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Les statues de femmes illustres de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques 2024 installées dans le 18e arrondissement de Paris
Les statues de femmes illustres de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques 2024 installées dans le 18e arrondissement de Paris

L'Équipe

time4 days ago

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Les statues de femmes illustres de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques 2024 installées dans le 18e arrondissement de Paris

Plusieurs statues de femmes ayant marqué l'Histoire, initialement conçues pour la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques 2024, vont être réinstallées dans le 18e arrondissement de Paris, rue de la Chapelle. La première, celle de Gisèle Halimi, a été installée ce vendredi matin. Dix statues de femmes illustres, dont Gisèle Halimi et Simone Veil, visibles lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux de Paris 2024, sont en cours d'installation rue de la Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Sur la promenade nouvellement aménagée, la statue dorée de Halimi, mesurant quatre mètres de haut, a déjà été installée vendredi matin. Elle sera rejointe par neuf autres figures, surgies de la Seine lors de la cérémonie des JO 2024, le long de l'avenue de ce quartier du Nord de la capitale. L'inauguration est prévue le 26 juillet, soit un an après le coup d'envoi des Jeux. Ces dix statues de femmes illustres comprenant Christine de Pizan, Jeanne Barret, Olympe de Gouges, Louise Michel, Alice Guy, Alice Milliat, Paulette Nardal, Simone de Beauvoir, Simone Veil et Gisèle Halimi avaient été exposées auparavant à l'Assemblée nationale. Couleur or et en acier, elles ont dû être recouvertes d'une résine ultrarésistante pour « les préparer à la vie en extérieur », a détaillé à l'AFP Michèle Zaoui, architecte au secrétariat général de la ville de Paris. « C'est bien qu'ils les recyclent et qu'ils les posent quelque part », témoigne Thomas Marcel, 29 ans, un artisan qui travaille depuis six ans dans le quartier. Il déplore toutefois « un pansement sur la précarité qu'il y a dans le quartier ». « Un message de féminisation de l'espace public » Pierre Rabadan, adjoint aux sports à la maire de Paris Le quartier de la porte de la Chapelle, l'un des plus défavorisés de Paris, a été réaménagé à l'occasion des JO, avec l'ouverture de l'Adidas Arena, salle de concerts et d'événements sportifs (le Paris Basketball y a notamment élu domicile), où se sont déroulées plusieurs épreuves olympiques et paralympiques. La voirie de la rue de la Chapelle a ainsi été rénovée, avec un espace de promenade, des pistes cyclables, et une végétalisation de l'espace. « On cherchait le lien entre un quartier très positivement impacté par l'accueil des Jeux à Paris et aussi un message de féminisation de l'espace public », explique Pierre Rabadan, adjoint aux sports à la maire de Paris. Les statues vont rester dans le quartier encore plusieurs années, d'après Zaoui. A minima jusqu'aux Jeux Olympiques de Los Angeles, en 2028, selon ses dires, avant un « relais symbolique » anticipé avec la ville californienne.

Paris : la première des 10 statues féminines de la cérémonie des JO installée rue de la Chapelle
Paris : la première des 10 statues féminines de la cérémonie des JO installée rue de la Chapelle

Le Parisien

time4 days ago

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Paris : la première des 10 statues féminines de la cérémonie des JO installée rue de la Chapelle

