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Swiatek défait Paolini et remporte la finale
Swiatek défait Paolini et remporte la finale

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time15 hours ago

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Swiatek défait Paolini et remporte la finale

(Cincinnati) La Polonaise Iga Swiatek, N.3 mondiale, s'est imposée pour la première fois au tournoi WTA 1000 de Cincinnati, en dominant lundi en finale l'Italienne Jasmine Paolini 7-5, 6-4. Agence France-Presse Swiatek (24 ans) est ainsi parfaitement lancée en direction des internationaux des États-Unis, le dernier tournoi du Grand chelem de la saison, qu'elle avait remporté en 2022 et qui commence dimanche à New York. Plus de détails suivront.

Alcaraz couronné après l'abandon de Sinner
Alcaraz couronné après l'abandon de Sinner

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time19 hours ago

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Alcaraz couronné après l'abandon de Sinner

(Cincinnati) Carlos Alcaraz a remporté le tournoi de Cincinnati après l'abandon lundi en finale du N.1 mondial Jannik Sinner, annoncé « malade » par l'arbitre, à quelques jours du début des Internationaux des États-Unis. Agence France-Presse Visiblement diminué, l'Italien âgé de 24 ans était mené 5-0 dans la première manche quand il a jeté l'éponge, offrant un premier titre dans l'Ohio à son grand rival espagnol Alcaraz, N.2 mondial. L'état de santé de Sinner soulève des questions alors que les Internationaux des États-Unis débutent dimanche. « Je suis désolé les gars, je ne peux pas. J'ai essayé, mais je ne peux pas. Je me sens mal. Je ne peux pas me déplacer, j'ai l'impression que je vais m'effondrer. Je suis désolé pour les fans », a expliqué Sinner au superviseur après avoir fait appel à un médecin. « Soigne-toi bien, c'est le plus important », lui a tout de suite lancé Alcaraz. Très attendu, ce nouveau duel n'aura pas vraiment eu lieu après le succès d'Alcaraz en finale de Roland-Garros, puis celui de Sinner à Wimbledon.

Les médiateurs font une nouvelle proposition au Hamas
Les médiateurs font une nouvelle proposition au Hamas

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timea day ago

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Les médiateurs font une nouvelle proposition au Hamas

