Dernières actualités avec #DecathlonAG2RLaMondiale


L'Équipe
a day ago
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Sébastien Joly, directeur sportif de Decathlon AG2R La Mondiale : « Après la ferveur populaire dans Montmartre, on a une bonne tradition qui peut se mettre en marche »
Malgré les crevaisons qui ont perturbé ses coureurs, Sébastien Joly retient la qualité du spectacle offert sur les pavés de Montmartre lors de la dernière étape du Tour de France, disputée dimanche. Le directeur sportif de Decathlon AG2R La Mondiale estime que celle-ci aurait pu être encore plus spectaculaire sur route sèche. Sébastien Joly (directeur sportif de Decathlon AG2R La Mondiale), après la 21e étape du Tour de France : « Clairement, quand on voit le spectacle qu'on a eu... On était un peu les malchanceux, comme beaucoup d'équipes : des crevaisons, on n'en avait eu qu'une jusqu'à présent. Là, on en a eu deux. (...) Je suis sûr que si on imagine cette même étape sur le sec, ça peut faire encore un plus beau spectacle. Donc je crois qu'après la ferveur populaire dans Montmartre, on a, je pense, une bonne tradition qui peut se mettre en marche. » Montmartre, on en veut encore !

L'Équipe
2 days ago
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« C'est énorme de pouvoir courir là » : le peloton du Tour de France conquis par la butte Montmartre
Dans sa grande majorité, le peloton du Tour de France a apprécié la dernière étape inédite, dimanche, avec trois passages par la butte Montmartre. Avis de coureurs. Tous les coureurs n'ont pas profité du moment à la manière de Harry Sweeny, qui a récupéré, le long d'une rambarde, la bière de Louis-Vianney, un féru de cyclisme venu tôt dans la rue Lepic, avec une belle casquette. En dehors de ceux qui ont bâché assez tôt dans le final grâce au gel des temps à plus de 50 kilomètres de l'arrivée, les autres se sont mis des grandes peignées dans la butte Montmartre, dimanche lors de la dernière étape du Tour de France 2025. En triple ration. Et ils ont presque tous aimé. « Je pense que certains grimpeurs sont moins à l'aise avec ces conditions compliquées, surtout sur du pavé. Donc on s'est retrouvés entre garçons qui voulaient faire la course, il n'y avait que des coursiers qui aiment la bagarre », remarque Bastien Tronchon (Decathlon-AG2R La Mondiale), plusieurs fois à l'attaque mais qui a crevé à deux kilomètres de l'arrivée (77e). « C'était particulier avec l'histoire de la pluie et des temps gelés. Mais on voulait jouer l'étape, faire la course. On savait qu'il risquait d'y avoir de la pluie et que ça pouvait être dangereux. Ça se faisait à la jambe, au courage, il y en avait de partout pour batailler jusqu'à l'arrivée », analyse Clément Russo (Groupama-FDJ), 18e. « Bah moi, je n'ai pas passé une bonne journée, rigole de son côté Valentin Madouas (43e). Physiquement ça allait, mais avec la pluie j'ai trouvé ça horrible, ce n'était pas très agréable sur le vélo. C'était très technique. Une fois que ça cassait, tous les groupes se cassaient et c'était impossible de rentrer. » Montmartre, on en veut encore ! « Les frissons avec le bruit, c'était complètement fou » Julian Alaphilippe, coureur de Tudor Mais courir dans cette ambiance, celle de la butte Montmartre, sans calcul, à la manière d'une classique d'un jour, a plu au peloton. « Quand on est arrivés dans la rue Lepic, c'était une folie. Je me suis demandé s'il allait y avoir autant de monde qu'aux JO, et en fait c'était aussi impressionnant, glisse Madouas, en argent il y a un an à Paris. En tant que coureur, c'est énorme de pouvoir courir là. Le Tour a bien aimé, ça ne m'étonnerait pas qu'on retrouve ça les prochaines années (rires). C'est comme les Champs-Élysées, je pense que ça va rentrer dans le coeur du Tour. » À l'attaque dans le premier passage rue Lepic devant une foule acquise à sa cause, Julian Alaphilippe (Tudor, 19e) est conquis par ce format : « C'est dur de décrire ce que j'ai ressenti, les frissons avec le bruit, c'était complètement fou. Ça fait mal aux jambes mais c'était un moment incroyable. J'ai aimé ! Je ne connais pas l'avis général mais la rue Lepic, ça change tout. » « Dans Montmartre, c'était vraiment incroyable, relance Tronchon. Ça faisait mal aux oreilles tellement il y avait du bruit. Je ne pensais pas que des gens pouvaient en faire autant. C'est bien plus que dans un col, avec la caisse de résonance des immeubles autour. J'ai trouvé ça impressionnant. Je crois que c'était ma plus belle journée sur le Tour. Je ne suis pas sprinteur, donc si on doit recommencer, je suis pour. Je suis puncheur, Montmartre, ça me va très bien... » « Il y en avait un peu de partout, ça a fait mal dès le premier passage » Axel Laurance, coureur d'Ineos-Grenadiers Certains ont quand même tempéré cette extase. Comme Jonas Vingegaard, 2e du Tour de France mais absent du final dimanche, bien au chaud à l'arrière. « Je n'ai pas beaucoup aimé, mais j'ai apprécié entendre ce qu'il se passait à l'oreillette. C'est bien qu'ils aient gelé les temps », avoue le Danois. S'il s'est régalé avec l'ambiance, Axel Laurance reconnaît aussi que les conditions étaient dures : « Pour avoir vu les Champs à la télé habituellement, c'était un peu une cérémonie alors que là, ça a vraiment été la bagarre, ça dénature un peu le truc. OK, il y avait de la course, mais avec la pluie, ça a rendu l'étape vraiment difficile voire dangereuse. » Pogacar : « Je ne pense pas arrêter tout de suite mais... » « C'était un peu le chantier, poursuit le puncheur d'Ineos Grenadiers, 20e. C'était super glissant et il y avait énormément de virages dans la portion ajoutée, donc ça a rendu la chose compliquée. La bosse était vraiment dure. C'était le casino, il y en avait un peu de partout, ça a fait mal dès le premier passage. Mais quand on est arrivés dans Paris après le Louvre, je me suis rendu compte que je vivais quelque chose de vraiment exceptionnel, que très peu de personnes peuvent vivre. Je pourrai dire que j'ai fait au moins une fois Montmartre avec les Champs-Élysées. » Même le désormais quadruple vainqueur du Tour, serti de son maillot jaune avait un avis sur la question. « Le classement général était figé, tout le monde allait à fond, personne à l'avant, c'était de la pure course, livrait Tadej Pogacar une dernière fois avant de rentrer chez lui. C'était mentalement plus facile à courir. J'en ai profité. »


