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Matthew Hauser s'impose sur la WTCS d'Hambourg, Dorian Coninx 11e
Matthew Hauser s'impose sur la WTCS d'Hambourg, Dorian Coninx 11e

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time3 days ago

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Matthew Hauser s'impose sur la WTCS d'Hambourg, Dorian Coninx 11e

Dans une course amputée du podium olympique, l'Australien Matthew Hauser s'est imposé, ce samedi, sur la World Triathlon Championship Series (WTCS) d'Hambourg devant le Portugais Vasco Vilaca et l'Italien Alessio Crociani. Piégé après la natation, le Français Dorian Coninx a finalement pris la 11e place. Il n'y a pas eu d'énorme surprise, ce samedi, lors de la World Triathlon Championship Series (WTCS) d'Hambourg. Annoncé parmi les favoris, l'Australien Matthew Hauser s'est imposé sans trembler sur ce format sprint (750 m de natation, 20 km de vélo et 5 km à pied) en prenant le meilleur dans le dernier kilomètre sur le Portugais Vasco Vilaca, l'autre tête d'affiche de l'épreuve. En effet, pour cette étape organisée en plein été, plusieurs cadors avaient fait l'impasse, comme le champion olympique Alex Yee et et Hayden Wilde, son dauphin à Paris. Troisième des JO, Léo Bergère n'était pas non plus présent, ce dernier préparant notamment les T100 de Londres et Fréjus-Saint-Raphaël en stage du côté de Font-Romeu. Champion du monde en 2023, Dorian Coninx aurait pu faire partie des acteurs du jour mais dès la partie natation, le Français a été piégé, sortant avec une dizaine de secondes de retard sur le groupe de tête, sans jamais pouvoir revenir. Tom Richard, lui, avait réussi la bonne affaire mais une chute en début de la partie cyclisme l'a contraint à l'abandon. Finalement, ils étaient onze à poser le vélo avec 25'' d'avance sur le groupe des poursuivants. Plus forts à pied, Hauser et Vilaca se détachaient rapidement, avant que l'Australien ne transforme finalement l'affaire. Deuxième à 7'', Vilaca signe un nouveau podium à Hambourg, alors que l'Italien Alessio Crociani (3e à 29'') a arraché son premier podium à ce niveau, juste devant le Brésilien Miguel Hidalgo. Auteur d'une bonne course à pied, Dorian Coninx a finalement pris la 11e place (à 1'12''), alors que Yanis Seguin se classe 18e à 1'29''.

Triathlon - WTCS - Hambourg : Périault s'impose à Hambourg devant Beaugrand
Triathlon - WTCS - Hambourg : Périault s'impose à Hambourg devant Beaugrand

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time3 days ago

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Triathlon - WTCS - Hambourg : Périault s'impose à Hambourg devant Beaugrand

Magnifique performance de Léonie Périault samedi à Hambourg. La Française a remporté la deuxième victoire de sa carrière en dominant Cassandre Beaugrand sur le sprint femmes. À voir sur L'Équipe Beaugrand : « Je n'avais plus rien » Périault après sa victoire à Hambourg : « Je n'ai pas les mots » Le résumé de la course hommes en vidéo Matthew Hauser s'impose sur la WTCS d'Hambourg, Dorian Coninx 11e Graf victime d'une chute à vélo Dorian Coninx aborde la WTCS d'Hambourg sans prise de tête

Dorian Coninx aborde la WTCS d'Hambourg sans prise de tête
Dorian Coninx aborde la WTCS d'Hambourg sans prise de tête

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time4 days ago

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Dorian Coninx aborde la WTCS d'Hambourg sans prise de tête

