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Le Parisien
3 days ago
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Mbappé et Hakimi aperçus à un concert de Bad Bunny à Porto Rico
Escale à Porto Rico pour Kylian Mbappé et Achraf Hakimi ! Les deux joueurs ont été aperçus ce dimanche soir profitant d'un concert de Bad Bunny, organisé sur l'île des Caraïbes. Star mondiale du reggaeton , connu notamment pour les titres « DtMF » ou « Dákiti » , Bad Bunny a entamé il y a quelques jours une série de concerts au Coliseo de San Juan, plus grande ville du territoire. C'est là que Kylian Mbappé et Achraf Hakimi ont été aperçus, installés à quelques mètres seulement de l'artiste. Des images les montrant en train de chanter et danser sur le titre « Tití Me Preguntó » ont circulé depuis sur les réseaux sociaux. À leurs côtés, se trouvait également Eladio Carrión, rappeur et chanteur américain qui s'est réjoui dans sa story Instagram d'avoir pu partager un moment avec ces « deux fous ». Les deux joueurs ont terminé leur saison 2024-2025 il n'y a que quelques jours, après la fin de leur parcours respectif à la Coupe du monde des clubs. Pour Kylian Mbappé, ce fut après la défaite en demi-finale face au… PSG d'Achraf Hakimi. Les deux joueurs, qui ont partagé le même vestiaire à Paris pendant plusieurs années sont des amis de longue date et profitent donc de l'intersaison pour passer à nouveau du temps ensemble.
Le Figaro
3 days ago
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Foot : Mbappé et Hakimi prennent du bon temps ensemble à Porto Rico pour le concert de Bad Bunny (vidéo)
Les deux anciens coéquipiers au PSG ont profité de leurs vacances pour se retrouver dans les Caraïbes et assister à un concert de la star du reggaeton. À peine leurs saisons respectives terminées, Achraf Hakimi et Kylian Mbappé se sont retrouvés pour passer des vacances ensemble à Porto Rico. La star du Real Madrid et l'international marocain ont été aperçus dimanche au concert de la star du reggaeton Bad Bunny au Coliseo José Miguel Agrelot, une institution de l'île Caribéenne. Il faut dire que les deux hommes sont bons amis dans la vie après trois saisons communes au PSG entre 2021 et 2024. Le 9 juillet dernier, ils se sont affrontés en demi-finale de Coupe du monde des clubs dans le New Jersey, pour une victoire 4-0 des champions d'Europe en titre. Hakimi avait alors délivré une passe décisive pour le troisième but de Fabian Ruiz. Publicité À VOIR AUSSI – «D'ici dix ans, Mbappé aura quatre ou cinq Ballons d'Or», prédit Sergio Ramos, ancien du Real Madrid et du PSG
Le Figaro
6 days ago
- Entertainment
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Comment la star du reggaeton Bad Bunny booste le tourisme à Porto Rico
Les concerts du chanteur le plus écouté sur Spotify de 2020 à 2022, en résidence cet été dans la capitale portoricaine, permettront de faire connaître la culture locale et d'injecter au moins 200 millions de dollars dans l'économie de l'île. À Porto Rico, Bad Bunny ne fait pas que remplir des salles de concerts, il fait aussi les beaux jours des commerçants locaux. À la veille du lancement d'une série de trente concerts dans son île natale, la star mondiale du rap latino Bad Bunny a lancé un message clair aux fans venus de l'étranger : achetez local ! À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Chanteur le plus écouté sur Spotify de 2020 à 2022 avec des tubes comme Callaita ou Mia, Bad Bunny a entamé vendredi une résidence à San Juan, la capitale portoricaine, baptisée « No Me Quiero Ir De Aqui » (« Je ne veux pas partir d'ici »), une ode politique à son île natale et territoire rattaché aux États-Unis. Publicité Les neuf premiers concerts au Coliseo de San Juan, une salle de près de 20 000 places, sont réservés aux habitants de l'île, avant que les vannes s'ouvrent aux touristes que l'artiste et les Portoricains souhaitent responsables. 200 millions de dollars dans l'économie locale Pour Davelyn Tardi, de l'agence Discover Puerto Rico, « il s'agit d'un moment incroyable pour l'île » car ces concerts permettront de faire connaître la culture locale et d'injecter au moins 200 millions de dollars dans l'économie cet été, période considérée comme la basse saison. « Tout a commencé à changer », souligne Azael Ayala, qui travaille dans un bar d'un quartier branché de San Juan où certains bars proposent des cocktails à l'effigie de Bad Bunny. « Les pourboires sont plus que généreux, nous sommes ravis », ajoute la femme de 29 ans pour qui voir le monde débarquer à Porto Rico « est une source de fierté ». Étudiante de 23 ans venue de Los Angeles, en Californie, Arely Ortiz n'a pas réussi à obtenir de billet pour un des spectacles de Bad Bunny, mais visite l'île pour la première fois