(Le Caire) Une délégation du mouvement islamiste palestinien Hamas a reçu au Caire une nouvelle proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, prévoyant une trêve initiale de 60 jours et la libération en deux étapes des otages, a indiqué lundi un responsable palestinien. Menna FAROUK avec Hervé BAR à Jérusalem Agence France-Presse Ce qu'il faut savoir Une délégation du Hamas a reçu une nouvelle proposition de cessez-le-feu ; La proposition prévoirait un cessez-le-feu de 60 jours en échange de la libération de 10 otages israéliens, et de la restitution d'un certain nombre de corps de captifs ; La Défense civile a fait état d'au moins 11 personnes tuées lundi dans des frappes et tirs israéliens dans la bande de Gaza ; Amnistie internationale affirme qu'Israël mène à Gaza une « campagne de famine délibérée », avec la volonté de « détruire systématiquement la santé, le bien-être et le tissu social de la vie palestinienne ». Les efforts des médiateurs — Égypte, Qatar et États-Unis — ont échoué jusque là à aboutir à un cessez-le-feu durable dans la guerre qui ravage depuis 22 mois la bande de Gaza, où 19 Palestiniens ont été tués lundi dans des frappes et tirs israéliens. Dans l'après-midi, aucun responsable israélien n'avait encore commenté les discussions en cours en Égypte, où s'est rendu le premier ministre qatari, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani. Cette relance diplomatique intervient au moment où l'armée israélienne se prépare à conquérir la ville de Gaza et les camps de réfugiés voisins échappant jusque là à son contrôle, en vertu d'un nouveau plan israélien adopté dans l'objectif affiché d'en finir avec le Hamas et libérer tous les otages. PHOTO OMAR AL-QATTAA, AGENCE FRANCE-PRESSE Des tentes abritant des Palestiniens déplacés dans la ville de Gaza, le 18 août 2025. L'annonce de cette escalade a accru les pressions sur le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, tant de la part de l'opinion publique, qui craint pour le sort des 49 otages encore retenus à Gaza — dont 27 morts selon l'armée — qu'à l'international, où les appels se multiplient pour mettre fin aux souffrances des Gazaouis. Des dizaines de milliers d'Israéliens ont manifesté dimanche à Tel-Aviv pour réclamer la fin de la guerre et le retour des otages, enlevés le 7 octobre 2023 lors de l'attaque sans précédent du Hamas en Israël qui a déclenché la guerre à Gaza. « En une seule fois » La semaine dernière, M. Nétanyahou a prévenu qu'Israël n'accepterait qu'un accord « dans lequel tous les otages seront libérés en une seule fois et selon nos conditions pour mettre fin à la guerre » à Gaza, menacée d'une « famine généralisée » selon l'ONU. Sur son réseau Truth Social, le président américain Donald Trump a commenté : « Nous ne verrons le retour des otages restants que lorsque le Hamas sera confronté et détruit ! ! ! Plus cela se produira rapidement, meilleures seront les chances de succès ». Depuis le début de la guerre, Israël assiège à Gaza 2,4 millions de Palestiniens, qu'il a soumis début mars à un blocus humanitaire total, ensuite allégé en mai puis de nouveau fin juillet face aux critiques internationales. Le texte présenté au Hamas au Caire, où le premier ministre qatari a rencontré le président Abdel Fattah al-Sissi, reprend les grandes lignes d'une précédente proposition américaine. Cette nouvelle proposition « se base sur celle de l'envoyé américain [Steve] Witkoff, qui prévoit une trêve de soixante jours et la libération des prisonniers israéliens en deux vagues », selon une source palestinienne proche du dossier. « La proposition est un accord-cadre pour lancer des négociations sur un cessez-le-feu permanent. Le Hamas tiendra des consultations internes au sein de sa direction » et avec les dirigeants d'autres groupes alliés, a ajouté cette source qui a requis l'anonymat. Selon une source au sein du Djihad islamique, groupe palestinien allié du Hamas, ce plan prévoit un cessez-le-feu de 60 jours en échange de la libération de 10 otages israéliens, et de la restitution d'un certain nombre de corps de captifs. Selon la source au sein du Djihad islamique, « les captifs restants seraient libérés lors d'une deuxième phase, avec des négociations immédiates à suivre pour un accord plus large » visant à mettre fin à la guerre, avec des garanties internationales. Ceci afin de « contrecarrer le plan de l'occupant visant à occuper Gaza et à en déplacer les habitants ». « Au-delà de toute imagination » Le ministre des Affaires étrangères égyptien, Badr Abdelatty, a indiqué lundi à la frontière entre Gaza et l'Égypte, que son pays était prêt « à contribuer à toute force internationale qui pourrait être déployée à Gaza », à condition qu'elle repose sur « une résolution du Conseil de sécurité, un mandat clair et s'inscrive dans une perspective politique ». PHOTO KHALED DESOUKI, AGENCE FRANCE-PRESSE Le ministre des Affaires étrangères égyptien, Badr Abdelatty, lors d'une conférence de presse à Rafah Il s'est alarmé d'une situation humanitaire « sur le terrain au-delà de toute imagination ». Amnistie internationale a accusé Israël de mener à Gaza une « campagne de famine délibérée », avec la volonté de « détruire systématiquement la santé, le bien-être et le tissu social de la vie palestinienne ». Israël a rejeté à plusieurs reprises les accusations de famine délibérée, et affirme œuvrer désormais pour laisser entrer plus de vivres.

La mousson fait d'autres victimes et ralentit les recherches
La mousson fait d'autres victimes et ralentit les recherches

La Presse

timea day ago

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La mousson fait d'autres victimes et ralentit les recherches

