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Le youtubeur Inoxtag ovationné à son arrivée en Martinique après 11 jours de traversée de l'Atlantique
Le youtubeur Inoxtag ovationné à son arrivée en Martinique après 11 jours de traversée de l'Atlantique

Le Parisien

time2 days ago

  • Entertainment
  • Le Parisien

Le youtubeur Inoxtag ovationné à son arrivée en Martinique après 11 jours de traversée de l'Atlantique

Il fait déjà nuit lorsque Inoxtag foule la marina du Marin, en Martinique. Le youtubeur de 22 ans, aux neuf millions d'abonnés, touche terre pour la première fois, ce dimanche soir, depuis onze jours : après son ascension de l'Everest en 2024, Inoxtag vient d'accomplir un nouvel exploit sportif. Celui de traverser l'Atlantique sur un trimaran , en compagnie du navigateur breton Guirec Soudée. Inès Benazzouz, de son vrai nom, a été accueilli et ovationné par plus d'un millier de fans, qui l'attendait depuis la fin d'après-midi. Une foule impatiente de célébrer avec le vidéaste cette traversée de l'Atlantique sans moteur, entamée le 9 juillet à Lorient. Fatigué mais souriant, le duo aura mis 11 jours pour relier la Bretagne aux Antilles, à bord de l'Ultim MACSF, un trimaran de 31 m de long et 21 m de large. Une performance qui s'inscrit en dehors des records de vitesse, pour le simple goût du défi et du dépassement de soi. À son arrivée, Inoxtag a brandi le drapeau de la Martinique et remercié ses soutiens pour leur fidélité. Face aux journalistes, il a rendu hommage à son partenaire d'aventure, Guirec Soudée : « C'est lui qui m'a tout appris de la voile », a-t-il déclaré. Interrogé sur cette expérience, le Youtubeur a confié que cette traversée était « un autre type de défi que celui de l'ascension de l'Everest », soulignant l'isolement en mer et l'intensité de l'apprentissage. Inoxtag a filmé toute l'aventure, avec l'intention de sortir un documentaire sur cette expérience hors du commun en septembre prochain, sur sa chaîne YouTube. C'est ce qu'il avait fait avec Kaizen , sa vidéo-documentaire sur l'Everest, qui a dépassé 44 millions de vues. Inoxtag devrait repartir dès ce lundi 21 juillet. Guirec Soudée, lui, va reprendre la mer, rapporte franceinfo . Il doit se préparer pour son prochain grand défi : un tour du monde à la voile à l'envers, contre vents et courants dominants.

Inoxtag a bouclé sa traversée de l'Atlantique à la voile en onze jours
Inoxtag a bouclé sa traversée de l'Atlantique à la voile en onze jours

L'Équipe

time2 days ago

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  • L'Équipe

Inoxtag a bouclé sa traversée de l'Atlantique à la voile en onze jours

Un peu plus d'un an après avoir gravi l'Everest, Inoxtag a réussi dimanche son nouveau défi en terminant sa traversée de l'Atlantique à la voile. Le créateur de contenu a rallié la Martinique avec le skippeur Guirec Soudée après onze jours en mer. Nouveau défi réussi pour Inoxtag. Un peu plus d'un an après son ascension de l'Everest au côté du guide Mathis Dumas, il a complété dimanche soir sa traversée de l'Atlantique à la voile en ralliant le port du Marin en Martinique. Parti de Lorient le 9 juillet dernier, il aura mis onze jours pour traverser l'océan avec le skippeur Guirec Soudée, qui l'a accueilli à bord de son trimaran Ultim MACSF. Accueilli en fanfare par de nombreux fans venus le voir au port, Inoxtag - de son vrai nom Inès Benazzouz - devrait rester en Martinique jusqu'à ce lundi. Comme lors de son ascension de l'Everest, il a filmé l'entièreté de son aventure et devrait proposer un documentaire de sa traversée de l'Atlantique. Comme expliqué dans sa story sur Instagram, la vidéo devrait être disponible en septembre sur sa chaîne YouTube.

