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«Mais qu'est-ce qu'il fait ?» : quand Trump s'invite sur les photos de la remise de la Coupe du monde des clubs
«Mais qu'est-ce qu'il fait ?» : quand Trump s'invite sur les photos de la remise de la Coupe du monde des clubs

Le Figaro

time16 hours ago

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«Mais qu'est-ce qu'il fait ?» : quand Trump s'invite sur les photos de la remise de la Coupe du monde des clubs

LE SCAN SPORT - Le président des États-Unis, Donald Trump, est resté sur le podium au milieu des joueurs de Chelsea, «confus» au moment de soulever le trophée de la Coupe du monde des clubs remportée face au PSG. La gêne était palpable chez les joueurs de Chelsea, quelques secondes avant de soulever le trophée de la Coupe du monde des clubs. Après leur victoire en finale contre le PSG (3-0) dimanche dans le New Jersey, les Blues se sont vus remettre le trophée sur un podium installé sur la pelouse du MetLife Stadium. Le président de la Fifa, Gianni Infantino, était logiquement chargé de remettre la récompense au capitaine de Chelsea, Reece James. Il a invité Donald Trump, dont il ne cache pas être extrêmement proche, à l'accompagner. Sauf que le président des États-Unis est resté planté sur le podium alors que James s'apprêtait à soulever le trophée. Publicité Infantino a voulu le faire descendre «Je savais qu'il allait être présent, mais pas qu'il serait là au moment où on allait soulever la coupe, donc j'étais un peu confus», a réagi l'attaquant Cole Palmer. Sur les images, on peut même voir l'Anglais s'interroger à haute voix sur la présence de Trump : «Mais qu'est-ce qu'il fait ?» Sourire goguenard, Trump n'a pas bougé un orteil. «Je pensais qu'il allait partir ensuite, mais il voulait rester, a partagé James. Il nous a juste félicités, moi et l'équipe, d'avoir soulevé le trophée et nous a dit de profiter du moment.» Infantino, lui, a essayé de prendre par le bras le président américain avant que les joueurs de Chelsea ne soulèvent le trophée. En vain.

Météo, affluence, sécurité : un bilan contrasté pour la première édition de la Coupe du monde des clubs
Météo, affluence, sécurité : un bilan contrasté pour la première édition de la Coupe du monde des clubs

L'Équipe

timea day ago

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Météo, affluence, sécurité : un bilan contrasté pour la première édition de la Coupe du monde des clubs

