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Guillaume Tabard : «Ces petits cailloux présidentiels semés par Macron pour l'après-2027»
Guillaume Tabard : «Ces petits cailloux présidentiels semés par Macron pour l'après-2027»

Le Figaro

time11 hours ago

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Guillaume Tabard : «Ces petits cailloux présidentiels semés par Macron pour l'après-2027»

Réservé aux abonnés CONTRE-POINT - Après Giscard, Sarkozy et Hollande, Emmanuel Macron éprouve par anticipation l'angoisse des anciens présidents qui, faute de perspectives grisantes, ne renoncent pas à retrouver la fonction suprême. Arrêtez de parler de 2027, vous m'empêchez de préparer 2032. Ainsi peut-on décrypter l'impromptu d'Emmanuel Macron au Cirque d'Hiver. Ironie de la situation : c'est au moment où les Jeunes avec Macron décident d'abandonner leur patronyme originel que le chef de l'État est venu prévenir qu'il ne suffisait pas de l'encenser pour le passé mais qu'il faudra faire avec lui pour l'avenir. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard Le message s'adressait d'abord à Gabriel Attal, à qui il a volé la vedette. En promettant « un chemin nouveau » qu'il veut « proposer aux Français pour 2027 », le jeune premier ministre que Macron avait donné à la France voulait installer sa candidature à la prochaine présidentielle. À peine moins officielle que celle d'Édouard Philippe, tout aussi évidente que celle de Bruno Retailleau avec lequel il veut installer l'idée d'un affrontement idéologique autant qu'électoral. Le meeting des JAM devait servir de coup d'envoi au président de Renaissance ; le fondateur du parti a pris un malin plaisir…

Municipales 2026 à Courbevoie : Aurélie Taquillain bien entourée pour lancer sa campagne
Municipales 2026 à Courbevoie : Aurélie Taquillain bien entourée pour lancer sa campagne

Le Parisien

timea day ago

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Municipales 2026 à Courbevoie : Aurélie Taquillain bien entourée pour lancer sa campagne

« L'avenir de Courbevoie s'écrit avec Aurélie Taquillain. » Un véritable slogan de campagne pour un soutien de poids, celui de l'ancien Premier ministre Gabriel Attal (Renaissance), présent ce samedi après-midi dans le quartier de Bécon, où la conseillère régionale et élue d'opposition inaugurait son local de campagne pour les municipales de mars 2026. Et ce, deux semaines après avoir été décorée de l'ordre national du Mérite par un autre ancien Premier ministre, Édouard Philippe (Horizons). Si Aurélie Taquillain, élue de Courbevoie depuis quinze ans, assure que « les étiquettes politiques n'ont pas d'importance à l'échelle locale », elle engrange néanmoins des soutiens importants de figures du socle commun dans cette campagne à venir. Avec la présence également, ce samedi, de Prisca Thévenot et Constance Le Grip, autres parlementaires Renaissance des Hauts-de-Seine, ainsi que de Manuel Aeschlimann, maire (LR) de la ville voisine d'Asnières. « Nous travaillons ensemble sur des problématiques communes et je serai, dans les mois à venir à ses côtés pour la soutenir », assure Manuel Aeschlimann, soulignant les qualités de la candidate, « femme de parole ». « Ouvrir cette permanence dans ce quartier que je connais par cœur, à quelques pas de l'ancienne quincaillerie de mon papa, est évidemment très symbolique pour moi », souligne Aurélie Taquillain, qui promet de « dessiner le Courbevoie de demain ». « Ton engagement républicain et tes compétences en tant que présidente de la commission des finances de la région Ile-de-France feront la différence, avec une identité locale forte et une dynamique de rassemblement », insiste Gabriel Attal. Un lancement de campagne sur les thématiques de la sécurité et de l'aménagement urbain, sans jamais attaquer le maire sortant, Jacques Kossowski (LR), élu depuis 1995. Ce dernier n'a pas encore officiellement annoncé sa candidature. Mais le départ en Afrique du Sud de Jean Spiri , qu'il avait désigné en janvier 2024 comme successeur potentiel, ne lui laisse plus tellement d'autres options. À moins que les ténors de la droite des Hauts-de-Seine ne parviennent à mettre autour de la table le maire sortant et sa challengeuse que 44 ans séparent.

