Dernières actualités avec #Colomiers


Le Figaro
2 days ago
- Politics
- Le Figaro
Charente : au moins un mort et quatre disparus dans l'incendie d'un gîte accueillant des adultes handicapés
À lire aussi Colomiers : après un refus d'obtempérer, un chauffeur percute la voiture d'une famille américaine avec trois enfants Le conducteur, qui a refusé de se soumettre à un contrôle de gendarmerie, s'est enfui à pied après l'accident. Il est toujours recherché ce dimanche. Relation virtuelle, conquête en prison et accusations chocs : Jennifer C., l'ex-petite amie de Cédric Jubillar par qui le trouble arrive RÉCIT - La jeune femme de 31 ans est entendue ce mercredi par les enquêteurs. Elle affirme qu'il lui aurait avoué le meurtre de son épouse, Delphine. Lors de sa première audition par les gendarmes, en 2021, elle le présentait comme un « manipulateur ».


Le Parisien
4 days ago
- Politics
- Le Parisien
« La voiture a fait deux tonneaux » : poursuivi par les gendarmes, un chauffard percute le véhicule d'une famille près de Toulouse
C'est un vrai miracle. Ce vendredi a eu lieu un effroyable accident de la circulation à la suite d'un refus d'obtempérer et de la fuite d'un bolide, à Colomiers (Haute-Garonne), à l'ouest de Toulouse . Un véhicule immatriculé en Allemagne et pris en chasse par les gendarmes à la suite d'un refus d'obtempérer sur la commune de Pibrac a provoqué un violent accident à Colomiers en percutant un véhicule où circulait tranquillement une famille américaine. Selon nos informations, la mère et trois enfants à l'intérieur du véhicule percuté ont été blessés et transportés « sans enjeu vital » à l'hôpital le plus proche par sécurité. Un miracle au regard de la violence de l'accident. Une vidéo de la collision, qui circule sur les réseaux sociaux, montre l'ampleur du choc. Le mis en cause a ensuite pris la fuite à pied selon la section de recherches de la gendarmerie locale. Il était toujours activement recherché ce samedi après-midi, avec l'aide notamment d'un chien pisteur. Les enquêteurs auscultent également le portable du fugitif, qui a été retrouvé sur les lieux de l'accident. Quant à la famille américaine violemment percutée, elle va mieux. Tous les blessés ont quitté l'hôpital. Au moment de l'accident, le conducteur du bolide, une voiture de location immatriculée en Allemagne, était poursuivi par la police. À 17 heures, ce vendredi, les motards de la gendarmerie locale lancent une poursuite d'un chauffard roulant à 180 km/h sur une route nationale limitée à 90 km/h. La Mercedes accélère violemment au point que les gendarmes préfèrent ralentir pour ne pas mettre en danger les autres automobilistes. C'est lorsque le chauffard quitte la nationale, à vive allure, un peu plus loin, que l'accident se produit, sous l'œil de la caméra embarquée… Le site de TF 1 a recueilli le témoignage d'un homme ayant assisté au carambolage spectaculaire. « La voiture a fait deux tonneaux, mais est retombée sur ses quatre pattes », raconte Jacques, après avoir vu la scène depuis sa fenêtre. Jacques a également aperçu le conducteur s'enfuir et l'arrivée des forces de l'ordre avec une brigade cynophile. « Le chien a senti dans la voiture, et est reparti dans la direction où le fuyard était parti », ajoute-t-il.


Le Figaro
4 days ago
- Politics
- Le Figaro
Colomiers : après un refus d'obtempérer, un chauffeur percute la voiture d'une famille américaine avec trois enfants
Le conducteur, qui a refusé de se soumettre à un contrôle de gendarmerie, s'est enfui à pied après l'accident. Son véhicule est immatriculé en Allemagne. Un nouveau refus d'obtempérer a mené ce vendredi à un accident très grave près de la gare de Colomiers, en Haute-Garonne, a-t-on appris de source policière. Vers 16h30, un chauffeur en fuite a violemment percuté une voiture à bord de laquelle se trouvait une famille composée de trois enfants et de leur mère. Ils ont été transférés tous les quatre à l'hôpital, sans enjeu vital. Le chauffeur à l'origine de l'accident avait refusé de se soumettre à un contrôle de gendarmerie dans la commune de Pibrac. Il s'est ensuite enfui à pied et est toujours activement recherché par la police ce samedi, à l'aide d'un chien pisteur. Il conduisait un véhicule immatriculé en Allemagne, qui a été pris en charge par les gendarmes. Publicité Une vidéo montrant la violence du choc Une enquête est en cours pour «blessures involontaires aggravées par mise en danger de la vie d'autrui et délit de fuite», a indiqué le parquet de Toulouse au Figaro. Selon le procureur, «les victimes sont des miraculées car elles ont pu sortir du CHU». Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre un SUV Mercedes percuter très violemment la Citroën de la famille, avant que le chauffard ne s'enfuie en courant. Selon La Dépêche du Midi, les victimes sont de nationalité américaine et les trois enfants, âgés de 10, 12 et 13 ans. Une quinzaine de pompiers avait été déployée sur place, avec cinq engins de secours.


