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JO d'hiver 2030 : Val d'Isère aurait l'avantage sur Méribel pour accueillir le ski alpin
JO d'hiver 2030 : Val d'Isère aurait l'avantage sur Méribel pour accueillir le ski alpin

Le Figaro

time22-07-2025

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JO d'hiver 2030 : Val d'Isère aurait l'avantage sur Méribel pour accueillir le ski alpin

La réintroduction de la station chère au cœur de Jean-Claude Killy est sur la table depuis des mois, et elle semblerait en très bonne voie. La carte des sites olympiques fait souvent l'objet de nombreux bras de fer. Pour les JO d'hiver 2030 et le ski alpin, la station Val d'Isère en balance avec celle de Méribel semble avoir remporté le sien, selon la «préférence» donnée lundi par le comité d'organisation. «On peut difficilement imaginer d'organiser des Jeux olympiques en France sans Val d'Isère», a expliqué à l'AFP l'ancien champion de ski de bosses Edgar Grospiron à la tête de l'organisation, et ce pour avoir «les Jeux les plus réussis possibles et les plus spectaculaires». Mais d'un point de vue budgétaire, il faut que «cela soit neutre par rapport à l'option initiale» d'où des discussions en cours avec la collectivité. La décision n'est donc pas encore définitive et sera prise à l'automne quand l'ensemble de la carte des sites sera officialisé. La piste Val d'Isère signifie que Méribel sort du jeu pour le ski alpin. Et la proposition d'y regrouper les épreuves paralympiques n'est pas au goût de son maire, qui a menacé de se retirer. «Il faut qu'on regarde les options alternatives», a concédé à l'AFP Edgar Grospiron. Publicité «Killy, il ne va pas lâcher le morceau» La réintroduction de la station Val d'Isère, chère au cœur de Jean-Claude Killy, légende du ski français et ex-président du comité des JO d'Albertville en 1992, est sur la table depuis des mois. Celui-ci s'était dit «scandalisé» quand elle avait disparu de la carte. Elle avait reparu à l'été 2024 au moment de l'octroi des JO à la France par le Comité international olympique (CIO). «Killy, il ne va pas lâcher le morceau», confiait il y a quelques mois à l'AFP un ancien élu, proche des instances sportives olympiques. «Val d'Isère c'est 30 millions d'euros en plus, ce n'est pas fait le match», confiait pour sa part l'un des membres du bureau exécutif à la presse il y a quelques semaines. Interrogé sur le coût de cette réintroduction, Edgar Grospiron a indiqué lundi qu'on ne pouvait donner pour l'instant «aucun chiffre». Flanqué de l'ancien Premier ministre Michel Barnier, missionné en renfort, coprésident avec Killy des JO d'Albertville, Edgar Grospiron est allé ces dernières semaines voir les élus locaux. En mars dernier, Michel Barnier s'affichait en photo dans Paris-Match, skis sur l'épaule, en haut de... la piste de Bellevarde à Val d'Isère, dessinée pour les JO de 1992. Alors que les éditions d'hiver sont plus à risque financièrement (moins de recettes de billetterie que les Jeux d'été) et que la France recherche des milliards pour un plan de rigueur budgétaire, le budget des JO sera scruté d'encore plus près. La carte des sites présentée à la rentrée Le comité d'organisation doit rester dans une enveloppe de deux milliards d'euros. Les deux régions Auvergne-Rhône-Alpes (Aura) et Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca), mettent chacune 50 millions d'euros et l'État 362 millions d'euros, auxquels s'ajouteront notamment les recettes de billetterie et des sponsors. «La semaine dernière, on a dit au bureau exécutif (du Cojo, ndlr) et à Edgar que les conditions n'étaient pas réunies pour que la carte des sites soit présentée le 21 juillet», a récemment expliqué à l'AFP un des membres du bureau exécutif. «Ça ne sert à rien de se dépêcher pour prendre des décisions irresponsables», a poursuivi cette source. Les cartes des sites évoluent souvent par rapport à un dossier de candidature, en fonction de la faisabilité des épreuves - les cahiers des charges du CIO et des fédérations internationales sont drastiques - et d'impératifs financiers. Annoncée d'abord pour fin juin, la carte des sites a été repoussée à la rentrée. Le projet, qui comprend quatre pôles, s'étend de Nice au Grand-Bornand, distant de près de 500 km.

