logo
#

Dernières actualités avec #CoupeStanley

La saison commencera le 7 octobre, avec un programme triple
La saison commencera le 7 octobre, avec un programme triple

La Presse

time3 days ago

  • Sport
  • La Presse

La saison commencera le 7 octobre, avec un programme triple

Les Panthers de la Floride, champions en titre de la Coupe Stanley, donneront le coup d'envoi de la saison le 7 octobre prochain contre les Blackhawks de Chicago. (New York) Les Panthers de la Floride, qui ont défendu leur titre avec succès le mois dernier, donneront le coup d'envoi à la saison 2025-26 de la LNH le 7 octobre, a annoncé la Ligue nationale de hockey lundi. La Presse Canadienne Le premier match de la saison se déroulera au Amerant Bank Arena, où les Panthers, doubles champions en titre de la Coupe Stanley, accueilleront Connor Bedard et les Blackhawks de Chicago. Il fera partie d'un programme triple. Le deuxième affrontement verra les Rangers de New York accueillir Sidney Crosby et les Penguins de Pittsburgh au Madison Square Garden. Mike Sullivan, qui a dirigé les Penguins lors des 10 dernières saisons, fera ses débuts en tant qu'entraîneur-chef des Rangers, contre son ancienne équipe. La soirée se terminera alors que Cale Makar, gagnant du trophée Norris remis au défenseur par excellence de la LNH, et l'Avalanche du Colorado rendront visite à Anze Kopitar et aux Kings de Los Angeles au Arena. Le calendrier complet de la saison 2025-26 de la LNH sera dévoilé mercredi, à 13 h.

« C'est quelque chose de spécial »
« C'est quelque chose de spécial »

La Presse

time5 days ago

  • Sport
  • La Presse

« C'est quelque chose de spécial »

L'entraîneur adjoint des Panthers de la Floride, Sylvain Lefebvre, s'est fait prendre en photo avec les visiteurs. (Sherbrooke) Le passage de la Coupe Stanley à Sherbrooke a fait bien des heureux samedi. L'entraîneur adjoint des Panthers de la Floride, Sylvain Lefebvre, était fier de présenter la Coupe à des centaines de fans de hockey de la région. Emmanuelle Vérité-Lapointe La Tribune Malgré le temps chaud et ensoleillé, les passionnés de hockey étaient nombreux à faire la file samedi au Complexe Thibault GM pour avoir la chance de voir et toucher la précieuse Coupe Stanley. L'évènement a débuté à 10 h 45, mais plusieurs sont arrivés d'avance pour être certains de pouvoir admirer le trophée. C'est le cas d'Arnaud, un jeune fan de 10 ans. « On est arrivés 45 minutes d'avance, alors on avait quand même une bonne place. J'ai toujours rêvé de toucher la Coupe Stanley et c'est mon rêve de la gagner. » Beaucoup de jeunes et de familles faisaient la file pour voir le trophée et prendre des photos. Félix, 9 ans, avait aussi hâte de rencontrer l'entraîneur adjoint des Panthers, Sylvain Lefebvre. Pour sa part, M. Lefebvre était heureux de pouvoir apporter la Coupe Stanley dans sa région d'origine pour une deuxième année consécutive. « Ramener la Coupe, c'est quelque chose de spécial. Ça n'arrive pas à tout le monde de pouvoir faire ça, alors le partager avec les gens de la région, c'est important. » PHOTO EMMANUELLE VÉRITÉ-LAPOINTE, LA TRIBUNE La Coupe Stanley était présentée au Complexe Thibault GM samedi. L'entraîneur adjoint n'était pas surpris de voir autant de jeunes fans lors de l'évènement. Ça peut aider les jeunes à être motivés et inspirés à réussir dans le hockey ou ailleurs. Je pense que c'est important de partager nos succès et notre expérience. Sylvain Lefebvre, entraîneur adjoint des Panthers de la Floride Sylvain Lefebvre aurait souhaité pouvoir présenter la Coupe Stanley plus longuement aux Sherbrookois, mais les minutes avec le trophée sont comptées. « Ce qui est décevant, c'est qu'on a juste un certain temps, on l'a pour la journée et on essaie de faire le plus de choses possible. » L'Estrie aura-t-elle la chance de revoir la Coupe Stanley l'an prochain ? C'est le souhait de l'entraîneur adjoint des Panthers bien qu'il n'ait aucune certitude. « À un moment donné, je vais prendre ma retraite, mais d'ici là, c'est le but chaque année de gagner la Coupe, indique-t-il. La compétition est féroce, et même si on a de bonnes équipes, il faut que toutes les pièces du casse-tête tombent à la bonne place. »

