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4 days ago
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Surenchère et importante hausse des transactions à Montréal et Québec en juillet
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). Surenchère et importante hausse des transactions à Montréal et Québec en juillet Tant à Montréal qu'à Québec, l'activité résidentielle bouillonne. En un an, le nombre de transactions dans les deux villes a connu une importante hausse, et l'escalade des prix se poursuit. Depuis l'effervescence de la pandémie, en 2021, jamais Montréal n'a connu autant de transactions en un mois, révèlent les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, compilées par l'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). En juillet dernier, un total de 3731 ventes résidentielles ont été conclues, soit une augmentation de 10 % par rapport au même mois l'an dernier. L'augmentation la plus prononcée a été enregistrée à Vaudreuil-Soulanges, tandis que les ventes sur la Rive-Sud ont été les plus modestes. Le nombre d'inscriptions de propriétés résidentielles en vigueur a faiblement augmenté en un an, avec une croissance de 2 %, positionnant ainsi encore les vendeurs en nette situation d'avantage, conclut le rapport. Ainsi, les prix continuent de grimper et la surenchère demeure bien présente, particulièrement pour les maisons unifamiliales dans certaines villes de la RMR. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+8 %). « La hausse des prix par rapport au même mois l'année dernière semble toutefois s'essouffler un peu dans la RMR de Montréal », précise Hélène Bégin, économiste-experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Comme le révélait La Presse en début de semaine, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif et se distingue de certains marchés canadiens, notamment ceux de Vancouver et Toronto, où les ventes et les prix ont fléchi un peu plus tôt cette année, au printemps. Québec À Québec, la hausse des ventes résidentielles, dans toutes les catégories de propriété, est aussi remarquée : avec un total de 744 transactions en juillet dernier, l'augmentation sur un an s'élève à 12 %. « L'inventaire d'habitations à vendre a atteint un creux sans précédent dans la région métropolitaine de Québec », indique l'APCIQ, dans son communiqué. « Le total des inscriptions en vigueur a fléchi de 28 % depuis un an », ajoute-t-on. Cette forte pression exercée sur l'offre pousse les prix à augmenter de plus belle dans la capitale. Le prix médian d'une maison unifamiliale a atteint un sommet de 453 500 $ dans la RMR. « Quatre transactions de propriétés sur dix sont conclues à un prix de 5 %, ou plus, à celui initialement demandé [dans la RMR de Québec] », souligne l'économiste-experte Hélène Bégin.


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4 days ago
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Importante hausse des transactions et de la surenchère en juillet
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). Importante hausse des transactions et de la surenchère en juillet Tant dans la métropole que la capitale nationale, l'activité résidentielle bouillonne. En un an, le nombre de transactions dans les deux villes a connu une importante hausse, et l'escalade des prix se poursuit. Depuis l'effervescence de la pandémie, en 2021, jamais Montréal n'a connu autant de transactions en un mois, révèlent les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, compilées par l'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). En juillet dernier, un total de 3731 ventes résidentielles ont été conclues, soit une augmentation de 10 % par rapport au même mois l'an dernier. L'augmentation la plus prononcée a été enregistrée à Vaudreuil-Soulanges, tandis que les ventes sur la Rive-Sud ont été les plus modestes. Le nombre d'inscriptions de propriétés résidentielles en vigueur a faiblement augmenté en un an, avec une croissance de 2 %, positionnant ainsi encore les vendeurs en nette situation d'avantage, conclut le rapport. Ainsi, les prix continuent de grimper et la surenchère demeure bien présente, particulièrement pour les maisons unifamiliales dans certaines villes de la RMR. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+8 %). « La hausse des prix par rapport au même mois l'année dernière semble toutefois s'essouffler un peu dans la RMR de Montréal », précise Hélène Bégin, économiste-experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Comme le révélait La Presse en début de semaine, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif et se distingue de certains marchés canadiens, notamment ceux de Vancouver et Toronto, où les ventes et les prix ont fléchi un peu plus tôt cette année, au printemps. Québec À Québec, la hausse des ventes résidentielles, dans toutes les catégories de propriété, est aussi remarquée : avec un total de 744 transactions en juillet dernier, l'augmentation sur un an s'élève à 12 %. « L'inventaire d'habitations à vendre a atteint un creux sans précédent dans la région métropolitaine de Québec », indique l'APCIQ, dans son communiqué. « Le total des inscriptions en vigueur a fléchi de 28 % depuis un an », ajoute-t-on. Cette forte pression exercée sur l'offre pousse les prix à augmenter de plus belle dans la capitale. Le prix médian d'une maison unifamiliale a atteint un sommet de 453 500 $ dans la RMR. « Quatre transactions de propriétés sur dix sont conclues à un prix de 5 %, ou plus, à celui initialement demandé [dans la RMR de Québec] », souligne l'économiste-experte Hélène Bégin.