JO Alpes 2030 : pourquoi le comité d'organisation préfère « la piste Val d'Isère » à Méribel pour le ski alpin
JO Alpes 2030 : pourquoi le comité d'organisation préfère « la piste Val d'Isère » à Méribel pour le ski alpin

Le Parisien

time21-07-2025

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JO Alpes 2030 : pourquoi le comité d'organisation préfère « la piste Val d'Isère » à Méribel pour le ski alpin

Nouvel épisode dans la saga du choix des sites des JO d'hiver 2030 . Le comité d'organisation d'Alpes 2030 a présenté lundi « un schéma préférentiel » des sites olympiques et paralympiques retenant Val d'Isère pour certaines épreuves de ski alpin au détriment de Méribel, selon le comité d'organisation. « On travaille sur la piste de Val d'Isère sous réserve de la faisabilité technique et financière », a expliqué à l'AFP le président du comité d'organisation Edgar Grospiron , précisant qu'aucune décision définitive n'avait été prise. « Les discussions sont en cours avec la collectivité pour rendre cette intégration possible tout en maintenant l'équilibre budgétaire du projet, par des engagements clairs », précise un communiqué du Cojo. « On peut difficilement imaginer d'organiser des JO en France sans Val d'Isère », fait valoir Edgar Grospiron. Le retour de Val d'Isère au détriment de Méribel agite la vallée de la Tarentaise et l'écosystème olympique depuis plusieurs mois. Initialement sur la carte des sites, Val d'Isère avait ensuite disparu puis reparu à l'été 2024 quand le CIO a accordé les JO à la France. L'ancien champion olympique et icône du ski français, Jean-Claude Killy, aussi ex-président de l'organisation des JO d'Albertville 1992, s'était dit « scandalisé » fin 2023 à l'idée que Val d'Isère ne soit pas sur la carte. Le regroupement des épreuves de ski alpin sur les deux sites de Courchevel et Val d'Isère signifie l'éviction de Méribel qui s'est vu proposer « d'y regrouper » des épreuves paralympiques. Problème : la semaine dernière, Thierry Monin, le maire Méribel, a menacé de se retirer des Jeux si le Cojo lui enlevait les épreuves olympiques de ski alpin. Il avait déjà menacé de se retirer début juillet si la station ne devait héberger que les Jeux paralympiques. « Il faut qu'on regarde les options alternatives », a expliqué à l'AFP Edgar Grospiron. Le budget du Cojo doit tourner autour de deux milliards d'euros. Le projet s'étend de Nice au Grand-Bornand, deux villes distantes de près de 500 km. Après avoir été annoncée pour fin juin, la carte des sites ne devrait être officialisée qu'en octobre. Le choix du site de l'anneau de vitesse pour le patinage, entre l'Italie et les Pays-Bas, n'a pas encore été fait. Les sites pour les différentes épreuves de glace à Nice (patinage, hockey…) ne sont pas encore complètement fixés, ont rapporté plusieurs sources à l'AFP.

