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Soldes Maisons du Monde : profitez de -30% sur ce canapé d'angle beige
Soldes Maisons du Monde : profitez de -30% sur ce canapé d'angle beige

Le Parisien

time4 days ago

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  • Le Parisien

Soldes Maisons du Monde : profitez de -30% sur ce canapé d'angle beige

Ça y est, les soldes battent leur plein chez Maisons du Monde. C'est donc l'occasion parfaite pour habiller votre salon sans vous ruiner. L'enseigne de décoration propose de belles remises allant jusqu'à -60 % sur de nombreux articles. Parmi eux, vous pouvez retrouver le canapé d'angle Joey. Ce modèle vous permet d'accueillir facilement 3 à 4 personnes. Avec son revêtement beige en polyester et son assise généreuse, il vous promet des moments de détente seul ou à plusieurs. Il est également livré avec un pouf modulable. Celui-ci peut être installé soit à droite, soit à gauche pour convenir parfaitement à votre espace. En ce moment, ce canapé d'angle beige est disponible au prix de 279,30 euros au lieu de 399 euros, soit une économie de 30%. Avec sa teinte neutre et ses lignes épurées, le canapé Joey n'aura aucun mal à s'intégrer dans votre salon. En effet, celui-ci convient à tous les styles de déco, qu'il soit minimaliste, bohème ou moderne. Pour apporter une petite touche d'originalité, vous pouvez le décorer avec quelques accessoires comme des coussins à motifs ou un plaid coloré. Enfin, sachez que l'enseigne Maisons du Monde vous propose une livraison à domicile à partir de 21,90 euros. Bénéficiez également du paiement en plusieurs fois avec Alma. Vous pouvez ainsi payer en 3, 12 ou 24 mensualités. En clair, ce canapé fait partie des bons plans à ne pas laisser passer ! Cliquez ici pour profiter de l'offre Maisons du Monde sur le canapé d'angle Découvrez aussi :

Chloé, Emma, Lucas… Voici les prénoms les plus donnés dans les Yvelines depuis l'an 2000
Chloé, Emma, Lucas… Voici les prénoms les plus donnés dans les Yvelines depuis l'an 2000

Le Parisien

time5 days ago

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Chloé, Emma, Lucas… Voici les prénoms les plus donnés dans les Yvelines depuis l'an 2000

Alma chez les filles, Adam et Gabriel chez les garçons… En 2024, les parents des Yvelines n'ont pas fait très différemment de ceux des autres départements d'Île-de-France (Alma et Adam) ou de France (Louise et Gabriel). Les différences sont plus sensibles lorsque l'on compare… sur les vingt-cinq dernières années . Selon les données actualisées de l'Insee, plus de 2 900 petites Yvelinoises ont été baptisées Chloé entre les années 2000 et 2024. Sur cette même période, on compte autant d'Emma.

Gabriel, Adam, Nour et Alma ... Quels sont les prénoms les plus donnés en Île-de-France ?
Gabriel, Adam, Nour et Alma ... Quels sont les prénoms les plus donnés en Île-de-France ?

Le Figaro

time6 days ago

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Gabriel, Adam, Nour et Alma ... Quels sont les prénoms les plus donnés en Île-de-France ?

INFOGRAPHIE - Si Gabriel et Alma arrivent en tête au niveau régional, il existe de notables disparités entre départements. L'INSEE a publié sa traditionnelle enquête sur les prénoms les plus donnés. Gabriel et Alma arrivent en tête au niveau national en 2024. L'Île-de-France, région la plus peuplée, suit cette tendance, confirmant la mode des prénoms courts, révèle-t-elle. Toutefois, de notables disparités sont à noter en fonction des départements. Les parents parisiens placent Alma et Gabriel en tête, rejoignant la tendance nationale, suivi de près par Louise et Raphaël puis Alice et Adam. Les Yvelines, pour leur part, placent également Alma et Gabriel en première place, puis Jade et Adam, et enfin Lina et Mohamed. Ces prénoms étaient déjà en haut du classement l'an dernier. En Seine-et-Marne, Emma et Gabriel sont en tête, comme en 2023. Éva et Maël arrivent ensuite, suivis d'Élena et Raphaël. L'an dernier, Mohamed se glissait au second rang suivi de Noah pour les garçons, et Éva puis Alba pour les filles. Publicité Dans l'Essonne, Emma et Mohamed arrivent premiers, puis Éva et Gabriel, enfin Jade et Adam cette année similaire à l'an passé. Les Hauts-de-Seine placent Louise et Gabriel en tête comme en 2023, suivis par Alma et Adam. En revanche, Raphaël détrône Noah cette année. Emma demeure le troisième prénom le plus donné. Dans le Val-de-Marne, Ibrahim, Mohamed et Gabriel demeurent les prénoms les plus donnés en 2024. Nour, Alma et Inaya suivent pour les filles, dans le même ordre que l'an dernier. En Seine-Saint-Denis, Mohamed et Inaya sont les prénoms les plus courants. Suivent Adam et Maryam, classée troisième l'an dernier. Enfin, Ibrahim et Fatoumata complètent le podium d'après cette étude de l'INSEE. Pour conclure, le Val d'Oise place en tête Adam, Gabriel et Isaac pour les garçons. Lina, Nour et Inaya demeurent les prénoms les plus accordés aux petites filles.

