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Colombie: Un commanditaire présumé de l'attentat contre un sénateur arrêté
Colombie: Un commanditaire présumé de l'attentat contre un sénateur arrêté

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time5 hours ago

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Colombie: Un commanditaire présumé de l'attentat contre un sénateur arrêté

Les autorités colombiennes ont annoncé samedi l'arrestation d'un homme accusé d'avoir organisé un attentat contre un sénateur. Publié aujourd'hui à 06h30 Mis à jour il y a 1 minute La police colombienne montrant Elder Jose Arteaga Hernandez, à Bogota, le 5 juillet 2025. AFP PHOTO / Colombian Police La police colombienne a annoncé samedi l'arrestation d'un homme accusé d'avoir obtenu l'arme et d'avoir engagé l'auteur de l'attentat en juin contre le sénateur et candidat à la présidence Miguel Uribe, gravement blessé et qui reste en soins intensifs. José Arteaga Hernández a «directement participé» et «organisé l'avant, le pendant et l'après de cette attaque criminelle» perpétrée le 7 juin, a déclaré le directeur de la police Carlos Fernando Triana Beltrán lors d'une conférence de presse à Bogota. Miguel Uribe, sénateur de 39 ans et membre du parti de droite Centre démocratique, a été atteint de trois balles, dont deux dans la tête, alors qu'il s'exprimait devant des partisans dans un parc de Bogota. Un «criminel avec plus de 20 ans de carrière» Hospitalisé dans une clinique de la capitale, il a subi au moins quatre interventions chirurgicales mais son état de santé reste «critique». Un adolescent de 15 ans, le tireur présumé, et trois adultes soupçonnés d'avoir participé à l'attaque ont été arrêtés et inculpés de tentative d'homicide et de port d'arme illégal. Aucun n'a reconnu les faits. L'accusé, qualifié de «criminel avec plus de 20 ans de carrière» et visé par une notice rouge d'Interpol, est soupçonné d'avoir été «chargé de coordonner l'activité criminelle, ainsi que d'identifier et de remettre l'arme à l'adolescent qui aurait commis l'attentat», selon la police. Inculpation pour tentative d'homicide aggravé Le ministre de la Défense, Pedro Sánchez, a déclaré sur X qu'il avait «négocié l'exécution du crime» contre l'équivalent d'environ 250'000 dollars (198 608 francs suisses). Arteaga va notamment être inculpé de tentative d'homicide aggravé, de fabrication, de trafic et de port d'arme aggravés, et de complot aggravé en vue de commettre un crime. José Arteaga Hernández est le chef d'un gang criminel de Bogota, selon la police qui enquête sur de possibles liens avec des groupes armés plus puissants. Les autorités offrent une récompense d'environ 750'000 dollars (595 824 francs suisses) pour toute information permettant de capturer les responsables de l'attentat. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Frais de douane: les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations»
Frais de douane: les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations»

Le Figaro

time10 hours ago

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Frais de douane: les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations»