Le surtourisme, évoqué « à tort et à travers », peut cacher du « mépris de classe »
Le surtourisme, évoqué « à tort et à travers », peut cacher du « mépris de classe »

Le HuffPost France

time3 days ago

  • Business
  • Le HuffPost France

Le surtourisme, évoqué « à tort et à travers », peut cacher du « mépris de classe »

TOURISME - Vacanciers « entassés » sur la côte espagnole, « embouteillage » au sommet de l'Everest et foule de touristes dans les rues du Mont-Saint-Michel : les cas de « surtourisme » épinglés dans les médias ou sur les réseaux sociaux ne manquent pas. La surfréquentation touristique est fréquemment dénoncée pour son impact sur l'environnement, sur les populations locales, mais aussi sur la qualité du séjour. Mais le terme « surtourisme » est-il toujours employé à bon escient ? Non, estime Rémy Knafou, géographe spécialiste du tourisme interrogé par Le HuffPost. Auteur d'une note pour la Fondation Jean-Jaurès sur la « surmédiatisation du surtourisme », il ne nie pas l'impact indéniable de la surfréquentation sur certains espaces, notamment quand l'affluence empêche leur préservation ou quand l'acceptabilité du tourisme par les locaux est remise en question, par exemple dans des villes comme Barcelone ou Amsterdam. Pour autant, le professeur émérite à l'université Paris-I (Panthéon-Sorbonne) souligne l'usage peu scrupuleux qui est parfois fait du terme « surtourisme », pointant même une forme de mépris de classe et une instrumentalisation à des fins économiques. Rémy Knafou : Le surtourisme peut avoir des effets négatifs quand il est caractérisé, mais le terme est souvent utilisé à tort et à travers. À l'origine, c'est un article scientifique de 2008 qui a parlé d' « overtourism », mais le mot est resté dans l'ombre jusqu'à sa diffusion en 2016 par Skift, une plateforme américaine sur le voyage. Depuis, il est très médiatisé, avec parfois beaucoup d'exagération dans l'usage qui en est fait. Premièrement parce qu'il est difficile de quantifier l'excès de tourisme et de savoir précisément à partir de quel seuil il y a trop de monde. Ensuite parce qu'il faut se poser la question du type de lieu. Une station touristique créée par et pour le tourisme est par définition faite pour être remplie à 100 %, et c'est ce type de structure qui accueille le plus de visiteurs. En Méditerranée ou en Floride, par exemple, l'urbanisation de la côte avec de grandes tours a été pensée pour répondre aux besoins de vacances. Parler de surtourisme pour ces lieux très fréquentés n'a pas de sens, quel que soit le jugement de valeur qu'on porte sur eux. Ces aménagements touristiques peuvent avoir un impact environnemental très fort, mais le concept de surtourisme n'est pas le plus adapté pour les décrire. Dans la littérature scientifique, on retrouve trois critères permettant de caractériser les situations où le nombre de touristes est jugé excessif. On peut parler de surtourisme quand la préservation du lieu d'accueil en lui-même est mise en danger, lorsque l'affluence nuit à la qualité de la visite ou encore quand l'acceptabilité du tourisme par les populations locales est remise en cause. Je crois de moins en moins au second critère et je considère le dernier comme l'enjeu vraiment crucial, on le voit bien dans des villes très attractives comme Barcelone. Vous évoquez un « jugement de valeur » porté sur certains lieux touristiques. Que voulez-vous dire ? La dénonciation complaisante du surtourisme par un certain nombre d'acteurs touristiques s'inscrit dans un registre du mépris de classe. On pointe du doigt les vacances populaires, souvent à la mer, avec des gens qui « s'entassent » dans des lieux qui sont en réalité pensés pour les accueillir. Il y a encore 40 ans, des chercheurs s'étonnaient même que des touristes quittent la densité de la ville pour aller dans d'autres lieux urbains ultra-fréquentés. Pourtant, ça a toujours été le mouvement dominant, avec des lieux touristiques urbains pensés par et pour des urbains. Je ne dis pas que les touristes qui cherchent des lieux dans la nature ou isolés n'existent pas, mais la majorité ne fait pas ce choix, et pour cause : elle cherche des lieux avec une bonne capacité d'accueil et des prix compétitifs. La plupart des touristes sont même à la recherche de densité sociale et de lieux où ils sont sûrs de rencontrer d'autres personnes pas toujours issues de la population locale. Vous expliquez aussi que le discours sur les excès du tourisme peut servir des intérêts commerciaux. Comment ? Certains acteurs touristiques s'appuient sur l'écho médiatique du surtourisme et déploient des trésors de marketing pour toucher des clientèles à hauts revenus en leur vendant une offre qui se détache du gros de la troupe. Ces voyages coûteux « hors des sentiers battus » tendent à promouvoir des destinations de plus en plus éloignées avec des conséquences sur l'environnement mondial. Il peut aussi y avoir un étalement des flux touristiques dans l'espace pour trouver de nouveaux endroits moins fréquentés. Si on parle de la France, déjà équipée en routes, en voies ferrées et en infrastructures, cet étalement peut se faire sans dommage excessif apporté à la biodiversité. Mais si on parle d'espaces moins aménagés, où il faut construire des hébergements, des routes et des aérodromes, les conséquences sont plus lourdes. La crainte du surtourisme alimente-t-elle une touristophobie chez les vacanciers eux-mêmes ? La tourismophobie est vieille comme le tourisme. Dès le début du XIXe siècle, certains touristes en montraient déjà des signes : on a des témoignages où ils se plaignent que leurs congénères soient trop nombreux. Il a notamment un texte de Victor Hugo daté de 1843 et que j'aime beaucoup où il disait déjà que Biarritz évoluait mal à cause du nombre excessif de touristes, avertissant que bientôt Biarritz ne serait plus Biarritz. Évidemment, la fréquentation touristique sur place a continué d'augmenter et ceux qui viennent aujourd'hui n'ont aucune idée de ce qu'était la ville telle que Victor Hugo l'a connue. Plus généralement, la nostalgie du « c'était mieux avant » ne concerne qu'une minorité de personnes qui ont l'histoire longue du lieu touristique en tête et vivent la hausse de la fréquentation comme une forme de surtourisme. Ce discours est souvent celui d'une classe privilégiée et d'une partie dominante de la population qui ne tolère pas l'évolution contemporaine des lieux touristiques et a du mal à accepter de les partager avec d'autres, plus nombreux et issus de catégories sociales plus populaires.

