logo
Mercato Nantes : Jean-Charles Castelletto opte finalement pour Al-Jazira

Mercato Nantes : Jean-Charles Castelletto opte finalement pour Al-Jazira

Le Parisiena day ago
Après cinq saisons au FC Nantes et une victoire en Coupe de France en 2022,
Jean-Charles Castelletto
s'apprête à quitter
la Ligue 1
. Annoncé au Qatar, où il était courtisé par Al-Wakrah, le défenseur de 30 ans, sous contrat jusqu'en 2028, va finalement prendre la direction du club d'Al-Jazira (Émirats arabes unis) où évolue l'ancien Lyonnais Nabil Fekir.
D'après les informations de Foot Mercato, l'indemnité de transfert se situerait autour de 4 millions d'euros. Al-Wakrah avait aussi trouvé un accord avec Nantes pour 3,5 M€, bonus compris, mais Al-Jazira a réussi à détourner l'ancien Brestois en effectuant une ultime surenchère. Le joueur né à Clamart (Hauts-de-Seine) se trouve dans le Golfe depuis le début de la semaine.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

« Je veux être une éponge » : CJ Egan-Riley dévoile ses ambitions après son arrivée à l'OM
« Je veux être une éponge » : CJ Egan-Riley dévoile ses ambitions après son arrivée à l'OM

L'Équipe

time8 hours ago

  • L'Équipe

« Je veux être une éponge » : CJ Egan-Riley dévoile ses ambitions après son arrivée à l'OM

Arrivé libre de Burnley, l'international espoirs anglais CJ Egan-Riley (22 ans) s'est épanché sur son passé et ses ambitions, ce mercredi après-midi à la Commanderie. « Quelles sont vos qualités et où se situent vos axes de progression ?J'ai des qualités mais aussi beaucoup de points sur lesquels je peux m'améliorer, et c'est pour cela que j'ai signé ici. Je veux être une éponge, m'imprégner de toutes les informations possibles. J'ai retrouvé des visages familiers, lors de mes premiers jours ici, cela m'a aidé. Je connaissais bien le passé du club, l'OM est le premier club français à avoir remporté une Ligue des champions. Les supporters sont emblématiques, le stade aussi. J'espère moi aussi pouvoir écrire mon histoire ici. Plusieurs joueurs de Championship (Ismaïla Sarr, Illiman Ndiaye, Ismaël Koné) débarqués à l'OM ont éprouvé des difficultés ces dernières saisons... Comment voyez-vous votre adaptation ? En douceur ou directe ?J'arrive ici avec l'intention de jouer. Ça dépendra de la volonté du coach et de ses plans. L'OM est un palier à franchir pour moi, après une très bonne saison personnelle à Burnley, nous sommes montés en Premier League. Je me sens bien mentalement, physiquement. Je veux m'imposer dans cette équipe, tout en respectant mes coéquipiers et la concurrence. Je vais tout donner, tous les jours. Vous avez formé un duo ultra-solide avec Maxime Estève, la saison dernière à Burnley. Il a fait ses débuts à Montpellier. Vous a-t-il donné des conseils sur la L1 ?Max est un très bon ami à moi, j'ai toujours été proche de lui. Je n'ai pas encore trop parlé avec lui, honnêtement, depuis que je suis ici. Il sait que Marseille est un grand club, il m'a félicité, c'était sympa. « Avec Burnley, on a battu tous les records défensifs en Angleterre, on a encaissé peu de buts, si je peux répéter cela à Marseille, ce serait idéal » Avez-vous discuté avec votre camarade des Espoirs anglais, Jonathan Rowe, qui a connu des hauts et des bas pour sa première saison à l'OM ?J'ai un peu échangé avec Johnny récemment, je lui ai posé quelques questions sur la ville, le club, les supporters. Il n'avait que du positif à dire, il pensait que c'était une bonne décision de ma part. J'ai vu le but qu'il a marqué contre Lyon (3-2, le 22 septembre 2024), je connais ses qualités. Pouvez-vous nous raconter brièvement votre parcours ?J'ai commencé dans un club local de Manchester. Avec déjà le numéro 4 sur le dos, ma mère avait choisi pour moi, j'avais cinq ans. Puis j'ai rejoint Manchester City quand j'avais neuf ans, après avoir été détecté par un scout. J'ai joué là-bas jusqu'à mes vingt ans, avant d'être recruté par Burnley. J'ai été prêté en Écosse (Hibernian, janvier-juin 2023), aux Pays-Bas aussi (PSV Eindhoven, février-juin 2024). Comment passer du style de jeu de Burnley à celui de l'OM ?La saison dernière, j'ai affronté des joueurs rapides, ou encore des joueurs très grands. Je vais intégrer le style du coach. C'est important d'avoir la possession, le contrôle du ballon. Avec Burnley, on a battu tous les records défensifs en Angleterre, on a encaissé peu de buts (16 en 46 rencontres), si je peux répéter cela à Marseille, ce serait idéal. Je n'ai pas été trop mis au défi dans les un-contre-un, sur les espaces ouverts, plus larges, je pense que cela va changer cette saison, j'aurais plus de duels face à des attaquants très vifs de L1.