De nouvelles trombes d'eau ont tué lundi 20 personnes dans le nord du Pakistan, tout en empêchant les secours de sortir de la boue des dizaines de corps toujours ensevelis après un épisode extrême de mousson qui a tué plus de 350 personnes depuis jeudi. avec Lehaz ALI à Peshawar Agence France-Presse Lundi, comme jeudi soir dans plusieurs districts de la province montagneuse du Khyber-Pakhtunkhwa, à la lisière de l'Afghanistan, l'eau est tombée soudainement du ciel à Swabi, faisant s'effondrer les toits des maisons et créant des torrents de boue qui engloutissent tout sur leur passage. « Plusieurs villages ont été rasés dans le district de Swabi et le premier bilan des pluies torrentielles fait état d'au moins 20 morts », a indiqué sous le couvert de l'anonymat un haut responsable de l'Autorité de gestion des catastrophes de la province du Khyber-Pakhtunkhwa. Un haut fonctionnaire du district a confirmé ce bilan à l'AFP alors que selon les autorités, près de 200 habitants des dizaines de villages sinistrés depuis jeudi sont toujours portés disparus. Les opérations de sauvetage ont bien été lancées mais la tâche des secouristes n'a fait que se compliquer. Vendredi, une mauvaise météo a fait s'écraser un hélicoptère du gouvernement du Khyber-Pakhtunkhwa, la province la plus touchée par les pluies meurtrières avec plus de 320 morts, des dizaines de blessés et des dégâts qui pourraient priver des centaines de familles de maisons, d'écoles et de services publics probablement pendant des mois. PHOTO ABDUL MAJEED, AGENCE FRANCE-PRESSE Des villageois se tiennent près d'un bâtiment alors que le niveau des eaux de crue monte dans le district de Buner, dans la province pakistanaise de Khyber-Pakhtunkhwa, le 18 août 2025. À Bichnoi, au cœur du district de Buner, le plus touché de la région escarpée où la boue a mis à bas reliefs et vallons de la même façon, charriant sur son passage des blocs de pierre qui ont tout emporté, Nisar Ahmad tente d'aider. Ce volontaire de 31 ans raconte comment « depuis des jours », il a, avec les autres, « sorti les corps des décombres de 12 villages entièrement rasés ». « Terrorisés par la pluie » Les autorités ont déployé 2000 secouristes depuis plusieurs jours. Mais ce matin, « le retour de la pluie nous a forcés à cesser les opérations : pour sortir les dizaines de corps encore prisonniers, il nous faut des engins de chantier mais les passages qui avaient été dégagés ont été effacés par la pluie et plus aucun engin ne peut s'approcher », explique-t-il à l'AFP. Et cette eau à nouveau venue du ciel ne provoque pas que la paralysie des secouristes, elle tétanise aussi les habitants. « Même s'il commence à pleuvoir légèrement, on est terrorisés, car c'est comme ça que ça a commencé » dans la nuit de jeudi à vendredi, raconte Ghulam Hussain, un habitant de Buner de 35 ans. « Les enfants et les femmes courent s'abriter dans les montagnes, en lieu sûr, pour tenter d'échapper aux pluies torrentielles si elles venaient à recommencer », rapporte de son côté Hazrat Ullah, 18 ans. Sharif Khan, lui, s'est installé chez un cousin avec sa femme et leurs quatre enfants. « En une demi-heure, la quasi-totalité de ma maison a été détruite sous mes yeux et je n'ai rien pu sauver », raconte ce commerçant de 47 ans. « J'avais mis six ans à construire cette maison de mes propres mains avec toutes mes économies. Maintenant je vais probablement devoir déménager hors de la région et louer ailleurs », se désole-t-il. PHOTO AKHTAR SOOMRO, REUTERS Un homme marche sur un passage piéton improvisé fait de bambou et de planches de bois au-dessus de l'eau de pluie s'écoulant des montagnes traversant une zone endommagée, le 18 août 2025 à Bayshonai Kalay, dans le district de Buner. Et les ennuis ne pourraient faire que commencer, préviennent les autorités, car les pluies vont encore s'intensifier ces deux prochaines semaines et la chaleur – typique de la mousson d'été – reste importante, faisant redouter développement des bactéries et épidémies alors que l'eau stagnante est chaque année synonyme de vague de dengue au Pakistan. « Beaucoup d'animaux sont morts dans les pluies torrentielles et leurs corps en décomposition dégagent des odeurs pestilentielles », affirme Nisar Ahmad, le volontaire de Bichnoi, qui réclame « de l'eau potable en urgence ». « 50 % plus intense qu'en 2024 » Mais acheminer l'aide sera compliqué, comme l'explique un haut responsable de l'Autorité de gestion des catastrophes du Khyber-Pakhtunkhwa. « Les routes alternatives dessinées pour accéder aux villages escarpés viennent d'être elles aussi emportées par les pluies », affirme-t-il à l'AFP. En outre, « le département de météorologie anticipe de nouvelles crues subites jusqu'à jeudi », poursuit-il sous le couvert de l'anonymat. La région voisine du Gilgit-Baltistan a déjà vécu il y a une semaine ce retour de bâton : sept volontaires y ont été tués et six autres blessés, ensevelis sous une coulée de boue alors qu'ils tentaient de raccorder leur village de montagne au réseau d'eau endommagé par des crues subites trois semaines plus tôt. Car si la mousson a été particulièrement meurtrière ces derniers jours, elle a commencé fin juin. Selon les autorités, elle a tué depuis plus de 650 personnes, dont une centaine d'enfants, avec une « intensité supérieure cette année de 50 à 60 % par rapport à l'année dernière ». Au moins 60 victimes ont aussi été recensées dans le Cachemire administré par l'Inde. Islamabad a déjà fait une première estimation des dégâts à près d'un demi-million de dollars et le Khyber-Pakhtunkhwa dit avoir recensé « 336 maisons, 57 écoles et 23 bâtiments publics endommagés ou détruits ».