Constance Schaerer, la plus jeune Française à avoir gravi l'Everest à la Gloire de son père
Constance Schaerer, la plus jeune Française à avoir gravi l'Everest à la Gloire de son père

Le Figaro

time11-07-2025

  • Politics
  • Le Figaro

Constance Schaerer, la plus jeune Française à avoir gravi l'Everest à la Gloire de son père

Réservé aux abonnés PORTRAIT - D'ascension en ascension, l'alpiniste de 26 ans disperse les cendres de son père et fait vivre sa mémoire, tout en œuvrant pour les enfants endeuillés. Après avoir atteint le toit du monde le 19 mai dernier, c'est sur celui du Figaro que nous rencontrons Constance Schaerer quelques jours après son exploit. À 26 ans, l'alpiniste est devenue la plus jeune Française à avoir gravi les 8 849 mètres de l'Everest. Ni le froid mordant, ni les crevasses, ni le redouté ice fall, ce dédale infernal et mouvant, formé de gigantesques blocs de glace qui peuvent s'écrouler à tout moment, n'auront eu raison de sa détermination pour atteindre ce record. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, elle apparaît, le jour J, le visage rougi par - 40 degrés, les traits figés par les rafales de vent. Une main tendue vers le vide, la moufle ôtée, elle y disperse une poignée des cendres de son père. Décédé lorsqu'elle n'avait que 9 ans d'un cancer du pancréas, Marc Schaerer, 43 ans pour toujours, repose désormais sur le plus haut sommet de la Terre, conformément à ses dernières volontés qu'il a pris soin de consigner dans une lettre. Sa fille découvrira la…

« Moins de 7 jours » : après l'Everest, Inoxtag s'attaque à la traversée de l'Atlantique à la voile
« Moins de 7 jours » : après l'Everest, Inoxtag s'attaque à la traversée de l'Atlantique à la voile

L'Équipe

time09-07-2025

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« Moins de 7 jours » : après l'Everest, Inoxtag s'attaque à la traversée de l'Atlantique à la voile

Après avoir gravi le mont Everest, le créateur de contenu Inoxtag s'est lancé ce mercredi dans un nouveau défi : traverser l'Atlantique « sans moteur ». Il le fera à bord d'un trimaran avec le skipper Guirec Soudée, 23e du dernier Vendée Globe. Nouveau défi pour Inoxtag. Un peu plus d'un an après avoir gravi le mont Everest (8 848 m) avec le guide Mathis Dumas, aventure qu'il a mise en images dans le documentaire « Kaizen », le créateur de contenu s'est engagé ce mercredi dans la traversée de l'Atlantique à la voile. « On va essayer de le faire en sept jours, mais sinon on prendra le temps qu'il faut », a-t-il confié dans une vidéo de Ouest-France, précisant qu'il ralentirait sûrement pour pouvoir documenter le trajet. Pour réaliser cette traversée entre Lorient - où il a embarqué - et la Martinique - son point d'arrivée, Inoxtag est accompagné du skipper Guirec Soudée. Le 23e du dernier Vendée Globe, connu notamment pour avoir fait le tour du monde à la voile avec sa poule Monique et pour sa traversée de l'Atlantique à la rame dans les deux sens, l'accueille sur Ultim MACSF, un trimaran de 31 mètres de long et 21 de large. Après cette traversée, le skipper s'engagera dans un tour du monde en solitaire à l'envers, contre les vents et les courants dominants.

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