Pour structurer son staff en Ligue 1, le Paris FC mise sur la filière troyenne
Pour structurer son staff en Ligue 1, le Paris FC mise sur la filière troyenne

L'Équipe

time11 hours ago

  • L'Équipe

Pour structurer son staff en Ligue 1, le Paris FC mise sur la filière troyenne

Promu en Ligue 1, le Paris FC n'est pas seulement actif dans le recrutement des joueurs. Depuis un an, il est allé chercher des profils pour accélérer sa restructuration interne, dont la plupart ont en commun le club de Troyes. Ce mercredi, quelques minutes avant le coup d'envoi du premier match amical du Paris FC en tant que club de Ligue 1 face à l'Union Saint-Gilloise (champion de Belgique), à huis clos, Mathieu Dubarry devrait prendre une part active dans l'échauffement des Parisiens. Ce préparateur physique, nouvel élément dans le staff de Stéphane Gilli, avait inauguré sa collaboration avec le PFC, il y a dix jours, en dirigeant, avec démonstration en personne à l'appui, les tout premiers ateliers de renforcement musculaire. Son arrivée chez le deuxième club de la capitale de Ligue 1 n'est pas vraiment un hasard. Elle a tout de même un dénominateur commun : l'Estac, où Dubarry était en fin de contrat. Il y a fait toutes ses gammes pendant plus de dix ans pour finalement intégrer le staff des pros, époque Laurent Batlles, sous les ordres de Pascal Faure. L'ancien directeur de la performance de Troyes occupe ce poste depuis un an au... Paris FC. Un recrutement lancé à l'époque par Stéphane Gilli, soucieux d'élever les compétences dans le domaine de la performance globale, physique, mentale et relationnelle. « Pascal cochait toutes les cases et j'avais eu des échos très favorables de ''Lolo'' Batlles. On avait besoin d'une harmonie dans le staff au sens large. Les premiers échanges m'ont confirmé qu'avec Pascal, on avait la même approche des choses », confie Gilli, qui a commencé sa carrière comme préparateur physique. Du préparateur physique au Stadium manager, en passant par le médecin Faure a lui aussi été vite emballé par le projet parisien : « J'ai senti un désir de synergie collective chez Stéphane et puis, dans ses idées de jeu, ambitieuses, précises, il y a une philosophie positive. Stéphane veut de la compétence, des experts dans la culture du haut niveau tout en attachant une énorme importance au relationnel. » L'arrivée cet été de François Drouard comme médecin à temps plein du Paris FC suit la même logique. Après avoir exercé dans le basket, le handball, le volley, Drouard a passé plus de huit ans au LOSC et avait rejoint l'AS Monaco après avoir quitté... Troyes ! « Que ce soit pour Mathieu Dubarry ou le doc, c'est totale confiance avec Pascal. Il connaît et a rencontré beaucoup de monde. Il sait de quoi il est question », avance Gilli. « Je sais l'importance du docteur dans un club pro. Avec François (Drouard), c'est l'assurance, un gage de la maîtrise du haut niveau, de la haute performance », embraye Faure. « Pour gagner du temps, rien de mieux que de reformer une équipe de personnes qui ont déjà travaillé ensemble et, en plus, qui s'apprécient » Pierre Ferracci, Si ce dernier aura été le détonateur de l'exode troyen, il n'est en revanche pour rien dans le recrutement cet été de Victor Marly, tout frais Stadium manager, qui a aussi débarqué de l'Estac. La qualité de son travail, au stade de l'Aube et concernant le projet de centre d'entraînement, était revenue aux oreilles d'Arnaud Campanella, le secrétaire général du Paris FC. Les quatre premiers matches délocalisés que le club parisien avait dû jouer à Troyes, en raison des travaux à Charléty lors de la saison 2023-2024, ont sans doute permis de tisser des liens entre les deux clubs. « On avait été très bien accueillis, avec des échanges nombreux. Il s'est créé une relation particulière entre nous, admet le président Pierre Ferracci. Mais on n'a jamais eu l'intention de piller l'Estac, c'est vraiment une suite de circonstances. Il reste que la restructuration en cours au Paris FC suit une logique. Pour gagner du temps, rien de mieux que de reformer une équipe de personnes qui ont déjà travaillé ensemble et, en plus, qui s'apprécient. » Du côté de Troyes, les dirigeants assurent, en privé, que cette vague de départs avait été anticipée et qu'il n'y a aucune animosité envers le Paris FC.