Emmanuel Macron s'invite aux 10 ans des Jeunes en Marche et adresse des mises en garde à son camp
Emmanuel Macron s'invite aux 10 ans des Jeunes en Marche et adresse des mises en garde à son camp

Le HuffPost France

timea day ago

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Emmanuel Macron s'invite aux 10 ans des Jeunes en Marche et adresse des mises en garde à son camp

POLITIQUE - Il a replongé dans l'arène politicienne. Emmanuel Macron a créé la surprise en s'invitant à la fête que Les Jeunes avec Macron ont organisée ce samedi 5 juillet pour fêter leur dixième anniversaire au Cirque d'hiver à Paris. Ironie de la journée, c'est à l'occasion de ce rassemblement que le mouvement qui avait précédé la création du mouvement En Marche (devenu La République en Marche puis Ensemble pour la République) a acté son changement de nom. Exit celui du président de la République, les adhérents ayant opté pour Les jeunes en marche. Dans une allocution d'une petite vingtaine de minutes, il a surtout appelé son camp à faire front dans une période où les dissensions gagnent jour après jour le socle commun. « Il faudra continuer d'être dans le dépassement et dans l'unité », a-t-il notamment déclaré. Comme une piqûre de rappel à ceux qui voudraient enterrer le macronisme pour réaffirmer le clivage gauche droite que son mouvement entendait dépasser. Avant cette pique que l'on sentait essentiellement adressée à la droite du fameux socle commun, il en avait envoyé une autre à destination de tous ceux qui veulent briguer sa succession en 2027. « Si on passe notre temps à parler de 2027, à ne rien faire, à être dans les calculs, à être dans les divisions, ce sera aucun d'entre nous dans deux ans », a-t-il déclaré. Gabriel Attal présent à quelques mètres s'est-il senti visé ? Quelques minutes plus tôt, l'ancien Premier ministre avait, en tout cas, pointé la présidentielle comme horizon. « Ce 5 juillet 2025, je veux vous proposer de poser les premiers jalons d'un chemin nouveau pour notre jeunesse et pour notre pays. (...) Ce sera votre élection et je fais devant vous le serment de tout faire pour vous conduire dans deux ans sur le chemin de la victoire », avait lancé le président du parti présidentiel comme s'il s'ajoutait à une liste sur laquelle figure déjà Édouard Philippe et que François Bayrou rêve toujours de rejoindre.

Dix ans des Jeunes avec Macron : le président offre une visite surprise à ses jeunes soutiens
Dix ans des Jeunes avec Macron : le président offre une visite surprise à ses jeunes soutiens

Le Figaro

timea day ago

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Dix ans des Jeunes avec Macron : le président offre une visite surprise à ses jeunes soutiens

Réservé aux abonnés INFO LE FIGARO - Après avoir laissé planer le doute sur sa venue ce samedi, le chef de l'État a finalement passé une tête au Cirque d'Hiver où ses jeunes soutiens organisaient un grand raout d'anniversaire au cours duquel ils sont devenus «Les Jeunes en marche». Un anniversaire vaut bien une surprise. Jusqu'au dernier moment, le mystère demeurait sur la venue d'Emmanuel Macron au grand raout des Jeunes avec Macron (JAM). Le chef de l'État s'est finalement décidé à passer une tête en fin de journée au Cirque d'Hiver à Paris. Sans doute voulait-il veiller à ce que ses jeunes soutiens ne tombent pas trop vite dans les bras d'un autre. C'est d'ailleurs quelques instants seulement après l'intervention de Gabriel Attal que le président a décidé de fouler la piste. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard Il faut dire que les «JAM» ont mis les petits plats dans les grands pour leurs dix ans d'existence : un meeting où ils ambitionnent de rassembler pas moins de 1500 participants, avant de prolonger les festivités jusque tard dans la nuit. Toute la fine fleur de la macronie ainsi qu'une ribambelle de ministres s'y sont donné rendez-vous ce samedi. C'est pourtant sans Emmanuel Macron que tous devront avancer à l'avenir : leur champion ne pourra pas briguer un troisième mandat consécutif…

La trajectoire des fondateurs des « Jeunes avec Macron » illustre l'évolution du macronisme 10 ans après
La trajectoire des fondateurs des « Jeunes avec Macron » illustre l'évolution du macronisme 10 ans après

Le HuffPost France

time2 days ago

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La trajectoire des fondateurs des « Jeunes avec Macron » illustre l'évolution du macronisme 10 ans après