Le grand écart heureux de Plastic Bertrand
Le grand écart heureux de Plastic Bertrand

La Presse

time09-07-2025

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Le grand écart heureux de Plastic Bertrand

Plastic Bertrand a 71 ans et qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il fait ? Il s'arrête au Québec le temps de seulement deux spectacles, à Alma et à Shawinigan. Plastic Bertrand n'a pas exactement dormi dans la gouttière, mais n'a pas beaucoup eu le temps de souffler au cours des derniers jours. Samedi soir, il était à Rumilly, près de Genève, afin de participer à un de ces spectacles collectifs réunissant des unitubistes de la décennie 1980. Lundi après-midi, au Studio Latraque dans le quartier Rosemont à Montréal, c'est un Plastic Bertrand pétulant qui danse sous nos yeux, en répétant avec ses jeunes musiciens québécois une version presque dance-punk de Sexy You, tirée de L'expérience humaine (2020), son dernier album en date. T-shirt bleu marine sur jean ajusté, gueule de jeunot ; la légende balance les bras, manifestement vivifiée par le groove de la claviériste Mélissa Fortin (Bon Enfant) et de la bassiste Marie-Anne Arsenault. Puis, tout le monde discute – y compris la star – du tempo adéquat à adopter. 121 ou 124 BPM ? PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE Plastic Bertrand en répétition Beaucoup d'efforts pour seulement deux spectacles, le premier ce mercredi à Alma et l'autre, vendredi, à Shawinigan. « C'est parce que moi, dès qu'on me dit 'Québec', je viens », explique le célèbre Belge, quelques minutes plus tard, dans un petit salon attenant. C'est vrai que c'est fou de répéter tout un show pour deux dates. Il faut être malade, mais si c'est ça être malade, je suis heureux de l'être. Plastic Bertrand C'est que la relation d'amitié entre l'interprète de Stop ou encore et le Québec ne date pas d'hier. Sa première visite remonte à janvier 1981 au Shoeclack Déchaîné, mythique bar new wave de Québec, situé jadis là où est maintenant érigé Le Diamant. Puis en 1982, il était déjà de retour pour la tournée Supermusique O'Keefe, mettant aussi en vedette Nanette Workman, Daniel Hétu, Martine St-Clair, le groupe Bill et une très jeune Céline Dion, pour qui tout n'était qu'un rêve. Extrait de Stop ou encore, de Plastic Bertrand 0:00 0:00 Couper le son « Alors je suis passé d'une salle punk à une grosse tournée pas punk du tout qui avait comme producteur René Angélil », s'exclame celui que même ses amis appellent Plastic, et non Roger Jouret. « Et c'était génial ! J'ai toujours aimé faire le grand écart. » Une soupape Le grand écart ? La page Wikipédia de Plastic Bertrand vous apprendra que Ça plane pour moi est un succès « variété punk », un oxymore qui résume à lui seul le chanteur qui a bel et bien frayé avec le mouvement punk, mais qui s'y sera rapidement senti à l'étroit. Étudiant en percussions au Conservatoire royal de musique de Bruxelles le jour, il joue de la batterie le soir au sein du groupe culte Hubble Bubble. « Le Conservatoire, c'était un parcours très rigide et j'avais besoin de m'éclater comme un fou, se remémore-t-il. J'avais besoin de hurler, parce que la musique dodécaphonique, ça peut finir par te prendre la tête. » Extrait de New Promotion, de Hubble Bubble 0:00 0:00 Couper le son Plastic Bertrand aperçoit le chandail à l'effigie des Ramones que porte l'auteur de ces lignes. « Ah, mais tu vois, les Ramones, je les ai bien connus à New York. J'ai dormi chez eux. Ils se mettaient à une fenêtre de l'autre côté de la rue du CBGB et ils balançaient des pois avec des lance-pierres aux punks à crête, qu'ils trouvaient trop frimeurs. » C'est en faisant la rencontre de Malcolm McLaren, imprésario des Sex Pistols et as de la subversion mercantilement intéressé, qu'il déchantera pour de bon. Ce qui a été le coup de grâce, c'est de parler avec [Malcolm] McLaren et de comprendre que tout le côté trash et révolte du punk, c'était du business, c'était manufacturé. Plastic Bertrand Quand il joue au Québec, Plastic Bertrand retrouve heureusement son mordant rock, grâce à des musiciens dont le guitariste Alex Crow et le batteur Pat No, qui étaient de la partie en 2004 lors de son inoubliable spectacle au Bal en blanc, avec comme accompagnateurs les membres du groupe de Xavier Caféine, Poxy. « Ça reste un de mes plus beaux concerts à vie, dit-il avec la banane. Je te le jure. » Un rebelle Autre raison de sourire : un récent article de Télérama intitulé « Plastic Bertrand, persécuté pendant quarante ans par un musicien retors et bonimenteur », dans lequel le journaliste Erwan Perron dresse un portrait sans appel de Lou Deprijck, producteur et compositeur de Ça plane pour moi, qui a maintenu jusqu'à sa mort en septembre 2023 en être la véritable voix. Ce que Plastic Bertrand, lui, a toujours démenti. PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE Avec le guitariste Alex Crow « Je suis hyper content du papier, dit-il, parce que même si j'ai toujours très bien su ce que j'avais fait, ce n'est jamais agréable de se faire insulter. » Il hausse les épaules. « Mais peut-être que toute cette controverse [qui l'a mené jusque devant les tribunaux] m'a aidé au point de vue notoriété. Ç'a fait jaser, comme mon nom. Si je m'étais appelé Patrick Bertrand, peut-être que ça aurait moins marché. » C'est déjà l'heure de retourner répéter. Alors, punk ou pas, le Plastic ? « Ce qui est certain, c'est que j'ai une place à part dans le métier. Tout le monde aime bien mettre des étiquettes, rock, punk, électro, hip-hop, underground, variété, et moi, je fais tout en même temps, comme un rebelle. Ça en emmerde certains et je les emmerde. » Ce mercredi 9 juillet au Festirame d'Alma et le vendredi 11 juillet aux Grandes Soirées Desjardins de Shawinigan Consultez la page du spectacle à Alma Consultez la page du spectacle à Shawinigan