Le Parisien
4 days ago
- Politics
- Le Parisien
« Chloé est peut-être dans un réseau de prostitution » : l'appel à témoins des parents d'une ado disparue depuis trois mois
« Chloé n'a que 14 ans mais personne ne la cherche depuis trois mois, ce sont ses parents qui font le travail d'investigations des enquêteurs en scrutant les sites d'escorts », se désole Julie Racoupeau, avocate des parents de Chloé Paulet. Cette adolescente a disparu le 6 avril à Colomiers ( Haute-Garonne ), sous les yeux de ses parents qui l'ont vu monter dans une voiture avec deux hommes plus âgés. Après trois mois sans nouvelles de leur fille et l'absence d'enquête pour retrouver cette adolescente handicapée moteur après une lourde opération de la hanche, ses parents, Aurélie et Sébastien, ont lancé un appel à témoins pour tenter de faire bouger les choses. Avant ce tragique jour d'avril, Chloé était une adolescente sans histoire. C'est en septembre 2024 que le comportement de la jeune fille a commencé à changer. Après son opération de la hanche à la fin de l'école primaire, elle s'est retrouvée en fauteuil roulant quelques mois et a développé de violentes migraines.

L'Équipe
10-07-2025
- Sport
- L'Équipe
Laborantin, décharge et passion dévorante : Gaëtan Barlot, une surprise comme capitaine des Bleus
Rien ne prédestinait Gaëtan Barlot à devenir le 100e capitaine de l'histoire du quinze de France sinon son immense passion pour le rugby, à l'échelle de sa confiance en lui. Elles l'ont porté jusqu'à la Nouvelle-Zélande et un second test au cours duquel il étrennera ses nouveaux galons, samedi (9h05). À quoi tient un destin ? Aux mots prévenants d'un entraîneur qui regarde à côté du cadre. Celui avec la foi du professeur qui se fout que le coloriage déborde un peu parce qu'il est appliqué avec énergie et surtout passion. Gaëtan Barlot, 10 sélections, 28 ans, sera le 100e capitaine de l'histoire de l'équipe de France, samedi : « J'ai pensé à toutes les bonnes années, à toutes les personnes qui m'ont permis d'en arriver là. » Justement là où d'autres ne pensaient peut-être jamais le voir, il y a une paire d'années, lui, l'aspirant pro. « Il y a huit ans jour pour jour, j'étais dans le bureau du coach de Colomiers et on discutait pour savoir si j'allais en Fédérale ou si je m'accrochais en Espoirs alors que c'était compliqué, rembobine-t-il. Et là, je deviens capitaine de l'équipe de France... » Un immense sourire barre son visage. Pincez-le, il rêve ? Non, pas du tout. Parce que ce fou de rugby jusqu'à la déraison a toujours eu confiance en lui. Retour dans le bureau du coach de Colomiers. On est en 2017, il a 20 ans, a fini ses études, et il n'y a plus de contrat Espoirs disponible : « Je touchais 200 € à cette époque et je me disais : "Qu'est-ce que je vais faire l'année prochaine ?" Parce que 200 €, pour vivre... J'ai dit à mon coach que j'allais aller en Fédérale pour pouvoir travailler à côté. » Fabien Berneau, son entraîneur d'alors, refuse l'idée. « Il m'a dit : "Non, vraiment, accroche-toi ! Tu peux le faire !" » « De 8 heures à midi, j'étais au centre de formation, et de 14 heures à 18 heures, au labo. Puis le soir, je retournais en Espoirs pour disputer mes matches le week-end » Gaëtan Barlot Barlot (qui quittera Castres cet été pour l'UBB) doit travailler malgré tout, mais poursuit en Espoirs sur la base de triples journées : « J'ai été technicien de laboratoire pendant un an à Toulouse, au centre de recherche sur les analyses de sang, d'urine. De 8 heures à midi, j'étais au centre de formation, et de 14 heures à 18 heures, au labo. Puis le soir, je retournais en Espoirs pour disputer les matches le week-end. » Une abnégation payante puisqu'il accrochera ses premières feuilles en Pro D2 avant d'être repéré par Pierre-Henry Broncan à Castres. « Je le connaissais car un vieux dirigeant de Colomiers m'avait dit de venir voir deux gamins en Espoirs : lui et Bastien Vergnes-Taillefer. J'ai réussi à convaincre (le président) Pierre-Yves Revol de le prendre, se souvient l'ex-manager du CO. Il a une histoire de dingue. Il n'a pas été gardé par Clermont en Crabos. Il arrive à Colomiers pour jouer en Espoirs, mais sans être au centre de formation. Comme il est intelligent, il