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Bastien Vergnes-Taillefer forfait pour le troisième test du quinze de France face à la Nouvelle-Zélande
Bastien Vergnes-Taillefer forfait pour le troisième test du quinze de France face à la Nouvelle-Zélande

L'Équipe

time4 hours ago

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Bastien Vergnes-Taillefer forfait pour le troisième test du quinze de France face à la Nouvelle-Zélande

Après celles de Cameron Woki, Pierre-Louis Barassi et Régis Montagne, la défection du Bordelais Bastien Vergnes-Taillefer pour le troisième test estival contre la Nouvelle-Zélande, samedi (9h05), a été officialisée ce mercredi matin à Auckland. Du soleil. Enfin, pas d'averses plutôt. Pas comme la veille, les litres d'eau de cette pluie qui tombe horizontalement par ici ; cadeau du vent. Pour leur dernière séance d'entraînement sur le campus du King's College d'Auckland ce mercredi, les Bleus ont eu droit à une météo clémente. Mais sur la petite tribune posée en retrait du terrain, une nouvelle tête avait rejoint Cameron Woki (genou), Pierre-Louis Barassi (mollet) et Régis Montagne (cheville), qui étaient tous trois destinés à jouer samedi pour le dernier test à Hamilton mais ont dû déclarer forfait. Touché en fin d'entraînement mardi, le Bordelais Bastien Vergnes-Taillefer (cheville) est, lui aussi, monté dans la voiture-balai. Entré en jeu à Wellington (défaite 43-17 samedi dernier), crédité d'une vingtaine de minutes intéressantes, le troisième-ligne devait prendre place sur le banc pour le troisième test. Il sera remplacé par son camarade de club Pierre Bochaton, qui s'est également employé et envoyé à Wellington. Sept joueurs ne devraient pas avoir droit à une seule minute lors de cette tournée Pour cette dernière séance au King's College, le Lyonnais Théo William a enfin pu reprendre l'entraînement collectif. Il fait partie des sept, avec Marius Domon, Théo Millet, Alivereti Duguivalu, Léo Berdeu, Léon Darricarrère et Guillaume Marchand, qui ne devraient pas disputer une seule minute pendant cette tournée. Ménagé mardi, Romain Taofifenua s'est entraîné normalement. L'équipe de France quittera Auckland jeudi, dans la journée, pour rallier la riante ville d'Hamilton, théâtre du dernier test samedi (9h05, heure française). C'est de leur hôtel, là-bas, que Fabien Galthié dévoilera la composition du dernier quinze de France de l'été.

Rugby : quatre matchs de suspension pour Jasper Wiese après son carton rouge contre l'Italie.
Rugby : quatre matchs de suspension pour Jasper Wiese après son carton rouge contre l'Italie.

Le Figaro

time21 hours ago

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Rugby : quatre matchs de suspension pour Jasper Wiese après son carton rouge contre l'Italie.

Alors qu'il a écopé d'un carton rouge contre l'Italie, Jasper Wiese ne pourra pas disputer les trois premiers matchs du Rugby Championship avec son pays. Le numéro 8 sud-africain Jasper Wiese a été suspendu pour quatre matches après un coup de tête sur le pilier italien Danilo Fischetti lors de la victoire 45-0 des Springboks samedi, l'excluant du choc très attendu contre la Nouvelle-Zélande à Eden Park. Absent contre les All Blacks Wiese, qui est le premier choix des Springboks à l'arrière de la mêlée, sera absent du match de samedi contre la Géorgie à Nelspruit, et des trois premiers matchs du Rugby Championship. Publicité L'Afrique du Sud entame la défense de son titre dans l'hémisphère sud avec deux matchs à domicile contre l'Australie, avant une visite à Auckland, où elle n'a pas battu la Nouvelle-Zélande depuis 1937. Wiese sera disponible pour le deuxième test contre la Nouvelle-Zélande à Wellington le 13 septembre. Le robuste troisième ligne a reçu un carton rouge de l'arbitre Andrew Brace après un coup de tête sur Danilo Fischetti après 21 minutes de jeu, samedi, à Gqeberha.

[2/4] L'attentat du « Rainbow Warrior » : un scandale d'État
[2/4] L'attentat du « Rainbow Warrior » : un scandale d'État

Le Parisien

time3 days ago

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[2/4] L'attentat du « Rainbow Warrior » : un scandale d'État