Conquérir la planète un fan à la fois
Conquérir la planète un fan à la fois

La Presse

time08-07-2025

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Conquérir la planète un fan à la fois

Simple Plan a fait quelques spectacles au Québec ces derniers jours. Son passage ici coïncide avec la sortie du documentaire qui lui est consacré sur Prime Video, qui montre un groupe marqué à la fois par une humilité sincère et une détermination de feu. Où jouait Simple Plan, samedi dernier ? À Alma, au Lac-Saint-Jean. La présence du quatuor pop-punk québécois dans un festival régional a quelque chose de très révélateur. Non, ce n'est pas le signe que le groupe est sur le déclin. Cela montre plutôt que même s'ils peuvent se produire en tête d'affiche devant plus de 40 000 fans au Brésil, Pierre Bouvier, Jeff Stinco, Sébastien Lefebvre et Chuck Comeau demeurent prêts à jouer dans un festival régional au Québec. Après 25 années d'une carrière internationale florissante, ce n'est pas un détail. Ce n'est pas si étonnant non plus : Simple Plan sait pertinemment ce qu'il doit à ses fans. Se déplacer pour aller les voir, où qu'ils soient, et se donner à fond, c'est non négociable pour eux. C'est d'ailleurs l'un des éléments qui ressort du documentaire Simple Plan : The Kids in the Crowd, offert sur Prime Video. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE Les membres de Simple Plan : Pierre Bouvier, Sébastien Lefebvre, Jeff Stinco et Chuck Comeau « Au début de chaque show, je regarde les gens dans la foule. À la première rangée comme au balcon. J'imagine l'histoire des gens qui sont là. Qu'untel a pris l'avion pour nous voir. Qu'il attend ça depuis 15 ans », racontait Chuck Comeau lors d'un entretien réalisé à Las Vegas en octobre dernier. Il y a encore plein de gens qui nous voient pour la première fois, même après 25 ans. Tu ne peux pas t'asseoir sur ce que tu as fait avant. Chuck Comeau, lors d'un entretien en octobre dernier PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Simple Plan lors de son concert au Festival d'été de Québec, le 4 juillet Cette volonté de plaire et de mettre tous les efforts pour y parvenir, on la sent très fort dans le documentaire produit par Sphere Media. Ce que le réalisateur Didier Charette raconte, c'est d'abord l'histoire d'un groupe qui n'a jamais été « cool », qui a été snobé et a fait l'objet de moqueries, qui a rongé son frein et mordu la poussière. C'est aussi l'histoire de gars déterminés qui ont fini par connaître un succès phénoménal. On pourrait aligner les chiffres – environ 10 millions d'albums vendus dans le monde, soit trois fois plus qu'Arcade Fire – pour étayer le succès de Simple Plan. Or, ce qui est le plus éloquent, c'est son calendrier de tournée : en 2025, le groupé formé dans l'ouest de Montréal fera une fois de plus le tour du monde. Parfois en première partie d'Avril Lavigne ou The Offspring, parfois en tête d'affiche. « C'est important qu'on ne soit pas juste en train de regarder le passé et de gérer une décroissance », souligne Jeff Stinco. Sur ce plan, Simple Plan a toujours été proactif : le groupe n'a jamais misé seulement sur les États-Unis et pris la peine très tôt dans sa carrière d'aller voir ses fans en Asie, en Australie et en Amérique latine. Ainsi, quand son étoile a pâli au sud de la frontière, le quatuor a pu poursuivre sa route en misant sur ses fans vivant ailleurs dans le monde. Des travailleurs acharnés Simple Plan : The Kids in the Crowd arrive alors que le groupe passe le cap des 25 années d'existence. Ainsi, c'est sans grande surprise que l'on constate le ton généralement positif du