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Colis suspect dans Ahuntsic-Cartierville

Colis suspect dans Ahuntsic-Cartierville

La Presse20 hours ago
Une opération policière est en cours dans un terrain boisé d'Ahuntsic-Cartierville, où un colis suspect a été signalé aux autorités. L'opération a forcé, par mesure préventive, l'évacuation de citoyens et la mise à l'arrêt des trains du secteur, indique le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
C'est vers 11 h 30, dimanche, que le SPVM a reçu des informations voulant qu'un colis suspect se trouvait au sol sur la rue. Sur place, les policiers ont identifié l'objet correspondant à la description fournie au 911.
« Le colis est situé à l'extérieur, sur un terrain boisé près d'un chemin de fer », rapporte Véronique Dubuc, agente-relationniste pour le SPVM.
Un périmètre a été établi pour protéger la scène et permettre aux policiers spécialisés en du groupe tactique d'intervention d'analyser le colis. Les citoyens se trouvant à proximité ont été évacués par mesure préventive.
La circulation des trains a été temporairement mise à l'arrêt, précise le SPVM.
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Le PDG de TikTok veut rencontrer Mélanie Joly
Le PDG de TikTok veut rencontrer Mélanie Joly

La Presse

time40 minutes ago

  • La Presse

Le PDG de TikTok veut rencontrer Mélanie Joly

En novembre, Ottawa a ordonné la dissolution des activités canadiennes de TikTok à la suite d'un examen de sécurité nationale de ByteDance, l'entreprise chinoise à l'origine de la plateforme de médias sociaux. (Ottawa) Le PDG de TikTok demande à la ministre de l'Industrie, Mélanie Joly, une rencontre urgente au sujet de l'ordonnance du gouvernement fédéral exigeant à l'entreprise de cesser ses activités au Canada. Anja Karadeglija La Presse Canadienne Shou Chew a écrit à Mme Joly le 2 juillet pour lui demander une rencontre en personne dans les deux semaines suivantes, selon une lettre obtenue par La Presse Canadienne. M. Chew a soutenu que l'ordonnance avait été prise dans des circonstances différentes, alors que les États-Unis semblaient sur le point d'interdire TikTok. « Il n'y a aucun avantage à cette ordonnance gouvernementale désuète et contre-productive, qui a été émise sous un autre gouvernement et à une autre époque, et qui ne reflète pas la réalité d'aujourd'hui », a-t-il plaidé dans la lettre. En novembre, Ottawa a ordonné la dissolution des activités canadiennes de TikTok à la suite d'un examen de sécurité nationale de ByteDance, l'entreprise chinoise à l'origine de la plateforme de médias sociaux. Mais bien que TikTok ait reçu l'ordre de cesser ses activités au Canada, l'application continuera d'être accessible aux Canadiens. M. Chew a affirmé que l'application de cette directive de novembre ferait du Canada un cas à part parmi ses alliés, y compris les autres pays membres de l'alliance de partage de renseignements du Groupe des cinq (« Five Eyes »). Il a déclaré que l'ordonnance semblait fondée sur des « hypothèses concernant l'avenir de TikTok aux États-Unis, qui ne sont plus valables ». Le Canada a lancé son examen de sécurité nationale à l'automne 2023, mais ne l'a divulgué qu'en mars 2024, lorsque la Chambre des représentants des États-Unis a adopté un projet de loi visant à interdire TikTok si ByteDance ne cédait pas sa participation. En juin, le président américain Donald Trump a toutefois prolongé pour la troisième fois le délai pour interdire TikTok aux États-Unis. TikTok conteste l'ordonnance Dans sa lettre du 2 juillet, M. Chew a dit que sans l'intervention de Mme Joly, l'entreprise devrait bientôt licencier plus de 350 employés au Canada, cesser ses investissements directs au Canada et réduire son soutien aux créateurs et à la culture au pays. « Le processus de liquidation approche rapidement d'un tournant critique », a-t-il écrit. Le 7 juillet, TikTok a annoncé son retrait de son partenariat avec plusieurs institutions artistiques canadiennes, dont les prix Juno et le Festival international du film de Toronto. Un porte-parole de Mme Joly n'a pas répondu aux questions concernant la réponse de la ministre à la lettre ou son intention de rencontrer M. Chew. TikTok conteste l'ordonnance de fermeture devant la Cour fédérale. L'entreprise a intenté une action en justice en décembre, arguant que le gouvernement avait ordonné « des mesures qui n'ont aucun lien rationnel avec les risques pour la sécurité nationale qu'il a identifiés ». L'examen de la sécurité nationale d'Ottawa a été mené en vertu de la Loi sur Investissement Canada, qui autorise le gouvernement à enquêter sur tout investissement étranger susceptible de porter atteinte à la sécurité nationale. Lorsqu'il était ministre de l'Industrie, François-Philippe Champagne a déclaré que le gouvernement prenait des mesures pour faire face à des « risques spécifiques pour la sécurité nationale ». Il n'a pas précisé lesquels. L'entreprise plaide sa cause Les préoccupations en matière de confidentialité et de sécurité concernant TikTok et ByteDance se sont concentrées sur les lois chinoises sur la sécurité nationale qui obligent les organisations du pays à contribuer à la collecte de renseignements. M. Chew a soulevé qu'aucune preuve n'avait été présentée démontrant que TikTok constituait une menace pour la sécurité du Canada et que le gouvernement n'avait pas souhaité discuter de solutions. Il a fait valoir que les préoccupations du gouvernement pourraient être apaisées par des mesures telles que des protocoles de sécurité des données renforcés et des mesures de transparence et de surveillance supplémentaires. L'ordre de fermeture laisserait TikTok accessible à ses 14 millions d'utilisateurs au Canada, a précisé M. Chew dans la lettre. Mais l'entreprise « n'aurait plus de présence ni de représentants sur le territoire canadien », a-t-il ajouté. Il a indiqué que les employés canadiens de l'entreprise ont comparu devant des comités parlementaires, ont collaboré avec les organismes de réglementation, ont formé les forces de l'ordre canadiennes sur la manière de soumettre des demandes d'accès légales et ont collaboré avec Élections Canada pendant la campagne électorale fédérale. « Le maintien de la présence de TikTok au Canada signifie qu'il existe une équipe locale responsable devant les décideurs et les autorités canadiennes », a-t-il écrit.

