logo
#

Dernières actualités avec #Fifa

Coupe du monde 2026 : vers deux pauses fraîcheur par période ?
Coupe du monde 2026 : vers deux pauses fraîcheur par période ?

Le Figaro

time15-07-2025

  • Sport
  • Le Figaro

Coupe du monde 2026 : vers deux pauses fraîcheur par période ?

L'expérience de la Coupe du monde des clubs pourrait inciter la Fifa à multiplier le nombre de breaks durant les matches. La Coupe du monde des clubs aura permis à Chelsea d'ajouter une ligne à son palmarès en décrochant le titre dimanche soir à New York, mais elle aura aussi été une sorte de laboratoire géant pour la Fifa. Un an avant le Mondial 2026 organisé conjointement par les États-Unis, le Canada et le Mexique, l'instance dirigeante a pu tirer un certain nombre d'enseignements de cette compétition, notamment en ce qui concerne les conditions météorologiques. Alors que les joueurs ont souvent dû évoluer sous des températures élevées en raison d'horaires de match peu adaptés (à midi ou 15 heures) afin de pouvoir se jouer en soirée en Europe avec le décalage horaire, beaucoup ont souffert de cette chaleur parfois étouffante. Pour y remédier, la Fifa songerait à instaurer non pas une, mais deux pauses fraîcheur par période, ce qui signifie une tous les quarts d'heure de jeu. Une décision qui collerait bien avec la perception américaine du sport, très découpée avec de multiples temps morts pour les annonceurs. Une décision devrait être prise rapidement afin de tenir compte de l'absence de climatisation dans onze des 16 stades retenus.

Coupe du monde des clubs : avec un gain de près de 92 millions d'euros, le PSG n'a pas tout perdu
Coupe du monde des clubs : avec un gain de près de 92 millions d'euros, le PSG n'a pas tout perdu

Le Parisien

time14-07-2025

  • Sport
  • Le Parisien

Coupe du monde des clubs : avec un gain de près de 92 millions d'euros, le PSG n'a pas tout perdu

Pas de coupe dans les valises mais un joli chèque susceptible de panser, quelque peu, les bleus à l'âme des Parisiens. Avec près de 92 millions d'euros, le PSG a, certes raccourci ses vacances estivales mais a décroché le jackpot. Surclassé par Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs (3-0), les Parisiens auraient touché encore plus, probablement aux alentours de 100 millions d'euros (98 millions pour les Londoniens) s'ils avaient brandi ce dimanche le trophée. Pour convaincre de l'importance du nouveau format de cette compétition avec 32 équipes pendant un mois aux États-Unis, la Fifa a sorti une arme imparable, l'argent. Ainsi, le PSG et Chelsea ne sont pas les seuls à repartir les poches pleines. Tout le monde a eu droit à son pécule plus ou moins important. Selon The Athletic , la Fifa est venue à New York avec une enveloppe de près d'un milliard de dollars, soit l'équivalent de 856 millions d'euros. Chaque club a ainsi touché une somme calculée en fonction de deux critères : le premier concernant la participation et le second sur la performance réalisée. Ainsi, le PSG a perçu selon les estimations du média américain 26,8 millions d'euros pour sa simple participation au Mondial des clubs. À cette somme, se sont ajoutés les 64,7 millions liés à son brillant parcours jusqu'à la finale. Chelsea, lui, empoche 98 millions qui se répartissent de la sorte (25 millions de participation et 73 millions pour ses résultats environ). Sur le podium figure ensuite le Real Madrid, atomisé (0-4) par le PSG en demi-finale , qui est le club qui a touché la plus grosse somme de participation (31 millions d'euros) et 40 millions de performances, soit 71 millions en tout. Le premier club non européen est Fluminense, également demi-finaliste malheureux face à Chelsea (0-2). Certes quatrièmes, les Brésiliens n'ont touché que 51 millions dont seulement 13 de participation.

