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Le milliardaire Elon Musk annonce créer sa propre formation politique, le «parti de l'Amérique»
Le milliardaire Elon Musk annonce créer sa propre formation politique, le «parti de l'Amérique»

Le Figaro

time12 hours ago

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Le milliardaire Elon Musk annonce créer sa propre formation politique, le «parti de l'Amérique»

L'ancien proche allié de Donald Trump s'était brouillé avec le président américain. Il a annoncé samedi la création de sa propre formation politique. Le milliardaire Elon Musk, ancien proche allié de Donald Trump, avec qui il s'est récemment brouillé, a annoncé samedi la création de sa formation politique, le «parti de l'Amérique». «Aujourd'hui, le parti de l'Amérique est créé pour vous rendre votre liberté», a écrit le patron de Tesla et Space X sur son réseau social X. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Vent debout contre le projet de loi budgétaire du président américain, qu'il accuse de creuser la dette publique, Elon Musk avait promis ces derniers jours de lancer son propre parti politique si le texte était adopté. Publicité Originaire d'Afrique du Sud, Elon Musk ne pourra pas se présenter à une future élection présidentielle, les candidats devant être nés en territoire américain. Il avait lancé un sondage sur cette idée sur son réseau social X vendredi, jour de la fête nationale américaine et de la promulgation en grande pompe de la «grande et belle loi» de Donald Trump. «Par un rapport de deux contre un, vous voulez un nouveau parti politique, et vous l'aurez !», a lancé samedi le magnat de la tech, alors que 65 % des quelque 1,2 million de votants ont répondu «oui» à la question de savoir s'ils souhaitaient que le «parti de l'Amérique» voie le jour. «Quand il s'agit de ruiner notre pays par le gaspillage et la corruption, nous vivons dans un système à parti unique, pas dans une démocratie», a encore dénoncé Elon Musk. Ancien proche allié de Donald Trump, dont il a financé la campagne lors de l'élection présidentielle en 2024, Elon Musk avait été chargé de sabrer dans les dépenses de l'État fédéral avec sa commission Doge avant que les deux milliardaires ne se brouillent en mai de manière spectaculaire à la face du monde.

Droits de douane: les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations»
Droits de douane: les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations»

Le Figaro

time15 hours ago

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Droits de douane: les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations»

La guerre commerciale lancée par le président américain depuis son retour à la Maison Blanche s'impose dans les débats du groupe, qui représente près de la moitié de la population mondiale et 40% du PIB de la planète. Les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations» face aux droits de douane «unilatéraux», lors de leur sommet qui débute dimanche à Rio de Janeiro, sans citer toutefois le président américain Donald Trump, selon le projet de déclaration finale consulté par l'AFP. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Sous les auspices du président brésilien de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, les dirigeants du groupe de 11 grands pays émergents (dont le Brésil, la Chine, l'Inde, la Russie et l'Afrique du Sud) tiennent leur sommet annuel dimanche et lundi à Rio. Publicité La guerre commerciale lancée par le président américain depuis son retour à la Maison Blanche s'impose dans les débats du groupe, qui représente près de la moitié de la population mondiale et 40% du PIB de la planète. «Nous exprimons de graves préoccupations face à l'augmentation des mesures douanières et non-douanières unilatérales qui faussent le commerce et ne sont pas conformes aux règles de l'OMC (Organisation mondiale du commerce)», indique ce texte sur lequel se sont accordés les négociateurs samedi. Trump implicitement visé Selon le document, qui pourra encore être amendé par les dirigeants en sommet, de telles mesures douanières «menacent de réduire davantage le commerce mondial» et pourraient «affecter les perspectives de développement économique dans le monde». Si Donald Trump n'est pas nommé, les pays émergents visent ainsi clairement la politique du président américain et sa rafale de droits de douane punitifs. Ce dernier a dit vendredi avoir signé des lettres adressées aux partenaires commerciaux des États-Unis concernant l'application de surtaxes douanières par Washington, dont «probablement douze» seront envoyées lundi. Prenant le contre-pied, Lula s'est fait samedi le chantre du multilatéralisme: «Face à la résurgence du protectionnisme, il appartient aux nations émergentes de défendre le régime commercial multilatéral et de réformer l'architecture financière internationale». Le «même langage» sur l'Iran Le président chinois Xi Jinping sera pour la première fois absent du sommet des Brics, dont son pays est pourtant la puissance dominante. Le président russe Vladimir Poutine, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre présumé en Ukraine, sera lui aussi absent. Mais il s'exprimera par visioconférence, selon le Kremlin. Les négociateurs sont aussi parvenus samedi à un consensus sur la façon d'évoquer l'escalade militaire au Moyen-Orient, sujet qui divisait les délégations, d'après une autre source impliquée dans les discussions. L'Iran, au sortir d'une guerre de douze jours avec Israël et les États-Unis, souhaitait que les Brics durcissent le ton dans le communiqué final. Mais le document doit conserver «le même langage» qu'une déclaration publiée fin juin à ce sujet par le groupe, selon cette source. Les pays émergents avaient alors condamné les «attaques militaires» contre l'Iran - mais sans citer Israël et les États-Unis - et jugé «urgent de rompre le cycle de la violence et de rétablir la paix». Le président iranien Massoud Pezeshkian ne participera pas au sommet. Il sera représenté par son ministre des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui est arrivé samedi à Rio, a indiqué un porte-parole du ministère sur le réseau social X. Publicité Créé dans le but de rééquilibrer l'ordre mondial au bénéfice du «Sud global» face à l'Occident, le groupe des Brics s'est élargi ces deux dernières années avec l'Arabie saoudite, l'Égypte, les Émirats arabes unis, l'Éthiopie, l'Iran puis l'Indonésie. Le Brésil, qui accueillera en novembre la COP30, la conférence climat de l'ONU, dans la ville amazonienne de Belem, espère par ailleurs qu'un consensus sera trouvé sur la lutte contre le changement climatique. En plus de la déclaration finale espérée, doivent en effet être publiés des textes sur le climat, mais aussi sur l'intelligence artificielle et la coopération sanitaire.