La guerre commerciale lancée par le président américain depuis son retour à la Maison Blanche s'impose dans les débats du groupe, qui représente près de la moitié de la population mondiale et 40% du PIB de la planète. Les Brics vont exprimer leurs «graves préoccupations» face aux droits de douane «unilatéraux», lors de leur sommet qui débute dimanche à Rio de Janeiro, sans citer toutefois le président américain Donald Trump, selon le projet de déclaration finale consulté par l'AFP. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Sous les auspices du président brésilien de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, les dirigeants du groupe de 11 grands pays émergents (dont le Brésil, la Chine, l'Inde, la Russie et l'Afrique du Sud) tiennent leur sommet annuel dimanche et lundi à Rio. Publicité La guerre commerciale lancée par le président américain depuis son retour à la Maison Blanche s'impose dans les débats du groupe, qui représente près de la moitié de la population mondiale et 40% du PIB de la planète. «Nous exprimons de graves préoccupations face à l'augmentation des mesures douanières et non-douanières unilatérales qui faussent le commerce et ne sont pas conformes aux règles de l'OMC (Organisation mondiale du commerce)», indique ce texte sur lequel se sont accordés les négociateurs samedi. Trump implicitement visé Selon le document, qui pourra encore être amendé par les dirigeants en sommet, de telles mesures douanières «menacent de réduire davantage le commerce mondial» et pourraient «affecter les perspectives de développement économique dans le monde». Si Donald Trump n'est pas nommé, les pays émergents visent ainsi clairement la politique du président américain et sa rafale de droits de douane punitifs. Ce dernier a dit vendredi avoir signé des lettres adressées aux partenaires commerciaux des États-Unis concernant l'application de surtaxes douanières par Washington, dont «probablement douze» seront envoyées lundi. Prenant le contre-pied, Lula s'est fait samedi le chantre du multilatéralisme: «Face à la résurgence du protectionnisme, il appartient aux nations émergentes de défendre le régime commercial multilatéral et de réformer l'architecture financière internationale». Le «même langage» sur l'Iran Le président chinois Xi Jinping sera pour la première fois absent du sommet des Brics, dont son pays est pourtant la puissance dominante. Le président russe Vladimir Poutine, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre présumé en Ukraine, sera lui aussi absent. Mais il s'exprimera par visioconférence, selon le Kremlin. Les négociateurs sont aussi parvenus samedi à un consensus sur la façon d'évoquer l'escalade militaire au Moyen-Orient, sujet qui divisait les délégations, d'après une autre source impliquée dans les discussions. L'Iran, au sortir d'une guerre de douze jours avec Israël et les États-Unis, souhaitait que les Brics durcissent le ton dans le communiqué final. Mais le document doit conserver «le même langage» qu'une déclaration publiée fin juin à ce sujet par le groupe, selon cette source. Les pays émergents avaient alors condamné les «attaques militaires» contre l'Iran - mais sans citer Israël et les États-Unis - et jugé «urgent de rompre le cycle de la violence et de rétablir la paix». Le président iranien Massoud Pezeshkian ne participera pas au sommet. Il sera représenté par son ministre des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui est arrivé samedi à Rio, a indiqué un porte-parole du ministère sur le réseau social X. Publicité Créé dans le but de rééquilibrer l'ordre mondial au bénéfice du «Sud global» face à l'Occident, le groupe des Brics s'est élargi ces deux dernières années avec l'Arabie saoudite, l'Égypte, les Émirats arabes unis, l'Éthiopie, l'Iran puis l'Indonésie. Le Brésil, qui accueillera en novembre la COP30, la conférence climat de l'ONU, dans la ville amazonienne de Belem, espère par ailleurs qu'un consensus sera trouvé sur la lutte contre le changement climatique. En plus de la déclaration finale espérée, doivent en effet être publiés des textes sur le climat, mais aussi sur l'intelligence artificielle et la coopération sanitaire.

Les Brics vont exprimer leurs « graves préoccupations »
Les Brics vont exprimer leurs « graves préoccupations »

La Presse

time13 hours ago

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Les Brics vont exprimer leurs « graves préoccupations »

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, le vice-président brésilien Geraldo Alckmin, le premier ministre malaisien Anwar Ibrahim et Ricardo Alban, président de la Confédération nationale de l'industrie (CNI), en amont du sommet présidentiel des BRICS, à Rio de Janeiro, au Brésil, le 5 juillet 2025. (Rio de Janeiro) Les dirigeants des Brics vont exprimer leurs « graves préoccupations » face aux droits de douane « unilatéraux », lors de leur sommet qui débute dimanche à Rio de Janeiro, sans citer toutefois le président américain Donald Trump, selon le projet de déclaration finale. Agence France-Presse « Nous exprimons de graves préoccupations face à l'augmentation des mesures douanières et non-douanières unilatérales qui faussent le commerce et ne sont pas conformes aux règles de l'OMC (Organisation mondiale du commerce) », selon ce texte sur lequel se sont accordés les négociateurs samedi, et auquel l'AFP a eu accès. Sous les auspices du président brésilien de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, les dirigeants du groupe de 11 grands pays émergents (dont Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud) tiennent leur sommet annuel dimanche et lundi à Rio. La guerre commerciale lancée par le président américain depuis son retour à la Maison-Blanche s'impose dans les débats du groupe, qui représente près de la moitié de la population mondiale et 40 % du PIB de la planète. Donald Trump a dit vendredi avoir signé des lettres adressées aux partenaires commerciaux des États-Unis concernant l'application de droits de douane punitifs par Washington, dont « probablement douze » seront envoyées lundi. Selon le projet de déclaration finale des Brics, de telles mesures douanières « menacent de réduire davantage le commerce mondial » et pourraient « affecter les perspectives de développement économique dans le monde ». Le président chinois Xi Jinping sera pour la première fois absent du sommet des Brics, dont son pays est la puissance dominante. Le président russe Vladimir Poutine, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre présumé en Ukraine, sera lui aussi absent.