Val d'Isère chasse Méribel de la carte des sites olympiques des Alpes 2030
Val d'Isère chasse Méribel de la carte des sites olympiques des Alpes 2030

L'Équipe

time17-07-2025

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Val d'Isère chasse Méribel de la carte des sites olympiques des Alpes 2030

Le maire de Méribel a refusé de n'accueillir que les épreuves paralympiques, comme lui a proposé Edgar Grospiron ce jeudi matin, le comité souhaitant répartir les épreuves de ski alpin entre Courchevel et Val d'Isère. Méribel se retire donc de l'aventure des Jeux d'hiver 2030. Pas encore dévoilée, la carte des sites olympiques des Alpes 2030 n'en finit pas de faire polémique. Depuis un mois, les principales frictions se concentrent sur les épreuves de ski alpin, prévues à Méribel et Courchevel, mais que Val d'Isère vient bouleverser. La station chère à la légende du ski Jean-Claude Killy était sur la carte au moment de la candidature, avant de disparaître puis de faire son retour au moment de l'attribution définitive des Jeux, le 24 juillet dernier, mais sans épreuves. Soutenue par la région Auvergne-Rhône-Alpes, la station du Critérium de la Première Neige a présenté un solide dossier en mars dernier à Edgar Grospiron et son équipe. Au moment de présenter son « schéma préférentiel des sites » - comprenez une partie de la carte -, lundi prochain lors du conseil d'administration du Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJOP), le champion olympique 1992 des bosses va donc confirmer la présence de la station de Haute-Tarentaise. Avec pour conséquence la disparition de Méribel pour les épreuves olympiques, puisque la mission du patron du comité est d'organiser les épreuves de ski alpin sur deux sites. Edgar Grospiron était justement dans la station savoyarde ce jeudi matin avec Cyril Linette, le directeur général du COJOP, pour rencontrer le maire Thierry Monin, qui avait déjà dénoncé son éviction au lendemain de la visite de Michel Barnier. Le maire de Méribel se retire des discussions L'ancien Premier ministre, missionné par le gouvernement et le Comité international olympique (CIO) auprès du COJOP, avait déjà proposé au maire de Méribel d'organiser toutes les épreuves paralympiques dans sa station. Le rendez-vous avec Edgar Grospiron n'a fait qu'amplifier la colère de l'élu, qui a publié jeudi un long communiqué à l'issue de leurs échanges, dans lequel « il prend acte » de la décision du COJOP de lui proposer seulement les épreuves paralympiques, et annonce se retirer de « la mêlée ». Non sans dénoncer toutes les conséquences : « La charte olympique bafouée, les engagements pris initialement lors de la candidature, reniés, les paralympiques discriminés, d'importants surcoûts financiers de plusieurs millions d'euros, une empreinte environnementale considérablement accrue ». « Aucun arbitrage définitif n'a été rendu » Le Comité d'organisation des Alpes 2030, dans un communiqué La réponse des Alpes 2030 n'a pas tardé puisque dans un communiqué paru quelques heures plus tard, le comité « prend note de la décision de la mairie des Allues (commune à laquelle est rattachée Méribel) de mettre fin au dialogue visant à confirmer Méribel dans le dispositif des Jeux ». Tout en soulignant qu'« aucun arbitrage définitif n'a été rendu », le comité précise travailler avec toutes les parties prenantes à « un schéma préférentiel permettant de proposer le meilleur dispositif possible, sportivement et en termes de spectacle, le tout dans un cadre budgétaire et environnemental responsable ». Tignes prête à accueillir les épreuves paralympiques Outre la mythique face de Bellevarde, la réputation de la station de Val d'Isère, son savoir-faire et son appétit à organiser des compétitions internationales ont évidemment joué dans la décision du comité. Tout comme « la prise en charge d'un certain nombre de coûts », souligne une source proche du COJOP en citant par exemple l'éclairage, l'accès à la station ou la préparation des pistes. Un effort financier sera ainsi demandé à chaque collectivité qui s'engagera à accueillir une épreuve, la carte des sites étant intimement liée au budget qui devrait être connu en octobre. Et s'il est encore bien trop tôt pour connaître la répartition des épreuves de ski alpin entre Courchevel et Val d'Isère, cette dernière pourrait accueillir le slalom, et la descente se tenir chez son voisin du massif de la Vanoise. Alors que Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, rappelle volontiers que le retour de Val d'Isère entraînerait celui d'Isola 2000 (Alpes-Maritimes) en raison du « mariage » entre les deux régions, il n'en serait finalement rien puisque Méribel sort de la piste. Et si Michel Barnier avait annoncé au maire de Méribel que Tignes était prête à accueillir les épreuves paralympiques à sa place, il faudra quand même attendre plusieurs semaines pour savoir quelles stations seront candidates, en fonction des critères financiers mais aussi d'accessibilité.

