logo
#

Dernières actualités avec #FestivaldeCannes

«C'était un capharnaüm !» : EnjoyPhoenix révèle avoir été cambriolée
«C'était un capharnaüm !» : EnjoyPhoenix révèle avoir été cambriolée

Le Figaro

time12 hours ago

  • Entertainment
  • Le Figaro

«C'était un capharnaüm !» : EnjoyPhoenix révèle avoir été cambriolée

Dans son podcast hebdomadaire «Heure Miroir», Marie Lopez, de son vrai nom, a raconté en détail le cambriolage dont elle a été victime lors du dernier Festival de Cannes. Une belle soirée qui a tourné au cauchemar pour EnjoyPhoenix . Ce mardi 19 août, Marie Lopez, de son vrai nom, est revenue en détail sur le cambriolage traumatisant dont elle a été victime en mai dernier, lors du Festival de Cannes. La participante à la saison 6 de «Danse avec les stars» a partagé cette mauvaise expérience dans son podcast hebdomadaire «Heure Miroir» disponible sur Spotify. «Il faut que je vous avoue quelque chose que je vous ai caché ces derniers mois parce que je ne savais pas trop comment aborder le sujet. C'est une chose à laquelle on n'est pas préparé. On va parler de cambriolage. Ne vous inquiétez pas, ce qu'il faut surtout savoir c'est que tout va bien, personne n'a été blessé. On a seulement des séquelles psychologiques», a rassuré la jeune femme en début de podcast. Publicité «Un soir, nous sommes partis à une soirée. C'était très cool pour une fois. Tout était bien. C'était le moment pour nous de décompresser du stress de la semaine passée, avec la montée des marches et le contenu à faire sur place. Quelques minutes après notre arrivée à la soirée, mon agent a reçu un appel sur son téléphone. Je l'ai vue devenir livide et lui ai demandé ce qu'il se passait. Elle m'a répondu que l'alarme de la villa s'était déclenchée. Pour moi, c'était une erreur, ça ne pouvait pas être possible. Puis elle m'a expliqué que la police était déjà sur place. Nous avons dû écourter la soirée et rentrer à la villa pour parler avec les policiers, et faire la déclaration de ce qui a été volé, car quelqu'un est bien entré dans la maison. Tout le groupe a commencé à avoir peur en imaginant quelqu'un violer notre intimité et ne sachant pas ce qui avait été volé», a détaillé la Youtubeuse. Un incident surréaliste pour la créatrice de contenu qui a raconté : «Nous sommes arrivés dans la villa. On a relevé notre ADN, j'avais l'impression d'être dans NCIS. On nous a fait constater dans nos chambres ce qui avait été volé et ce qui aurait pu être touché par le ou les cambrioleurs. Je suis arrivée dans la chambre et c'était un capharnaüm. J'ai compris à ce moment-là qu'on m'avait volé beaucoup plus de choses que ce que je pensais. Tout a été retourné sens dessus dessous. Nos valises étaient éventrées, nos tables de nuit ouvertes, nous nous sommes rendu compte que tout avait été fouillé». À lire aussi EnjoyPhoenix : des troubles du comportement alimentaire à cause de Danse avec les stars Un vol de biens matériels mais surtout une violation de son intimité, c'est ce qui a particulièrement marqué la jeune femme de 30 ans. «C'était assez impressionnant de voir ça parce que je ne m'y attendais pas. Ils ont pris mon sac neuf et tous mes bijoux personnels qui étaient des cadeaux de ma famille. Là, le ciel m'est tombé sur la tête. J'ai réalisé que le plus important n'était pas la valeur matérielle mais émotionnelle. On ne m'a pas seulement volé de l'argent, mais des souvenirs. Je me suis effondrée. J'ai compris en quoi le cambriolage est traumatisant. Ça m'a fait un électrochoc», a-t-elle témoigné, encore sidérée, trois mois après les faits. Une expérience traumatisante certes mais qui aura eu le mérite de faire prendre conscience Marie Lopez. «J'ai réalisé que je ne me méfiais pas assez. J'ai tendance à penser que les gens sont bienveillants. Je dois faire plus attention. Je tenais à témoigner dans cet épisode parce que je ne suis toujours pas passée à autre chose. C'est un podcast exutoire et où je viens chercher des conseils. J'espère que ça ne m'arrivera plus jamais. Je ne souhaite ça à personne», a conclu EnjoyPhoenix.