Face à Trump, les Brics s'inquiètent des droits de douane «unilatéraux»
Face à Trump, les Brics s'inquiètent des droits de douane «unilatéraux»

Le Figaro

time15 hours ago

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Face à Trump, les Brics s'inquiètent des droits de douane «unilatéraux»

Réunis au Brésil, les dirigeants de onze grands pays émergents, dont la Chine, l'Inde, la Russie et l'Afrique du Sud, ont aussi réclamé un «cessez-le-feu immédiat» à Gaza et le «retrait complet» des forces israéliennes, selon la déclaration conjointe publiée dimanche au premier jour du sommet. Sous haute sécurité, les dirigeants de onze grands pays émergents (dont Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud), se retrouvent pour deux jours à Rio de Jaeiro, au Brésil. Au bord de la sublime baie de Guanabara, les Brics ont exprimé leurs «sérieuses préoccupations» face aux droits de douane «unilatéraux», au moment où le monde est mis sous tension par la guerre commerciale lancée par Donald Trump - qu'ils n'ont toutefois pas cité. «Nous exprimons de sérieuses préoccupations face à l'augmentation de mesures douanières et non-douanières unilatérales qui faussent le commerce», selon la déclaration conjointe publiée au premier jour du sommet. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International De telles mesures «affectent les perspectives de développement économique global», ont alerté les Brics, qui représentent près de la moitié de la population mondiale et 40% du PIB de la planète. Publicité Mais les dirigeants se gardent de nommer les États-Unis et Donald Trump, alors que de nombreux pays, dont la Chine, sont engagés dans des négociations avec Washington sur le sujet. Le ministre américain du Trésor Scott Bessent a affirmé dimanche que faute d'accord avec Washington dans les prochains jours, les droits de douane - pouvant atteindre 50% - entreraient en vigueur le 1er août. Les vastes droits de douane annoncés début avril avaient été rapidement suspendus par les États-Unis, le temps de négocier avec leurs partenaires commerciaux. «Effondrement» du multilatéralisme Hôte du sommet, le président brésilien de gauche Luiz Inacio Lula da Silva a ouvert la réunion sur un sombre tableau de la coopération internationale. «Nous assistons à un effondrement sans précédent du multilatéralisme», a-t-il lancé. Le sommet annuel des Brics est en outre affaibli par l'absence de certains poids lourds, à commencer par le président chinois Xi Jinping, qui pour la première fois depuis son arrivée au pouvoir en 2012 n'y participe pas. Son pays est pourtant la puissance dominante du bloc. Le président russe Vladimir Poutine, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre présumé en Ukraine, n'a pas non plus fait le déplacement. S'exprimant en visioconférence, il a cependant fait l'éloge des Brics, jugeant que «le système unipolaire dans les relations internationales (...) appartient désormais au passé». Publicité Iran et Gaza La situation au Moyen-Orient s'est aussi imposée dans les discussions. En ouverture, Lula a appelé à ne «pas rester indifférents face au génocide perpétré par Israël à Gaza», reprenant une accusation qui a déjà valu une crise diplomatique entre les gouvernements brésilien et israélien. Dans leur déclaration, les Brics ont pour leur part réclamé un «cessez-le-feu immédiat, permanent et inconditionnel» et le «retrait complet» des forces israéliennes de la bande de Gaza, où elles sont en guerre contre le mouvement islamiste palestinien Hamas. Des négociations indirectes entre Israël et le Hamas doivent commencer dimanche à Doha pour tenter de trouver un accord sur une trêve dans la bande de Gaza et une libération d'otages. Par ailleurs, les Brics ont «condamné les attaques militaires» menées contre l'Iran en juin, dénonçant une «violation du droit international», mais sans citer les États-Unis et Israël, qui ont conduit cette guerre de douze jours avec Téhéran. Créé dans le but de rééquilibrer l'ordre mondial au bénéfice du «Sud global» face à l'Occident, le groupe des Brics s'est élargi depuis 2023 avec l'Arabie saoudite, l'Égypte, les Émirats arabes unis, l'Éthiopie, l'Iran puis l'Indonésie. Mais en grossissant, le groupe est devenu de plus en plus hétéroclite, compliquant l'élaboration de positions communes. Ces derniers jours, les négociateurs ont peiné pour arriver à un projet de déclaration conjointe, notamment sur l'Iran. Après des tensions, les représentants iraniens ont obtenu que le ton soit un peu plus dur que dans une déclaration du groupe publiée le 24 juin, qui exprimait une «profonde préoccupation» concernant les attaques, sans les condamner formellement. Publicité En plus de la déclaration commune, les Brics comptent aussi publier des textes sur l'intelligence artificielle, la coopération sanitaire et le climat. Ce dernier thème est particulièrement important pour le Brésil, qui accueillera en novembre la COP30, la conférence climat de l'ONU, dans la ville amazonienne de Belem.

