Dernières actualités avec #Bourse


La Presse
4 hours ago
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Wall Street en repli à l'ouverture
Dans les premiers échanges, le Dow Jones perdait 0,19 %, l'indice NASDAQ reculait de 0,54 % et l'indice élargi S&P 500 lâchait 0,38 %. (Washington) La Bourse de New York a ouvert en baisse lundi, lestée par les incertitudes entourant les droits de douane américains, à quelques jours de la date butoir et après de nouveaux propos de Donald Trump. Agence France-Presse Dans les premiers échanges, le Dow Jones perdait 0,19 %, l'indice NASDAQ reculait de 0,54 % et l'indice élargi S&P 500 lâchait 0,38 %. Le titre du spécialiste des véhicules électriques Tesla chutait de près de 8 % à l'ouverture de Wall Street lundi après que son patron Elon Musk a annoncé samedi la création de sa propre formation politique, le « Parti de l'Amérique ». Dans les premiers échanges, le groupe lâchait 7,71 % à 290,99 dollars, repassant sous le seuil des 1000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Plus de détails suivront.


Le Figaro
5 hours ago
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Le point sur les 70 actions françaises préférées de la rédaction en attendant le grand rendez-vous des résultats semestriels
Réservé aux abonnés Quoi de neuf parmi les valeurs cotées à Paris suivies par la rédaction ? Dans notre traditionnelle revue trimestrielle, retrouvez plus d'une dizaine de conseils potentiels. Après avoir pénalisé les marchés boursiers au début du printemps, la «tourmente Trump» s'est partiellement dissipée. Et si la volatilité n'a pas disparu, elle s'est atténuée : en Bourse, l'été débute donc sous de meilleurs auspices. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Et maintenant ? Dans une dizaine de jours, les entreprises commenceront à dévoiler la deuxième publication la plus importante de l'année, après les comptes annuels : il s'agira des résultats semestriels, et naturellement des perspectives dont les managements feront part à l'occasion. Un «rituel trimestriel», le passage au crible des actions préférées par la rédaction Alors, que faire en Bourse ? Dans ce contexte particulier, la rédaction du Figaro Patrimoine et Bourse se livre à son «rituel trimestriel» : la revue de détail des 70 actions françaises actuellement conseillées aux abonnés du Figaro Patrimoine et Bourse. Pour quoi faire ? Tout simplement pour nous assurer que nos positions sont toujours les bonnes ! Valeur par valeur, nos journalistes refont le point sur l'actualité pour vérifier que nos thèses d'investissement…