Les communautés 100 % féminines fleurissent en Chine
Les communautés 100 % féminines fleurissent en Chine

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timea day ago

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Les communautés 100 % féminines fleurissent en Chine

Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. This is a modal window. Les communautés 100 % féminines fleurissent en Chine (Linan) Un potager, des oies, mais pas d'homme : ce gîte rural fait partie des communautés féminines qui essaiment en Chine. Les femmes y cherchent détente et entraide, loin des pressions socioprofessionnelles et des jugements masculins. Ludovic EHRET Agence France-Presse Leurs motivations ? « Parler librement de sujets intimes », « se faire des amies » ou « se sentir en sécurité », expliquent les participantes dans cette maison blanche à flanc de colline. Après avoir confectionné des pains vapeur à la viande dans la cuisine avec vue sur les montagnes, les femmes discutent dans le salon cosy, où les rires fusent autour d'un jeu de société et de cafés latte. « Un espace 100 % féminin, c'est sécurisant. Entre femmes, on parle plus facilement de certaines choses », comme des relations amoureuses et de ses blessures, déclare Zhang Wenjing, 43 ans, une participante. « En présence d'un homme, on fait davantage attention » à notre attitude, renchérit Chen Fangyan, 28 ans. Les participantes paient 30 yuans (5,80 dollars canadiens) par nuit, puis 80 yuans (15,50 $) à partir du quatrième jour, dans ce lieu nommé « L'Univers imaginaire de Keke », du surnom de la fondatrice, Chen Yani, 30 ans. « Durant mes expériences professionnelles et entrepreneuriales, j'ai été harcelée par des hommes », au point « d'être souvent incapable de travailler normalement », raconte-t-elle, ajoutant que c'est là qu'elle a commencé à réfléchir à « un lieu où l'on n'aurait pas d'appréhension ». Pas « obligées de jouer un rôle » PHOTO JADE GAO, AGENCE FRANCE-PRESSE Douze femmes viennent, notamment pour échapper aux questions intrusives de leurs parents durant les fêtes. Elle retape alors cette maison située à Lin'an, dans la province du Zhejiang (est du pays) et organise via le réseau social Xiaohongshu (le « Instagram chinois », aussi appelé RedNote), un séjour chez elle durant le Nouvel An chinois. Douze femmes viennent, notamment pour échapper aux questions intrusives de leurs parents durant les fêtes - la pression en Chine pour se marier avant 30 ans étant particulièrement forte. « En famille, les femmes doivent souvent s'occuper des grands-parents, des enfants, du ménage. Sans compter les responsabilités au travail », note Chen Yani. « Elles ont besoin d'un endroit où elles ne sont pas obligées de jouer un rôle », souligne-t-elle. Grâce à leur indépendance économique et à un niveau d'études plus élevé, les femmes ont aujourd'hui davantage de choix, estime Yuan Xiaoqian, 29 ans, une autre participante. Et sur RedNote notamment, ces communautés féminines se multiplient. « Force mentale » Pour quelques jours ou mois, elles proposent davantage qu'un hébergement : elles se veulent des lieux de solidarité entre femmes. Comme celui que Yang Yun, 46 ans, a ouvert début juin à Xiuxi, un village du Zhejiang. Un endroit aux airs d'hôtel de charme, avec meubles bruts et calligraphies aux murs. Contre 3980 yuans (775 dollars) d'adhésion à ce club, nommé « Son Espace », les membres peuvent y venir à tout moment et à vie. « Si elle perd son emploi, ses parents, se dispute avec son mari, est épuisée par la vie urbaine, elle sait qu'elle peut venir trouver un peu de chaleur », explique Mme Yang, qui revendique 120 membres. « Cela leur donne une force mentale. » Les membres peuvent devenir partenaires, en investissant dans la rénovation de maisons du village, qu'elles peuvent ensuite louer aux touristes. Ces espaces non mixtes sont par certains accusés de nourrir l'antagonisme entre sexes, ce que Chen Yani récuse. « Comme les enfants ou les seniors […], les femmes constituent un groupe social avec des trajectoires de vie, des problèmes similaires. C'est plus facile de se comprendre et de faire preuve d'empathie », explique-t-elle. Colocations permanentes ? D'autres lieux réservés aux femmes ouvrent en Chine. « Les hommes ont plein d'occasions de socialiser, lors de soirées arrosées ou en faisant du sport », souligne Lilith Jiang, 34 ans, fondatrice à Pékin de la librairie-café non mixte « La moitié du ciel ». Des espaces d'échanges que « les femmes n'ont pas », explique-t-elle. Si Chen Yani concède que son « modèle économique n'est pas viable », elle assure que « tant qu'il y aura une demande, il continuera d'exister » et « d'inventer une autre manière de vivre ». « Certains disent sans cesse aux femmes : 'si tu ne te maries pas, qu'est-ce que tu deviendras en vieillissant ? ' », souligne Lilith Jiang. Pour elle, en alternative aux relations amoureuses, « des colocations 100 % féminines sur le long terme, pour vieillir entre femmes, ça pourrait être une solution ».

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