Le PDG de TikTok veut rencontrer Mélanie oly
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La Presse

timean hour ago

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En novembre, Ottawa a ordonné la dissolution des activités canadiennes de TikTok à la suite d'un examen de sécurité nationale de ByteDance, l'entreprise chinoise à l'origine de la plateforme de médias sociaux. (Ottawa) Le PDG de TikTok demande à la ministre de l'Industrie, Mélanie Joly, une rencontre urgente au sujet de l'ordonnance du gouvernement fédéral exigeant à l'entreprise de cesser ses activités au Canada. Anja Karadeglija La Presse Canadienne Shou Chew a écrit à Mme Joly le 2 juillet pour lui demander une rencontre en personne dans les deux semaines suivantes, selon une lettre obtenue par La Presse Canadienne. M. Chew a soutenu que l'ordonnance avait été prise dans des circonstances différentes, alors que les États-Unis semblaient sur le point d'interdire TikTok. « Il n'y a aucun avantage à cette ordonnance gouvernementale désuète et contre-productive, qui a été émise sous un autre gouvernement et à une autre époque, et qui ne reflète pas la réalité d'aujourd'hui », a-t-il plaidé dans la lettre. En novembre, Ottawa a ordonné la dissolution des activités canadiennes de TikTok à la suite d'un examen de sécurité nationale de ByteDance, l'entreprise chinoise à l'origine de la plateforme de médias sociaux. Mais bien que TikTok ait reçu l'ordre de cesser ses activités au Canada, l'application continuera d'être accessible aux Canadiens. M. Chew a affirmé que l'application de cette directive de novembre ferait du Canada un cas à part parmi ses alliés, y compris les autres pays membres de l'alliance de partage de renseignements du Groupe des cinq (« Five Eyes »). Il a déclaré que l'ordonnance semblait fondée sur des « hypothèses concernant l'avenir de TikTok aux États-Unis, qui ne sont plus valables ». Le Canada a lancé son examen de sécurité nationale à l'automne 2023, mais ne l'a divulgué qu'en mars 2024, lorsque la Chambre des représentants des États-Unis a adopté un projet de loi visant à interdire TikTok si ByteDance ne cédait pas sa participation. En juin, le président américain Donald Trump a toutefois prolongé pour la troisième fois le délai pour interdire TikTok aux États-Unis. TikTok conteste l'ordonnance Dans sa lettre du 2 juillet, M. Chew a dit que sans l'intervention de Mme Joly, l'entreprise devrait bientôt licencier plus de 350 employés au Canada, cesser ses investissements directs au Canada et réduire son soutien aux créateurs et à la culture au pays. « Le processus de liquidation approche rapidement d'un tournant critique », a-t-il écrit. Le 7 juillet, TikTok a annoncé son retrait de son partenariat avec plusieurs institutions artistiques canadiennes, dont les prix Juno et le Festival international du film de Toronto. Un porte-parole de Mme Joly n'a pas répondu aux questions concernant la réponse de la ministre à la lettre ou son intention de rencontrer M. Chew. TikTok conteste l'ordonnance de fermeture devant la Cour fédérale. L'entreprise a intenté une action en justice en décembre, arguant que le gouvernement avait ordonné « des mesures qui n'ont aucun lien rationnel avec les risques pour la sécurité nationale qu'il a identifiés ». L'examen de la sécurité nationale d'Ottawa a été mené en vertu de la Loi sur Investissement Canada, qui autorise le gouvernement à enquêter sur tout investissement étranger susceptible de porter atteinte à la sécurité nationale. Lorsqu'il était ministre de l'Industrie, François-Philippe Champagne a déclaré que le gouvernement prenait des mesures pour faire face à des « risques spécifiques pour la sécurité nationale ». Il n'a pas précisé lesquels. L'entreprise plaide sa cause Les préoccupations en matière de confidentialité et de sécurité concernant TikTok et ByteDance se sont concentrées sur les lois chinoises sur la sécurité nationale qui obligent les organisations du pays à contribuer à la collecte de renseignements. M. Chew a soulevé qu'aucune preuve n'avait été présentée démontrant que TikTok constituait une menace pour la sécurité du Canada et que le gouvernement n'avait pas souhaité discuter de solutions. Il a fait valoir que les préoccupations du gouvernement pourraient être apaisées par des mesures telles que des protocoles de sécurité des données renforcés et des mesures de transparence et de surveillance supplémentaires. L'ordre de fermeture laisserait TikTok accessible à ses 14 millions d'utilisateurs au Canada, a précisé M. Chew dans la lettre. Mais l'entreprise « n'aurait plus de présence ni de représentants sur le territoire canadien », a-t-il ajouté. Il a indiqué que les employés canadiens de l'entreprise ont comparu devant des comités parlementaires, ont collaboré avec les organismes de réglementation, ont formé les forces de l'ordre canadiennes sur la manière de soumettre des demandes d'accès légales et ont collaboré avec Élections Canada pendant la campagne électorale fédérale. « Le maintien de la présence de TikTok au Canada signifie qu'il existe une équipe locale responsable devant les décideurs et les autorités canadiennes », a-t-il écrit.