pour suivre les traces de l'artiste. « J'aime beaucoup la manière engagée dont il parle de son peuple », dit-elle. « Le simple fait de voir qu'il peut aller aussi loin dans la vie comme Latino encourage les Latinos à se donner à fond (...) Il a véritablement donné du pouvoir aux Latinos, à 100 % », dit-elle. À lire aussi Le chanteur latino Bad Bunny tourne Trump en ridicule dans son nouveau clip Le tourisme a longtemps été un moteur économique de cette île réputée pour ses plages de sable fin et ses eaux turquoise, au point de devenir ces dernières années un lieu prisé du développement immobilier de luxe et des « nomades numériques », qui travaillent à distance en voyageant. Avec, à la clé, des craintes de gentrification et de hausse des prix du logement pour la population locale. Publicité Bad Bunny, de son vrai nom Benito Antonio Martinez Ocasio, a lui-même évoqué ces problèmes et bien d'autres dans les paroles de ses chansons. « Dans ma vie, tu étais un touriste. Tu n'as vu que le meilleur de moi, pas ma souffrance », chante-t-il par exemple dans Turista. Pour l'historien Jorell Melendez Badillo, « beaucoup de gens (à Porto Rico) estiment que le tourisme a une connotation coloniale » dans l'île car pendant des années de riches Américains y venaient sans se soucier des populations locales, par ailleurs plus pauvres. « Nous pouvons saluer le travail de Benito (Bad Bunny) tout en nous interrogeant sur le type de touristes que ses concerts en résidence vont amener », déclare-t-il. Ana Rodado est venue d'Espagne après qu'un ami originaire de l'île lui a offert un billet pour un spectacle et a réservé un voyage de cinq jours qui inclut une visite de la plage de Vega Baja, où Bad Bunny a grandi et travaillé dans une épicerie, avant de connaître la gloire. Un show pour les Portoricains L'Espagnole prend au sérieux l'appel du chanteur à acheter local et à respecter les lieux et la population. « Dans la mesure du possible, nous devons être responsables de nos choix de consommation, et surtout de l'impact de notre voyage sur chaque lieu », souligne-t-elle. « Nous essayons d'être respectueux, et jusqu'à présent, les gens ont été très gentils avec nous. » La résidence de Bad Bunny est une lettre d'amour à son peuple : un spectacle sur et pour les Portoricains, dont le récit est centré sur le patrimoine, la fierté et la joie. « On est là, tous ensemble, bon sang ! » a-t-il crié, sous les hourras extatiques lors de son premier spectacle qui a parfois ressemblé à une fête de quartier géante. « Je reviendrai pour les 100 prochaines années, si Dieu me le permet, je serai là ».
La Presse
17-07-2025
- Entertainment
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Bad Bunny, nouveau moteur du tourisme
Le tourisme a longtemps été un moteur économique de cette île réputée pour ses plages de sable fin et ses eaux turquoise. (San Juan) À la veille du lancement d'une série de 30 concerts dans son Porto Rico natal, la vedette mondiale du rap latino Bad Bunny a lancé un message clair aux fans venus de l'étranger : achetez local ! Maggy DONALDSON Agence France-Presse Chanteur le plus écouté sur Spotify de 2020 à 2022 avec des tubes comme Callaita ou Mia, Bad Bunny a entamé vendredi une résidence à San Juan, la capitale portoricaine, baptisée No Me Quiero Ir De Aqui (Je ne veux pas partir d'ici), une ode politique à son île natale et territoire rattaché aux États-Unis. PHOTO ALEJANDRO GRANADILLO, ASSOCIATED PRESS Bad Bunny Les neuf premiers concerts au Coliseo de San Juan, une salle de près de 20 000 places, sont réservés aux habitants de l'île, avant que les vannes s'ouvrent aux touristes que l'artiste et les Portoricains souhaitent responsables. Pour Davelyn Tardi, de l'agence Discover Puerto Rico, « il s'agit d'un moment incroyable pour l'île », car ces concerts permettront de faire connaître la culture locale et d'injecter au moins 200 millions de dollars dans l'économie cet été, période considérée comme la basse saison. PHOTO RICARDO ARDUENGO, AGENCE FRANCE-PRESSE Le Coliseo de San Juan « Tout a commencé à changer », souligne Azael Ayala, qui travaille dans un bar d'un quartier branché de San Juan où certains bars proposent des cocktails à l'effigie de Bad Bunny. « Les pourboires sont plus que généreux, nous sommes ravis », ajoute la femme de 29 ans pour qui voir le monde débarquer à Porto Rico « est une source de fierté ». Étudiante de 23 ans venue de Los Angeles, en Californie, Arely Ortiz n'a pas réussi à obtenir de billet pour un des spectacles de Bad Bunny, mais visite l'île pour la première fois pour suivre les traces de l'artiste. « J'aime beaucoup la manière engagée dont il parle de son peuple », dit-elle. « Le simple fait de voir qu'il peut aller aussi loin dans la vie comme Latino encourage les