Dernières actualités avec #Amélie


Le Parisien
15 hours ago
- Politics
- Le Parisien
Une demande en mariage… sur le toit d'une église du Calvados !
« Amélie, veux-tu m'épouser ? » La question est déjà très romantique. Mais elle devient totalement insolite quand c'est Maxime Le Brech qui l'adresse à son amoureuse. Ce Normand de 29 ans gère avec son père une entreprise de couverture. Il est actuellement en train de restaurer le toit de l'église de Martigny-sur-l'Ante, charmant village au cœur du bocage normand. C'est là, perché en haut de ses échafaudages, qu'il a eu l'idée audacieuse d'accrocher une banderole monumentale sur laquelle il formule sa demande en mariage. « À la fin d'une journée de travail, je l'ai accrochée au plus haut de l'échafaudage. Et j'ai prévenu la meilleure amie d'Amélie. Elle est passée la chercher le lendemain dans l'après-midi pour lui dire qu'elle voulait l'emmener se balader à Caen. À un moment, elle a bifurqué et elles sont arrivées dans le village, face à la grande banderole. Moi, je l'attendais là au pied de l'église et de ma banderole ! Ça a vraiment été une émotion unique. Ça fait 7 ans qu'on est ensemble et on a une petite fille de 5 ans. C'est vraiment fort. » Amélie a aussitôt répondu par un grand « Oui », chargé d'émotion. Une émotion d'autant plus singulière pour Maxime qu'il n'avait pas choisi « son » église par hasard… « C'est bouleversant parce que mes grands-parents se sont connus dans cette église. Mon grand-père était lui aussi couvreur. Un jour, alors qu'il travaillait sur cette même toiture, une dame est venue au cimetière fleurir une tombe. La discussion s'est engagée. Et ils ne sont plus jamais quittés ! Imaginez donc le symbole que c'est aujourd'hui pour moi de faire ma demande ici », conclut-il, avec beaucoup de sensibilité. Ne reste plus désormais aux tourtereaux qu'à trouver la salle et fixer la date du grand jour.


Le Figaro
15-07-2025
- Business
- Le Figaro
«Je ne vois pas pourquoi je paierais pour ça» : ces Français qui ne font plus confiance à leur conseiller bancaire
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Turnover record, pression commerciale, surcharge réglementaire : les conseillers bancaires peinent parfois à répondre aux attentes croissantes de leurs clients. En toile de fond, le métier se transforme profondément. Lorsqu'elle avait encore un conseiller bancaire, Amélie faisait tout pour l'éviter. «S'il m'appelait, c'était pour réclamer un document, m'annoncer un découvert ou tenter de me vendre une formule pour me prendre de l'argent», résume cette cadre dans la finance âgée de 35 ans. Depuis, elle a basculé sans regret vers la banque en ligne. Elle préfère gérer ses comptes seule, recevoir une notification discrète plutôt qu'un appel au beau milieu de sa journée de travail. En 2023, échaudée par son expérience chez LCL, elle a transféré son compte principal chez BoursoBank. «Les rares fois où j'avais des questions, on me tendait des brochures standardisées. Je ne vois pas pourquoi je paierais pour ça», maugrée la trentenaire. Si les banques se félicitent de la satisfaction de leurs clients - 88 % des Français déclarent avoir une bonne image de leur conseiller, selon un sondage Ifop de février 2024 -, une certaine frustration persiste. Seuls 16% des personnes interrogées, ainsi, estime qu'une banque idéale doit les «conseiller et accompagner dans [leurs] placements financiers». «C'est particulièrement vrai pour les CSP+, qui sont les mieux informés, et aussi les plus exigeants», explique Pierre*, gestionnaire de portefeuille dans une grande banque d'investissement. Thibault, cadre dans les médias et client du Crédit Agricole, ne dira pas le contraire : «Pour mon prêt immobilier, j'ai attendu une demi-heure que ma conseillère remplisse…


Le Parisien
13-07-2025
- Science
- Le Parisien
« Ces enfants ont vécu l'enfer » : une mère de famille condamnée pour dix ans de violences
Des époux violents et des pères despotes, le tribunal correctionnel de Meaux (Seine-et-Marne) en voit défiler tous les jours . Une fois n'est pas coutume : vendredi, les juges meldois avaient face à eux une mère de famille, poursuivie pour des agressions physiques sur ses enfants et pour des violences psychologiques sur son conjoint. Au cœur de ce huis clos familial, dans lequel tout le monde souffrait : l'alcoolisme d'Amélie ( le prénom a été changé ). Une maladie dont souffrait déjà sa mère — qui s'est suicidée quand elle était enfant — et sa grand-mère. Tous les soirs, depuis une dizaine d'années, Amélie se transformait sous les effets de l'alcool.