avait ce double projet et a rejoint la région de Toulouse pour poursuivre ses études. Il a obtenu un diplôme de laborantin. Ce qui est fou, c'est que Colomiers ne voulait pas le garder, et puis il y a eu des blessures, des suspensions au talonnage, il a eu sa chance et il a joué en Pro D2. » «Ce n'est pas un expansif, mais c'est un courageux, un garçon qui a été opéré des cervicales et qui doit signer une décharge pour jouer au rugby » Pierre-Henry Broncan, son ancien entraîneur à Castres En Top 14, Broncan le fait jouer immédiatement. Malgré un gabarit moins imposant que la concurrence (1,84 m, 107 kg), ses qualités sont nombreuses : « C'est un gamin que les entraîneurs adorent. Il ne râle jamais, il travaille dur. Sur le terrain, il a une grosse activité, il plaque beaucoup, il avance tout le temps, et en mêlée, il est costaud », énumère son ex-entraîneur au CO avant d'évoquer un défaut rédhibitoire au poste : « En revanche, il ne savait pas lancer ! Avant qu'il arrive à Castres, j'ai donc appelé William Servat. Je lui ai demandé s'il pouvait s'en occuper, lui faire travailler la touche. » L'ex-talonneur des Bleus, aujourd'hui adjoint dans le staff de Fabien Galthié, ne se fait jamais prier pour aller faire quelques lancers, même la nuit tombée. « Gaëtan est un taiseux, un fils d'agriculteur. Ce n'est pas un expansif, mais c'est un courageux, un garçon qui a été opéré des cervicales et qui doit signer une décharge pour jouer au rugby, il est classé G2 (*), poursuit Broncan. Je suis content de ce qui lui arrive. Il le mérite. » Quand le sélectionneur lui a annoncé son capitanat, Barlot a instinctivement pensé à celui qui l'avait extrait de la Pro D2 pour le Top 14 : « Je suis arrivé comme jeune joueur. En première ligne, c'est toujours un peu difficile, mais il m'a donné beaucoup de confiance. » Il pense à ses éducateurs, et surtout à ses parents : « Ils t'emmènent à l'école de rugby, ils ont fait tellement de trajets. Maintenant que j'ai des enfants, je m'en rends compte. Et quand je gagnais 200 €, ils m'aidaient financièrement. Même pour eux, c'est une grande fierté. » « Petit, j'aurais aimé qu'un gars comme ça vienne me coacher » Gaëtan Barlot, au sujet de son cousin de 21 ans qui entraîne les jeunes Un débit mitraillette, le regard plongé dans le vôtre, le nouveau Bordelais apprécie à sa juste valeur la reconnaissance de l'encadrement tricolore : « Je ne suis pas le plus capé sur cette tournée, mais cela me touche et c'est une récompense. À chaque fois que j'ai porté ce maillot, j'ai tout donné. » Abonné aux tournées d'été (Australie 2021, Argentine 2024) et sur la photo mais en costard des Grands Chelemards 2022, il prend tout. Justement parce qu'il sait d'où il vient et revient, lui qui regarde la Pro D2 les jeudis et vendredis soir avec sa femme, mordue elle aussi, puis s'infuse encore le Top 14 en plus de son match à lui. Et si vous traînez le dimanche autour des mains courantes de Fédérale, vous aurez encore une chance de le croiser. « En vrai, c'est ma passion, j'adore ça. Je parle ici à des mecs qui sont moins rugby que moi (il se marre). Mais toute ma famille vit rugby, mon cousin a 21 ans et entraîne. Il me demande des conseils, quand je peux je file un coup de main. Je me régale. Et petit, j'aurais aimé qu'un gars comme ça vienne me coacher. » « Je ne vais pas me prendre la tête. Et puis c'est l'équipe de France, je joue avec quelques bons joueurs » Samedi (9h05), il disputera donc le second test avec ses nouveaux galons. Une responsabilité qui ne le tétanisera pas. « Je ne vais pas me prendre la tête. Et puis c'est l'équipe de France, je joue avec quelques bons joueurs, glisse-t-il dans un sourire. Dans le vestiaire, je prendrai la parole pour rappeler les points clés de comment jouer les Blacks. Un petit rappel, mais rien de plus. » Après la courte défaite de Dunedin (31-27, samedi dernier), une certitude l'anime : « On va les respecter, mais on va les agresser. On va être là samedi. Je le sais. Je le sens. » Parole de centurion. À lire aussi Taylor : «Etre talonneur, c'est allier force et finesse» Attissogbe se fait une place Galthié devrait tout changer à Wellington Patat : «J'ai montré que je pouvais avoir plusieurs casquettes »