film de Didier Charette. « J'avais envie de faire quelque chose d'inspirant », précise le réalisateur, qui a eu un accès total non seulement aux coulisses des concerts, mais aussi à des tonnes d'archives datant du tournant des années 2000. PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE Le réalisateur Didier Charette On se promène ainsi des grandes scènes du monde au sous-sol des parents de Charles Comeau où Pierre Bouvier et lui ont commencé à jouer de la musique dès l'adolescence. On voit des gamins déconner, mais surtout travailler d'arrache-pied pour réaliser leur rêve de se tailler une place dans l'élite du pop-punk international. Chuck Comeau étouffe des sanglots quand il raconte à la caméra le moment où Simple Plan a enfin décroché un contrat de disque, mais le documentaire ne raconte pas de salades : il ne suffit pas de publier un disque avec l'appui d'un géant de la musique (Altantic Records, dans son cas) pour récolter la gloire. L'un des autres aspects très intéressants du film est l'attention qu'il porte aux habitudes de travail de Simple Plan. En effet, si le son du groupe est très pop, le « fais-le toi-même » cher au mouvement punk a beaucoup nourri le groupe à ses débuts. Ses membres – Chuck Comeau en particulier – ont déployé une créativité et une pugnacité qui commandent le respect. En d'autres mots : Simple Plan a gagné chaque miette de succès qu'il a obtenu. Succès qui n'aurait pas été au rendez-vous sans des chansons accrocheuses et, surtout, capables de toucher des quantités de gens qui, eux aussi, se sentaient seuls ou incompris à l'adolescence et au début de l'âge adulte. Un portrait « juste » En entrevue avec La Presse l'automne dernier, les membres de Simple Plan disaient avoir été sortis de leur zone de confort en acceptant d'avoir une caméra braquée sur eux sur scène et en coulisses pendant plusieurs mois. Ils laissaient entendre que le film aurait quelque chose d'un peu cru. Le terme est exagéré. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE Le documentaire sur Simple Plan est offert dès maintenant sur Prime Video. Simple Plan : The Kids in the Crowd ne fait qu'effleurer les excès des tournées passées et le seul vrai drame qui a secoué le groupe : en 2020, le bassiste David Desrosiers a fait l'objet d'allégations d'inconduites sexuelles. Il a quitté le groupe et n'est pas interviewé pour le documentaire. L'affaire est évoquée, sans être soulignée. En marge du festival When We Were Young, tenu en octobre à Las Vegas, Chuck Comeau et Jeff Stinco disaient que, depuis cet évènement, Simple Plan agit pour augmenter la présence féminine dans son entourage professionnel et veut utiliser sa notoriété pour attirer l'attention sur des artistes femmes trop peu représentées dans leur milieu. Simple Plan : The Kids in the Crowd creuse davantage le choc de personnalités entre Pierre Bouvier, chanteur du groupe, et Chuck Comeau, qui n'est pas seulement son puissant batteur, mais aussi clairement la force motrice du quatuor. Ces deux-là s'aiment et s'affrontent depuis l'adolescence. Ils se complètent aussi dans l'écriture, même si ça fait des flammèches, comme on peut le voir dans le film. « Ç'aurait été facile de verser dans le sensationnalisme, dit Didier Charette, au sujet de cette dynamique de frères ennemis, mais je ne trouve pas que ç'aurait rendu justice à la vraie histoire du groupe. Il y a eu des versions de montage qui étaient beaucoup plus sombres, mais ça ne faisait pas nécessairement un meilleur film. Je trouve que [la version finale] est juste. » Offert sur Prime Video

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