Dernières actualités avec #GalGadot


Le Parisien
23-07-2025
- Entertainment
- Le Parisien
« Hilarante et complexe » : Sharon Stone rend hommage à sa mère récemment décédée
Une publication émouvante et politique. Sharon Stone , 67 ans, a annoncé ce mardi la mort de sa mère, Dorothy, dans un message publié sur Instagram. « Ma mère hilarante et complexe est décédée », écrit la star de « Basic Instinct » (1992) et « Casino » (1995). « Elle est décédée il y a tout juste deux mois. Je viens seulement de le réaliser maintenant », poursuit-elle. Son message est accompagné d'une photo où on la voit rire, assise à côté de sa mère. Née en 1933 en Pennsylvanie, Dorothy Stone est un « produit de la dernière (Grande) Dépression », souligne Sharon Stone, qui invite à « ne PAS (refaire) cela ». « Protégeons et prenons soin les uns des autres », insiste la comédienne américaine. Dorothy, surnommée « Dot », s'est mariée en 1950 à Joseph Stone, décédé en 2009. Elle a longtemps travaillé comme comptable pour l'entreprise d'outillage fondée par son mari, avant de partager son temps entre Beverly Hills, Lakeside et le Montana. Lors du festival du film de Zurich, en 2021, Sharon Stone avait qualifié l'éducation de sa mère de « dure », rappelle People . Quand elle lui avait demandé pourquoi elle ne la laissait pas s'appuyer sur elle, Dorothy lui avait répondu : « Parce que je t'ai appris à te tenir debout sur tes deux jambes. » L'hommage de l'actrice a suscité de nombreuses réactions de stars hollywoodiennes. Gwyneth Paltrow a commenté son message avec un cœur, tout comme l'actrice israélienne Gal Gadot et Inès de La Fressange. « Je t'envoie de l'amour et mes bénédictions en abondance », écrit pour sa part Viola Davis . L'acteur de Grey's Anatomy Jeffrey Dean Morgan renchérit : « Je t'envoie tout l'amour du monde. » En plus de Sharon Stone, Dorothy laisse derrière elle son autre fille Kelly et son fils Michael, ainsi que plusieurs petits-enfants.


Le Figaro
18-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
À Jérusalem, le 7e art tente de briller au cœur du conflit israélo-palestinien
Malgré les incertitudes, le Festival du film de Jérusalem a ouvert jeudi sa 42e édition. L'actrice Gal Gadot, ovationnée, a appelé à la fin de la guerre et à la libération des otages. Comment y échapper ? Le festival du film de Jérusalem a ouvert jeudi sa 42e édition dans l'ombre de la guerre à Gaza et du récent conflit Iran-Israël, avec en invitée d'honneur la vedette hollywoodienne Gal Gadot. Le maintien du festival était incertain « il y a encore trois semaines », a souligné son directeur Roni Mahadav-Levin. Le mois dernier « nous avons passé deux semaines dans des abris, à essayer de décider si nous pouvions maintenir la date du festival », a-t-il déclaré en faisant allusion à la guerre Iran-Israël. « Ça a été un véritable défi, des vols ont été annulés et les invités étaient hésitants », a-t-il ajouté. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Gal Gadot, actrice israélienne connue notamment pour son rôle de super-héroïne Wonder Woman, a reçu un prix spécial sous les ovations de plusieurs milliers de spectateurs rassemblés dans un amphithéâtre près de la Vieille ville de Jérusalem. Dans ses remerciements, l'actrice qui est née et a grandi près de Tel-Aviv a évoqué la guerre entre Israël et le mouvement islamiste Hamas dans la bande de Gaza et dit « prier pour que cette guerre prenne fin, et qu'il y ait enfin calme et sécurité pour tout le monde ici ». Publicité Gal Gadot espère la libération des otages israéliens Pour l'actrice de 40 ans, « le plus important, ce que nous espérons tous (...) c'est de pouvoir respirer à nouveau. (...) Et cela ne sera possible que lorsque tous nos otages seront rentrés à la maison », soutient-elle, évoquant les otages enlevés le 7 octobre dans le sud d'Israël et encore détenus dans la bande de Gaza. Depuis le 7 octobre, Gal Gadot a été la cible d'attaques sur les réseaux sociaux d'activistes pro-palestiniens en raison de son soutien à l'armée israélienne. En Israël, elle s'est vue reprocher dans des médias de droite ses prises de position pour la fin de la guerre à Gaza. Peu d'invités internationaux Ayal Sgerski, 29 ans, étudiant en cinéma, estime qu'il y a « comme un nuage » au-dessus du festival et regrette la faible présence de réalisateurs internationaux. « Il est très difficile pour le festival d'obtenir des films du monde entier en ce moment », regrette-t-il. Le directeur du festival Roni Mahadav-Levin reconnaît qu'il n'est pas possible de « s'attendre à recevoir le même nombre d'invités internationaux qu'une année normale ». Le festival a ouvert avec la projection de Sentimental Value du réalisateur norvégien Joachim Trier, sacré Grand prix au festival de Cannes. Le programme du festival, qui se tient du 17 au 26 juillet, comprend des dizaines de longs métrages, documentaires et films d'expérimentation israéliens et internationaux.