Les noms sur la Coupe Stanley, le trophée Calder et… les 5 contre 3
Les noms sur la Coupe Stanley, le trophée Calder et… les 5 contre 3

La Presse

time5 days ago

  • Sport
  • La Presse

Les noms sur la Coupe Stanley, le trophée Calder et… les 5 contre 3

Chaque semaine, les journalistes de l'équipe des Sports répondent à vos questions. La Presse Envoyez-nous vos questions Le nom qui se retrouve le plus sur la Coupe Stanley Qui a son nom inscrit le plus grand nombre de fois sur la Coupe Stanley ? Je crois que c'est Jean Béliveau. Serge Réponse de Simon Drouin : Spontanément, on serait porté à penser à Henri Richard, qui détient le record de 11 championnats de la Coupe Stanley remportés à titre de joueur. Mais c'est bel et bien Jean Béliveau dont le nom est gravé le plus grand nombre de fois sur le grand saladier argenté : 10 fois comme joueur et 7 fois comme dirigeant du Canadien, pour un total de 17. Le jour de sa retraite, en 1971, M. Béliveau est en effet devenu vice-président principal aux affaires sociales de l'organisation montréalaise, un poste qu'il a occupé jusqu'en 1993. Son nom figure donc aux côtés de ceux de Patrick Roy, Guy Carbonneau et Paul DiPietro pour la dernière conquête du Canadien en 1993. Lointain repêchage et trophée Calder PHOTO NICK WOSIKA, IMAGN IMAGES Kirill Kaprizov Lane Hutson a gagné le Calder en étant repêché au 62e rang. Quels sont les joueurs repêchés plus loin qui ont gagné ce trophée ? Bernard Janelle Réponse de Katherine Harvey-Pinard : Le plus récent est Kirill Kaprizov en 2021 ; croyez-le ou non, mais l'attaquant du Wild du Minnesota a été sélectionné au 5e tour, au 135e rang, du repêchage. Encore mieux : Artemi Panarin n'a jamais été repêché et a remporté le trophée Calder en 2016 ! Je peux vous en nommer quelques autres : Steve Mason (2009, sélectionné au 69e rang), Andrew Raycroft (2004, 135e rang), Evgeni Nabokov (2001, 219e rang), Chris Drury (1999, sélectionné au 72e rang)… Toucher le trophée, ou non ? PHOTO GARETH PATTERSON, ASSOCIATED PRESS Connor McDavid (97) avec le trophée des champions de l'Association de l'Ouest Sur une photo d'équipe des Oilers d'Edmonton, après leur victoire contre Dallas, on peut voir Connor McDavid et Kasperi Kapanen toucher le trophée remis aux champions de l'Association de l'Ouest. Qu'en est-il de la fameuse superstition « pas touche » ? François Caron Réponse de Katherine Harvey-Pinard : C'est plutôt simple. L'année dernière, lorsque les Oilers ont gagné ce même trophée, Connor McDavid n'y avait pas touché. Seulement, l'équipe s'était inclinée quand même en finale contre les Panthers de la Floride. Cette année, le capitaine a voulu faire différemment en espérant un résultat différent… ce qui n'a pas été très réussi. Le dernier finaliste au Calder chez le Canadien PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Michael Ryder Lane Hutson est le premier joueur du Canadien à gagner le trophée Calder depuis Ken Dryden. Au cours de cette longue période, y a-t-il un autre joueur qui est passé près de le gagner ? Jean Dufresne Réponse de Richard Labbé : Avant Lane Hutson, ce n'est pas arrivé souvent, en tout cas pas récemment, qu'un joueur du CH soit sérieusement considéré au Calder. En 2004, Michael Ryder est arrivé deuxième derrière Andrew Raycroft et ensuite, il faut remontrer à 1984-1985, quand le défenseur Chris Chelios avait connu une entrée fracassante avec le Canadien et dans la Ligue nationale. Chelios a conclu cette course au trophée Calder au deuxième rang, parce qu'il y avait un certain Mario Lemieux devant lui… 5 contre 3 ou 4 contre 3 ? PHOTO CHRISTINNE MUSCHI, LA PRESSE CANADIENNE Lane Hutson (48), Cole Caufield (13), Juraj Slafkovsky (20), Nick Suzuki (14) et Ivan Demidov (93) Il me semble que les avantages numériques à 5 contre 3 offrent des résultats plus bancals que les avantages à 4 contre 3. Y a-t-il une façon de savoir lequel des deux est le plus prolifique ? David Piché Réponse d'Alexandre Pratt : Bien sûr ! J'ai tenu compte de tous les avantages numériques depuis le lock-out de 2005. C'est un bon échantillon : 4653 occasions à 5 contre 3 et 2686 à 4 contre 3. Il est nettement plus profitable de jouer avec un avantage de deux hommes. Le pourcentage de réussite est alors de 27,2 %, contre 21,8 % à 4 contre 3.