Dix statues de femmes illustres , dont Gisèle Halimi, visibles lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024 , sont en cours d'installation rue de la Chapelle, un quartier du nord de la capitale en cours de réaménagement. Sur la promenade nouvellement aménagée rue de la Chapelle, la statue dorée de Gisèle Halimi , mesurant quatre mètres de haut, a déjà été installée vendredi matin, attirant les regards curieux des passants. Elle sera rejointe par neuf autres statues, surgies de la Seine lors de la cérémonie des Jeux, le long de l'avenue du XVIIIe arrondissement. L'inauguration est prévue le 26 juillet, un an après le coup d'envoi des JO de Paris. Ces dix statues de femmes illustres comprenant Christine de Pizan, Jeanne Barret, Olympe de Gouges, Louise Michel, Alice Guy, Alice Milliat, Paulette Nardal, Simone de Beauvoir, Simone Veil et Gisèle Halimi avaient auparavant été exposées à l'Assemblée nationale. Couleur or et en acier, elles ont dû être recouvertes d'une résine ultrarésistante pour « les préparer à la vie en extérieur », explique Michèle Zaoui, conseillère de la maire de Paris en charge de l'architecture et de l'espace public. « C'est bien qu'ils les recyclent et qu'ils les posent quelque part », témoigne Thomas Marcel, 29 ans, un artisan qui travaille depuis 6 ans dans le quartier. Il déplore toutefois « un pansement sur la précarité qu'il y a dans le quartier ». « Ça donne de la vie », tempère Youssef El Gouhari, 18 ans, étudiant en prépa de commerce, habitant du quartier depuis toujours. Le quartier de la porte de la Chapelle , l'un des plus défavorisés de Paris, a été réaménagé à l'occasion des JO, avec l'ouverture de l'Adidas Arena, salle de concerts et d'événements sportifs, où se sont déroulées plusieurs épreuves olympiques et paralympiques. La voirie de la rue de la Chapelle a ainsi été rénovée, avec un espace de promenade, des pistes cyclables, et une végétalisation de l'espace. « On cherchait le lien entre un quartier très positivement impacté par l'accueil des Jeux à Paris et aussi un message de féminisation de l'espace public », a expliqué Pierre Rabadan, adjoint aux sports à la maire de Paris. Les statues vont rester dans le quartier encore plusieurs années, d'après Michèle Zaoui. « On a pour l'instant une date fixée : celle des JO de Los Angeles en 2028 », a livré la conseillère, qui anticipe un « relais symbolique » fait avec la ville de Paris.

«Nous sommes stupéfaits» : à Bordeaux, un centre d'accueil pour femmes victimes de violences conjugales vandalisé, une plainte déposée
«Nous sommes stupéfaits» : à Bordeaux, un centre d'accueil pour femmes victimes de violences conjugales vandalisé, une plainte déposée

Le Figaro

time09-07-2025

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«Nous sommes stupéfaits» : à Bordeaux, un centre d'accueil pour femmes victimes de violences conjugales vandalisé, une plainte déposée

Vendredi 4 juillet, au matin, la plaque du centre Gisèle Halimi a été retrouvée arrachée et cassée. Une plainte a été déposée. Au matin du vendredi 4 juillet dernier, une mauvaise surprise attendait l'équipe éducative du centre Gisèle Halimi, à Bordeaux. «La plaque du centre a été dégradée, arrachée et cassée dans la nuit. Elle a ensuite été déposée sur la poignée de la porte du centre», témoigne Naïma Charaï, directrice de l'Association pour l'accueil des femmes en difficulté (Apafed) et ex-conseillère régionale aux droits des femmes, à la lutte contre les discriminations et solidarité en Nouvelle-Aquitaine. La mission première de l'association est l'hébergement d'urgence et l'accueil des femmes et enfants victimes de violences conjugales. «On ne sait pas de quoi il s'agit. Est-ce que c'est un acte d'un ex-conjoint énervé parce que sa femme a été accueillie chez nous ? Est-ce que c'est quelqu'un qui a identifié notre mission et qui veut nous cibler ? Est-ce que c'est une tentative d'intimidation ? À ce stade, on en a aucune idée», indique la directrice. Une plainte a immédiatement été déposée par l'association, pour «destruction d'un bien sur une structure du service public et d'intérêt général». Publicité Deuxième acte malveillant en 15 jours Un acte de vandalisme qui intervient «deux semaines après qu'une affiche en soutien aux droits des femmes a été retrouvée déchirée près de l'établissement», précise Naïma Charaï. «Nous sommes stupéfaits. Ces actes renforcent notre engagement, on ne se laissera pas intimider et ça nous pousse à poursuivre notre action», a-t-elle conclu.

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