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L'union fait la force… du BLAST
L'union fait la force… du BLAST

La Presse

time2 days ago

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L'union fait la force… du BLAST

La boutique le BLAST s'installe du 23 mai au 31 août au Quartier DIX30. Le concept : rassembler une trentaine de jeunes marques québécoises dans un même lieu éphémère. En mai dernier, un nouveau magasin est apparu dans le paysage du Quartier DIX30, à Brossard : le BLAST. Vous n'avez jamais entendu ce nom ? C'est peut-être parce que la boutique éphémère, occupée par une vingtaine de PME d'ici, n'est pas encore passée dans un centre commercial près de chez vous. À l'intérieur de l'ancien local occupé par Urban Outfitters, au Quartier DIX30, on retrouvre plus de 25 petites entreprises québécoises à découvrir. La friperie Carole, l'entreprise de thé matcha Teangle, ou encore les bijoux Fervido, pour ne nommer que ceux-là, se partagent l'espace pendant tout l'été, jusqu'au 31 août. « La prochaine édition sera probablement à Québec, aux Galeries de la Capitale », indique Zachary Reffo, l'instigateur du BLAST, en entrevue avec La Presse. C'est déjà la troisième fois que le BLAST s'installe dans une aire commerciale convoitée de la province. Tout a commencé en 2023, alors que l'entrepreneur et ses partenaires, propriétaires de la friperie Carole, désiraient ouvrir une boutique au Carrefour Laval. Or, à ce moment, le centre commercial n'avait pas de place pour l'entreprise, pourtant populaire sur les réseaux sociaux. L'équipe a donc pris la route vers les Promenades St-Bruno. Les options de locaux qui l'attendaient : un tout petit espace, équipé d'une cuisine, ou un autre… de 17 000 pi2, beaucoup trop grand pour les besoins des trois jeunes vingtenaires. « À ce moment-là, on s'est vraiment gratté la tête, on se demandait ce qu'on allait faire », raconte Zachary Reffo, qui ajoute que la première option n'était pas vraiment envisageable, pour une boutique de vêtements. Après avoir sondé l'intérêt d'autres jeunes entrepreneurs parmi ses contacts, l'équipe a eu l'idée de partager le plus grand des locaux. L'objectif ? Regrouper un maximum de marques le temps d'un évènement éphémère intitulé le BLAST, juste avant Noël. Les entreprises qui y participeraient, explique M. Reffo, bénéficieraient à la fois de la visibilité de leurs colocataires et d'une superficie inespérée. Le pari des entrepreneurs : compter sur les réseaux sociaux pour attirer la clientèle. De fait, si les PME impliquées en étaient encore à leurs débuts, elles ont toutes un point en commun, soit d'être très actives auprès des internautes ou de collaborer régulièrement avec des influenceurs. Pixie Woo, Mennillo, OK Bye, Self Care by Bloom, Bamboo Underwear, Poches & Fils, ou encore Spek Optics, en sont des exemples. Première journée d'ouverture : le Vendredi fou. « Je pense qu'encore aujourd'hui, c'est l'un des moments où j'ai eu plus d'adrénaline dans ma vie », estime Zachary Reffo. « On est à 10 minutes de l'ouverture, il y a à peu près 20 propriétaires de petites entreprises qui courent un peu partout dans le local. Puis là, on vient me voir et on me dit : 'Il y a 200, 300 personnes en file.' On n'avait aucune idée de l'ampleur que ça prendrait », poursuit-il. Même la direction du centre commercial est venue féliciter l'équipe pour le succès de la boutique, se rappelle l'entrepreneur. En un mois, le total des ventes des entreprises présentes s'est élevé à près de 350 000 $. L'évènement est finalement devenu l'une des priorités pour Zachary Reffo, qui a entraîné avec lui Catherine Breault-Germain dans l'aventure, pour ses acquis et compétences en administration. Un an plus tard, la boutique éphémère a fait le saut dans un local vacant de l'emblématique rue Sainte-Catherine, le temps de quelques semaines. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Zachary Reffo et Catherine Breault-Germain L'expérience était maintenant devenue un rendez-vous, pour reprendre leurs mots. « Ensemble, on est plus forts » : c'est la phrase qui résonne le plus au passage de La Presse dans l'arrière-boutique du DIX30. La force du web Les entrepreneurs en sont convaincus : la force de la clientèle bâtie sur les réseaux sociaux est sous-estimée. Les centres commerciaux ne réalisent pas encore l'impact que les réseaux ont. Zachary Reffo, l'instigateur du BLAST Récemment, l'homme d'affaires bien connu Olivier Primeau a justement publié une vidéo de sa visite au BLAST du DIX30, qui cumule plus de 80 000 visionnements sur la plateforme TikTok. Ce chiffre peut grimper rapidement lorsque les vidéos de toutes les marques s'additionnent, note Xavier St-Onge-Leduc, responsable du contenu partagé en ligne. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Le concept : rassembler une trentaine de jeunes marques québécoises dans un même lieu éphémère. À l'avenir, les jeunes entrepreneurs souhaiteraient que la marque BLAST adopte également le rôle d'agence-conseil pour les PME qui souhaitent assurer le rayonnement de leur marque. Seconde main Les valeurs fondamentales du BLAST sont les mêmes que celles de la friperie Carole, puisqu'elle a été propulsée par ses propriétaires. Démocratiser la vente de vêtements et d'objets de seconde main fait donc aussi partie des objectifs de l'entreprise. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE La friperie Carole dans la boutique éphémère du BLAST, au Quartier DIX30, à Brossard « Avec des marques qui vendent du neuf, on accueille une clientèle qui veut acheter du neuf, et quand elle arrive ici, elle voit du seconde main et se dit : 'Ah, c'est quand même cool finalement' », souligne M. Reffo. Une portion du commerce, appelée le « Vide-dressing », propose d'ailleurs aux clients de vendre les vêtements qu'ils ne portent plus… À leur place. L'équipe aimerait un jour décliner la marque BLAST dans les succursales de la friperie Carole, où des petits espaces destinés à d'autres marques québécoises pourraient être aménagés.