Le champion du monde 2023 Dorian Coninx se remet progressivement d'un printemps compliqué et espère pouvoir se relancer ce samedi sur la WTCS d'Hambourg dans une saison de transition. Hambourg est un peu l'étape française de la World Triathlon Championship Series (WTCS). Cassandre Beaugrand y a gagné sa première course sur le circuit principal en 2018, Vincent Luis y est devenu champion du monde pour la deuxième fois en 2020 et les relais mixtes sont très souvent tombés dans l'escarcelle française en Allemagne. Et c'est bien pour ça que Dorian Coninx a hâte d'en être. Sur un format sprint (750 m de natation, 20 km de vélo et 5 km à pied) qui sied à ses qualités à pied, le champion du monde 2023 sera le leader du contingent français chez les hommes ce samedi (à partir de 16h35) puisqu'il sera accompagné des jeunes Yanis Seguin et Tom Richard. Une belle occasion pour le Grenoblois de repartir de l'avant après des dernières semaines mitigées. « J'ai eu une période compliquée après Yokohama (17 mai, 5e), expliquait-il ce jeudi. J'ai eu une sciatique. Puis, je suis tombé malade juste avant l'étape WTCS d'Alghero (31 mai, forfait). On ne sait pas trop si c'était une intoxication alimentaire. Ça m'a séché pendant une bonne semaine. Au final, ça m'a fait 2-3 semaines sans pouvoir m'entraîner. J'ai mis du temps avant de me sentir de nouveau bien. La prépa n'a pas été idéale mais j'ai l'impression que ça va de mieux en mieux. » Pour reprendre un peu de repères, Coninx a pris part à la manche de Grand Prix de Vichy (28 juin, 6e). Mais, dans cette saison post JO, il n'a pas non plus envie de se mettre trop de pression. Viendra ce qui viendra. « Je me fixe Los Angeles (2028). Là on est dans une année post-olympique, on a 4 ans, je suis un peu plus cool. Je me mets moins la pression. J'ai recommencé plus tard l'entraînement sérieux, plutôt mi-janvier que mi-décembre. Tu te fixes moins les objectifs. Je veux être performant sur les courses mais je n'ai pas un plan de bataille à l'échelle de la saison. » « Ca fait toujours chier de passer à côté car les Jeux à Paris, ce n'est qu'une fois dans la vie. Je n'ai pas de regret. J'ai évidemment un petit pincement au coeur quand j'y pense mais ça ne m'a pas flingué le moral. » Dorian Coninx Car mine de rien, il fallait digérer 2024 où, champion du monde en titre oblige, il avait été très attendu avant de perdre pied dans les rues de la capitale (27e), déboussolé par une fracture du poignet en plein coeur de la saison. « La blessure m'a pénalisé sur plein d'aspects, livre-t-il. Surtout sur le manque de repères avec le manque de course. Il y a aussi le fait que la course soit décalée (d'une journée à cause de la qualité de la Seine et s'est déroulé en fin de matinée) et qu'on court dans des conditions chaudes alors qu'on était censés courir tôt le matin et qu'on avait pris le parti de ne pas faire d'acclimatation à la chaleur. Tous les éléments de pression se gèrent mais j'ai eu énormément de choses qui se sont cumulées, la pression ne m'a pas aidé mais le manque de course et de repères a été pire que le manque d'entraînement. » Un échec mais pas une remise en question, les résultats avant et après les Jeux prouvant que lui et son coach Julien Pousson étaient sur la bonne voie. « Ç'a été trois années bien construites, rappelle-t-il. La montée en puissance avait bien marché. Ça fait toujours chier de passer à côté car les Jeux à Paris, ce n'est qu'une fois dans la vie. Je n'ai pas de regret. J'ai évidemment un petit pincement au coeur quand j'y pense mais ça ne m'a pas flingué le moral. » Et le revoilà donc à Hambourg, une première depuis 2019 avec l'objectif un peu bateau « de faire de son mieux » mais c'est réellement le cas quand on ne sait pas vraiment où on se situe. « C'est une course toujours rapide ici. Je vais faire en sorte de partir tôt du parc de transition avec un maximum d'énergie pour faire une course à pied rapide. » Et on verra bien.

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