Dernières actualités internationales


Le Figaro
27 minutes ago
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«Mon couple en premier» : pour Monica Bellucci, Tim Burton est désormais sa «priorité»
Plus amoureuse que jamais, l'actrice italienne s'est confiée sur sa relation avec le réalisateur de Beetlejuice dans une interview publiée par Marie Claire, le 28 juin. À bientôt 61 ans et la moitié de sa vie consacrée à sa carrière au cinéma, Monica Bellucci rebat les cartes. L'actrice italienne partage la vie de Tim Burton depuis plus de 2 ans et, depuis l'officialisation de leur couple en février 2023, elle ne tarit pas d'éloge sur son nouveau compagnon. Ces derniers temps, elle a placé toute sorte d'auréoles, toute plus touchantes les une que les autres, sur la tête du réalisateur américain. «J'ai rencontré une âme spectaculaire», avait-elle même déclaré au Harper's Bazaar Espagne. Une place de roi C'est ainsi qu'aujourd'hui, si Burton a une place de choix dans le cœur de Bellucci, il occupe également la première place dans sa vie. C'est ce que l'actrice a confié dans les pages de Marie Claire, dans une interview publiée le 28 juin. «Aujourd'hui, c'est la priorité. Mon couple en premier, le travail ensuite», a-t-elle déclaré sans détour. Toutefois, cette place prioritaire dans la vie de Monica, Tim Burton la partage avec Deva (20 ans) et Leonie (15 ans), les deux filles nées du mariage de l'Italienne avec Vincent Cassel, qui a duré 14 ans. Une «priorité» que l'actrice a réaffirmée lors de son entretien avec Vanity Fair, le 15 juin. Publicité Et si le cinéma passe désormais après son couple, Monica Bellucci ne quitte pas l'écran pour autant. Parmi ses projets, le tournage imminent d'Histoires de la nuit, de la jeune réalisatrice Léa Mysius (avec notamment Benoît Magimel et Hafsia Herzi), et la sortie, fin 2025, du thriller d'action Seven Dogs, des Belges Adil El Arbi et Bilall Fallah. Pourquoi choisir quand on s'appelle Monica Bellucci ?


Le Figaro
27 minutes ago
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Le Concorde, histoire d'un bijou de l'aviation sur France 5
Dans le cadre de « Science grand format », un documentaire retrace le parcours chaotique du supersonique franco-britannique. Le 5 mai, le Concorde numéro 1 a été classé monument historique par le ministère de la Culture. « Cet avion a incarné la force industrielle et la capacité d'innovation de la France sur le plan aéronautique. Il a été aussi un symbole de notre capacité de coopération internationale, a déclaré Rachida Dati. Ce pionnier des vols supersoniques est resté dans les mémoires. Sa préservation va permettre de transmettre aux générations futures un exemple unique de notre savoir-faire aéronautique dans une vision futuriste. » Pendant vingt-huit ans, jusqu'en 2003, les vols commerciaux du Concorde reliaient notamment Paris à New York en un temps record de 3 h 30. Concorde, l'histoire secrète raconte près d'un demi-siècle de conquête aéronautique autour de l'enjeu du supersonique. Un film captivant enrichi de commentaires d'experts de l'aviation et d'historiens. Le projet Concorde avait été lancé dans les années 1960 par la France et le Royaume-Uni afin de contrer la domination américaine de Boeing. L'idée était de proposer pour la première fois au grand public un vol capable de naviguer à plus de 2 000 km/h. En pleine guerre froide et conquête spatiale, les États-Unis puis l'Union Soviétique s'étaient invités dans ce qui allait devenir une course au supersonique. Le Concorde, le Tupolev TU-144 et le Boeing 2707 Capture écran France TV À lire aussi Qu'est-ce que l'Overture, cet avion supersonique qui veut être le successeur du Concorde ? Publicité La fin tragique du Concorde Aérodynamique, puissance, freinage, poids de l'appareil, consommation et émissions sonores étaient autant de contraintes techniques et défis technologiques à résoudre. À défaut de parvenir à être les premiers à lancer un vol commercial supersonique, les Américains avaient voulu viser l'excellence avec un avion plus grand et plus rapide. Sans jamais y parvenir. « Les gens ont compris que la course à la technologie nuisait indirectement à notre monde et à notre