JO d'hiver 2030 : Méribel menace (encore) de se retirer, tout en tirant à boulets rouges sur l'organisation
JO d'hiver 2030 : Méribel menace (encore) de se retirer, tout en tirant à boulets rouges sur l'organisation

Le Figaro

time17-07-2025

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JO d'hiver 2030 : Méribel menace (encore) de se retirer, tout en tirant à boulets rouges sur l'organisation

La future carte des sites des Jeux d'hiver dans les Alpes françaises continue d'alimenter les débats et autres dissensions. La station de Méribel, retenue initialement pour le ski alpin dames et paralympiques aux JO d'hiver 2030, a menacé à nouveau jeudi de se retirer des Jeux si le comité d'organisation lui enlève les épreuves féminines au profit de Val d'Isère. Thierry Monin, maire des Allues, la commune de Savoie qui englobe Méribel, assure que le président du Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop), Edgar Grospiron, est venu jeudi matin à Méribel présenter aux élus locaux «trois scenarii», dont celui du retour de Val d'Isère. La mise à l'écart de la station emblématique de Val d'Isère dans le dossier de candidature des Alpes françaises aux JO de 2030 avait provoqué émoi et critiques virulentes des professionnels et des politiques locaux. Le maire des Allues s'était ému dès le 20 juin auprès de M. Grospiron que, des trois scenarii, celui «intégrant Val d'Isère aux dépens de Méribel était privilégié» au Cojop. Il avait alors déjà menacé début juillet de retirer sa station si elle ne devait héberger que les paralympiques. «Si Méribel n'a pas les deux épreuves, ce qui ne correspond pas à la Charte olympique, nous retirons notre candidature», a-t-il réaffirmé jeudi à l'AFP, tout en précisant que la station «confirmait sa disponibilité» pour le ski alpin dames et paralympiques. Publicité Une pluie de critiques La date de publication de la liste officielle des sites retenus pour accueillir les épreuves d'Alpes 2030 n'est pas encore connue. M. Monin éreinte au passage dans un communiqué le Cojop. «La charte olympique bafouée, les engagements pris initialement lors de la candidature reniés, les paralympiques discriminés, d'importants surcoûts financiers de plusieurs dizaines de millions d'euros, une empreinte (carbone) considérablement accrue, telles sont les conséquences envisagées par le Cojop», accuse-t-il. M. Monin rappelle que, «depuis 1992, les deux épreuves sont associées sur un même site» et estime que la charte olympique préconise «une approche intégrée et inclusive» entre olympiques et paralympiques en ne dissociant pas les lieux. Dans le projet présenté en 2024 par la France au CIO, les épreuves de ski alpin étaient concentrées sur le site de Courchevel-Méribel, deux stations collées l'une à l'autre, avec Méribel pour les femmes et les athlètes paralympiques, et Courchevel pour les hommes.

En attendant la carte des sites, le COJOP Alpes 2030 grossit avec l'arrivée de quatre directeurs
En attendant la carte des sites, le COJOP Alpes 2030 grossit avec l'arrivée de quatre directeurs

L'Équipe

time16-07-2025

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En attendant la carte des sites, le COJOP Alpes 2030 grossit avec l'arrivée de quatre directeurs

