Dernières actualités avec #Gand

Le Soir
4 days ago
- Sport
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Voici où les Diables rouges recevront leurs adversaires pour leur prochain match de qualification
Le 10 octobre prochain, à 20h45, les Diables Rouges joueront pour la première fois de leur histoire dans la KAA Gent Arena. Ils y accueilleront la Macédoine du Nord pour le cinquième match qualificatif en vue du Mondial 2026. Cette rencontre s'inscrit dans le Tour de Belgique, une initiative de l'URBSFA visant à rapprocher l'équipe nationale de ses supporters. Après Genk, Bruxelles et Anderlecht, c'est donc Gand qui vibrera aux couleurs noir-jaune-rouge. Les Diables ont déjà évolué à trois reprises dans l'ancien Ottenstadion, avec deux victoires (face à Andorre et à la Hongrie) et un nul contre la Finlande.

Le Soir
6 days ago
- Entertainment
- Le Soir
La rencontre improbable de Sophie Dutordoir et de Bouli Lanners
Mais allez, viens avec nous ! Une femme qui se lève tôt, qui aime lire, qui a de l'humour, qui fait attention aux gens, qui fait des confitures, qui boit sa bière… » « C'est qui nous ? » « Ben c'est moi… » répond Philippe Lanners (dit Bouli) l'acteur-metteur en scène qui avait arrêté le cinéma… mais qui finalement vient de recommencer à tourner et a écrit le prochain film qu'il veut réaliser. « On peut être CEO, aimer la vie, les gens, l'humour, ne jamais oublier d'où on vient et avoir deux ou trois personnes autour de soi pour se souvenir de garder les pieds sur terre… », explique, plus tard, Sophie Dutordoir, la patronne de la SNCB, ex-cabinetarde, ex-patronne d'Electrabel, Gantoise d'origine, romaniste de formation mais gestionnaire de fonction. On ne va pas le nier, le courant est passé entre les deux pour cette rencontre improbable organisée par Le Soir. Sauf quand ce courant provient d'une énergie nucléaire (lire par ailleurs), ou sur le Premier ministre Bart De Wever.

Le Soir
22-07-2025
- Science
- Le Soir
Biodiversité : près d'un quart de la population d'abeilles a disparu cet hiver
Ce n'est pas bon signe », commente Ellen Danneels de Honeybee Valley. L'enquête, menée par le centre de l'Université de Gand (UGent) en collaboration avec le CRA-W et le CARI, a interrogé 710 apiculteurs répartis dans tout le pays. Ceux-ci ont signalé la perte de 1.679 colonies d'abeilles durant l'hiver. « Un taux de mortalité hivernale est considéré comme normal autour de 10 % », explique Ellen Danneels. « Avec une moyenne de 22,5 %, on est bien au-dessus de ce seuil, même si ce chiffre n'est pas exceptionnel. » Honeybee Valley se dit clairement préoccupé par ce taux, bien que les apiculteurs sachent que la perte hivernale de colonies fait partie des risques annuels. Depuis une dizaine d'années, les taux de mortalité hivernale chez les abeilles sont particulièrement élevés en Belgique. En 2024, il s'établissait à 22,3 %, contre 17 % en 2023. Danneels identifie deux causes principales à cette mortalité importante. La varroa, un acarien parasite, inflige de sérieux dégâts aux colonies. En affaiblissant les abeilles, il les rend bien plus vulnérables. Selon l'enquête, 45,3 % des apiculteurs tentent de lutter contre ce parasite en traitant leurs ruches à l'acide oxalique. L'autre menace possible vient du frelon asiatique, une espèce invasive de guêpe dont la présence s'intensifie en Belgique ces dernières années. « Nous ne sommes pas certains que les frelons soient directement responsables de la mortalité hivernale », nuance Danneels. « Il est plus probable qu'ils posent un problème plus marqué au printemps. » Près d'un apiculteur sur dix a néanmoins découvert des ruches totalement vides à la suite d'une attaque de frelons. Parmi les régions, Bruxelles, qui compte la plus petite population d'abeilles du pays, affiche aussi le taux de mortalité le plus élevé, atteignant 44 %. À l'inverse, la province du Brabant flamand, où la population est plus importante, a enregistré une baisse bien plus limitée, de seulement 7,9 %.