Blâmer le Canada, vous êtes sérieux, là ?
Blâmer le Canada, vous êtes sérieux, là ?

La Presse

time2 hours ago

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Blâmer le Canada, vous êtes sérieux, là ?

La fumée des incendies de forêt, qui affecte la qualité de l'air de plusieurs villes américaines, a fait réagir plusieurs élus républicains qui ont interpellé l'ambassade du Canada à Washington. Blâmer le Canada, vous êtes sérieux, là ? Quel travail ingrat que celui d'employé de l'ambassade du Canada à Washington ! Le président des États-Unis est en guerre contre votre pays. Il est imprévisible. Et colérique. Et vous, en toutes circonstances, vous devez garder votre calme. Ne jamais dire un mot plus haut que l'autre. Demeurer courtois même quand on cherche à vous humilier. Un peu comme si, dans la cour d'école, un fier-à-bras vous crachait au visage chaque jour sans que vous puissiez réagir autrement qu'en souriant. J'y pensais la semaine dernière en voyant la réponse d'une politesse hallucinante de l'ambassade du Canada en réplique à une lettre délirante d'élus américains. PHOTO JESSE WINTER, ARCHIVES REUTERS Le secteur de Squamish, en Colombie-Britannique, a été durement touché par les incendies. Dans cette lettre expédiée à l'ambassadrice canadienne Kirsten Hillman, une demi-douzaine de républicains se plaignent de la fumée des incendies de forêt au Canada et exigent que le gouvernement y remédie. « Je peux vous assurer que le Canada prend très au sérieux la prévention, la lutte et l'atténuation des incendies de forêt. Je peux confirmer que la lettre a été reçue par l'ambassade et transmise aux organismes canadiens concernés. Nous y répondrons en temps opportun », a affirmé une porte-parole de l'ambassade du Canada à Washington à mon collègue Éric-Pierre Champagne1. PHOTO MIKE DEAL, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE Les incendies de forêt ont décimé des zones situées dans le nord du Manitoba. Notez bien que je ne critique pas la teneur de cette réponse. Avec Donald Trump à la Maison-Blanche, si vous n'êtes pas assez poli, Dieu sait quelle nouvelle menace il va brandir contre votre pays ! Mais le délire des élus républicains appelle une autre réponse. Moins diplomate, celle-là. Vous me permettrez donc, comme je ne suis pas ambassadeur, de dénoncer la bêtise de cette sortie publique sans mettre de gants. Et d'expliquer qu'il s'agit d'une véritable insulte à l'intelligence. Comment qualifier autrement une lettre qui blâme le Canada, mais ne contient pas un mot sur les changements climatiques ? Il existe depuis longtemps un consensus scientifique sur le fait qu'il y a davantage de catastrophes naturelles (y compris des incendies de forêt) et que leur intensité va en augmentant en raison des changements climatiques. Mais Peter Stauber, un élu du Minnesota qui a signé la lettre en question, a plutôt dit vouloir « exhorter le Canada à améliorer sa gestion forestière ». « Nos communautés ne doivent pas supporter le coût de leur négligence », a-t-il ajouté. Négligence ! Vous êtes sérieux, là ? Très chers élus républicains, préoccupés par les feux, votre lettre relève de l'aveuglement volontaire. Vos citoyens sont incommodés par la fumée des incendies qui ravagent notre pays, ça se comprend. Et sachez qu'on fait toujours tout ce qui est en notre pouvoir, de ce côté-ci de la frontière, pour prévenir les feux et lutter contre ceux qui font déjà rage. PHOTO HEATHER KHALIFA, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS La fumée des incendies de forêt a affecté la qualité de l'air de plusieurs villes américaines, dont New York. Que diriez-vous, pour votre