Latinos à se donner à fond […] Il a véritablement donné du pouvoir aux Latinos, à 100 % », dit-elle. « Connotation coloniale » Le tourisme a longtemps été un moteur économique de cette île réputée pour ses plages de sable fin et ses eaux turquoise, au point de devenir ces dernières années un lieu prisé du développement immobilier de luxe et des « nomades numériques », qui travaillent à distance en voyageant. Avec, à la clé, des craintes d'embourgeoisement et de hausse des prix du logement pour la population locale. Bad Bunny, de son vrai nom Benito Antonio Martinez Ocasio, a lui-même évoqué ces problèmes et bien d'autres dans les paroles de ses chansons. « Dans ma vie, tu étais un touriste. Tu n'as vu que le meilleur de moi, pas ma souffrance », chante-t-il par exemple dans Turista. Pour l'historien Jorell Melendez Badillo, « beaucoup de gens (à Porto Rico) estiment que le tourisme a une connotation coloniale » dans l'île, car pendant des années de riches Américains y venaient sans se soucier des populations locales, par ailleurs plus pauvres. PHOTO RICARDO ARDUENGO, AGENCE FRANCE-PRESSE Le fort El Morro fort à Old San Juan « Nous pouvons saluer le travail de Benito (Bad Bunny) tout en nous interrogeant sur le type de touristes que ses concerts en résidence vont amener », dit-il à l'AFP. « Responsables » Ana Rodado est venue d'Espagne après qu'un ami originaire de l'île lui a offert un billet pour un spectacle et a réservé un voyage de cinq jours qui inclut une visite de la plage de Vega Baja, où Bad Bunny a grandi et travaillé dans une épicerie, avant de connaître la gloire. PHOTO RICARDO ARDUENGO, AGENCE FRANCE-PRESSE La plage de Vega Baja L'Espagnole prend au sérieux l'appel du chanteur à acheter local et à respecter les lieux et la population. « Dans la mesure du possible, nous devons être responsables de nos choix de consommation, et surtout de l'impact de notre voyage sur chaque lieu », dit-elle à l'AFP. « Nous essayons d'être respectueux, et jusqu'à présent, les gens ont été très gentils avec nous ». La résidence de Bad Bunny est une lettre d'amour à son peuple : un spectacle sur et pour les Portoricains, dont le récit est centré sur le patrimoine, la fierté et la joie. « On est là, tous ensemble, bon sang ! » a-t-il crié, sous les hourras extatiques lors de son premier spectacle qui a parfois ressemblé à une fête de quartier géante. « Je reviendrai pour les 100 prochaines années, si Dieu me le permet, je serai là ».
Le Figaro
08-07-2025
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- Le Figaro
Le chanteur latino Bad Bunny tourne Trump en ridicule dans son nouveau clip
L'artiste portoricain a diffusé la vidéo de Nuevayol le jour de la fête nationale des États-Unis, le 4 juillet. Dans celle-ci, la statue de la Liberté arbore le drapeau de Porto Rico avant que le président américain confesse ses erreurs en matière de politique migratoire. Le chanteur portoricain Bad Bunny a célébré l'Independance Day à sa manière. Le 4 juillet, alors que les Américains fêtaient les 249 ans de la Déclaration d'indépendance, l'artiste de 31 ans a mis en ligne son nouveau clip engagé, Nuevayol (New-York en français). Longue de 3 minutes, la vidéo rend hommage à la culture latino-américaine et moque la politique anti-immigration de Trump. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Sur une musique Dembow, un genre musical dominicain, une séquence montre la statue de la Liberté décorée d'un drapeau portoricain. Selon le journal La Croix, cette scène fait référence aux mobilisations du 25 octobre 1977, durant lesquelles vingt-cinq activistes du mouvement Los Nacionalistas grimpaient sur le monument pour y suspendre l'étendard portoricain et réclamer symboliquement l'indépendance de l'île. Publicité Aucun concert aux États-Unis Plus tard dans le clip, quatre jeunes latinos sont assis autour d'une table et écoutent un discours prononcé par une voix semblable à celle de Donald Trump : « J'ai fait, une erreur, je m'excuse auprès de tous les immigrés des États-Unis. Ce pays n'est rien sans eux, sans les Mexicains, Dominicains, Portoricains...». La vidéo s'achève avec une phrase adressée à la communauté latino-américaine : « Juntos somos mas fuertes », en français : « ensemble nous serons plus forts ». Ce n'est pas la première fois que Bad Bunny s'en prend au président américain. En octobre 2024, le chanteur avait soutenu la candidate Kamala Harris, en diffusant une vidéo où elle critique la mauvaise gestion de Porto Rico par Donald Trump. Malgré le succès de son dernier album Debi Tirar Mas Fotos aux États-Unis, l'artiste n'a prévu aucun concert dans le pays lors de sa prochaine tournée. Sans doute une façon pour lui de protester contre la politique anti-immigration du président américain...