Coupe du monde des clubs : Trump, spectateur intéressé, applaudi et hué, à la finale entre le PSG et Chelsea
Coupe du monde des clubs : Trump, spectateur intéressé, applaudi et hué, à la finale entre le PSG et Chelsea

Le Figaro

time13-07-2025

  • Sport
  • Le Figaro

Coupe du monde des clubs : Trump, spectateur intéressé, applaudi et hué, à la finale entre le PSG et Chelsea

Le président des États-Unis a eu droit à un accueil... mitigé lors de la finale de la Coupe du monde des clubs, dimanche, au MetLife Stadium, dans le New Jersey. Entre applaudissements et huées, Donald Trump a assisté dimanche à la finale du Mondial des clubs près de New York, un échauffement à un an de la Coupe du monde aux États-Unis dont il entend tirer profit. Le président républicain espère faire du Mondial 2026, co-organisé avec le Canada et le Mexique, comme des Jeux olympiques de Los Angeles en 2028, une vitrine de son «âge d'or de l'Amérique». Son accueil lors de la finale entre le Paris-SG et Chelsea, par les 81.118 spectateurs de l'imposant MetLife Stadium, a été mitigé : applaudi à son arrivée, il a cependant reçu des huées lorsque son visage est apparu sur un écran géant du stade pendant l'hymne américain, aux côtés de son épouse Melania. Les caméras ont tout de suite changé de plan. Les sifflets les plus nourris sont survenus après la rencontre, quand il est monté sur le podium pour remettre aux joueurs médailles et trophées. À lire aussi Les notes de Chelsea-PSG : Dembélé et les Parisiens n'ont pas existé, Palmer étincelant, Sanchez écœurant Publicité Si le «soccer» n'est toujours pas au premier plan aux États-Unis, Donald Trump bénéficie d'un atout de poids dans ce domaine : une relation très privilégiée avec Gianni Infantino, le patron de la puissante Fédération internationale de football (Fifa). L'Italo-suisse, assis à côté de Donald Trump dans les tribunes dimanche, affiche sans retenue sa proximité avec le président américain. Depuis un précédent passage du patron de la Fifa en mars à la Maison Blanche, le républicain a gardé le trophée de la Coupe du monde des clubs dans son Bureau ovale. Samedi, Gianni Infantino a aussi donné une conférence de presse dans les nouveaux locaux de la Fifa à New York... installés dans la Trump tower, l'immeuble du magnat de l'immobilier devenu président. Influence Interrogé pour savoir si Donald Trump aimait le foot, le patron de la Fifa a suggéré que oui, notamment en raison de son fils Barron, 19 ans. «Il m'a expliqué que son fils adorait le football», a déclaré Gianni Infantino. «Et bien sûr, quand vous êtes parents, vous adorez ce que vos enfants adorent, donc je pense qu'il aime» le foot, a-t-il ajouté. On rapporte même que, lycéen, Donald Trump a lui-même joué au foot pendant un an. Même si ce sport est, malgré sa croissance, bien moins populaire dans le pays que football américain, baseball ou basket, le milliardaire y voit une opportunité pour étendre son pouvoir et son influence. Donald Trump rappelle volontiers que les États-Unis ont remporté, avec le Canada et le Mexique, l'accueil du Mondial 2026, lors de son premier mandat en 2018. Et la première édition du Mondial des clubs à 32 équipes qui s'achève dimanche a été très réussie selon la Fifa, Gianni Infantino ajoutant même, reprenant une expression favorite de Donald Trump: «l'âge d'or du football de clubs a commencé». Mais, entre l'accusation de surcharge du calendrier des joueurs et des affluences parfois très modestes, les doutes sur la crédibilité de cette épreuve sont loin d'être levés. Accueil Et le football n'échappe pas à la politique. En accueillant les footballeurs de la Juventus de Turin dans le Bureau ovale en juin, Donald Trump s'était lancé dans une diatribe contre les personnes transgenres dans le sport, l'un de ses sujets de prédilection, prenant même à partie les joueurs en leur demandant: «Une femme pourrait-elle intégrer votre équipe, les gars?». Publicité Sa politique particulièrement agressive sur l'immigration s'est aussi invitée dans la sphère sportive, car elle pose la question de la venue de spectateurs étrangers pour le Mondial 2026. En mai, son vice-président JD Vance a déclaré qu'ils seraient «les bienvenus» aux États-Unis, «mais quand ce sera terminé, il faudra qu'ils rentrent chez eux.» Depuis, l'administration Trump a réinstauré une interdiction d'entrée aux États-Unis pour les ressortissants de 12 pays, en majorité africains ou du Moyen-Orient. La Maison Blanche a assuré que les équipes participant à la Coupe du monde ne seraient pas touchées. Fin juin, l'équipe féminine de basket du Sénégal a dû renoncer à un stage d'entraînement aux États-Unis, en vue du tournoi de l'AfroBasket 2025, faute de visas. L'organisation du Mondial de football 2026 pose aussi la question des relations américaines avec les pays co-organisateurs, le Mexique et le Canada, depuis que Donald Trump s'est lancé dans une politique offensive de droits de douane vis-à-vis des deux pays.