part, de vous regarder dans le miroir ? Sur le plan des émissions de gaz à effet de serre par habitant, votre pays se classe au premier rang. Et lorsqu'on calcule les émissions totales, il est deuxième, derrière la Chine (un pays de plus de 1,4 milliard d'habitants). Alors ce que vous faites, en blâmant le Canada, c'est un peu comme si quelqu'un décidait de vider ses poubelles, à longueur d'année, dans la cour de son voisin, pour ensuite se plaindre avec arrogance d'une odeur intolérable qui provient de chez lui. Et, ensuite, exiger qu'il règle ce problème. Vous êtes des politiciens. Vous devez rendre des comptes à vos citoyens. Mais vous avez un fâcheux problème, car vous niez le phénomène qui fait empirer la situation. Votre sortie publique est un effort désespéré pour prouver que vous tenez compte des critiques de ceux qui ont voté pour vous (et qui, espérez-vous, vont continuer à le faire) et les convaincre que vous faites des gestes décisifs. Mais c'est le contraire qui est vrai. Non seulement les républicains au pouvoir à Washington font partie de la minorité de climatosceptiques aux États-Unis, mais ils se démènent également avec plus d'ardeur que jamais pour freiner la lutte contre les changements climatiques. En mars dernier, le New York Times résumait ainsi ce qui est en train de se passer à Washington : « En quelques semaines, le président Trump a gravement endommagé la capacité du gouvernement à lutter contre les changements climatiques, bouleversant la politique environnementale américaine par des mesures qui pourraient avoir des conséquences durables pour le pays et la planète. Avec une série d'actions qui ont repoussé les limites du pouvoir présidentiel, M. Trump a vidé de leur substance les efforts fédéraux en matière de climat, annulé les réglementations visant à limiter la pollution et donné un coup de pouce majeur à l'industrie des combustibles fossiles.2 » Ça s'est poursuivi depuis. Et ça ne semble pas vouloir s'arrêter. Tenez, on apprenait cette semaine que le département américain de l'Énergie vient de recruter trois (rares) scientifiques américains climatosceptiques3. Dans ce contexte, la feinte indignation des élus américains qui blâment le Canada leur donne simplement l'air de mauvais acteurs qui jouent dans un navet. J'ajoute qu'elle est particulièrement indécente au moment où des milliers de personnes, de ce côté-ci de la frontière, doivent être évacuées en raison des feux. Je n'imagine pas nos élus critiquer les politiciens américains la prochaine fois qu'un des États sera frappé par des incendies dévastateurs et que la fumée se rendra jusqu'au Canada. J'ose croire qu'ils ont trop de respect pour nos voisins pour faire ça. Voilà ! Si les diplomates de l'ambassade du Canada n'avaient pas à faire preuve de diplomatie, c'est probablement ce qu'ils répondraient aux élus républicains. Et peut-être aussi qu'ils citeraient, en terminant, les mots d'un des grands présidents que le Parti républicain a donnés aux États-Unis, Abraham Lincoln. « Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps. Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps. Mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps. » 1. Lisez le texte « Des élus républicains se plaignent de la fumée canadienne » 2. Lisez le texte « 'Full on Fight Club' : How Trump Is Crushing U.S. Climate Policy » du New York Times (en anglais ; abonnement requis) 3. Lisez le texte « Trump Hires Scientists Who Doubt the Consensus on Climate Change » du New York Times (en anglais ; abonnement requis) Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue

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