L'Équipe
4 days ago
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Tadej Pogacar félicite Thymen Arensman pour sa victoire sur la 19e étape du Tour de France 2025 : « Il était trop fort »
Le Maillot Jaune Tadej Pogacar a terminé troisième de la 19e étape du Tour de France, remportée ce vendredi par Thymen Arensman. Le Slovène a félicité le vainqueur du jour et assuré qu'il méritait sa victoire, même si celle-ci lui semblait accessible. Tadej Pogacar, 3e de la 19e étape du Tour de France remportée par Thymen Arensman, au micro de France Télévisions : « Cela commence à être vraiment long. Surtout avec cette météo et la cérémonie après l'étape, j'ai juste envie d'aller au bus et prendre une douche chaude. (Sur la fin d'étape du jour) J'ai essayé aussitôt que l'équipe Decathlon-AG2R La Mondiale a arrêté son train, j'ai lancé une grosse attaque, mais c'était un peu trop tôt peut-être. Personne n'a collaboré derrière pour essayer de reprendre Thymen Arensman, donc j'ai imprimé mon rythme. Je compte les kilomètres jusqu'à Paris. J'espérais pouvoir tenir et rester dans la roue si quelqu'un attaquait. J'espérais qu'avec ce rythme je puisse maintenir l'écart mais il (Thymen Arensman) était trop fort pour le train auquel je suis à l'aise. Il était très fort encore une fois, c'était serré mais il mérite cette victoire. » Arensman : «Je suis complètement détruit»


Le HuffPost France
4 days ago
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Tour de France 2025 : l'homme plaqué sur la ligne d'arrivée à Valence condamné deux jours après
JUSTICE - Un homme intercepté mercredi à Valence par un policier alors qu'il cherchait à franchir à vélo la ligne d'arrivée de la 17e étape du Tour de France a été condamné à huit mois de prison avec sursis, a indiqué ce vendredi 25 juillet à l'AFP le procureur. L'homme, né en 1994, a été condamné en comparution immédiate pour « entrée sur une aire de compétition sportive troublant le déroulement de la compétition, refus d'obtempérer et violence sur personne dépositaire de l'autorité publique », a précisé Laurent de Caigny. Il avait été arrêté mercredi 23 juillet par un policier et un membre de l'organisation du Tour de France près de la ligne d'arrivée de la 17e étape, qu'il tentait de franchir juste avant les coureurs, revêtu d'un casque noir et d'un maillot de l'équipe Decathlon-AG2R La Mondiale, avant d'être placé en garde-à-vue. L'incident, qui n'a pas été diffusé à la télévision, est intervenu quelques minutes seulement avant l'arrivée au sprint du peloton, lancé à pleine vitesse. Le trentenaire, qui a déjà été « condamné à trois reprises », a également l'interdiction d'entrer dans une enceinte sportive pendant cinq ans, a indiqué le procureur sans autres précisions. Il devra aussi verser 500 euros de dommages et intérêts au « fonctionnaire victime », un policier qui l'a projeté par terre pour l'arrêter avant de lui-même tomber.


Le Parisien
4 days ago
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Tour de France : plusieurs mois de prison avec sursis pour l'intrus à vélo sur la ligne d'arrivée à Valence
Un homme intercepté ce mercredi à Valence par un policier alors qu' il cherchait à franchir à vélo la ligne d'arrivée de la 17e étape du Tour de France a été condamné à huit mois de prison avec sursis, a indiqué ce vendredi à l'AFP le procureur. L'homme, né en 1994, a été condamné en comparution immédiate pour « entrée sur une aire de compétition sportive troublant le déroulement de la compétition, refus d'obtempérer et violence sur personne dépositaire de l'autorité publique », a précisé Laurent de Caigny. Il avait été arrêté ce mercredi par un policier et un membre de l'organisation du Tour de France près de la ligne d'arrivée de la 17e étape, qu'il tentait de franchir juste avant les coureurs, revêtu d'un casque noir et d'un maillot de l'équipe Decathlon-AG2R La Mondiale, avant d'être placé en garde-à-vue. L'incident, qui n'a pas été diffusé à la télévision, est intervenu quelques minutes seulement avant l'arrivée au sprint du peloton, lancé à pleine vitesse. Le trentenaire, qui a déjà été « condamné à trois reprises », a également l'interdiction d'entrer dans une enceinte sportive pendant cinq ans, a indiqué le procureur sans autres précisions. Il devra aussi verser 500 euros de dommages et intérêts au « fonctionnaire victime », un policier qui l'a projeté par terre pour l'arrêter avant de lui-même tomber.