Jonathan Huberdeau et le temps qui passe
Jonathan Huberdeau et le temps qui passe

La Presse

time07-07-2025

  • Sport
  • La Presse

Jonathan Huberdeau et le temps qui passe

Dans quelques semaines, Jonathan Huberdeau se rapportera à une équipe de la LNH pour un autre camp d'entraînement. Dans son cas, il s'agira du 14e camp de sa déjà très belle carrière, amorcée en 2012-13 chez les Panthers de la Floride. À 32 ans, il lui reste encore six années de contrat chez les Flames de Calgary, et il lui reste aussi encore beaucoup de temps. Mais pas tant que ça, peut-être. « C'est sûr que je vieillis, a-t-il constaté en marge du tournoi de golf qui porte son nom, lundi, à Terrebonne. Mais je veux continuer à être un joueur compétitif, peu importe mon âge. Je ne sais pas je vais jouer jusqu'à quand, mais je veux au moins compléter ce contrat-là… » Si la réalité du temps qui passe est un sujet, c'est que les Panthers de la Floride reviennent d'une autre Coupe Stanley, pendant que Jonathan Huberdeau demeure à la recherche de la première. Comble de malheur, les succès des Panthers se sont amorcés au moment où lui quittait la Floride, dans le cadre d'une transaction monstre en septembre 2022, qui a aussi impliqué Matthew Tkachuk. Il admet que la première Coupe des Panthers, gagnée sans lui bien sûr, a été difficile à regarder. La deuxième ? Un peu moins. « Ç'a été moins dur de voir ça cette année parce qu'ils l'avaient déjà gagnée… mais c'est sûr que ça fait un petit pincement. C'est une belle équipe, les gars le méritent amplement, je suis content pour ceux que j'ai connus là-bas. » C'est l'une des meilleures équipes des 10 dernières années dans la ligue. Mais ça fait partie de la vie ; j'ai été échangé, et c'est rien que je pouvais contrôler. Ensuite, ils ont changé de coach, ils ont changé leur style de jeu, et c'est devenu complètement différent. Jonathan Huberdeau « C'est sûr que j'aimerais ça gagner une Coupe Stanley. On joue au hockey pour ça. Y'en a pour qui ça arrive, d'autres non, mais je ne m'impose pas de stress avec ça. Des fois, le timing est juste pas bon ; les Panthers m'ont échangé, et ils ont gagné après ! J'aurais pu être là… J'espère que ça va arriver avec Calgary, je pense qu'on va avoir une bonne équipe avec le temps. On a eu 96 points cette saison, on aurait dû participer aux séries… » Les bagues, c'est une chose, mais il y a aussi les points, et à ce chapitre, les chiffres de l'attaquant québécois ont été revus à la baisse. Après la saison de sa vie en 2021-22, avec 115 points, la production de Jonathan Huberdeau a chuté de moitié en trois saisons avec les Flames, avec des récoltes de 55, 52 et 62 points la saison dernière. Il affirme que le joueur aux talents offensifs et aux habiletés naturelles n'a pas disparu. « Le gars de 100 points, ce gars-là est encore là… mais avec notre style de jeu, c'est quasiment impossible d'avoir une saison de 100 points avec les Flames. Depuis que je suis là, personne n'a fait 100 points. On est plutôt une équipe qui est difficile à affronter, c'est comme ça qu'on doit jouer pour être compétitifs. Alors c'est sûr que nous, les joueurs, on va se retrouver à faire moins de points. Mais je pense qu'on va être une équipe plus solide, et c'est de même qu'on va accéder aux séries. Au début, pour moi, ç'a été difficile, mais je me suis dit qu'il fallait que je sois meilleur défensivement, et que je joue de manière plus complète. Jonathan Huberdeau Huberdeau admet que cette transformation d'un joueur de 115 points à un joueur de 55, de 52 ou de 62 points n'a pas été si facile à accepter. Mais c'est le chemin qu'on lui a demandé de suivre, et aussi, c'est ce qu'il va faire, parce qu'il ne veut pas être de ceux qui partent après un certain temps sans avoir pu atteindre le sommet de la montagne. « J'ai dû modifier mon style de jeu et au départ, c'est quelque chose qui a été difficile à avaler… mais aussi, c'est peut-être grâce à ça que je vais pouvoir jouer pendant plus longtemps. »

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store