Mexique: deux mise en examen après la découverte de 383 cadavres
Mexique: deux mise en examen après la découverte de 383 cadavres

24 Heures

timea day ago

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Mexique: deux mise en examen après la découverte de 383 cadavres

Scandale au Mexique – Deux hommes mis en examen après la découverte de 383 cadavres Le propriétaire d'un crématorium mexicain et un de ses employés devront répondre devant la justice de la gestion des dépouilles dans leur morgue. Des agents de la police municipale devant le crématorium fermé après la découverte des cadavres. AFP/Herika Martinez Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk Le parquet de l'État mexicain de Chihuahua (nord) a annoncé vendredi la mise en examen de deux hommes après la découverte de 383 cadavres entassés dans un crématorium de Ciudad Juarez. Il s'agit du propriétaire du crématorium et d'un employé, accusés de faits relatifs à l'«inhumation, l'exhumation et au respect des cadavres et des restes humains». Fin juin, le ministère public avait fait état de la découverte de centaines de cadavres «empilés» dans le bâtiment, vraisemblablement des personnes décédées ces deux ou trois dernières années et dont les corps, embaumés, devaient être incinérés. Il avait d'abord dénombré 381 dépouilles, avant que deux autres ne soient trouvées. Recherche des familles en cours Le procureur de l'État, César Jauregui, a déclaré vendredi en conférence de presse disposer d'assez d'éléments pour identifier 27 cadavres. «Nous sommes en train de rechercher les familles (…) pour les informer», a-t-il dit, ajoutant que 148 corps supplémentaires avaient été examinés. Selon lui, les actuels responsables du crématorium ont perdu le contrôle sur le flux de dépouilles à traiter après la mort de l'ancien propriétaire. Le Mexique, un pays durement touché par les actes du crime organisé, souffre depuis des années d'une crise de son système médico-légal, saturé par le nombre élevé de corps à traiter, le manque de personnel et les contraintes budgétaires. Davantage sur la découverte des cadavres Mexique Découverte de 381 cadavres abandonnés dans un crématorium Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Se connecter AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Les recettes de Carrefour pour résister au chaos économique argentin
Les recettes de Carrefour pour résister au chaos économique argentin

Le Figaro

time2 days ago

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Les recettes de Carrefour pour résister au chaos économique argentin

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Le groupe français a réussi à être numéro un dans le pays. Présent depuis 1982, Carrefour y a annoncé, fin 2024, un investissement de 300 millions de dollars, autofinancé localement. De l'autre côté de l'avenue General-Paz, à une dizaine de kilomètres du centre de Buenos Aires, se déploie la banlieue nord de la capitale argentine. C'est ici que se trouvent les communes les plus prisées par les ménages aisés, telles que Vicente Lopez. Par son emplacement, sa taille, son chiffre d'affaires, l'hypermarché Carrefour de Vicente Lopez, inauguré en 1984, est emblématique de la marque. Présent dans le pays depuis 1982, Carrefour y a annoncé, fin 2024, un investissement de 300 millions de dollars, autofinancé localement. Leader du marché argentin, le géant français va bientôt atteindre les 700 magasins, répartis sur 22 des 24 provinces de l'immense territoire de cet État, équivalent à quatre fois la France. « Notre chiffre d'affaires est généré à 60 % par le Grand Buenos Aires, mais nous sommes présents partout dans le pays et nous souhaitons nous renforcer dans les provinces. Cela peut passer par l'acquisition d'acteurs locaux, résume David Collas, directeur général de Carrefour…

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