La première Coupe du monde des clubs nouveau format s'est achevée dimanche. Les derniers matches ont proposé des affiches de gala et du spectacle mais des critiques demeurent et plusieurs problématiques devront être réglées pour la Coupe du monde des nations, l'été prochain. La première édition de la nouvelle Coupe du monde des clubs de la FIFA s'est achevée dimanche au MetLife Stadium d'East Rutherford, à quelques kilomètres de New York, par le succès de Chelsea face au PSG (3-0). Il est venu l'heure de tirer un bilan de cette première édition dont la prochaine aura lieu en 2029 dans un pays encore à déterminer, le Brésil ayant déjà fait acte de candidature. Avec une équipe en quarts de finale (Palmeiras) et une autre en demies (Fluminense), le pays aux 5 coupes du monde a pimenté le tournoi de même qu'Al-Hilal, vainqueur de Manchester City, au terme d'un match à rebondissement en huitièmes de finale (4-3, le 1er juillet). Au-delà de l'autosatisfaction affichée par Gianni Infantino, le président de la Fédération internationale à l'origine de la création de l'épreuve, qui a parlé « d'énorme succès » et de « compétition de clubs la plus réussie au monde ». Il faisait notamment référence aux gains générés : 1,79 milliard d'euros, soit 28,2 M€ par match (63 au total). Mais outre l'aspect économique, il y a eu du bon et du moins bon pendant la compétition. Surtout, elle n'a pas fait taire les critiques sur sa tenue, la surcharge du calendrier, émanant notamment de Jürgen Klopp ou du syndicat des joueurs, la Fifpro, qui a qualifié Infantino d'« homme qui se prenait pour Dieu ». Ce tournoi a servi de répétition générale à la Coupe du monde des nations (11 juin-19 juillet 2026) aux États-Unis, au Canada et au Mexique. C'est à partir des remontées quotidiennes de ses employés disséminés un peu partout dans le pays que la Fédération doit ajuster le tir pour l'organisation de son épreuve reine. La préoccupation météorologique Infantino l'a reconnu samedi lorsqu'il a dressé un bilan de la compétition, à la Trump Tower où la FIFA a ses bureaux à New York : « C'est un vrai problème et nous devons réfléchir à ce que nous pouvons faire pour l'améliorer », a-t-il confié en parlant de la chaleur. Lors des quatre semaines du Mondial des clubs, les joueurs ont dû évoluer sous des températures élevées, aux pires heures de la journée (midi ou 15 heures), parfois avec un taux d'humidité très élevé en fonction des régions où se déroulaient les matches, notamment à l'Est. Plusieurs rencontres ont ainsi été perturbées voire arrêtées en raison de violents orages. Enzo Fernandez, le milieu de Chelsea, a déclaré, après avoir failli faire un malaise lors de la demi-finale face à Fluminense (2-0, le 8 juillet), qu'il était « dangereux de jouer sous ces températures ». Igor Tudor, le coach de la Juventus, a lui affirmé que 10 de ses joueurs avaient demandé à sortir pendant le huitième de finale contre le Real Madrid (0-1, le 1er juillet). « Ce n'est pas la première fois qu'une Coupe du monde se déroule sous de telles chaleurs, il y a eu Mexico 1970 ou celle de 1994 aux USA mais le climat a changé significativement depuis, confie Patrice Geoffron, professeur à Paris Dauphine et directeur de l'équipe recherche-énergie climat. On a pris un demi-degré de plus, ce qui peut engendrer des variations de températures importantes, notamment l'été. Le problème, c'est la combinaison de deux facteurs : la chaleur et l'humidité. Un 30 °C avec un taux d'humidité de 70 % équivaut à un bon 35 °C. L'évapotranspiration se fait moins bien dans un environnement très humide. La littérature scientifique très dense sur ce sujet montre bien les risques encourus. » « L'économie et les revenus du football sont en Europe. Or pour satisfaire ses audiences, il faut jouer aux pires heures de la journée aux Etats-Unis » Patric Geoffron, professeur à Paris Dauphine Le climat sera le même dans un an. La FIFA dit réfléchir à des améliorations afin de concilier « le bien-être des joueurs et la demande de compétitions du public », selon Arsène Wenger, directeur du développement au sein de l'instance. Les pauses fraîcheur devraient être plus nombreuses l'an prochain, aux 15e, 30e, 60e et 75e minute, et non plus seulement aux 30e et 75e. Cela passera aussi probablement par un aménagement des horaires. Cette année, les matches se jouaient à midi, 15 heures, 18 heures et 21 heures locales. Certains, dont la finale 2026, pourraient avoir lieu à 9 heures locales. Mais ce n'est pas sans poser un autre problème. « L'économie et les revenus du football sont en Europe, poursuit Geoffron. Or pour satisfaire ses audiences, il faut jouer aux pires heures de la journée aux États-Unis. Cela va à l'encontre de ce que l'on voit dans d'autres sports comme le cyclisme où on a, par exemple sur le Tour de France, réduit les étapes. » Pour 2026, seuls 5 des 12 stades du Mondial des clubs ont été conservés, et sur les 16 retenus pour l'an prochain, 5 seront couverts et/ou climatisés à Atlanta, Vancouver, Los Angeles, Dallas et Houston. Un confort réel pour ceux qui pourront y évoluer. Une affluence limitée Si Infantino affirme « battre des records » et qu'il préfère voir les matches se « jouer devant 35 000 spectateurs dans un stade d'une capacité de 80 000 places, plutôt que dans un stade de 20 000 places à guichets fermés », la réalité est plus mesurée. Il y a eu du monde, c'est certain, notamment grâce à la présence de la très forte communauté latino, friande de football en général et venue en nombre supporter les clubs sud-américains. Proches des États-Unis, les Mexicains, Brésiliens et Argentins n'ont pas hésité à se rendre aux États-Unis. Mais beaucoup de rencontres se sont disputées devant un public très clairsemé, en raison de l'affiche mais aussi des horaires pour lesquels il n'était pas forcément évident de se libérer en milieu de journée et en semaine. Ce n'est que pour les tops clubs, comme le Real Madrid, Manchester City et le PSG, que les stades ont fait le plein. Mais là encore, il faut relativiser : la FIFA a multiplié les dons de places. À Atlanta, par exemple, sur certaines rencontres, pour un billet acheté, un spectateur s'en voyait offrir un autre. Ailleurs, les étudiants ont aussi été privilégiés. Un enjeu sécuritaire Le Mondial des clubs a été marqué, au moins au début et dans certaines villes des États-Unis (Los Angeles, New York, Austin, Chicago...), par des manifestations contre la politique migratoire de Donald Trump qui expulsait des sans-papiers. Au fil du tournoi, le sujet est passé au second plan dans les médias locaux et étrangers. La Coupe du monde 2026 pourrait de nouveau servir de caisse de résonance à différentes protestations notamment contre le président américain qui a été sifflé copieusement dimanche lors de la finale. Comme tout événement planétaire, ces deux compétitions sont propices à des menaces terroristes et sont donc extrêmement surveillées. Infantino a remercié Trump et son gouvernement pour leur soutien sans lequel la Fifa « n'aurait pas pu organiser ce tournoi de cette manière ». À lire aussi Opération régénération Robert Sanchez, le gardien qui a dribblé le pressing du PSG Pourquoi Luis Enrique a craqué Lamine Yamal face au défi de la majorité