La Presse
a day ago
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Des jeunes qui osent boursicoter
Entre deux lignes de code, l'étudiant en génie logiciel à l'Université McGill David Vo a également appris à déchiffrer les graphiques boursiers. À seulement 20 ans, il gère déjà un portefeuille de plusieurs dizaines de milliers de dollars. « J'aime voir que mes efforts commencent à payer avec le temps », affirme David avec un sourire. Il a commencé à investir en Bourse à 17 ans, pendant la pandémie, en testant des applications de simulation de marché. Aujourd'hui, il consacre quelques heures par semaine à suivre les tendances et à ajuster son portefeuille. Ce n'est pas une source de revenus, mais plutôt une façon de faire fructifier les économies qu'il met de côté grâce à son emploi étudiant. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE David Vo, 20 ans Ce qui me pousse vraiment, c'est [le désir] d'atteindre l'indépendance financière, surtout à un jeune âge. C'est important de commencer tôt. David Vo, 20 ans Comme David, de plus en plus de jeunes de la génération Z se lancent sur le marché boursier, souvent sans aucune formation scolaire en finance. Ils investissent en parallèle de leurs études, souvent de manière autodidacte. Depuis la pandémie, cet engouement ne cesse de croître, explique Laurence Amann, vice-présidente et directrice générale de Desjardins Courtage en ligne. « Il y a eu un accroissement notable de l'intérêt de l'ensemble de la population pour l'investissement à la Bourse, mais notamment chez les jeunes. » Selon elle, environ le tiers de la nouvelle clientèle accueillie depuis 2020 a entre 18 et 30 ans. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, la majorité ne vient pas du domaine financier. « Ce sont des étudiants, de jeunes travailleurs ou des professionnels, précise-t-elle. Ce sont des jeunes qui s'intéressent à l'investissement qui veulent gérer eux-mêmes leur portefeuille. » Investir n'est toutefois pas sans risque. Le danger est l'ombre du casino caché derrière les graphiques colorés. « Le problème est qu'avec cette démocratisation, il y a la possibilité d'investir dans des niaiseries et d'essayer de faire un coup d'argent rapide, explique Martin Boyer, professeur de finance de HEC Montréal. Ce n'est pas un casino, la Bourse. C'est un endroit qui permet, avec beaucoup de patience, de faire beaucoup d'argent. » À 21 ans, Ziad Jahouri étudie en biochimie et médecine moléculaire à l'Université de Montréal. Bien qu'il ait souvent les yeux rivés à un microscope, il prend aussi le temps de suivre les fluctuations du marché. Il partage un compte d'épargne avec son frère, dans lequel ils ont accumulé maintenant environ 45 000 $ au fil des trois dernières années. « Pour moi, c'est plus un passe-temps qu'autre chose. C'est drôle à dire, mais c'est une sorte de jeu », explique-t-il. Un jeu sérieux qu'il aborde de façon réfléchie et patiente. Un jeu auquel il peut se permettre de jouer. lui qui « n'a pas énormément de dépenses » et dispose donc de « l'argent qu'il est prêt à perdre ». Je pense que la plupart des jeunes ne sont pas assez patients. Tu ne deviens pas millionnaire du jour au lendemain. Quand tu leur parles de Bourse, ils l'associent à une façon de faire de l'argent rapide. Ziad Jahouri, 21 ans De son côté, étudiant en techniques de services financiers et d'assurances au cégep de Saint-Hyacinthe, Jacob Chrétien baigne dans les chiffres. Pour lui, c'est la cryptomonnaie qui a servi de porte d'entrée à cet intérêt financier, tant pour ses études que sur le plan personnel. Au début, lorsqu'il a plongé dans le milieu, il pouvait consacrer jusqu'à 15 heures par semaine à s'informer sur ses placements de quelques milliers de dollars. « Je faisais des recherches et j'investissais, raconte-t-il. Et là, j'ai commencé à faire de l'argent. Donc, j'ai eu la piqûre et j'ai investi encore plus d'argent. » La finance à portée de doigt Ce type de discours ne surprend pas M. Boyer. Selon lui, la génération Z est plus exposée à l'idée d'investir dès un jeune âge. Naviguer avec prudence et ambition, voilà le défi pour de nombreux jeunes, peu exposés à une éducation financière. Selon M. Boyer, la grande majorité de la population, surtout les jeunes, ne possède pas les connaissances de base en finance comme l'impact de l'inflation ou des intérêts composés. Comprendre le risque dans un manuel, c'est une chose. Le ressentir avec son propre argent en est une autre. La courbe d'apprentissage est plus abrupte lorsque ça touche directement le compte bancaire. « L'une des erreurs les plus fréquentes, c'est de surestimer sa tolérance au risque », observe Benjamin Croitoru, professeur associé en finance de l'Université McGill. Trop souvent, insiste-t-il, des jeunes plongent dans des placements risqués, convaincus de comprendre ce qu'ils font. Ils perdent une somme importante, se retirent du marché, deviennent trop prudents et, au final, ça leur coûte de l'argent. Benjamin Croitoru, professeur associé en finance de l'Université McGill Pour lui, la clé n'est pas d'avoir les bons instincts, mais plutôt les bons réflexes. Diversifier, comprendre son niveau de risque, ne pas courir après les hausses et surtout ne pas tout apprendre sur YouTube. « Il y a trop [de contenu] qui est disponible. C'est trop facile de se perdre dans les détails qui ne sont pas importants. » Investir jeune, ce peut être un tremplin bénéfique, mais aussi un piège selon la manière dont on s'y prend. Des jeunes comme David l'ont bien compris. « Pour finir, il y a un risque. Par contre, ce n'est pas comme au casino, où c'est 51-49 en faveur de la maison. »