Coupe du monde des clubs : un avant-goût du Mondial 2026 qui interroge
Coupe du monde des clubs : un avant-goût du Mondial 2026 qui interroge

Le Soir

time12-07-2025

  • Sport
  • Le Soir

Coupe du monde des clubs : un avant-goût du Mondial 2026 qui interroge

Malgré l'emphase de Gianni Infantino, le président de la Fédération internationale (Fifa), pour évoquer sa Coupe du monde des clubs, force est de constater que tous les observateurs ne partagent pas son exaltation. Le mois de football qui se termine au pays du soccer n'aura fait que susciter une série de questionnements liés à l'organisation du prochain Mondial des nations, en 2026. En résumé, si dans un an cela se passe comme durant ces quatre dernières semaines, une certaine inquiétude peut être de mise. Avec ce bémol : on ne peut pas réellement considérer la Coupe du monde des clubs comme une répétition générale du prochain Mondial qui, lui, se déroulera évidemment aux Etats-Unis, mais aussi au Canada et au Mexique.

Coupe du monde des clubs : «C'est déjà la compétition de clubs la plus réussie au monde», s'enflamme Gianni Infantino
Coupe du monde des clubs : «C'est déjà la compétition de clubs la plus réussie au monde», s'enflamme Gianni Infantino

Le Figaro

time12-07-2025

  • Sport
  • Le Figaro

Coupe du monde des clubs : «C'est déjà la compétition de clubs la plus réussie au monde», s'enflamme Gianni Infantino

Le président de la Fifa dresse le bilan de la Coupe du monde des clubs aux États-Unis à la veille de la finale entre le PSG et Chelsea, dimanche, au MetLife Stadium (New Jersey). Le président de la Fédération internationale de football, Gianni Infantino, a tiré un bilan très positif de la première édition du Mondial des clubs à 32 équipes, samedi, déclarant qu'il s'agissait de «la compétition de clubs la plus réussie au monde». «L'âge d'or du football de clubs a commencé. On peut dire avec certitude que cette Coupe du monde des clubs a été un énorme succès. (...) C'est déjà la compétition de clubs la plus réussie au monde», a affirmé le patron de la Fifa lors d'un point-presse à la Trump Tower, où l'instance a ouvert cette semaine un bureau, à la veille de la finale entre le PSG et Chelsea au MetLife Stadium d'East Rutherford (New Jersey). «Nous avons créé quelque chose de nouveau, quelque chose qui est là pour durer, quelque chose qui transforme le paysage du football de clubs», a-t-il poursuivi. Publicité Selon le dirigeant, le tournoi organisé aux États-Unis «a généré près de 2,1 milliards de dollars (1,79 milliard d'euros) de revenus pour 63 matches, ce qui fait une moyenne de 33 millions de dollars (28,22 millions d'euros) par match». «Aucune autre compétition de clubs au monde ne s'en approche», a-t-il ajouté en forme de tacle à la Ligue des champions de l'UEFA. L'instance européenne a tablé sur des recettes de 4,4 milliards d'euros pour ses quatre compétitions de clubs en 2024-2025 (Ligue des champions, Ligue Europa, Ligue Conférence, Supercoupe). La chaleur, «un véritable problème» Gianni Infantino a également répondu aux nombreuses critiques entourant l'épreuve. Concernant les affluences, parfois très faibles sur certaines rencontres, il a expliqué qu'il «préfér(ait) accueillir 35.000 personnes dans un stade de 80.000 places plutôt que 20.000 dans un stade de 20.000 places». «Nos chiffres battent des records», a-t-il lancé. Il a toutefois reconnu que la chaleur était «un véritable problème», surtout dans l'optique du Mondial 2026 qui aura lieu aux États-Unis, au Mexique et au Canada. La plupart des matches de la Coupe du monde des clubs se sont en effet déroulés sous des températures caniculaires, obligeant les organisateurs à instaurer une pause par période pour permettre aux joueurs de se rafraîchir. Ce phénomène de chaleur a été accentué par les horaires des rencontres, le plus souvent programmées à midi ou dans l'après-midi pour satisfaire les téléspectateurs européens. «Nous devons réfléchir à ce que nous pouvons améliorer: nous avons mis en place des pauses rafraîchissantes et arrosé les terrains. Nous avons des stades couverts, nous les utiliserons donc davantage en journée», a dit Infantino alors que seules cinq enceintes sur 16 prévues l'an prochain disposent d'un toit rétractable. Le président de la Fifa a aussi tenu à remercier le président américain Donald Trump et «son équipe» qui «ont été fantastiques». «Il assistera au match demain», a-t-il précisé.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store