Angelina Jolie : «Les pires moments de ma vie sont liés à la célébrité »
Angelina Jolie : «Les pires moments de ma vie sont liés à la célébrité »

Le Figaro

time5 days ago

  • Entertainment
  • Le Figaro

Angelina Jolie : «Les pires moments de ma vie sont liés à la célébrité »

INTERVIEW - Au dernier Festival de Cannes, elle était la marraine du prestigieux Trophée Chopard. L'occasion d'une rencontre exclusive avec une héroïne pas comme les autres. Cannes, 17 mai 2025. Le festival de cinéma est sur les rails et, la veille, Angelina Jolie a remis le prestigieux Trophée Chopard à deux gloires montantes, la Française Marie Colomb et l'Anglais Finn Bennett. La superstar américaine n'est pas exactement au comble de l'aise quand des milliers d'yeux la dévisagent, mais s'acquitte de sa mission avec l'enthousiasme et le professionnalisme afférents à son statut. On la retrouve au septième étage du Martinez, dans les élégants salons de Chopard, la prestigieuse maison de luxe suisse joaillière et horlogère, partenaire fidèle du Festival de Cannes et soutien sans faille du cinéma en général. Elle porte un ensemble crème passe-muraille («Je ne suis pas à la mode», s'amuse-t-elle), et écoute très attentivement les questions qui lui sont posées. Ce qui frappe chez Angelina Jolie, ce sont ses gestes lents, son regard bienveillant qui vous fixe, sa voix douce, son élocution extrêmement posée. Le visage de la dignité. Il y a de la gravité chez elle, une vibration douloureuse perceptible, une particularité totalement atypique dans le star-système – a fortiori hollywoodien – où n'importe quel débutant prend des airs invulnérables et conquérants. Mais le star-système n'est plus, et n'a sans doute jamais été, sa priorité. Il y a longtemps que le cinéma ne suffit plus à remplir la vie d'Angelina Jolie, superstar, réalisatrice, qui consacre l'essentiel de son temps à ses activités de militante des droits de l'homme, personnalité hors norme qui semble avoir choisi le sacerdoce humanitaire qui la conduit inlassablement sur des zones de guerre. Publicité Elle se dit «humaniste, mais internationaliste surtout.» Citoyenne du monde, à l'évidence. Angelina Jolie intrigue, fascine, déroute peut-être, mais nul ne peut remettre en cause la sincérité et la constance de ses engagements, femme de terrain qui inspecte les camps de réfugiés, prend la parole à Davos ou interpelle les institutions internationales. Elle est une activiste éminente, qui valorise l'économie locale, mais surtout encourage l'autonomie des femmes des régions défavorisées : ainsi, des ruches ont été installées au Cambodge, son pays de cœur, où elle réside en partie, siège de sa fondation, la Maddox Foundation, qui travaille par ailleurs à la préservation de l'environnement et à l'amélioration des conditions de vie des communautés rurales. Au cinéma, elle tourne peu et semble s'orienter vers des projets singuliers. Après Maria, du très auteuriste Pablo Larraín, elle s'aventure dans un film français d'Alice Winocour, Coutures (sortie le 15 octobre). Elle y joue une réalisatrice de cinéma plongée dans le milieu de la mode à l'occasion d'un tournage publicitaire à Paris, dont les fondamentaux de vie vont être revus lorsqu'un épisode dramatique survient. Elle y croise Ella Rumpf, maquilleuse qui se rêve romancière, et Louis Garrel, son assistant et amant d'un soir. Madame Figaro. – Qu'est-ce qui vous a convaincue d'accepter d'être la marraine du Trophée Chopard, qui célèbre chaque année un acteur et une actrice au talent prometteur ? Angelina Jolie. – J'aime l'idée d'un tel dispositif, d'un programme qui vise à encourager, soutenir et accompagner les jeunes. C'est une des belles facettes du Festival de Cannes, et je suis très heureuse d'en être partie prenante cette année. Je me suis entretenue avec les deux lauréats, ils m'ont semblé brillants et déjà