propre espèce, raconte Michael Lombardi, historien en chef chez Boeing. Le Boeing 2707 était devenu la cible de groupes inquiets pour l'environnement. » En 1971, le Congrès américain avait cédé à la pression et abandonné un projet ayant coûté plus de 1 milliard de dollars sans qu'aucun avion ne quitte le tarmac. En Union soviétique, le Tupolev TU-144 était devenu le premier avion de ligne supersonique à prendre son envol le 31 décembre 1968 et à franchir le mur du son en 1969. Un succès en partie dû aux vastes opérations d'espionnage industriel pour récupérer les découvertes des ingénieurs du Concorde. « Le renseignement a été un moyen pour les Soviétiques d'acquérir ce qui leur manquait au niveau technologique et scientifique », indique Michel Guérin, ancien sous-directeur de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Le 3 juin 1973, alors qu'il s'apprêtait à entrer en phase de production, le TU-144 avait connu un coup d'arrêt lors d'un vol de démonstration au Salon du Bourget qui s'était terminé par un crash faisant huit morts. Les premiers vols commerciaux étaient finalement revenus au Concorde tandis que l'histoire du Tupolev n'avait duré que six mois, début 1978. Seul sur le marché des vols commerciaux supersoniques, le Concorde a été confronté à l'annulation des commandes des compagnies aériennes en raison de l'interdiction de survol de la plupart des territoires car trop bruyant. Air France et British Airways ont exploité leurs neuf exemplaires du supersonique, adoptant une politique de prix élevés à destination d'une clientèle privilégiée. La catastrophe aérienne du 25 juillet 2000 à Gonesse, coûtant la vie à 113 personnes, a considérablement fragilisé l'avenir du Concorde jusqu'à son dernier vol commercial du 3 juin 2003. « Le Concorde était le rêve de tous les pilotes, témoigne l'aviatrice Béatrice Vialle. Nous avions entre les mains une Formule 1 de l'aviation. » Sur les 20 exemplaires construits entre 1967 et 1979, 18 existent encore dont 6 en France.


Le Figaro
27 minutes ago
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«Ne soyons pas dupes» : Nagui dénonce le lobby des villes furieuses de l'absence des vachettes dans «Intervilles»
Depuis l'annonce du retour du jeu et l'absence de bovidés, l'animateur est la cible des critiques. Selon lui, cette fronde contre lui n'est pas due au hasard. «Intervilles» revient enfin ! Cinq ans après l'annonce de son retour, le jeu culte créé par Guy Lux et Claude Savarit en 1962 renaît de ses cendres ce jeudi à 21h10 sur France 2 dans une nouvelle version présentée par Nagui, Bruno Guillon, Camille Cerf, Valérie Bègue, Yoann Riou et Magali Ripoll. Depuis le début, l'animateur et producteur a prévenu à de nombreuses reprises : il n'utilisera pas de vachettes dans son «Intervilles». « Ce n'est pas la position personnelle d'un bobo végétarien, c'est un échange avec la chaîne », assure ce fervent défenseur de la cause animale avant de livrer un événement qui l'a profondément marqué alors qu'il présentait l'émission : « Il y a vingt ans, à L'Isle-d'Abeau, quand une vachette est morte sous mes yeux, je n'en menais pas large. Je me souviens de l'éleveur, M. Labat, qui m'avait dit : 'Ça arrive'. Bah non ! Je ne me vois pas produire une émission en disant : 'On est en direct et à tout moment un animal peut mourir.' J'ai également vu des piques enfoncées pour que les vachettes sortent de leur enclos. Il y a eu aussi pas mal de candidats avec des côtes cassées. » À lire aussi Vachette, jeux, générique... Tout ce qu'il faut savoir sur le retour d'«Intervilles» Publicité Sauf qu'en raison de ce choix, plusieurs maires de villes emblématiques (Mont-de-Marsan, Dax, Bayonne...), qui ont participé à l'émission par le passé, ont refusé catégoriquement d'y prendre part. Selon Nagui, cette mobilisation n'est pas due au hasard. «Quand on a commencé à parler du retour d''Intervilles'en 2019, il n'y a eu aucune polémique, rappelle l'animateur. Elle est née seulement quand il y a eu le courrier de la part d'un organisateur de fêtes taurines et de corridas (Julien Dubois, président de l'Union des villes taurines françaises et maire de Dax, NDLR)», dénonce-t-il. « Ce