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La Presse
6 days ago
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Loblaw signale un bénéfice en hausse d'une année à l'autre
La société mère des épiceries Loblaws, Provigo et Maxi, ainsi que des pharmacies Pharmaprix, a vu son bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'élever à 714 millions, soit 2,37 $ par action, lors du trimestre qui a pris fin le 14 juin. (Brampton) Le bénéfice des Compagnies Loblaw a augmenté d'une année à l'autre au deuxième trimestre, grâce à une hausse de l'achalandage, de la valeur du panier moyen et du nombre d'articles vendus. La Presse Canadienne La société mère des épiceries Loblaws, Provigo et Maxi, ainsi que des pharmacies Pharmaprix, a vu son bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'élever à 714 millions, soit 2,37 $ par action, lors du trimestre qui a pris fin le 14 juin. Ce résultat est en hausse par rapport au bénéfice de 457 millions, soit 1,48 $ par action, enregistré au deuxième trimestre de 2024. Sur une base ajustée, Loblaw affirme avoir réalisé un bénéfice de 2,40 $ par action, comparativement à un bénéfice ajusté de 2,15 $ par action un an plus tôt. Le chiffre d'affaires de l'entreprise s'est élevé à 14,7 milliards au deuxième trimestre, en hausse par rapport à 13,9 milliards à la même période l'an dernier. Loblaw attribue cette augmentation à une hausse de 3,5 % des ventes des magasins comparables du secteur de l'alimentation au détail. Les revenus des magasins comparables du secteur des pharmacies au détail ont augmenté de 4,1 %, tandis que ceux des magasins comparables tirés des médicaments sur ordonnance et des services de soins de santé ont affiché une augmentation de 6,2 %. Les ventes des magasins comparables tirés des produits de l'avant du magasin ont quant à elles progressé de 1,7 %.


La Presse
09-07-2025
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La police sur la trace des 463 918 $ dérobés à Hydro-Québec
La Sûreté du Québec est débarquée mercredi à Brampton, en Ontario, pour mener des perquisitions en lien avec l'arnaque au « faux fournisseur » qui a fait perdre près d'un demi-million de dollars à Hydro-Québec l'an dernier. L'affaire avait été révélée par La Presse il y a un an presque jour pour jour : un fraudeur avait réussi à prendre le contrôle de la boîte courriel d'un fournisseur de la société d'État. Il avait communiqué avec Hydro pour demander un changement de coordonnées bancaires en prévision d'un paiement que le fournisseur devait recevoir. Un total de 463 918 $ avait ainsi été détourné avant que la supercherie ne soit découverte. Dans un communiqué diffusé mercredi, la Division des enquêtes sur la criminalité financière contre l'État de la Sûreté du Québec confirme avoir mené aujourd'hui des perquisitions à Brampton pour « recueillir des preuves » et « faire progresser les démarches d'enquête » dans ce dossier. Aucune arrestation n'a été annoncée à ce stade. « Cette fraude reposait sur une intrusion dans le système informatique du fournisseur légitime, suivi de la soumission d'une fausse facture accompagnée d'un spécimen de chèque frauduleux, dans le but d'obtenir un paiement indu de la part d'Hydro-Québec », spécifie le communiqué. Ce genre de stratagème est courant dans le monde de la fraude, mais il est relativement rare que des sociétés d'État soient visées.