Le Soir
09-07-2025
- Politics
- Le Soir
Un plan de la ministre flamande de l'Enseignement fait réagir
Les nouvelles mesures annoncées mardi pour améliorer la connaissance du néerlandais chez les enfants en Flandre risquent de ne pas être réalisables, estiment mardi la secrétaire générale du Christelijk Onderwijzersverbond (COV), le plus grand syndicat flamand de l'enseignement fondamental, et le secrétaire général adjoint de l'ACOD Onderwijs, le pendant flamand de la CGSP Enseignement. Les syndicats soulignent une charge de travail énorme en raison d'un manque criant de professeurs. La ministre flamande de l'Enseignement, Zuhal Demir (N-VA), à l'initiative de ces mesures, estime que 1.000 à 2.000 profils supplémentaires sont nécessaires dans l'enseignement. Elle reconnaît que c'est un défi, mais compte sur le soutien des logopèdes, linguistes, professeurs pensionnés, traducteurs, interprètes et même d'organisations externes comme la Taalunie, l'Union de la langue néerlandaise. Ces propositions ne constituent toutefois pas des garanties suffisantes pour ne pas augmenter la charge de travail, aux yeux des syndicats. Même s'ils soutiennent les mesures sur le principe. « Comment allons-nous mettre cela en œuvre avec la pénurie actuelle de professeurs ? », s'interroge Marc Borremans (ACOD). « Les directions d'écoles estiment qu'environ 10 % des postes d'enseignants à temps plein ne sont pas pourvus. Cela peut aller jusqu'à 15 voire 27 % dans des villes comme Bruxelles et Gand. » Les organisations syndicales appellent à une concertation urgente. « Le cabinet de la ministre Demir reste malheureusement silencieux. Si l'on veut procéder à une réforme aussi fondamentale, il faut d'abord renforcer les fondations : les personnes qui font l'éducation », explique M. Borremans. De son côté, le COV plaide pour la faisabilité. « Des mesures aussi ambitieuses nécessitent une concertation approfondie. Nous allons bien analyser la note conceptuelle et présenter des propositions en fonction des inquiétudes de nos membres », avance la secrétaire générale, Marianne Coopman.

Le Soir
06-07-2025
- Politics
- Le Soir
Le bourgmestre de Gand hospitalisé après avoir statué sur la disparition de centaines d'emplois
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les partis majoritaires de Gand, Voor Gent et Groen, sont parvenus à un accord économique visant à faire économiser 120 millions d'euros à la commune. Les négociations ont été longues et houleuses, s'étant déjà poursuivies jusqu'à 5 h 30 du matin mercredi, puis durant l'après-midi de la journée qui a suivi jusqu'à minuit. Après la séance, le bourgmestre Mathias De Clercq a été victime d'un malaise à son domicile. Il a été hospitalisé. Le quadragénaire a pu quitter l'hôpital ce matin. Son porte-parole a expliqué qu'il devait se reposer sur avis médical. Il sera entre-temps remplacé par la première échevine, Hafsa El-Bazioui (Groen). Des décisions radicales ont été prises par la majorité pour aboutir à cet accord. Plusieurs centaines d'emplois à la Ville vont disparaître selon les médias flamands – HLN annonce 400 emplois, le Nieuwsblad 350 –, même si les partis ont annoncé que cela se ferait « en douceur ». D'autres mesures figurent dans l'accord, tels qu'une augmentation des frais de stationnement, que ce soit pour les parkings de rue ou les parkings souterrains. Des subventions diverses devraient aussi être réduites.