Écoutez Crime story, le podcast de faits divers du Parisien Partie 1 Sur votre smartphone ou votre tablette, écoutez Crime story et abonnez-vous sur : Résumé. (Deuxième épisode) Le 10 juillet 1985, un bateau de l'association écologiste Greenpeace, le « Rainbow Warrior » est tranquillement amarré dans le port d'Auckland en Nouvelle-Zélande. Dans la nuit, le navire est saboté. Deux bombes détruisent la coque du « Rainbow Warrior » et tuent Fernando Pereira, un photographe. Une enquête est ouverte et très vite, les regards se portent vers les services secrets français . À cette époque, la France réalise des essais nucléaires en Polynésie, ouvertement condamnés par Greenpeace. Ce qu'on va appeler « l'attentat du Rainbow Warrior » va devenir un scandale d'État. Quarante ans après, Crime story revient sur ce fiasco gouvernemental avec la journaliste Clawdia Prolongeau et Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien. Crédits . Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Anaïs Godard, Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network - Archives : France TV, Greenpeace. Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons également utilisé plusieurs articles du Monde, le documentaire CANAL+ « Rainbow Warrior : barbouzes, hippies et mensonge d'Etat », le livre « Deux bombes sous le Rainbow Warrior » de Hervé Gattegno et l'émission Zoom Zoom Zen « 1985 - L'affaire du Rainbow Warrior » de France Inter. À propos de Crime story. Le podcast Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles qui ont marqué ces dernières décennies. Publié chaque samedi, Crime story est présenté par la journaliste Clawdia Prolongeau et son invité permanent, Damien Delseny, le chef du service police justice du Parisien.

[1/4] L'attentat du « Rainbow Warrior » : un scandale d'État
[1/4] L'attentat du « Rainbow Warrior » : un scandale d'État

Le Parisien

time4 days ago

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[1/4] L'attentat du « Rainbow Warrior » : un scandale d'État

Écoutez Crime story, le podcast de faits divers du Parisien Partie 1 Sur votre smartphone ou votre tablette, écoutez Crime story et abonnez-vous sur : Résumé. (Premier épisode). Le 10 juillet 1985, un bateau de l'association écologiste Greenpeace, le « Rainbow Warrior » est tranquillement amarré dans le port d'Auckland en Nouvelle-Zélande. Dans la nuit, le navire est saboté. Deux bombes détruisent la coque du « Rainbow Warrior » et tuent Fernando Pereira, un photographe. Une enquête est ouverte et très vite, les regards se portent vers les services secrets français . À cette époque, la France réalise des essais nucléaires en Polynésie, ouvertement condamnés par Greenpeace. Ce qu'on va appeler « l'attentat du Rainbow Warrior » va devenir un scandale d'État. Quarante ans après, Crime story revient sur ce fiasco gouvernemental avec la journaliste Clawdia Prolongeau et Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien. Crédits . Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Anaïs Godard, Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : Audio Network - Archives : France TV, Greenpeace. Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons également utilisé plusieurs articles du Monde, le documentaire Canal + « Rainbow Warrior : barbouzes, hippies et mensonge d'État », le livre « Deux bombes sous le Rainbow Warrior » de Hervé Gattegno et l'émission Zoom Zoom Zen « 1985 - L'affaire du Rainbow Warrior » de France Inter. À propos de Crime story. Le podcast Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles qui ont marqué ces dernières décennies. Publié chaque samedi, Crime story est présenté par la journaliste Clawdia Prolongeau et son invité permanent, Damien Delseny, le chef du service police justice du Parisien.

De freluquet à métronome des All Blacks, Cameron Roigard a fait son trou en Nouvelle-Zélande
De freluquet à métronome des All Blacks, Cameron Roigard a fait son trou en Nouvelle-Zélande

L'Équipe

time5 days ago

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De freluquet à métronome des All Blacks, Cameron Roigard a fait son trou en Nouvelle-Zélande