POLITIQUE - Un autre temps. Les « Jeunes avec Macron » fêtent leurs 10 ans d'existence ce samedi 5 juillet, au Cirque d'hiver à Paris autour de leur président Ambroise Méjean et de plusieurs invités de marque. Élisabeth Borne ou Gabriel Attal doivent notamment prendre la parole. Une petite sauterie d'anniversaire qui sera l'occasion pour le mouvement de dévoiler son nouveau nom. Les adhérents ont eu à choisir ces dernières semaines entre « les Jeunes progressistes » et « les Jeunes en marche », appellation finalement retenue. Le nom du chef de l'État doit quoi qu'il en soit disparaître de l'affiche, symbole de la fin d'une époque. Dix ans après le lancement des « JAM », avant même la création « d'En Marche » en avril 2016, le courant incarné par Emmanuel Macron est plus bousculé que jamais. Au point que certains, même au sein de la coalition au pouvoir, s'interrogent sur la « fin » précoce du macronisme. L'esprit des débuts, en tout cas, n'est plus. Et la trajectoire des fondateurs des « Jeunes » le montre bien. Que devient le quatuor des débuts Ils sont quatre, en 2015, à lancer cette aventure qui servira de tremplin pour l'aventure présidentielle, sinon d'appui, à celui qui est encore à l'époque ministre de l'Économie sous François Hollande et Manuel Valls. Un quatuor de bientôt trentenaire, Pierre Person, Sacha Houlié, Florian Humez et Jean Gaborit, issu du mouvement des jeunes socialistes. Les deux derniers sont restés plusieurs années dans des cabinets. L'un au ministère de l'Économie avec Mounir Mahjoubi notamment, l'autre à l'Élysée puis Place Vendôme quand Éric Dupond-Moretti était ministre de la Justice. Ils ont filé dans le privé en 2020. Une trajectoire devenue fréquente au fil des (nombreux) remaniements ministériels et dans l'entourage d'Emmanuel Macron. Au-delà de Christophe Castaner, ancien ministre de l'Intérieur (2018-2020) qui a récemment défrayé la chronique en rejoignant le géant controversé Shein, le chef de l'État a perdu peu à peu tous ses proches du début, ou presque. Le dernier en date, Alexis Kohler, inamovible secrétaire général de l'Élysée depuis 2017 a pris la tangente ce printemps pour rejoindre la Société générale. Chez les jeunes, le parcours de Sacha Houlié et Pierre Person est plus éloquent, encore, quant à la trajectoire du macronisme, un courant « de dépassement politique » selon la promesse initiale, qui a dérivé vers la droite jusqu'à gouverner aujourd'hui avec Bruno Retailleau. Les deux anciens socialistes sont devenus députés dès 2017, Sacha Houlié dans la Vienne, et Pierre Person à Paris. Ils ont incarné l'aile gauche du mouvement, chacun à leur manière. Avant d'en partir. Une « lente et profonde dérive » Devenu numéro deux de La République en marche, Pierre Person a claqué la porte de la direction en 2020 avant de renoncer aux élections législatives deux ans plus tard. Lors de cette rupture, celui qui est longtemps resté proche d'Emmanuel Macron, égratignait déjà un mouvement qui « ne sait plus » où il va, « mélange les sujets sans avoir figé les bases », et ne parvient pas à dépasser les « seuls sujets sécurité, immigration et laïcité. » « Le dépassement, ce n'est pas l'effacement. La promesse originelle était de dépasser les clivages, pas d'effacer nos différences », expliquait-il par exemple dans les colonnes du Monde. Il a quitté la sphère politique après la fin de son mandat, et s'est lancé (avec un certain succès) dans l'univers de la cryptomonnaie. Son binôme, Sacha Houlié est pour sa part resté sur les bancs de l'Assemblée nationale… Mais pas au sein du bloc macroniste. Après avoir essayé d'animer l'aile gauche du mouvement lors du premier quinquennat, puis au début du second, quand il était président de la Commission des Lois à l'Assemblée nationale, l'élu de la Vienne a définitivement quitté son camp après sa réélection lors des législatives anticipées de 2024. « La dissolution a mis un terme à l'aventure centriste. Il y aura inéluctablement un retour de la gauche et de la droite », nous expliquait-il au début de l'année, après l'avènement de la coalition avec Les Républicains. Or, dans ce schéma, Renaissance est devenue « une succursale de la droite. » Sacha Houlié a même franchi le Rubicon ce printemps en rejoignant Place Publique, le parti de Raphaël Glucksmann, un des potentiels candidats à gauche pour la prochaine présidentielle. L'occasion de déplorer en définitive la « lente et profonde dérive » de son camp. Pour lui, pas de quoi souffler des bougies. D'ailleurs, aucun des quatre ne devrait être de la fête au Cirque d'hiver.

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