entièrement dédiés à leur art. Ils sont équilibrés, ancrés, très conscients de tous les aspects du métier. Par ailleurs, je suis également metteuse en scène : il est très intéressant pour moi de découvrir avec Chopard qui est la nouvelle garde du cinéma, autrement dit les acteurs de demain. Êtes-vous un modèle pour les jeunes comédiens ? C'est difficile pour moi de répondre à cette question. Quand j'avais leur âge, il n'était même pas question pour moi d'imaginer qu'un jour je pourrais être inspirante pour qui que ce soit. Si je le suis, peut-être, aujourd'hui, ce pas seulement pour ce que j'ai fait de bien, mais aussi pour mes erreurs… Vos erreurs ? Pas vraiment des erreurs, disons la vie et les fluctuations de la vie. Ce qui est positif, c'est que je suis heureuse de pouvoir mener une vie d'artiste. Pourtant, je n'ai jamais tout pris pour argent comptant, plus exactement la vie publique, la célébrité. Je suis une personne extrêmement privée. Et lorsqu'il m'arrive de fouler un tapis rouge avec mes enfants, l'idée est vraiment de s'amuser tous ensemble. L'art doit être une source de joie. «Il est très intéressant pour moi de découvrir avec Chopard qui est la nouvelle garde du cinéma, autrement dit les acteurs de demain», Angelina Jolie. Luc Braquet Comment faire le distinguo entre vie publique et vie privée quand tout est particulièrement brouillé aujourd'hui ? Comme je n'ai aucun goût pour la célébrité, il m'est très facile de séparer les territoires. Les pires moments de mon parcours, les moments les plus sombres, ce sont lorsque la célébrité et ses excès sont entrés dans ma vie. Rien n'est moins naturel. Ce que j'aime, c'est l'art, l'engagement, les films, les échanges. C'est très excitant d'être portée par un projet artistique et de le partager avec une équipe, quand tout le monde regarde dans la même direction. Mais tout ce qui relève de la célébrité est non seulement sans intérêt, mais surtout très encombrant. Publicité Comment concilier tous ces états contradictoires ? J'essaie comme je peux. Je viens d'une autre génération, une génération où vous pouviez faire un film, disparaître un an et revenir. Dans l'intervalle, il vous était à peu près permis de vivre votre vie comme une personne privée. Aujourd'hui, ce n'est plus vraiment la tendance de disparaître sans donner de nouvelles. Tout est imbriqué et l'air du temps – les réseaux sociaux – vous enjoint de commenter n'importe quelle activité de votre agenda. Si je débutais aujourd'hui, je ne pourrais pas m'adapter. On me trouverait trop «privée», et je serais requalifiée de «non bankable.» Je suis sans doute trop irrégulière pour les réseaux sociaux et pas du tout à l'aise avec la communication continue. Quelle femme étiez-vous à l'âge des lauréats du Trophée Chopard ? J'étais déjà mère de famille. J'avais adopté mon fils Maddox et j'effectuais des missions aux Nations unies. J'avais déjà commencé la transition vers une autre vie. Quel conseil donner à un jeune acteur ou une jeune actrice ? Mettre l'art au centre de ses préoccupations. Ne pas être timide et intégrer la communauté des artistes. Échanger. Partager. L'art doit être une source de joie Angelina Jolie À 20 ans, quelles actrices vous inspiraient ? Bizarrement, mes modèles étaient des hommes. Alan Bates, Marlon Brando, des acteurs. Bien sûr, j'aimais Meryl Streep, comme tout le monde, mais je n'étais pas une cinéphile à cette époque, non. Peut-être parce que mon père était acteur (Jon Voight, 86 ans, Oscar du meilleur acteur en 1979 pour Retour, de Hal Ashby, NDLR) ? Il y avait déjà trop de films dans ma vie… Je voyais bien que tout cela n'était pas réel. Ce qui m'intéressait chez les acteurs, ce n'était pas leurs personnages mais leurs personnalités… Je n'ai pas beaucoup changé d'avis : aux gens connus, je préfère les artistes singuliers. Angelina Jolie a 50 ans : sa vie privée