Avec le transfert de Thiago Almada, combien va récupérer l'OL ?
Avec le transfert de Thiago Almada, combien va récupérer l'OL ?

L'Équipe

time15 hours ago

  • L'Équipe

Avec le transfert de Thiago Almada, combien va récupérer l'OL ?

Le milieu argentin de Botafogo Thiago Almada va être transféré à l'Atlético de Madrid. Sans que l'on sache combien Lyon va récupérer après cette transaction. Avec Thiago Almada, tout aura été compliqué de bout en bout pour l'OL, et même au-delà du bout. Le prêt du milieu argentin de Botafogo à Lyon, en janvier dernier, avait mis une partie de la Ligue 1 sens dessus dessous, poussé une dizaine de présidents à poser une réserve en amont des matches contre l'équipe rhodanienne, et illustré à lui seul les méandres du modèle de multipropriété à la sauce John Textor. L'histoire s'était achevée officiellement le 30 juin dernier, et le transfert du champion du monde 2022 à l'Atlético de Madrid, annoncé mardi soir par le club espagnol, ne devrait plus concerner Lyon. En fait, si. Et toute la question, désormais, est de savoir combien l'OL va récupérer à l'issue de cette transaction, annoncée à 21 millions d'euros pour 50 % des droits économiques du joueur. Dans un monde normal, il ne toucherait rien, puisque Thiago Almada (24 ans) appartenait à Botafogo, à qui il aurait été « techniquement » revendu avant le passage infructueux à la DNCG du 24 juin, tout comme Luiz Henrique et Igor Jesus (*). En réalité, le joueur lui-même ne savait plus trop à qui il devait rendre des comptes depuis un bon moment. Sous contrat avec le club carioca jusqu'en 2029, il avait refusé de participer à la Coupe du monde des clubs pour se reposer avant de reprendre la saison en Europe. À Lyon, où il se trouvait encore mardi, ou ailleurs. Ce sera donc l'Atlético de Madrid, son quatrième employeur en 13 mois (après Atlanta, Botafogo et Lyon), sous réserve d'une visite médicale concluante. Textor « tient » encore Botafogo Les 21 millions doivent atterrir dans le pot commun d'Eagle (Lyon, Botafogo, Moleenbek). Mais vont-ils revenir à l'OL, qui estime avoir financé l'arrivée de l'Argentin au Brésil il y a un an (*) ? Le cas Almada souligne l'ambiguïté qui perdure au sein de la multipropriété, puisque John Textor n'est plus aux manettes à Lyon mais continue d'être actionnaire majoritaire et de « tenir » Botafogo. Sans doute temporairement, tellement la pression de ses créanciers est désormais maximale. Au-delà du désir de l'entraîneur de l'Atlético, Diego Simeone, d'attirer son compatriote dans son effectif, la présence d'ARES comme actionnaire minoritaire du club espagnol a certainement compté dans le dénouement du « deal » Almada, longtemps courtisé par Benfica. Le fonds d'investissement, qui a permis le rachat de l'OL par John Textor il y a deux ans et demi, a repris en main la gestion financière du club depuis le 30 juin et le remplacement du président par son associée Michele Kang. Il paraît inconcevable qu'il laisse cet apport d'argent filer, alors que le départ de Thiago Almada laisse le secteur offensif de l'OL un peu plus en friche. En quelques semaines, Lyon a perdu ses deux créateurs (Rayan Cherki et Thiago Almada) en plus de son capitaine (Alexandre Lacazette). À moins d'un mois de la reprise du Championnat, c'est la reconstruction sportive de l'équipe qui commence à inquiéter. À lire aussi Almada, l'exil plutôt que le prêt ? Dès 2022, la DNCG annonçait une possible catastrophe industrielle Zhegrova l'autre épine du LOSC Piga, l'autre française des quarts

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store