Les joueurs de Chelsea se sont dits confus de la présence de Donald Trump lors de la cérémonie de remise du trophée
Les joueurs de Chelsea se sont dits confus de la présence de Donald Trump lors de la cérémonie de remise du trophée

L'Équipe

time2 days ago

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Les joueurs de Chelsea se sont dits confus de la présence de Donald Trump lors de la cérémonie de remise du trophée

Omniprésent lors de la célébration du titre de Chelsea à la Coupe du monde des clubs, Donald Trump s'est invité sur le podium où Reece James a soulevé le trophée pour les Blues. Une situation incomprise par les joueurs qui se sont dits confus. Le show à l'Américaine façon Trump. Le président des États-Unis a aimé prendre la lumière dimanche au MetLife Stadium (East Rutherford) dans la banlieue de New York, à l'occasion de la victoire de Chelsea (3-0) en finale de Coupe du monde des clubs face au PSG. Malgré les sifflets d'une partie des 81 118 spectateurs présents, Donald Trump ne s'est pas senti de trop dans cette célébration sportive. Il a dans un premier temps remis les médailles d'honneur et les trophées honorifiques du tournoi aux joueurs de Chelsea et de Paris - comme à Désiré Doué, élu meilleur jeune de la compétition - avant de s'incruster au moment où le capitaine Reece James a soulevé le trophée des Blues. Accompagné de son ami de circonstance Gianni Infantino, Donald Trump ne s'est pas écarté avec le patron de la FIFA pour laisser les joueurs célébrer entre eux, donnant une image quasi inédite. Reece James a avoué avoir eu un échange assez flou avec lui : « Franchement, c'était assez bruyant. Je n'ai pas bien entendu grand-chose. Il nous a juste félicités, moi et l'équipe, d'avoir soulevé le trophée et nous a dit de profiter du moment. » Comme on peut le voir sur la vidéo de célébrations, Cole Palmer s'est dit « un peu perdu » face à cette situation. « Je savais qu'il serait là, mais je ne savais pas qu'il serait à la barre quand on soulèverait le trophée », a-t-il admis. Levi Colwill a ajouté : « Ils m'ont dit qu'il allait présenter le trophée puis quitter la scène, et je pensais qu'il allait quitter la scène, mais il voulait rester. »

Coupe du monde des clubs : Trump, spectateur intéressé, applaudi et hué, à la finale entre le PSG et Chelsea
Coupe du monde des clubs : Trump, spectateur intéressé, applaudi et hué, à la finale entre le PSG et Chelsea

Le Figaro

time2 days ago

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Coupe du monde des clubs : Trump, spectateur intéressé, applaudi et hué, à la finale entre le PSG et Chelsea