en 40 photos En images Voir les 37 photos Voir les 37 photos Vous avez grandi dans le sérail hollywoodien… Oui, c'est une chose probablement un peu étrange. Ma marraine est Jacqueline Bisset et mon parrain Maximilian Schell. Mais j'ai surtout beaucoup appris de ma mère (Marcheline Bertrand, morte à 56 ans, en 2007, NDLR). Ma mère avait été actrice, elle n'était pas célèbre, mais elle avait étudié le théâtre et continuait de l'aimer : c'est avec elle que j'ai découvert mes premières pièces. Publicité Votre mère a stoppé sa carrière quand elle s'est mariée… Elle était heureuse comme ça, je crois. Comme je vous l'ai dit, elle a continué à fréquenter des gens de théâtre. Ma fille Vivienne lui ressemble énormément – elle n'a pas connu sa grand-mère –, c'est troublant, et je reproduis avec elle ce que ma mère a fait pour moi : je lui fais découvrir des textes. Je l'ai emmenée voir une pièce de Tennessee Williams, qui était un grand ami de ma mère, ce qui a épaté Vivienne. Quand mon père jouait Un tramway nommé désir, elle assistait à toutes les représentations, enceinte, très incommodée, et chaque soir Tennessee était assis à ses côtés pour veiller sur elle. Un grand artiste… Votre mère parlait français… Elle était canadienne et française. C'est peut-être ce qui explique que j'ai un lien très particulier avec la France. Je viens de tourner Coutures, un film d'Alice Winocour, et j'ai quelques scènes en français… Vous verrez… Je n'ai jamais tout pris pour argent comptant : la vie publique comme la célébrité Angelina Jolie Depuis Maria , où vous jouez Maria Callas, votre carrière semble prendre un tour plus auteuriste… J'ai aimé tourner avec Pablo Larraín. Le scénario est brillant. Aujourd'hui, il me plaît de me mettre au service de grands artistes. J'ai vraiment envie de m'éloigner de ce que j'ai déjà fait. Et puis, il y a une chose très nouvelle pour moi dans ma façon de choisir les projets : comme les films occupent quelques mois d'une vie, je veux m'assurer d'intégrer une communauté généreuse, solidaire, créative, bienveillante. Je veux partager des expériences avec des gens bien. Juliette Binoche, Angelina Jolie, Robert De Niro… Notre portfolio exclusif du 78e Festival de Cannes En images Voir les 33 photos Voir les 33 photos Une dernière question. Le monde semble devenir de plus en plus fou. Pouvez-vous partager vos craintes et vos espoirs ? (Elle prend une respiration.) J'essaie de continuer d'apprendre et d'observer. Il est impératif de s'informer, de s'éduquer, afin de comprendre ce qui se passe dans le monde, l'état du monde. Il faut prendre garde aux jugements à l'emporte-pièce. En ce qui me concerne, je travaille avec des gens, je lis, j'assiste à des conférences. Mon souhait ? Que les intentions politiques soient suivies d'effets, qu'elles ne restent pas des annonces politiciennes. Hélas, on voit bien que la folie du pouvoir, du contrôle et du profit prend le pas sur ce qui devrait être un élan solidaire, le développement des nations les plus pauvres. On voit trop de territoires où les conflits et la misère sont source de profits pour certains. Je fonde beaucoup d'espoir sur les économies locales, qui permettent aux habitants d'acquérir une autonomie en se libérant du système dominant. Je sais que cela prend du temps, mais c'est un système vertueux que je suis de très près sur le terrain, au Cambodge par exemple, où ma fondation, conçue en 2003, se concentre sur la stabilité économique d'une communauté, mais aussi sur sa santé et la protection de son environnement. Je pense qu'il y a une piste à suivre : ce genre d'initiatives peut faire boule de neige et bénéficier à des communautés voisines, et ainsi de suite, en permettant aux locaux d'établir et de faire prospérer leurs propres réseaux. Coutures , d'Alice Winocour, avec Angelina Jolie, Louis Garrel, Ella Rumpf… Sortie le 15 octobre.