Le Figaro
2 days ago
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«Je voudrais débuter en Bourse en plaçant 5000€, puis continuer d'investir pour atteindre 50.000€. Est-ce une bonne méthode?»
Vie des entreprises, fonctionnement du marché, droit boursier, ... La rédaction du Figaro Patrimoine et Bourse se saisit de vos questions et vous apporte son expertise. Démarrer en Bourse n'est jamais évident. Est-ce le bon moment, quelles valeurs privilégier, quels montants leur allouer, … ? Les questions sont nombreuses et les réponses ne sont pas gravées dans le marbre. À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp Du bon sens et de la patience Tout d'abord, il n'y a pas de moment idéal pour débuter en Bourse : c'est sur le long terme que s'envisagent ces investissements afin de lisser la performance dans le temps, et les fonds engagés doivent l'être dans cette optique. Ensuite, la stratégie que vous envisagez est de bon sens. Amorcer avec une somme entre 5000 et 10.000€ permet d'initier plusieurs positions et ainsi de répartir les risques dès le départ. Publicité Avec une enveloppe de 50.000€, vous avez le temps de faire les choix les plus judicieux, sans vous précipiter. Enfin, la diversification doit rester une boussole : mettre tous ses œufs dans le même panier n'est jamais une bonne idée, et encore moins en Bourse. Panacher valeurs de croissance, de rendement et, à la marge, une ou deux plus spéculatives, devrait vous permettre de construire un portefeuille équilibré… et performant.


Le Figaro
3 days ago
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La Bourse de Paris clôture en baisse sous le poids des inquiétudes liées aux droits de douane
La Bourse de Paris a terminé en baisse vendredi, l'attention des investisseurs se focalisant sur les négociations commerciales entre les États-Unis et ses partenaires commerciaux à l'approche de la date butoir fixée par Donald Trump pour trouver un accord. L'indice vedette de la Bourse de Paris, le CAC 40, a terminé en baisse de 0,75%, soit une baisse de 58,28 points, pour s'établir à 7.696,27 points. La veille, il avait terminé en légère hausse de 0,21% à 7.754,55 points à la clôture. Les États-Unis restent au cœur des préoccupations alors que les négociations avec leurs partenaires commerciaux entrent dans leur dernière ligne droite. Donald Trump a précisé que 10 à 12 pays seraient contactés dès vendredi, par lettre, pour être informés du montant des droits de douane punitifs qu'ils devront payer. Le locataire de la Maison Blanche a affirmé que «tous les pays» devront être «couverts pour le 9 juillet», date butoir pour que les partenaires des États-Unis concluent un accord avec Washington. Publicité Ces droits de douane pourraient varier d'un pays à l'autre, allant d'une fourchette de 10 à 20%, à une autre, bien plus élevée, de 60 à 70%, a expliqué Donald Trump. Les pays visés commenceront selon lui à payer le 1er août. «Nous saurons bientôt quelle décision prendra le président Trump après le report de 90 jours des droits de douane réciproques initialement annoncés le 2 avril», résume Chris Iggo, de AXA IM. En attendant, les investisseurs restent prudents. La baisse des actions européennes «reste finalement assez contenue face à la menace de Donald Trump sur les droits de douane», souligne toutefois Grégoire Kounowski, conseiller en investissements chez Norman K. Il note «une forte dichotomie entre la menace réelle contre les Européens», et la réaction des marchés qui se montrent «très complaisants». La Chine vise les spiritueux Des producteurs de cognac, dont les principaux exportateurs comme Hennessy, Rémy Cointreau et Martell, vont échapper aux taxes annoncées par la Chine, auxquelles se substitueront des hausses de prix négociées. Pékin a annoncé qu'il imposerait dès samedi, au terme de son enquête antidumping, un droit de douane moyen de 32,2% sur les eaux-de-vie de vin importées de l'Union européenne, qui sont essentiellement du cognac. Mais des hausses de prix proposées par certains producteurs et acceptées par le ministère chinois du Commerce s'y substitueront, une issue «moins défavorable» saluée par le Bureau national interprofessionnel du cognac (BNIC). Rémy Cointreau a terminé en hausse de 2,18% à 48,84 euros. LVMH, qui détient la maison Hennessy, a perdu 1,76% à 477,37 euros. Le géant des vins et spiritueux Pernod Ricard a glissé de 0,38%, à 89,76 euros.