Le Figaro
12-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Sport, santé et bien-être : Serial entrepreneuses en action
Alors que pour la 2ème fois de son histoire, le CNOSF voit une femme élue à sa tête, la féminisation notamment dans des postes de leadership sera une fois de plus célébrée. Le 28 juin prochain, la mairie du 16 arrondissement de Paris devient le théâtre d'un événement inédit : le tout premier Salon des Entrepreneuses. Une journée entière dédiée à l'audace, à la sororité et à l'engagement féminin, placée notamment sous le signe du sport, de la santé et du bien-être physique et mental. Un événement pour briser les plafonds de verre En 2023, 38,9 % des créateurs d'entreprise en région francilienne étaient des femmes, soit 87 245 nouvelles entreprises, dont 85,4 % sous statut d'auto‑entrepreneur. Dans un monde entrepreneurial encore largement marqué par les inégalités de genre, ce salon se veut un souffle d'inspiration et un appel à l'action. Témoignages, ateliers collaboratifs, échanges libres : la journée du 28 juin s'annonce comme un catalyseur de confiance pour toutes celles qui ont une idée, une passion, un projet… mais qui, trop souvent, n'osent pas encore se lancer. Organisé par Les Entrepreneuses du 16, un collectif d'actrices locales engagées, ce salon ouvre ses portes à toutes, qu'elles soient en reconversion, en création ou simplement en quête de sens. L'objectif ? S'encourager, se former et progresser ensemble, dans un climat d'humilité, d'authenticité et de solidarité féminine. Publicité Une dynamique portée par des roles modeles connues ou anonymes L'arrivée d'Amélie Oudéa-Castéra à la tête du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) — première femme ancienne-ministre à occuper ce poste — incarne un tournant majeur. Elle symbolise la montée en puissance des femmes « leadHer » dans les sphères de décision du sport et du bien-être, deux domaines historiquement masculins mais aujourd'hui en pleine (r)évolution. Un thème de prédilection développé et promu par l'agence MediaSpoliS qui fait du leadership dans le sport et dans la gouvernance un de ses axes fort d'action. Et cette dynamique résonne avec force au lendemain des Jeux Olympiques de Paris 2024, qui pour la première fois de l'histoire ont garanti une parité hommes-femmes parmi les athlètes. Un message fort, qui déborde aujourd'hui largement du cadre sportif : les femmes s'imposent, osent, créent et transforment les modèles établis. arrivée d'Amélie Oudéa-Castéra à la tête du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) — première femme ancienne-ministre à occuper ce poste — incarne un tournant majeur. CNOSF Le sport est à l'image d'une société qui veut repositionner le talent et la compétence au cœur du débat. L'audace et la prise de risque aussi. Le boom de l'entrepreneuriat féminin dans le bien-être Le secteur du bien-être, du sport et de la santé connaît une croissance fulgurante, et les femmes y prennent une place de plus en plus centrale. En France, selon l'INSEE, plus de 42 % des autoentrepreneurs sont des femmes, un chiffre en constante progression. À Paris, elles sont particulièrement actives dans les domaines du coaching sportif, de la sophrologie, du yoga, des soins alternatifs ou encore de la nutrition. Autant de thèmes qu'on retrouvera samedi 28 juin avec la volonté de se recentrer sur soi et une réalité de nos vies : comment trouver sa juste place, comment échapper à la charge mentale et comment s'imposer dans des domaines où les femmes sont restées trop longtemps dans l'ombre du « patron ». Le secteur du bien-être, du sport et de la santé connaît une croissance fulgurante, et les femmes y prennent une place de plus en plus centrale Kandbaz Publicité Dans ces métiers à forte dimension humaine et relationnelle, les femmes ont appris, parfois en silence, elles ont compris et aujourd'hui elles transmettent. Oui, le 28 juin, on va découvrir des femmes qui innovent, accompagnent et transforment les habitudes de vie avec une approche souvent plus holistique, axée sur l'équilibre entre corps et esprit. Une journée pour oser, apprendre et créer Le Salon des Entrepreneuses du 16 est bien plus qu'un simple événement : c'est une invitation à se mettre en mouvement comme le rappelle Sonia Lazowski qui orchestre avec l'ensemble du conseil d'administration cette journée initiée par la première adjointe au maire Samia Badat Karam. Au programme : des ateliers pratiques, des conférences inspirantes, des moments de networking et des rencontres avec des entrepreneuses déjà lancées. Un espace sera également dédié à l'écoute et à l'accompagnement des femmes qui souhaitent se lancer dans les secteurs du sport, de la santé ou du bien-être. Mais aussi à toutes celles qui se cherchent encore et qui veulent entreprendre. Ce 28 juin, Paris 16 devient un terrain d'innovation et de sororité, où l'on apprend à se faire confiance et à se faire progresser mutuellement avec un maire, Jérémy Redler, engagé dans cette dynamique sur le local et le régional avec pour l'Île‑de‑France, 25 % des entreprises « classiques » qui sont créées par des femmes. Ne nous y trompons pas, le véritable moteur du changement, c'est l'union des énergies et la transmission des savoirs. Femmes et hommes réunis pour se challenger et bouger les frontières. Celles des silences, des freins, des hésitations pour laisser place à l'action, la bienveillance et la transmission. Et si, le 28 juin, c'était votre tour d'oser (informations et inscriptions) ?