lobby est intervenu quand ? Lorsqu'il y avait une loi visant à interdire la corrida aux moins de 16 ans qui allait passer au Sénat » Nagui Nagui va plus loin : «Ce lobby est intervenu quand ? Lorsqu'il y avait - ne soyons pas dupes - une loi visant à interdire la corrida aux moins de 16 ans qui allait passer au Sénat. Je ne veux pas être dans une parano de complotisme, mais le lobby s'est mis à fonctionner et a été énormément relayé parce que ça faisait du buzz. Et une fois que le Sénat a rejeté la proposition de loi, on n'a plus rien entendu, ils avaient fait leur boulot, ils ont plié leurs gaules et ils sont rentrés à la maison». Dès lors, Nagui n'a eu de cesse d'être interrogé sur l'absence de vachettes. «La question est légitime parce qu'elle est extrêmement ancrée dans la mémoire collective, concède-t-il. Mais n'oubliez pas que cette madeleine de Proust, pour avoir revu des émissions et en avoir présenté, venait sur deux épreuves, pas plus». À chaque fois, l'animateur répond volontiers mais regrette : «Ce qui me dérange, c'est qu'on pense que j'en fais une affaire personnelle et une affaire de bobo-branché-wokiste». «Pour moi, bobo et woke ne sont pas des insultes. Je pense qu'il faut être éveillé sur la cause animale, la parité, le racisme, l'antisémitisme, les problèmes de notre société... Le service public et les animateurs sont responsables de la ligne éditoriale et doivent rester maîtres du propos tenu à l'antenne», insiste-t-il. À lire aussi «Elles sont moins stressées que les candidats dans l'arène» : Nagui a-t-il raison de supprimer les vachettes d'«Intervilles» ? Pour pallier leur absence, l'animateur et producteur a fait appel au dessinateur Zep afin de concevoir une mascotte. Baptisée Topa (pour « Top à la vachette ! »), elle sera incarnée par des représentants de villes et interviendra au cours des jeux, une vingtaine de ces derniers sont prévus, dont une douzaine par émission.


Le Parisien
29 minutes ago
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Voyage en France : le train moins cher que l'avion, sauf pour certaines liaisons entre régions
Le prix des billets de train a beau paraître parfois exorbitant… Se déplacer sur les rails en France revient en moyenne moins cher qu'en avion, sauf correspondance, selon des rapports publiés jeudi. Et l'aérien reste imbattable pour des trajets en Europe. Autant d'arguments pour des mesures de rééquilibrage au nom du climat. L'association française de défense des consommateurs UFC-Que Choisir s'est intéressée aux tarifs des trajets ferroviaires , aériens et routiers en France, en prenant comme base les 48 liaisons aériennes les plus fréquentées du pays et suivant deux scénarios types : « un départ en vacances estivales pour un couple ou une famille avec deux adolescents, et un week-end pour deux adultes ». « Le train se montre compétitif lorsqu'il existe des liaisons ferroviaires directes, notamment sur les axes radiaux (depuis ou vers Paris). Dans le scénario estival, 60 % des trajets sont moins chers en train qu'en avion. Sur ces liaisons, le train est en moyenne deux fois moins cher que l'avion », selon l'UFC. « À l'inverse, dans le premier comme dans le second scénario, de nombreuses liaisons transversales (province à province), surtout quand un changement de train est nécessaire, s'avèrent moins chères en avion, de 37 % en moyenne », précise l'association. C'est le cas par exemple pour Bordeaux-Nice, Nantes-Strasbourg ou Biarritz-Lyon. Ce bilan rejoint celui que Le Parisien avait fait il y a deux ans . « Quant à la voiture, elle est surtout attractive dans le scénario familial : un tiers des trajets y sont les moins chers, par rapport au train et l'avion, de 30 % en moyenne en comparaison du train et de 44 % en comparaison de l'avion ». « Pour faire du train une [option] alternative réellement accessible et universelle », l'UFC-Que Choisir préconise entre autres de « renforcer l'offre ferroviaire », notamment transversale, d'augmenter à 4 heures le seuil d'interdiction des vols intérieurs lorsqu'un trajet alternatif ferroviaire existe, contre 2h30 actuellement, ou encore de « mettre en place des tarifs avantageux pour les familles ». En pleine