et a dû faire avec les blessures de Sanson et Dante. Il a mis du temps à sortir ses deux ailiers pourtant inoffensifs. Boga et Diop n'ont toutefois pas offert plus de solutions Si c'est la recrue Ivanovic (6), d'abord maladroite, qui a ouvert le score sur le centre d'un Aursnes (7) très présent (53e), les Niçois ont aussi beaucoup subi face aux innombrables qualités de Pavlidis (7), à qui il n'a manqué qu'un but. Remises, sens du placement, frappes dans le bon timing, le Grec a été un son expérience lui permet de rattraper quelques coups, Otamendi (4) a parfois été en difficulté, à l'image de ce petit pont concédé face à Moffi (39e) et ou de ce slalom de Clauss (52e). Au milieu, la paire Rios (6)-Barrenechea (6), d'abord timide, est montée en puissance au fur et à mesure du match.

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