États-Unis : Elon Musk ne pourra jamais être élu président, malgré la création de son parti
États-Unis : Elon Musk ne pourra jamais être élu président, malgré la création de son parti

Le Parisien

timea day ago

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États-Unis : Elon Musk ne pourra jamais être élu président, malgré la création de son parti

Il l'avait annoncé, il l'a fait. Après sa rupture très médiatique avec Donald Trump, dont il a soutenu la candidature à la présidentielle de 2024, Elon Musk a annoncé, samedi, la création de sa formation politique, le « parti de l'Amérique » . Estimant que ni les démocrates, ni les républicains ne représentent suffisamment les citoyens, l'homme le plus riche du monde a décidé de s'investir personnellement en politique. Mais même si sa formation parvenait à séduire - ce qui est loin d'être gagné dans un pays où le bipartisme règne en maître - Elon Musk ne pourrait pas atteindre la fonction suprême. « Il ne peut ni se présenter comme président, ni comme vice-président », affirmait la professeure des universités Anne Deysine, interrogée pour un précédent article . Dans son article II section 1, la Constitution américaine stipule que seul un « citoyen de naissance », c'est-à-dire une personne née aux États-Unis, peut être éligible à la tête du pays. Or, le patron de Tesla est né en Afrique du Sud, à Pretoria. Il n'a obtenu la nationalité américaine qu'en 2002, après avoir déjà été naturalisé canadien à la fin des années 1980. Une règle que le principal intéressé connaît bien. « Mon grand-père était Américain, mais je suis né en Afrique, donc je ne peux pas être président », admettait-il dès octobre 2024. Quant à la possibilité que la Constitution soit amendée, elle est très faible, voire quasi-nulle en l'état actuel des choses. Interrogé par le magazine américain Newsweek , Philip Bobbitt, professeur à l'université du Texas, rappelle qu'il faut au minimum que les deux tiers des États ou des membres du Congrès réclament un amendement, puis que les trois quarts des États qui constituent le pays le ratifient, pour qu'il soit valable. S'il ne peut exercer la fonction suprême, Elon Musk peut en revanche être candidat à la Chambre des représentants ou au Sénat, où il n'est pas nécessaire d'être né aux États-Unis pour être élu. Il suffit d'être citoyen américain depuis sept ans pour la première, neuf ans pour le second.

L'Afrique du Sud domine l'Italie pour son deuxième test-match de l'été
L'Afrique du Sud domine l'Italie pour son deuxième test-match de l'été

L'Équipe

time2 days ago

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L'Afrique du Sud domine l'Italie pour son deuxième test-match de l'été

Opposée à l'Italie après sa victoire écrasante sur les Barbarians (54-7), l'Afrique du Sud s'est imposée samedi à Pretoria (42-24) face à des Azzurri remaniés qui ont attendu la deuxième période pour forcer le verrou des Boks. Les deux équipes se retrouveront dimanche prochain à Port Elizabeth. Sans surprise, l'Afrique du Sud poursuit sa montée en puissance en vue du Rugby Championship, où elle défendra son titre. Après une gifle infligée aux Barbarians (54-7), les doubles champions du monde se sont mis à l'abri en première période contre l'Italie samedi à Pretoria. Promu capitaine pour la première fois de sa carrière, l'ailier Jesse Kriel a ouvert le score à la réception d'un service au pied de Damian de Allende (7-0, 11e). Le demi de mêlée Morné van den Berg s'est ensuite invité dans l'en-but pour ouvrir son compteur d'essais internationaux avec un doublé (23e et 37e), entrecoupé d'un autre essai de la flèche Kurt-Lee Arendse (30e). Menée 28-3 à la pause, l'Italie, sans plusieurs cadres laissés au repos lors de la tournée d'été, a retrouvé son rugby pour inscrire trois essais (35-24, 69e), dont un signé du talonneur Pablo Dimcheff sur un maul dominateur. Mais les Sud-Africains ont tout de suite donné un dernier coup de marteau avec le flanker Marco van Staden au terme d'une longue phase de jeu (42-24, 73e). Les Boks affronteront une deuxième fois les Italiens, samedi prochain à Port Elizabeth, avant de retrouver la Géorgie le 19 juillet à Mbombela.

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