urgence climatique, l'UFC rappelle que « sur longue distance, le train est de loin le mode de transport le plus vertueux , en citant l'Ademe : « Un trajet en TGV n'émet en moyenne que 2,9 g de CO2 par passager-kilomètre, contre environ 331 g pour l'avion de courte distance et jusqu'à 256 g pour une voiture utilisée en solo (128 g pour deux passagers et 64 g pour quatre passagers) ». Le Réseau Action Climat (RAC), citant un rapport de Greenpeace attendu cet été, a élargi la problématique aux liaisons européennes, où « le train est en moyenne 2,5 fois plus cher que l'avion », une « aberration totale » selon le groupe. « Sur la liaison Paris-Rome, qui transporte plus de 2 millions de passagers aériens chaque année, le billet d'avion le plus bas se trouve autour de 70 euros en moyenne, contre 210 euros pour un billet de train », note le RAC. Ce dernier, pour rééquilibrer la concurrence, plaide pour « la fin des niches fiscales aériennes » en augmentant la taxe sur les billets d'avion à un niveau qui compenserait l'absence de taxe sur le kérosène. Le RAC voudrait ainsi financer la subvention d'un billet de train par an à tarif réduit (29 euros aller-retour) pour « tous les Français », relancer « vraiment » les trains de nuit, en particulier les liaisons entre les régions, et abaisser les péages ferroviaires pour le TGV, qui réduisent sa compétitivité.


Les Echos
30 minutes ago
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Pluxee confirme ses objectifs financiers après un chiffre d'affaires conforme aux attentes au 3e trimestre
PARIS (Agefi-Dow Jones)--Pluxee, l'ex-filiale de Sodexo spécialisée dans les titres-restaurant et cadeaux, a confirmé jeudi ses objectifs financiers pour l'exercice en cours et le suivant, après la publication d'un chiffre d'affaires conforme aux attentes des analystes au troisième trimestre. "La solide performance réalisée par Pluxee au cours des neuf premiers mois reflète non seulement la robustesse et la résilience de notre modèle de croissance équilibré, mais aussi l'engagement quotidien de nos équipes à travers le monde pour continuer à créer de la valeur pour l'ensemble de nos parties prenantes", a souligné le directeur général de Pluxee, Aurélien Sonet, dans un communiqué. Pour la période de mars à mai 2025, Pluxee a réalisé un chiffre d'affaires de 310 millions d'euros, en hausse de 4,3% sur un an en données publiées. En organique, soit à périmètre et taux de change constants, les revenus du groupe ont crû de 11,1% sur un an après 10,8% au premier semestre, dont 8,8% au deuxième trimestre. Selon un consensus fourni par le groupe, les analystes prévoyaient en moyenne pour le premier semestre un chiffre d'affaires de 309 millions d'euros, en croissance organique de 10,6%. Dans de détail, le chiffre d'affaires opérationnel, soit celui généré par l'émission de titres prépayés, s'est établi à 270 millions d'euros, en croissance organique de 11,1%. Les revenus relatifs au "float", c'est-à-dire ceux générés par le groupe en investissant à court terme les fonds qui lui sont confiés par les entreprises clientes en attendant que les collaborateurs de ces entreprises dépensent l'argent, ont atteint 39 millions d'euros, en croissance organique de 10,9%. "Sur la base des très bonnes performances des neufs premiers mois, et tout en demeurant vigilants face aux tendances macroéconomiques, nous restons confiants dans notre capacité à atteindre nos ambitions sur l'année", a précisé Aurélien Sonet. Le groupe a confirmé s'attendre à une hausse de 150 points de base (1,5 point de pourcentage) de sa marge d'excédent brut d'exploitation (Ebitda) récurrent lors de l'exercice 2024-2025, qui se terminera fin août. Pluxee a confirmé tabler sur une croissance organique à deux chiffres de son chiffre d'affaires pour les exercices 2024-2025 et 2025-2026, ainsi que sur une hausse de 75 points de base (0,75 point de pourcentage) de sa marge d'Ebitda récurrent au titre de l'exercice 2025-2026. Le taux de conversion de trésorerie devrait dépasser 75% en moyenne au cours des exercices 2023-2024, 2024-2025 et 2025-2026. Pierre-Jean Lepagnot, Agefi-Dow Jones, pjlepagnot@ ed: JDO July 03, 2025 01:48 ET (05:48 GMT)