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Mercato Nantes : Jean-Charles Castelletto opte finalement pour Al-Jazira
Mercato Nantes : Jean-Charles Castelletto opte finalement pour Al-Jazira

Le Parisien

time21 hours ago

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Mercato Nantes : Jean-Charles Castelletto opte finalement pour Al-Jazira

Après cinq saisons au FC Nantes et une victoire en Coupe de France en 2022, Jean-Charles Castelletto s'apprête à quitter la Ligue 1 . Annoncé au Qatar, où il était courtisé par Al-Wakrah, le défenseur de 30 ans, sous contrat jusqu'en 2028, va finalement prendre la direction du club d'Al-Jazira (Émirats arabes unis) où évolue l'ancien Lyonnais Nabil Fekir. D'après les informations de Foot Mercato, l'indemnité de transfert se situerait autour de 4 millions d'euros. Al-Wakrah avait aussi trouvé un accord avec Nantes pour 3,5 M€, bonus compris, mais Al-Jazira a réussi à détourner l'ancien Brestois en effectuant une ultime surenchère. Le joueur né à Clamart (Hauts-de-Seine) se trouve dans le Golfe depuis le début de la semaine.

Célébrations du 14 juillet : Emmanuel Macron recevra l'émir du Koweït
Célébrations du 14 juillet : Emmanuel Macron recevra l'émir du Koweït

Le Figaro

time5 days ago

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Célébrations du 14 juillet : Emmanuel Macron recevra l'émir du Koweït

L'émir du Koweït Mechaal al-Ahmad al-Jaber al-Sabah assistera lundi au défilé militaire à l'occasion des célébrations du 14 juillet, date de la Fête nationale française, et sera reçu à déjeuner par le président Emmanuel Macron, a annoncé l'Élysée. L'émir du Koweït Mechaal al-Ahmad al-Jaber al-Sabah assistera lundi au défilé militaire du 14 juillet et sera reçu à déjeuner par le président Emmanuel Macron, a annoncé ce vendredi l'Elysée. Les deux dirigeants entendent «intensifier leur coordination face aux grandes crises régionales» alors que le Koweït préside cette année le Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCEAG), précise la présidence française. Cette visite, la première de l'émir en France, témoigne de «la volonté partagée des deux pays de renforcer leur coopération dans tous les domaines», notamment «diplomatique, militaire et économique», précise la présidence. Publicité Le Koweït possède l'un des fonds souverains les plus puissants au monde Le président français tente de son côté de relancer le processus vers une solution à deux États dans le conflit israélo-palestinien. La conférence qu'il devait coprésider en juin avec l'Arabie saoudite à New York a toutefois dû être reportée en raison de la guerre de 12 jours entre Israël et l'Iran. Le Koweït, frontalier de l'Arabie saoudite et de l'Irak, renferme 7% des réserves mondiales de brut. Il possède l'un des fonds souverains les plus puissants au monde. Le Proche et Moyen-Orient reste confronté à une multitude de défis, du conflit à Gaza aux enjeux autour de l'Iran après les frappes israéliennes et américaines contre ses installations nucléaires.

Plus de 100 étrangers exécutés depuis le début de l'année
Plus de 100 étrangers exécutés depuis le début de l'année

La Presse

time6 days ago

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Plus de 100 étrangers exécutés depuis le début de l'année

Au total, 189 personnes ont été exécutées depuis début 2025 en Arabie saoudite, d'après un décompte de l'AFP, dont 88 Saoudiens. (Dubaï) L'Arabie saoudite a exécuté deux ressortissants éthiopiens pour trafic de drogue, a annoncé jeudi le ministère de l'Intérieur, portant à au moins 101 le nombre total d'étrangers exécutés dans le royaume depuis le début de l'année, selon un décompte de l'AFP. Agence France-Presse Les Éthiopiens Khalil Qasim Mohammed Omar et Murad Yaqoub Adam Siyo ont été exécutés après avoir été « reconnus coupables de contrebande de cannabis », indique un communiqué du ministère publié par l'agence de presse saoudienne (SPA). Au total, 189 personnes ont été exécutées depuis début 2025, d'après un décompte de l'AFP, dont 88 Saoudiens. En 2024, le cap des 100 exécutions d'étrangers n'avait été franchi qu'en novembre dans le royaume du Golfe, l'un des pays au monde où la peine de mort est la plus appliquée. Selon un précédent décompte de l'AFP, au moins 338 personnes ont été exécutées l'an dernier, contre 170 en 2023, bien plus que le précédent record connu de 196 en 2022. Le fait d'atteindre ce nombre avant la fin juillet marque, selon Amnistie internationale, une « escalade alarmante dans les exécutions, y compris de ressortissants étrangers condamnés pour des crimes liés à la drogue ». Dans un rapport publié lundi, l'ONG de défense des droits de la personne a précisé de « janvier 2014 à juin 2025, l'Arabie saoudite avait exécuté 1816 personnes, selon les dépêches de l'agence SPA, environ un tiers d'entre elles l'ont été pour des infractions liées à la drogue ». Or, rappelle Amnistie, « le droit international et les normes internationales en matière de droits de la personne n'autorisent pas la peine de mort pour de tels crimes ». Toujours selon Amnistie, « sur cette période de dix ans, 597 personnes ont été exécutées pour des infractions liées aux drogues, dont environ 75 % étaient des étrangers ». Après un moratoire d'environ trois ans, les autorités saoudiennes ont repris fin 2022 les exécutions pour crimes liés aux stupéfiants. Kristyan Benedict, directrice adjointe pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord à Amnistie, a dénoncé « une tendance réellement terrifiante, où la peine de mort est appliquée à un rythme effréné contre des étrangers pour des infractions qui ne devraient jamais entraîner une telle sentence ». Amnistie souligne également que les étrangers font face à des obstacles supplémentaires pour bénéficier d'un procès équitable en Arabie saoudite, notamment en raison du manque de transparence du système judiciaire et de leur statut de non-ressortissants. « État autoritaire » L'organisation Reprieve, basée à Londres, a elle aussi dénoncé la semaine dernière « une hausse préoccupante » des exécutions liées à la drogue, soulignant que les étrangers représentaient plus de la moitié des exécutions recensées en 2025, et que 93 % d'entre eux avaient été condamnés pour des infractions en lien avec les stupéfiants. « Dans l'Arabie saoudite de Mohammed ben Salmane, vous pouvez assister à une rave dans le désert, mais vous pouvez aussi être exécuté pour avoir fumé du haschisch », a affirmé Jeed Basyouni, responsable des projets relatifs à la peine de mort au Moyen-Orient pour Reprieve, en faisant référence au prince héritier et dirigeant de facto du pays. « Les milliards dépensés pour promouvoir un royaume plus tolérant et inclusif sous le règne du prince héritier masquent un État autoritaire où les exécutions quotidiennes pour des délits liés à la drogue sont désormais la norme », a-t-il ajouté. Les militants des droits de la personne estiment que le maintien de la peine capitale ternit l'image du royaume, engagé dans un vaste programme de réformes baptisé Vision 2030. Les autorités affirment quant à elles que la peine de mort est nécessaire au maintien de l'ordre public et qu'elle n'est appliquée que lorsque toutes les voies de recours ont été épuisées.

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