Dans la nouvelle vie de Carole, cadre dans le marketing devenue céramiste : « L'envie de produire de A à Z »
Dans la nouvelle vie de Carole, cadre dans le marketing devenue céramiste : « L'envie de produire de A à Z »

Le Parisien

time18-07-2025

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Dans la nouvelle vie de Carole, cadre dans le marketing devenue céramiste : « L'envie de produire de A à Z »

« Quand on a envie de changer, on veut tout bousculer », assure Carole. Aujourd'hui âgée de 31 ans, la jeune femme a mis un terme à sa première vie professionnelle pour en embrasser une seconde, la poterie. « J'ai fait un master en marketing, je travaillais à Paris dans une grande entreprise. Un déroulement de carrière très classique après mes études », estime-t-elle. Après quatre années dans une boîte à Paris, Carole retrouve sa ville d'origine, Nantes (Loire-Atlantique). Cette mission, en télétravail à plein temps pour une autre entreprise parisienne, « n'était pas la plus simple pour moi. Ça m'a un peu confrontée à pas mal de choses », dit-elle, évoquant, sans vouloir s'étendre, une forme d'ennui à « tourner en rond sur les mêmes missions » et le management qui lui a déplu.

15 nouvelles accusations à l'encontre du magnétiseur Denis Vipret
15 nouvelles accusations à l'encontre du magnétiseur Denis Vipret

24 Heures

time15-07-2025

  • Politics
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15 nouvelles accusations à l'encontre du magnétiseur Denis Vipret

Après les révélations de la RTS, la parole continue à se libérer autour du guérisseur broyard. Une nouvelle plainte pénale a été déposée. Publié aujourd'hui à 12h28 Le magnétiseur Denis Vipret est accusé d'agression sexuelle par une vingtaine de femmes en Suisse romande (photo d'archives). Laurent Crottet Après la diffusion le 6 juillet d'une enquête de la RTS dans laquelle cinq femmes accusent le célèbre magnétiseur romand d' attouchements sexuels , d'autres victimes présumées se sont manifestées auprès de la chaîne du service public, a révélé cette dernière lundi . En une semaine, quatorze nouvelles femmes ont témoigné d'agressions sexuelles, subies entre 1995 et 2024. Toutes décrivent un scénario similaire, précise la RTS, dans lequel une consultation mène à «des paroles ou à des gestes déplacés». Carole*, une Vaudoise de 71 ans, a consulté Denis Vipret en 1995 pour une peine de cœur. Elle raconte que le magnétiseur l'aurait violée à la ferme de Léchelles (FR) en lui promettant que «son homme» allait «revenir». Les faits présumés étant prescrits, Carole n'a pas porté plainte, mais souhaite que son témoignage puisse alerter de potentielles futures victimes. Une nouvelle plainte pénale déposée La RTS révèle cependant qu'une Bernoise a déposé une plainte pénale le 11 juillet, une information confirmée par la police. La trentenaire accuse le magnétiseur d'attouchements sexuels, des faits qui se seraient produits il y a une dizaine d'années. Une autre femme, originaire de Nyon, décrit avoir été victime d'une tentative d'extorsion de la part de Denis Vipret. Le magnétiseur lui aurait demandé 5000 francs pour la «débarrasser» de «133 personnes» qui lui voulaient du mal. Ce récit fait écho, selon la chaîne du service public, au témoignage d'une femme qui a permis de condamner le guérisseur en mai 2024. Contacté par la RTS, Denis Vipret n'a pas souhaité commenter ces nouvelles accusations. Le magnétiseur continue de prodiguer ses soins en Suisse romande. À lire aussi sur Denis Vipret Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Laurène Ischi est journaliste au sein de l'équipe digitale de Tamedia. Après un bachelor en lettres à Lausanne, elle a obtenu son master à l'Académie du journalisme et des médias de l'Université de Neuchâtel en 2021. Elle se passionne pour les sujets de société et a travaillé pour «Femina» pendant 4 ans.­ Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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