Adeptes de percées fulgurantes, ordonnateur et accélérateur du jeu, le demi de mêlée néo-zélandais Cameron Roigard, qui sera titulaire samedi pour le deuxième test contre le XV de France (9 h 05, à Wellington), est devenu une arme majeure du jeu rapide et explosif que veulent déployer les All Blacks. « Coach, si je vois une brèche, j'ai le droit d'y aller ? » Cameron Roigard a fait du chemin et pris de l'assurance en six ans. En 2019, il venait de finir son lycée et débarquait à l'académie de Counties Manukau. « Jusque-là, Cam avait joué dans des équipes au jeu très structuré, ce qui avait un peu inhibé sa confiance, raconte Reon Graham qui fut son coach et mentor. Les premiers temps, il m'interrogeait souvent sur le plan de jeu, ce qu'il devait faire dans telle zone du terrain. Je lui disais : "On a une structure, mais il y a de la liberté à l'intérieur. Alors fonce ! Play what you see !" (Joue les espaces) » Graham a vu débarquer ce freluquet qui venait de terminer ses études de lycéen à la St Peter's School de Cambridge, près de Hamilton. Si peu costaud qu'il n'a pas suscité grand enthousiasme dans les centres de formation de la région de Waikato. Il a trouvé refuge aux Steelers (sidérurgistes), surnom de l'équipe de Counties Manukau en référence à l'industrie locale qui emploie beaucoup d'ouvriers métallo dans cette banlieue sud d'Auckland. En grande partie des Polynésiens, à l'image de l'effectif des Counties, équipe mythique dans le narratif des « Brown Brothers » : Uini Atonio, le pilier de l'équipe de France, y a joué. Tout comme le centre irlandais Bundee Aki ou encore les anciens troisième-ligne de Clermont et de Castres, Fritz Lee et Ma'ama Vaipulu. C'est dans cet environnement qu'a débarqué Roigard, fils de fermiers pakehas, comme on appelle les descendants d'Européens. « Il n'avait jamais peur au contact mais s'est blessé à plusieurs reprises en tentant de plaquer ces gros gabarits », poursuit Graham. Quand on a évoqué cette époque avec le demi de mêlée des All Blacks, il s'est marré : « Les collisions étaient intenses, mais j'ai aussi compris qu'il y avait des espaces pour moi. Le jeu était souvent plus lent, ce qui me permettait de mettre du rythme et de la vitesse pour faire la différence. » Créatif, tourné vers les autres et décisif Six ans plus tard, le voilà devenu grand ordonnateur du tempo dans le jeu néo-zélandais. Face à la France, samedi dernier à Dunedin (victoire 31-27), il a fait peser un danger permanent. Dès la 15e minute, par une des percées dont il a l'intuition, il a fendu la défense des Bleus pour décaler Jordie Barrett. Un premier essai refusé par le TMO, mais quelques minutes plus tard, Roigard était encore impliqué dans l'essai de Tupou Vaa'i (27e). Et il a remis ça au retour des vestiaires avec un nouveau démarrage « façon T Max » envoyant Will Jordan aplatir (46e). Ce samedi, Roigard jouera pour la première fois à domicile au Sky Stadium avec le maillot noir sur le dos. Lors de la saison de Super Rugby qui vient de s'achever, il a fini en tête au nombre des passes décisives (12). Et à 24 ans (11 sélections), il pose sa marque sur le jeu des Blacks, tantôt altruiste ou alors étincelant. Le 16 novembre à Saint-Denis, lors d'un match intense face au quinze de France (30-29), Roigard s'était distingué en inscrivant un essai au terme d'une action qu'il s'était lui-même créée (27e). Au sortir d'un ruck très disputé, il avait chipé un ballon des bras de Grégory Alldritt, sous les yeux d'Antoine Dupont, pour une course éclair de dix mètres dont il a le secret et appuyer le momentum néo-zélandais (3-12). Une action qui résume sa combativité, sa fulgurance athlétique et mentale lors de ses prises de décision. Enfance à la ferme, passion pilotage et Antoine Dupont comme modèle Porteur d'un nom originaire du Danemark - « On a du sang écossais aussi, je crois que ma grand-mère maternelle est née là-bas » - Roigard a grandi dans une bourgade rurale proche de Hamilton. « Mes parents tenaient une ferme laitière, une petite exploitation d'une centaine de vaches avec mes grands-parents qui vivaient un peu plus loin sur la route. C'était sympa de vivre dans cet environnement. » À la ferme, il jouait au rugby avec son frère Stefan, de deux ans son aîné. « Il était talonneur. Comme j'ai été surclassé, on était ensemble dans le quinze de l'école. Aujourd'hui, il est ingénieur en mécanique, moi j'ai tout laissé tomber pour le rugby. » Avec leur père Dave, les deux fistons avaient une autre passion : « On a fait de la course en Speedway (courses de moto sur une piste en terre ovale). Papa avait couru pendant une trentaine d'années. J'ai aussi couru en Mini Stocks, la version enfant des stock-cars avec des moteurs de 1 200 cm3. » Cam a dû renoncer à piloter à 20 ans. « Quand j'ai obtenu mon premier contrat en Super Rugby avec les Hurricanes (en 2021), j'ai dû faire un choix. Le rugby demande des sacrifices. J'espère bien reprendre après ma carrière. Tu y développes ton instinct car ça va si vite que tu n'as pas le temps de réfléchir. Et puis au volant, tout ne dépend que de toi. » En course, il dit admirer le pilote Scott Dixon, champion d'IndyCar. En rugby, il cite Antoine Dupont : « J'admire sa vision et son courage, sur le terrain comme en dehors. Il en fallait pour aller disputer les Jeux Olympiques à 7. Il apporte beaucoup de passion à notre sport. Quand les All Blacks jouent face à lui, on passe une grande partie de la semaine à analyser ses placements derrière la mêlée, ses coups de pied croisés. Il crée des opportunités pour lui autant que pour les autres. Cette attention qu'on lui porte sur le terrain nous rend moins disponibles ailleurs. En France, vous formez des numéros 9 incroyables. Dupont n'est pas là, mais Nolann Le Garrec a un super panel de compétences. J'ai vu ses matches du Six Nations quand Dupont était blessé, il a pris le relais et a pu créer des opportunités pour ses coéquipiers et pour lui-même. On ne sous-estime personne, surtout pas les Français. » À lire aussi Arlettaz : «Il faut que je vive les émotions comme les joueurs» Taylor : «Etre talonneur, c'est allier force et finesse» Barlot, le centurion surprise Attissogbe se fait une place

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