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4 days ago
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Ventes résidentielles à Montréal
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). En pleine période propice aux déménagements, les ventes résidentielles ont continué de progresser dans la région métropolitaine de Montréal par rapport à la même période l'an dernier. La Presse Canadienne L'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) a indiqué que 3731 résidences ont changé de propriétaires dans la région en juillet. Il s'agit d'une hausse de 10 % par rapport à juillet 2024, en plus d'être l'activité transactionnelle la plus élevée depuis l'effervescence de la pandémie en 2021. « Malgré le contexte économique empreint d'incertitude, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif », a noté Hélène Bégin, économiste experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Le marché montréalais s'est par ailleurs distingué favorablement de ceux de Vancouver et de Toronto, « dont les ventes et les prix ont fléchi au début du printemps en raison des perturbations liées à la première vague de tarifs douaniers américains », a constaté Mme Bégin. Les plex ont été particulièrement prisés par les acheteurs en juillet, puisque leurs ventes ont augmenté de 31 % par rapport à la même période l'année précédente, passant de 313 à 410. Ce sont également 1935 unifamiliales qui ont été vendues dans la région métropolitaine le mois dernier, ce qui représente un bond de 11 %, tandis que 1385 copropriétés ont changé de mains, soit une hausse de 3 %. Le prix médian des logements dans la région de Montréal n'a pas non plus fléchi, même si l'APCIQ a remarqué un petit essoufflement par rapport à juillet 2024. « La croissance du prix médian d'une maison unifamiliale de 7 % en juillet s'éloigne graduellement du rythme de 10 % observé au début de 2025 », a précisé Mme Bégin. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). L'APCIQ a aussi souligné que le contexte de surenchère demeure bien présent dans la région métropolitaine de Montréal, même s'il est encore loin d'être généralisé. Pour qu'une vente soit considérée comme une surenchère, il faut qu'elle ait été conclue après que plusieurs promesses d'achat ont été déposées pour la même propriété dans une courte période et que le prix final soit d'au moins 5 % plus élevé que le prix affiché lors de la mise en vente. Ainsi, en juillet, 11 % des vendeurs ont réussi à obtenir un prix supérieur d'au moins 5 % à celui affiché au départ lors de la mise en vente. Quelque 5148 nouvelles inscriptions ont été recensées dans la région le mois dernier, soit une hausse de 9 % par rapport à l'année précédente. Les inscriptions actives ont progressé de 2 % pour atteindre 17 395.