Le président des États-Unis a eu droit à un accueil... mitigé lors de la finale de la Coupe du monde des clubs, dimanche, au MetLife Stadium, dans le New Jersey. Entre applaudissements et huées, Donald Trump a assisté dimanche à la finale du Mondial des clubs près de New York, un échauffement à un an de la Coupe du monde aux États-Unis dont il entend tirer profit. Le président républicain espère faire du Mondial 2026, co-organisé avec le Canada et le Mexique, comme des Jeux olympiques de Los Angeles en 2028, une vitrine de son «âge d'or de l'Amérique». Son accueil lors de la finale entre le Paris-SG et Chelsea, par les 81.118 spectateurs de l'imposant MetLife Stadium, a été mitigé : applaudi à son arrivée, il a cependant reçu des huées lorsque son visage est apparu sur un écran géant du stade pendant l'hymne américain, aux côtés de son épouse Melania. Les caméras ont tout de suite changé de plan. Les sifflets les plus nourris sont survenus après la rencontre, quand il est monté sur le podium pour remettre aux joueurs médailles et trophées. À lire aussi Les notes de Chelsea-PSG : Dembélé et les Parisiens n'ont pas existé, Palmer étincelant, Sanchez écœurant Publicité Si le «soccer» n'est toujours pas au premier plan aux États-Unis, Donald Trump bénéficie d'un atout de poids dans ce domaine : une relation très privilégiée avec Gianni Infantino, le patron de la puissante Fédération internationale de football (Fifa). L'Italo-suisse, assis à côté de Donald Trump dans les tribunes dimanche, affiche sans retenue sa proximité avec le président américain. Depuis un précédent passage du patron de la Fifa en mars à la Maison Blanche, le républicain a gardé le trophée de la Coupe du monde des clubs dans son Bureau ovale. Samedi, Gianni Infantino a aussi donné une conférence de presse dans les nouveaux locaux de la Fifa à New York... installés dans la Trump tower, l'immeuble du magnat de l'immobilier devenu président. Influence Interrogé pour savoir si Donald Trump aimait le foot, le patron de la Fifa a suggéré que oui, notamment en raison de son fils Barron, 19 ans. «Il m'a expliqué que son fils adorait le football», a déclaré Gianni Infantino. «Et bien sûr, quand vous êtes parents, vous adorez ce que vos enfants adorent, donc je pense qu'il aime» le foot, a-t-il ajouté. On rapporte même que, lycéen, Donald Trump a lui-même joué au foot pendant un an. Même si ce sport est, malgré sa croissance, bien moins populaire dans le pays que football américain, baseball ou basket, le milliardaire y voit une opportunité pour étendre son pouvoir et son influence. Donald Trump rappelle volontiers que les États-Unis ont remporté, avec le Canada et le Mexique, l'accueil du Mondial 2026, lors de son premier mandat en 2018. Et la première édition du Mondial des clubs à 32 équipes qui s'achève dimanche a été très réussie selon la Fifa, Gianni Infantino ajoutant même, reprenant une expression favorite de Donald Trump: «l'âge d'or du football de clubs a commencé». Mais, entre l'accusation de surcharge du calendrier des joueurs et des affluences parfois très modestes, les doutes sur la crédibilité de cette épreuve sont loin d'être levés. Accueil Et le football n'échappe pas à la politique. En accueillant les footballeurs de la Juventus de Turin dans le Bureau ovale en juin, Donald Trump s'était lancé dans une diatribe contre les personnes transgenres dans le sport, l'un de ses sujets de prédilection, prenant même à partie les joueurs en leur demandant: «Une femme pourrait-elle intégrer votre équipe, les gars?». Publicité Sa politique particulièrement agressive sur l'immigration s'est aussi invitée dans la sphère sportive, car elle pose la question de la venue de spectateurs étrangers pour le Mondial 2026. En mai, son vice-président JD Vance a déclaré qu'ils seraient «les bienvenus» aux États-Unis, «mais quand ce sera terminé, il faudra qu'ils rentrent chez eux.» Depuis, l'administration Trump a réinstauré une interdiction d'entrée aux États-Unis pour les ressortissants de 12 pays, en majorité africains ou du Moyen-Orient. La Maison Blanche a assuré que les équipes participant à la Coupe du monde ne seraient pas touchées. Fin juin, l'équipe féminine de basket du Sénégal a dû renoncer à un stage d'entraînement aux États-Unis, en vue du tournoi de l'AfroBasket 2025, faute de visas. L'organisation du Mondial de football 2026 pose aussi la question des relations américaines avec les pays co-organisateurs, le Mexique et le Canada, depuis que Donald Trump s'est lancé dans une politique offensive de droits de douane vis-à-vis des deux pays.

Donald Trump s'invite sur le podium de la Coupe du monde des clubs avec les joueurs de Chelsea
Donald Trump s'invite sur le podium de la Coupe du monde des clubs avec les joueurs de Chelsea

L'Équipe

time2 days ago

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Donald Trump s'invite sur le podium de la Coupe du monde des clubs avec les joueurs de Chelsea

Omniprésent lors de la célébration du titre de Chelsea à la Coupe du monde des clubs, Donald Trump s'est invité sur le podium où Reece James a soulevé le trophée pour les Blues. S'il n'a pas remporté la Coupe du monde des clubs, ce samedi contre le Paris-Saint-Germain, c'était tout comme pour le président des États-Unis. Donald Trump, qui a assisté à la rencontre en amateur de ballon rond, est monté sur le podium avec les joueurs de Chelsea, comme s'il avait, lui aussi, gagné cette compétition. Un autre « intrus », Gianni Infantino, le président de la FIFA, s'est joint au président américain et aux Blues pour célébrer la fin de cette compétition sur le podium. Et apparaître sur les photos souvenirs. Trump a été copieusement sifflé par une partie des 81 118 spectateurs présents au Metlife de New York, d'abord lorsqu'il se trouvait dans les tribunes, puis au moment où il a posé devant les photographes, avec des arbitres. Les sifflets se sont encore intensifiés lorsqu'il est monté sur ce podium.

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