Dernières actualités avec #DmitriMedvedev


Le Parisien
6 days ago
- Politics
- Le Parisien
« Lancer des frappes préventives » : la menace choc de Medvedev face à l'Occident, soutien de l'Ukraine
C'est une petite phrase qui risque de faire réagir. En pleins regains de tensions entre les États-Unis et la Russie , Dmitri Medvedev l'ancien président russe et actuel vice-président du puissant Conseil de sécurité de la Russie , a déclaré ce jeudi à l'agence de presse publique russe Tass envisager de mener des phrases préventives contre l'Occident. Dmitri Medvedev accuse l'Occident d'avoir rompu l'accord de Potsdam signé il y a 80 ans. « La révision ou la violation des décisions de la conférence de Potsdam n'était qu'une continuation des politiques occidentales à l'égard de la Russie d'avant la guerre, voire même avant. » Il estime également que l'Occident mène pratiquement une guerre à grande échelle contre la Russie . Face à cette attitude occidentale qu'il juge de plus en plus agressive, Medvedev a proposé que Moscou anticipe. « Nous devons agir en conséquence. Répondre pleinement. Et si nécessaire, lancer des frappes préventives » , clame l'ancien dirigeant russe. Autres mesures qui ne passent pas pour Medvedev : « l'ultimatum théâtral » de 50 jours imposés par Donald Trump. Dmitri Medvedev avait déjà menacé l'Occident le 27 mai dernier en attaquant sur X le président américain : « Je ne connais qu'une seule chose VRAIMENT GRAVE : la Troisième Guerre mondiale. J'espère que Trump comprendra cela ! » Habitué des déclarations fortes, Dmitri Medvedev un proche de Vladimir Poutine a également déclaré que l'Ukraine ressemblait de plus en plus aux régimes du Troisième Reich. « Il y a une certaine domination du pouvoir et des signes de plus en plus évidents de dictature », a-t-il ainsi estimé. L'ancien président incarne la ligne la plus dure du pouvoir russe appelant régulièrement à prendre des mesures militaires radicales notamment contre l'Ukraine . Le 30 juillet 2023, il avait ainsi affirmé sur X que si Kiev parvenait à reprendre du territoire face à l'armée russe, Moscou serait « obligée d'utiliser l'arme nucléaire ».


Le Figaro
6 days ago
- Business
- Le Figaro
L'ancien président russe Dmitri Medvedev suggère de «lancer des frappes préventives» contre l'Occident
Proche de Vladimir Poutine, l'ancien président russe est un habitué des sorties belliqueuses fracassantes, hostiles aux pays occidentaux. L'ancien président russe Dmitri Medvedev a déclaré ce jeudi 17 juillet que l'Occident menait pratiquement une guerre à grande échelle contre la Russie, et que Moscou devait donc réagir pleinement ; même, si nécessaire, lancer des frappes préventives, a rapporté l'agence de presse publique russe TASS. «Nous devons agir en conséquence. Répondre pleinement. Et si nécessaire, lancer des frappes préventives», a déclaré Dmitri Medvedev, cité par TASS. Dmitri Medvedev, vice-président du puissant Conseil de sécurité de la Russie, a rejeté les déclarations des responsables occidentaux selon lesquelles la Russie pourrait attaquer l'Europe, les qualifiant d'inepties. «Permettez-moi de vous rappeler que notre président a déclaré sans équivoque que la Russie n'avait pas l'intention de combattre l'OTAN ou d'attaquer l'Europe», a-t-il ainsi déclaré. À lire aussi Pour le général Burkhard, la Russie «a désigné la France comme son premier adversaire en Europe» Publicité Habitué des déclarations incendiaires Proche de Vladimir Poutine, l'ancien président russe est un habitué des sorties belliqueuses fracassantes, hostiles aux pays occidentaux. Il avait par exemple mis en garde le président américain en écrivant sur X le 27 mai dernier: «Je ne connais qu'une seule chose VRAIMENT GRAVE : la Troisième Guerre mondiale. J'espère que Trump comprendra cela !». Partisan d'une guerre totale contre les Ukrainiens, Dmitri Medvedev a par ailleurs fréquemment évoqué depuis février 2022 le spectre d'un conflit nucléaire. Il avait notamment écrit sur X le 30 juillet 2023 que si l'offensive ukrainienne réussissait à reprendre du territoire, Moscou serait « obligé (...) d'utiliser l'arme nucléaire», tout en mentionnant à plusieurs reprises le risque «d'apocalypse nucléaire».