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Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet à Montréal
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet à Montréal En pleine période propice aux déménagements, les ventes résidentielles ont continué de progresser dans la région métropolitaine de Montréal par rapport à la même période l'an dernier. La Presse Canadienne L'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) a indiqué que 3731 résidences ont changé de propriétaires dans la région en juillet. Il s'agit d'une hausse de 10 % par rapport à juillet 2024, en plus d'être l'activité transactionnelle la plus élevée depuis l'effervescence de la pandémie en 2021. « Malgré le contexte économique empreint d'incertitude, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif », a noté Hélène Bégin, économiste experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Le marché montréalais s'est par ailleurs distingué favorablement de ceux de Vancouver et de Toronto, « dont les ventes et les prix ont fléchi au début du printemps en raison des perturbations liées à la première vague de tarifs douaniers américains », a constaté Mme Bégin. Les plex ont été particulièrement prisés par les acheteurs en juillet, puisque leurs ventes ont augmenté de 31 % par rapport à la même période l'année précédente, passant de 313 à 410. Ce sont également 1935 unifamiliales qui ont été vendues dans la région métropolitaine le mois dernier, ce qui représente un bond de 11 %, tandis que 1385 copropriétés ont changé de mains, soit une hausse de 3 %. Le prix médian des logements dans la région de Montréal n'a pas non plus fléchi, même si l'APCIQ a remarqué un petit essoufflement par rapport à juillet 2024. « La croissance du prix médian d'une maison unifamiliale de 7 % en juillet s'éloigne graduellement du rythme de 10 % observé au début de 2025 », a précisé Mme Bégin. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). L'APCIQ a aussi souligné que le contexte de surenchère demeure bien présent dans la région métropolitaine de Montréal, même s'il est encore loin d'être généralisé. Pour qu'une vente soit considérée comme une surenchère, il faut qu'elle ait été conclue après que plusieurs promesses d'achat ont été déposées pour la même propriété dans une courte période et que le prix final soit d'au moins 5 % plus élevé que le prix affiché lors de la mise en vente. Ainsi, en juillet, 11 % des vendeurs ont réussi à obtenir un prix supérieur d'au moins 5 % à celui affiché au départ lors de la mise en vente. Quelque 5148 nouvelles inscriptions ont été recensées dans la région le mois dernier, soit une hausse de 9 % par rapport à l'année précédente. Les inscriptions actives ont progressé de 2 % pour atteindre 17 395.


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Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). Les ventes résidentielles ne se sont pas essoufflées en juillet En pleine période propice aux déménagements, les ventes résidentielles ont continué de progresser dans la région métropolitaine de Montréal par rapport à la même période l'an dernier. La Presse Canadienne L'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) a indiqué que 3731 résidences ont changé de propriétaires dans la région en juillet. Il s'agit d'une hausse de 10 % par rapport à juillet 2024, en plus d'être l'activité transactionnelle la plus élevée depuis l'effervescence de la pandémie en 2021. « Malgré le contexte économique empreint d'incertitude, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif », a noté Hélène Bégin, économiste experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Le marché montréalais s'est par ailleurs distingué favorablement de ceux de Vancouver et de Toronto, « dont les ventes et les prix ont fléchi au début du printemps en raison des perturbations liées à la première vague de tarifs douaniers américains », a constaté Mme Bégin. Les plex ont été particulièrement prisés par les acheteurs en juillet, puisque leurs ventes ont augmenté de 31 % par rapport à la même période l'année précédente, passant de 313 à 410. Ce sont également 1935 unifamiliales qui ont été vendues dans la région métropolitaine le mois dernier, ce qui représente un bond de 11 %, tandis que 1385 copropriétés ont changé de mains, soit une hausse de 3 %. Le prix médian des logements dans la région de Montréal n'a pas non plus fléchi, même si l'APCIQ a remarqué un petit essoufflement par rapport à juillet 2024. « La croissance du prix médian d'une maison unifamiliale de 7 % en juillet s'éloigne graduellement du rythme de 10 % observé au début de 2025 », a précisé Mme Bégin. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). L'APCIQ a aussi souligné que le contexte de surenchère demeure bien présent dans la région métropolitaine de Montréal, même s'il est encore loin d'être généralisé. Pour qu'une vente soit considérée comme une surenchère, il faut qu'elle ait été conclue après que plusieurs promesses d'achat ont été déposées pour la même propriété dans une courte période et que le prix final soit d'au moins 5 % plus élevé que le prix affiché lors de la mise en vente. Ainsi, en juillet, 11 % des vendeurs ont réussi à obtenir un prix supérieur d'au moins 5 % à celui affiché au départ lors de la mise en vente. Quelque 5148 nouvelles inscriptions ont été recensées dans la région le mois dernier, soit une hausse de 9 % par rapport à l'année précédente. Les inscriptions actives ont progressé de 2 % pour atteindre 17 395.