L'actrice de « Mektoub, My Love : Canto Due », Ophélie Bau, fait le point sur sa brouille avec Abdellatif Kechiche
L'actrice de « Mektoub, My Love : Canto Due », Ophélie Bau, fait le point sur sa brouille avec Abdellatif Kechiche

Le HuffPost France

time11-08-2025

  • Entertainment
  • Le HuffPost France

L'actrice de « Mektoub, My Love : Canto Due », Ophélie Bau, fait le point sur sa brouille avec Abdellatif Kechiche

CINÉMA - En Suisse, les cinéphiles ont pu découvrir Mektoub, My Love : Canto Due, le troisième volet de la trilogie du controversé Abdellatif Kechiche. La présence d'Ophélie Bau lors de la présentation du film a marqué les festivaliers et la presse, car sa relation avec le réalisateur reste houleuse. Elle en a profité pour faire le point. Pour comprendre cette brouille, il faut d'abord revenir six ans en arrière. Le conflit qui oppose Ophélie Bau et Abdellatif Kechiche remonte au Festival de Cannes 2019, époque à laquelle le cinéaste venait présenter Mektoub, My Love : Intermezzo. Dans ce film, une scène de sexe non simulée comprenant l'actrice et son compagnon Roméo de Lacour a provoqué un scandale et a enflammé la Croisette. Ophélie Bau, qui ne souhaitait pas que cette scène apparaisse dans le montage final, avait fini par s'éclipser après la montée des marches. La comédienne ne s'était pas non plus rendue à la conférence de presse le lendemain. À cela, s'ajoutait « l'escalade des ressentiments par réactions interposées », comme l'écrivait fin juillet Libération. Résultat : un cocktail explosif qui a provoqué une sérieuse mésentente entre le réalisateur et l'actrice, qui a toujours refusé de voir le film. Contrat respecté entre Abdellatif Kechiche et Ophélie Bau Mais cette année, pour la projection de Mektoub, My Love : Canto Due, Ophélie Bau est bien présente aux côtés de l'équipe du film. Dans un entretien pour le magazine culturel Trois Couleurs, elle explique sa décision : « la raison pour laquelle je me suis absentée à Cannes en 2019, c'est la même pour laquelle je viens aujourd'hui. Je me suis absentée parce que le montage final ne respectait pas le contrat qu'il y avait entre Kechiche et moi. Pour 'Canto Due', le montage final respecte le contrat. Sur cette base-là, il n'y avait pas de raison que je ne vienne pas ». Une autre raison, davantage liée à son métier, justifie sa venue. Ophélie Bau avait « envie d'accompagner (son) personnage ». « J'avais envie de l'accompagner pour la laisse filer à l'écran, et lui dire au revoir et merci », raconte-t-elle à Trois Couleurs. Ce n'est pas pour autant que la comédienne désire revenir sur la polémique autour d' Intermezzo. Elle préfère botter en touche et « laisser libre cours à l'imagination de chacun » sur ce qui s'est vraiment passé. Rebelote le 9 août, lors d'une session de questions-réponses à Locarno, en Suisse, comme vous pouvez le voir ci-dessous. Quand une personne dans la salle lui a demandé comment elle se sentait de soutenir le travail d'Abdellatif Kechiche, sa riposte n'a pas attendu. « Je vais éluder la question tout simplement parce que je ne suis pas ici pour parler de mon expérience sur le tournage », a-t-elle répondu. Avant de préciser : « Je suis là pour un film, celui qui a été projeté, celui avec lequel je suis d'accord aujourd'hui ». Un film qui n'a pas encore de date de sortie en France.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store