Quatre directeurs rejoignent le COJOP Alpes 2030 en attendant le double rendez-vous du 21 juillet avec le conseil d'administration et l'assemblée générale, où une partie de la carte des sites devrait être révélée. Il a probablement été question de la carte des sites, de la vision des Jeux d'hiver 2030 et peut-être même du futur comité des athlètes lors du bureau exécutif des Alpes 2030, qui s'est tenu mercredi en début d'après-midi à l'hôtel de Cassini, siège de la délégation interministérielle aux Jeux. Mais le communiqué du COJOP ne mentionne que les quatre nouvelles recrues qui viennent compléter « une équipe expérimentée et paritaire de 9 directeurs mobilisés autour du directeur général Cyril Linette pour avancer, dès la rentrée, sur les principales priorités du projet », dixit Edgar Grospiron, patron du COJOP Alpes 2030, cité dans le communiqué. Parmi les nouveaux entrants, deux ex-Paris 2024, Anne Murac, responsable de six sites des Jeux parisiens, prend la direction des opérations tandis que Mathilde Meurisse, directrice déléguée des opérations sportives, arrive à la direction des sports. La directrice de cabinet de Fabrice Pannekoucke, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Blandine Vinagre-Rocca, est nommée directrice des affaires publiques. Quant à Elie Patrigeon, ancien directeur général du comité paralympique français et responsable du Club France pour les Jeux Paralympiques, il hérite de la direction héritage, impact et durabilité, succédant ainsi à Marie Barsacq, ministre des Sports et ancienne directrice impact et héritage de Paris 2024, la durabilité en plus. Trancher sur la présence de Val d'Isère La prochaine échéance est prévue lundi au siège du comité à Décines (Rhône), à proximité du Groupama Stadium, et elle est double puisqu'une assemblée générale se tiendra après le conseil d'administration. La carte des sites olympiques tant attendue ne sera pas révélée en intégralité, à trois jours du premier anniversaire de l'attribution des Jeux, le 24 juillet, par le CIO lors de sa session parisienne. L'idée est de présenter un « schéma préférentiel des sites », souligne une source proche du dossier. Et en particulier de trancher sur la présence de Val d'Isère qui devrait se traduire par l'éviction de Méribel, jusque-là associée à sa voisine Courchevel pour les épreuves de ski alpin. Thierry Monin, maire de la station de Méribel, a écrit plusieurs courriers au COJOP pour s'étonner de l'avoir appris par Michel Barnier, ancien Premier ministre missionné par le CIO et le Gouvernement pour faciliter les premiers mois du COJOP, et protester contre cette « aberration ». Des réunions sont encore prévues dans les jours qui viennent et le champion olympique 1992 des bosses devrait se rendre dans la station de Tarentaise, laquelle s'est vue proposer d'accueillir toutes les épreuves paralympiques. Le regroupement de ces dernières dans une seule station, au lieu de quatre clusters, ou plutôt trois après l'abandon du Briançonnais pour les athlètes paralympiques, permettrait d'économiser des dizaines de millions. Turin ou Heerenveen pour l'anneau de vitesse ? Reste aussi à trancher sur la localisation à l'étranger de l'anneau de vitesse en arbitrant entre les deux options sur la table, Turin en Italie et Heerenveen aux Pays-Bas. La carte des sites définitive ne devrait être connue qu'en octobre puisque le budget, auquel elle est irrémédiablement liée, ne sera connu qu'à ce moment-là. L'idée est toujours d'atteindre le budget idéal de 2 Mds € pour le comité d'organisation alors que les dernières prévisions s'établissent encore à 2,2 Mds €. Edgar Grospiron est aussi attendu lundi prochain sur sa vision des Jeux, alors qu'il a écrit dès le début du mois de juin dans un post sur LinkedIn qu'il avait déjà en tête « une vision très claire de ce que seront ces Jeux et de ce qu'ils peuvent accomplir ». Une philosophie en quelque sorte, guettée par les partenaires encore hésitant à rejoindre l'aventure, et qui pourrait aussi dévoiler les premières pistes pour les sports additionnels, au nombre de quatre selon les annonces d'Edgar Grospiron. Le président voudra-t-il « casser les codes » façon Tony Estanguet avec le breaking à Paris 2024, en s'affranchissant de la neige et de la glace pour choisir le cyclo-cross dont on parle beaucoup, ou le trail dont on parle moins ? À suivre.

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